Passer au playerPasser au contenu principalPasser au pied de page
  • avant-hier
Mercredi 9 avril 2025, retrouvez Charles-Henri Bujard (Président de l’AFFO et membre du conseil de surveillance du Groupe Henner) dans GÉNÉRATION IMPACT, une émission présentée par Julien Lescs.

Catégorie

🗞
News
Transcription
00:00...
00:00Allez, on continue notre émission spéciale de Génération Impact sur Family Stories.
00:13Et je reçois maintenant Charles-Henri Bujard,
00:17qui est le président de l'Association Française du Family Office
00:20et membre du Conseil de Surveillance du groupe NR. C'est bien ça ?
00:24C'est tout à fait ça. Merci beaucoup de me recevoir.
00:26C'est un grand plaisir de vous recevoir.
00:28Est-ce que vous pouvez nous présenter peut-être rapidement l'AFO et ce que vous y faites ?
00:34Très simplement, président. L'AFO, c'est l'Association Française du Family Office.
00:39Donc, on y regroupe l'ensemble de l'écosystème de cette profession que j'aime appeler.
00:46Moi, ce n'est pas un métier, ce n'est pas une fonction.
00:47J'aime dire que c'est une mission, l'accompagnement des familles.
00:50On a principalement trois collèges, les Mono Family Office, comme moi,
00:54qui dirigent le Family Office du groupe NR, les Multi Family Office qui vont adresser plusieurs familles.
01:00Et on y a également intégré ce que nous appelons les professionnels des familles,
01:03avocats, notaires, banques, en fait, tous ceux qui évoluent dans l'écosystème des entreprises familiales.
01:10L'objectif de l'AFO, c'est de rassembler et de partager entre pairs sur toutes les problématiques qui intéressent notre mission.
01:19Et la mission d'un Family Office, elle se résume assez simplement.
01:22On est le maître d'œuvre de la stratégie familiale en matière de transmission et de gestion patrimoniale.
01:29Moi, j'avais lu sur votre site que vous résumiez aussi ce métier avec deux missions.
01:34Une qui était de préserver l'harmonie de la famille, si je ne dis pas de bêtises,
01:37et l'autre qui était de protéger le patrimoine.
01:39Est-ce que vous pouvez nous en dire quelques mots ?
01:41Ça veut dire quoi, préserver l'harmonie de la famille ?
01:43En fait, garder cette harmonie, la préserver, c'est accompagner des familles,
01:50leur permettre de passer par le cap de la transmission.
01:54J'ai usage de dire que les transmissions pour une famille, c'est le cap-orne pour un navigateur.
02:00Quand vous partez faire le tour du monde, vous ne construisez pas un bateau pour éviter les tempêtes.
02:05Des tempêtes, il y en aura. Le cap-orne, il faut le passer.
02:08Et en fait, avoir autour de l'écosystème familial des équipes qui, aussi proches soient-elles de la famille,
02:15ne sont pas de la famille, nous donne un petit avantage d'objectivité, du côté rationnel,
02:22alors qu'une famille, elle va raisonner affection, affectio-familiae, et que ça peut créer des dégâts.
02:28Donc, ce rôle de conseiller extérieur qu'on nous confie dans notre mission,
02:33ça doit permettre aux familles de passer ce cap de la transmission.
02:37Et en fait, on dit d'une transmission qu'elle est réussie quand la famille est toujours famille après la transmission.
02:43C'est bien résumé. C'est quoi les grands enjeux de l'AFO aujourd'hui ?
02:48Est-ce que vous pouvez nous dire peut-être quelques chiffres, son nombre de membres ?
02:51Les chiffres sont rarement intéressants.
02:54En fait, ce qu'on constate aujourd'hui, c'est que cette notion de famille et office sort du bois.
02:59On en parle de plus en plus.
03:01LaFO aura 25 ans l'année prochaine.
03:03On est sans conteste possible à l'association de référence.
03:09Mais les 20 premières années, grâce à Bernard Camblin, notre fondateur,
03:13grâce à Jean-Marie Paluel Marmont, qui a été 10 ans président de la FO,
03:16ont travaillé à bas bruit pour structurer, organiser cet écosystème de partage qu'est la FO.
03:22Depuis quelques années, sous l'égide de Frédéric Croix, qui est mon prédécesseur et qui a fait 3 ans et demi de mandat,
03:29on assiste à une accélération.
03:30Aujourd'hui, il est plus tabou finalement de dire pour une famille, j'ai un family office,
03:35ou pour un family office, de dire je travaille pour cette famille.
