Université d'hiver du barreau de Paris 2015, organisée à Sciences Po.
Intervenants :
Jacques Attali, professeur, écrivain, conseiller, fondateur d’Action contre la faim
Raphaël Enthoven, philosophe, auteur et animateur de radio et de télévision
Thierry Lévy, avocat au barreau de Paris
Animateur : Etienne Gernelle, directeur de la publication, Le Point
Description de la table ronde :
Des générations d’avocats et des générations d’amoureux, pour certains sincères et pour d’autres moins, ont eu comme principe premier :
N’avoue jamais, jamais, jamais !
N’avoue jamais que tu aimes.
N’avoue jamais que tu es coupable.
Mais aujourd’hui, qu’en est-il ?
L’aveu réduit-il la peine ?
S’il ne réduit pas la peine, en vaut-il la peine ?
Aujourd’hui, le droit fiscal comme la globalisation économique exigent au contraire une attitude collaborative sans laquelle le contribuable ou l’entreprise se trouveraient taxés et surtaxés.
Dans les années 70, Michel Foucault en philosophie, Costa-Gavras au cinéma avertissaient contre l’extorsion de l’aveu, et son articulation prétendue à la vérité.
Sommes-nous passés de l’autre côté du miroir, ou du moins de l’autre côté de la réflexion ?
Intervenants :
Jacques Attali, professeur, écrivain, conseiller, fondateur d’Action contre la faim
Raphaël Enthoven, philosophe, auteur et animateur de radio et de télévision
Thierry Lévy, avocat au barreau de Paris
Animateur : Etienne Gernelle, directeur de la publication, Le Point
Description de la table ronde :
Des générations d’avocats et des générations d’amoureux, pour certains sincères et pour d’autres moins, ont eu comme principe premier :
N’avoue jamais, jamais, jamais !
N’avoue jamais que tu aimes.
N’avoue jamais que tu es coupable.
Mais aujourd’hui, qu’en est-il ?
L’aveu réduit-il la peine ?
S’il ne réduit pas la peine, en vaut-il la peine ?
Aujourd’hui, le droit fiscal comme la globalisation économique exigent au contraire une attitude collaborative sans laquelle le contribuable ou l’entreprise se trouveraient taxés et surtaxés.
Dans les années 70, Michel Foucault en philosophie, Costa-Gavras au cinéma avertissaient contre l’extorsion de l’aveu, et son articulation prétendue à la vérité.
Sommes-nous passés de l’autre côté du miroir, ou du moins de l’autre côté de la réflexion ?
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