Dans les années 70, ils ont été embauchés par la SNCF, entreprise semi-publique française du secteur ferroviaire, dans le cadre d'une convention franco-marocaine. Ils ont travaillé toute leur vie pour elle, et puis arrivés à l'âge de la retraite, ils ont découvert que leurs pensions n'avaient rien à voir avec celles de leurs collègues français. Aujourd'hui devenus des "chibanis" − « cheveux blancs » − ils réclament des compensations à leur ancien employeur devant la justice. Verdict en janvier prochain
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