03:38Du coup, on a une croissance très importante.
03:42On a plus que doublé nos membres sur les 3 dernières années.
03:45Cette croissance, elle nous apporte de la notoriété.
03:47Et cette notoriété, elle nous permet de gagner en influence.
03:51Et quand je parle influence, je parle influence positive auprès des autorités,
03:56parce qu'on est une profession qui n'est pas réglementée, au sens, il n'y a pas un règlement du family office.
04:01Mais demain, si nos autorités souhaitaient réglementer, il faut qu'elles aient des interlocuteurs.
04:06Et on veut s'inscrire dans cette ligne-là.
04:09Et le quatrième pilier de développement que je me suis donné pour mon mandat, c'est l'international.
04:14Parce que l'AFO, c'est l'association française, mais des familles, il y en a partout.
04:19Donc il y a forcément des AFO belges, européennes, asiatiques, américaines.
04:24Et on a développé, grâce à Guillaume Courreau, qui est notre délégué général, l'IFO,
04:28qui est une association, une fédération internationale des family office, des associations de family office.
04:35Et en fait, c'est à la base une association de droit français.
04:39Donc nous serons à l'origine, et on a envie d'essemer, parce qu'on voit la qualité des partages qu'on a au sein de l'AFO.
04:47Mais on fait des voyages à l'AFO, tous les deux ans, on visite des pays.
04:52On est allé en Suisse, on est allé en Allemagne en octobre dernier.
04:56C'est l'occasion pour nous de rencontrer des familles allemandes, et surtout aussi leur family office.
05:01Et en fait, ces systèmes et ces écosystèmes existent ailleurs.
05:07Et à travers l'international, on a envie d'aller plus loin pour mieux comprendre et mieux accompagner nos adhérents de l'AFO,
05:14pour leur apporter plus d'expérience.
05:17Souvent, ce qu'on dit, c'est que les family office se sont un peu créées sur mesure, sur un besoin spécifique d'une famille,
05:23et qu'il n'y en a pas un qui se ressemble.
05:25Alors comment on fait pour apporter un service à ces gens ?
05:28C'est très simple, il n'y a pas de famille identique, donc il n'y a pas de family office identique.
05:35Vous n'avez pas de schéma pour devenir mono-family office.
05:40Vous allez avoir une duration dans l'entreprise familiale, et à un moment donné, vous basculez du côté entreprise dans le côté famille.
05:47Moi, c'est ce qui m'est arrivé, ça fait plus de 30 ans que je travaille auprès des robinets du Faux.
05:51Vous avez aussi d'autres, les cabinets multi-family office, qui eux, gèrent plusieurs familles,
05:58mais ce qui est une force extraordinaire, c'est qu'ils ont eu à gérer des situations de transmission, de gouvernance, ou de réflexion, plusieurs fois.
06:07Donc ils ont une richesse énorme.
06:10En fait, pour une famille, c'est exactement comme le sujet de la transmission, je le disais à l'ouverture.
06:15C'est un état d'esprit, la transmission, c'est un momentum qui va se produire.
06:23Avoir ou pas un family office, avoir autour de soi un écosystème qui accompagne la famille, ça viendra naturellement.
06:30Ça devra se faire, je pense.
06:31Les family office, c'est vieux comme le monde, Louis XIII et Louis XIV avaient l'heure, donc il n'y a pas de sujet là-dessus.
06:37Bon, là, on est sur Family Stories.
06:39Si vous aviez quelques conseils à donner à des familles qui ne sont pas équipées d'un family office,
06:45seraient quoi les grandes questions auxquelles elles doivent répondre
06:49et comment elles doivent un peu réfléchir leur organisation pour réussir cet Everest ou ce Capone ?
06:55Je pense que la gestion patrimoniale, l'allocation d'actifs, je dirais, c'est un petit côté mécanique et rationnel.
07:03C'est important, ça doit être très bien fait.
07:05Le sujet gouvernance, transmission, c'est que de l'humain.
07:09Donc déjà, le fait de se poser de la question, de rentrer dans cet état d'esprit,
07:13parce que des entreprises familiales, il y en a toujours eu, et des transmissions, il y en a toujours eu,
07:17mais de commencer à réfléchir en amont en formant la next-gen.
07:21Et la next-gen d'aujourd'hui, ce n'est pas celle de notre génération ou celle de nos anciens.
07:26Donc, pour une famille, commencer à aborder ces sujets,
07:32ce n'est pas raisonner en se disant, est-ce que je dois ou pas avoir un family office ?
