Jeu géolocalisé sous Android - Paris War Zone - ECE Paris
- il y a 15 ans
Paris War Zone est un jeu que l'on pourrait qualifier de semi réel, semi virtuel.
L'objectif pour le joueur est de déployer un maximum de tours qui ont un certain rayon d'action et qui ont le pouvoir de blesser les joueurs adverses quand ils sont dans ce rayon d'action.
A l'inverse, le joueur doit éviter les zones d'action des autres tours, ou alors, doit se rapprocher le plus possible de la tour elle-même et déposer une bombe pour la détruire. Il faudra, dans ce cas, que le joueur fasse attention à suffisamment s'éloigner pour ne pas être blesser dans l'explosion.
L'intérêt et l'originalité du jeu est dans le fait que le terrain de jeu est la terre entière. En effet, le déploiement des tours, l'entrée en zone ennemie etc. sont basés sur les coordonnées GPS du joueur. Donc de sa position réelle. Ainsi, si l'on prend l'exemple du dépôt dune bombe sur une tour ennemie, le joueur devra réellement courir pour échapper à l'explosion !
Equipe :
- Gawen Arab, , étudiant ingénieur à l'ECE Paris
- Sébastien Risler, étudiant ingénieur à l'ECE Paris
L'objectif pour le joueur est de déployer un maximum de tours qui ont un certain rayon d'action et qui ont le pouvoir de blesser les joueurs adverses quand ils sont dans ce rayon d'action.
A l'inverse, le joueur doit éviter les zones d'action des autres tours, ou alors, doit se rapprocher le plus possible de la tour elle-même et déposer une bombe pour la détruire. Il faudra, dans ce cas, que le joueur fasse attention à suffisamment s'éloigner pour ne pas être blesser dans l'explosion.
L'intérêt et l'originalité du jeu est dans le fait que le terrain de jeu est la terre entière. En effet, le déploiement des tours, l'entrée en zone ennemie etc. sont basés sur les coordonnées GPS du joueur. Donc de sa position réelle. Ainsi, si l'on prend l'exemple du dépôt dune bombe sur une tour ennemie, le joueur devra réellement courir pour échapper à l'explosion !
Equipe :
- Gawen Arab, , étudiant ingénieur à l'ECE Paris
- Sébastien Risler, étudiant ingénieur à l'ECE Paris