Université d'hiver du barreau de Paris 2015, organisée à Sciences Po.
Intervenants :
Gilles Bannier, auteur, réalisateur
Jacqueline Laffont, avocat au barreau de Paris
Denis Salas, magistrat et essayiste
Francis Szpiner, avocat au barreau de Paris, ancien membre du
Conseil de l’Ordre
André Vallini, secrétaire d’État à la Réforme territoriale
Animateur : David Dauba, journaliste BFM business
Description de la table ronde :
Depuis l’enfance, nous avons entendu le récit tragique, et hélas renouvelé, des grandes erreurs judiciaires. Elles nous ont indignés, bouleversés, et construits. Elles ont fait de chacun de nous et de tous les citoyens un militant potentiel de la justice, pour le « Plus jamais ça ! »
Mais derrière ces bons sentiments, derrière cette bonne conscience, un présupposé, celui de la rareté de l’erreur judiciaire.
Le vrai mensonge n’est-il pas là ?
L’erreur judiciaire ne se pratique-t-elle pas en effet tous les jours dans la plus parfaite indifférence, et parfois dans le plus parfait cynisme ?
Les avocats le savent. Les juges le savent. Les uns et les autres y contribuent-ils volontairement ou involontairement ?
Les citoyens le savent-ils ?
Est-ce inévitable, est-il imaginable qu’il en soit autrement ? Pourquoi et comment ? Ou sommes-nous face au plus grand secret et au plus grand tabou de notre société ?
Si oui, dévoilons-le !
Intervenants :
Gilles Bannier, auteur, réalisateur
Jacqueline Laffont, avocat au barreau de Paris
Denis Salas, magistrat et essayiste
Francis Szpiner, avocat au barreau de Paris, ancien membre du
Conseil de l’Ordre
André Vallini, secrétaire d’État à la Réforme territoriale
Animateur : David Dauba, journaliste BFM business
Description de la table ronde :
Depuis l’enfance, nous avons entendu le récit tragique, et hélas renouvelé, des grandes erreurs judiciaires. Elles nous ont indignés, bouleversés, et construits. Elles ont fait de chacun de nous et de tous les citoyens un militant potentiel de la justice, pour le « Plus jamais ça ! »
Mais derrière ces bons sentiments, derrière cette bonne conscience, un présupposé, celui de la rareté de l’erreur judiciaire.
Le vrai mensonge n’est-il pas là ?
L’erreur judiciaire ne se pratique-t-elle pas en effet tous les jours dans la plus parfaite indifférence, et parfois dans le plus parfait cynisme ?
Les avocats le savent. Les juges le savent. Les uns et les autres y contribuent-ils volontairement ou involontairement ?
Les citoyens le savent-ils ?
Est-ce inévitable, est-il imaginable qu’il en soit autrement ? Pourquoi et comment ? Ou sommes-nous face au plus grand secret et au plus grand tabou de notre société ?
Si oui, dévoilons-le !
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