07:36Le family office, il va s'inscrire naturellement dans la dynamique de réflexion d'une famille.
07:42Le besoin va s'en faire ressentir.
07:44Si j'avais un conseil à formuler pour des sociétés, des entreprises, des familles qui n'en ont pas,
07:50c'est de commencer par des spécialistes en matière de gouvernance,
07:54c'est-à-dire intégrer quelqu'un d'extérieur.
07:57Je dis souvent, les familles, c'est formidable de vouloir résoudre tous ces sujets tout seul,
08:02mais c'est plus compliqué.
08:03Prenez quelqu'un de l'extérieur.
08:05Commencez par un consultant en gouvernance ou un multi-family office qui sont très capés.
08:10Et après, naturellement, si vos besoins, vos ressources, vos objectifs, vos envies,
08:15la question du family office viendra naturellement.
08:18C'est comme la fiscalité, ce n'est pas une finalité.
08:21C'est une conséquence de quelque chose.
08:23Moi, j'ai tendance à dire que, donc nous, vous le savez, on dirige un family office chez Kimpa.
08:29Et je dis souvent que le family officeur, il gère toutes les choses compliquées.
08:33Vous les avez décrites tout à l'heure.
08:36Le patrimoine, la structuration.
08:38Il y a toujours des solutions.
08:39Finalement, il y a des problèmes et on trouve toujours les solutions et les experts pour bien les adresser.
08:42Et puis la gouvernance, elle vient gérer les problèmes complexes.
08:44Et cette complexité de la famille, cette dynamique émotionnelle qui, pour le coup, n'est pas mathématique et qu'il faut savoir adresser.
08:54Et c'est vrai qu'en étant de l'extérieur, on a cette capacité de venir défendre les intérêts de toute la famille.
08:59Pas simplement de celui qui vous a appelé le premier ou qui est le donneur d'orne, mais bien entendu, toute cette famille actionnaire.
09:08L'émission s'appelle Génération Impact aussi.
09:10Et donc, on est dans cette génération où les familles se posent aussi beaucoup de questions, et notamment avec la Next Gen, sur leur impact social et environnemental.
09:18Toutes ces familles n'ont pas le même, en fonction d'ailleurs de l'industrie dans laquelle elles sont.
09:24Et donc, comment vous abordez ça à la faux ? Est-ce que vous l'abordez de manière spécifique ?
09:29Alors, clairement, on l'aborde parce que clairement, c'est un sujet, on ne peut plus s'en exonérer et ça serait une erreur parce que c'est un sujet d'actualité.
09:38On l'a abordé assez naturellement à la faux.
09:40On offre à nos adhérents, on propose à nos adhérents des offres de formation dont certains ont été créés il y a assez longtemps.
09:49Et en fait, on intègre maintenant des modules liés à cette spécificité qui tourne autour du RSE, autour de la CSRD, les obligations, comment.
09:57Et en fait, ça vient assez naturellement des familles aussi, parce que le family office œuvre dans l'ombre d'une famille.
10:04Donc, si l'entreprise familiale est touchée par ça, ça ruisselle naturellement sur le family office.
10:09On a à la faux une particularité.
10:12Il y a quelques années, on a des jeunes qui sont venus, des jeunes familiaux qui sont venus nous voir pour dire, on va faire un club chez vous qui s'appelle Next Gen.
10:18On a dit, ben venez.
10:19Et en fait, nous, on s'enrichit, nous, les family office, comme on les enrichit, ces sujets, ils sont arrivés avec.
10:25Et ils nous ont posé les mêmes questions.
10:26Donc, on intègre à la faux, vous avez des commissions spécialisées, des commissions à thème.
10:31On a notre commission de développement durable.
10:34On a pris dans nos membres des personnes qui ont envie de s'investir autour de ces sujets et qui, de par leur métier, que ce soit des cabinets de conseil, des banques, des familles qui gèrent ce sujet.
10:47Donc, on est systématiquement dans l'ère du partage en prenant des expertises là où on les trouve parmi nos membres.
10:56Donc, on a à la faux, depuis quelques années, une commission investissement durable.
11:01Excellent.
11:04Il y a des études qui parlent de ce taux d'échec important de la transmission.
11:09Vous parliez tout à l'heure, vous, du Cap Horn.
11:11Et ce chiffre qui tourne, enfin, ou ces chiffres qui tournent sont d'ailleurs assez faux puisqu'ils changent d'un pays à l'autre, notamment pour des questions de fiscalité.
11:18Mais on a quand même souvent tendance à dire qu'il n'y a qu'une famille sur trois qui arrive à passer à la génération d'après.
