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  • aujourd’hui
L'entourage du Premier ministre a assuré à BFMTV que la fille de François Bayrou ne lui avait pas dit qu'elle avait été victime de violences physiques lors d'un camp d'été organisé par la même congrégation à laquelle appartient Notre-Dame de Bétharram. Hélène Perlant estime avoir "peut-être voulu le protéger, inconsciemment".

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Transcription
00:00Aujourd'hui, la parole se libère. Je pense que cette histoire va libérer la parole de beaucoup d'autres histoires.
00:06Malheureusement, je pense qu'on n'est qu'au début, comme ça s'est fait il y a quelques mois, quelques années, dans le milieu du cinéma.
00:14Il y a plein de choses. La parole va se libérer. Mais je crois que cette histoire de Bétaran va être le commencement du sujet.
00:22On va en découvrir un peu partout, malheureusement. J'ai bien peur.
00:24– Oui, mais on reproche finalement à François Bayrou de ne pas être intervenu en tant qu'élu local,
00:30mais aussi en tant que ministre de l'éducation, il y a donc plus de 30 ans.
00:36Aujourd'hui, il n'agirait pas ainsi. Peut-être qu'il serait beaucoup plus réactif s'il était aujourd'hui ministre de l'éducation
00:41et s'il avait appris ce qui se passait à Bétaran. Mais on a peut-être aussi changé d'époque.
00:45Et ça, il peut l'admettre lui-même.
00:47– Mais évidemment, je ne sais pas du tout. Je ne le connaissais pas à ce moment-là.
00:51Je le connaissais de nombre, mais je ne le connaissais pas personnellement.
00:54Et évidemment que les sujets ont changé.
00:57Évidemment que certaines remarques qui peuvent être faites à l'égard de femmes, etc.,
01:03sont totalement déplacées aujourd'hui, alors qu'elles étaient acceptées,
01:07voire parfois presque mises en avant par certaines personnes il y a encore 15 ou 20 ans.
01:14Donc bien sûr, et heureusement que le monde change et la parole change.
01:18– Sous-titrage Société Radio-Canada –

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