11:24Ce qu'on sait, par contre, c'est que ça, c'est des académiques qui l'ont démontré dans le monde entier, dans leurs études, c'est que celles qui arrivent de manière successive,
11:31elles font quelque chose que ne font pas les autres.
11:33Elles développent une orientation entrepreneuriale distinctive à chaque génération.
11:36C'est à dire que chaque génération est capable de s'emparer finalement du projet familial et de le mettre un peu à sa sauce ou en tout cas avec son énergie.
11:44Vous, comment vous voyez ça dans nos entreprises familiales françaises aujourd'hui?
11:47Est ce que c'est quelque chose qui est qui est comme ça ou qui est différent?
11:51C'est assez prégnant. Je ne connais pas des statistiques d'échec.
11:55Ce que je sais, c'est que 70% des entreprises françaises sont des entreprises familiales.
12:00Aujourd'hui, depuis plusieurs années, on a des outils.
12:04On a parlé, évoqué du pacte du trait et on a mis en place des outils aussi qui permettent de transmettre à moindre coût avec des conditions de conservation sur le long terme.
12:15Aujourd'hui, une transmission familiale ne signifie pas forcément que c'est un membre de la famille qui reprend.
12:24On peut avoir pour une génération, parce que le bon ADN n'est pas dans l'arbre généalogique, ça peut arriver, un nom familial qui va diriger.
12:31Donc, en fait, ces sujets là, aujourd'hui, ça va aller de mieux en mieux parce qu'on assiste dans les next gen à une évolution où la verticalité, c'est terminé.
12:43C'est fini dans un système matriarcal où la mère disait à sa fille, tu reprendras le groupe ou le père disait à son fils, tu reprendras le groupe.
12:50C'est fini.
12:50On est avec une next gen auquel il faut donner envie d'avoir envie.
12:55Ça veut dire quoi?
12:56Ça veut dire qu'il va falloir commencer plutôt à les intégrer, à les informer, à les former pour qu'on évoque ces sujets de transmission.
13:06Et je disais en plénière d'ouverture, si vous faites adhérer des jeunes à l'affectio familiae, ça va devenir presque naturel de les faire adhérer à l'affectio societatis.
13:18En tout cas, ça augmentera les chances.
13:19Et comme aujourd'hui, on n'est plus de verticalité, je pense que ce taux dont vous parlez d'échec va diminuer drastiquement.
13:28Et ce qui est important, une transmission familiale, c'est que je l'ai dit tout d'ailleurs, une famille reste une famille après la transmission et qu'on ait un écosystème avec des experts, des ressources familiales qui permettent de faire continuer cette entreprise, cette aventure entrepreneuriale.
13:45La nouvelle génération, elle résonne différemment.
13:50Elle vous pose des questions, elle vous dit pourquoi.
13:55Ça fonctionne et ça va fonctionner différemment.
13:58Donc, je pense qu'on va vers un moment donné de plus grande responsabilité dans les transmissions et du coup de moins de pertes en ligne.
14:05Quelqu'un intervenait en disant avant d'Utreil, c'était tellement cher que les ETI se vendaient.
14:11Aujourd'hui, les entreprises françaises, d'entreprises familiales françaises, elles ont envie de rester en France.
14:17Ça, c'est un des chiffres importants.
14:1910 000 ETI en Allemagne et en Italie, 5 000 en France.
14:22On va mettre du temps à rétablir les chiffres, mais je pense qu'il y a comme un courant.
14:29Il y a quelque chose qui est en train de se produire et que si nos autorités veulent bien maintenir le cadre, l'impôt, ce n'est pas un sujet.
14:38Il est dû, c'est une contribution normale à l'effort national.
14:41Ce qu'on conteste les familles, c'est l'impôt qui change tout le temps.
14:44C'est l'absence de visibilité.
14:45Une famille, c'est transgénérationnel.
14:47Il faut lui donner fiscalement la même visibilité.
14:49Oui, puis il y a ce sujet. Je dis souvent qu'il y a une triple peine pour l'entreprise familiale.
14:56C'est qu'elle doit innover pour rester en vie.
14:59Elle doit assurer la fiscalité de la transmission et puis elle doit protéger la famille, ce qui fait beaucoup pour une seule personne morale.
15:06Et ce que vous avez décrit juste avant, je trouvais que c'était chouette parce qu'en fait, on voit cette bascule entre l'entreprise familiale et la famille entrepreneuriale.
15:12Les Anglais ou les Américains, ils parlent de family business, mais ils parlent aussi de business family.
15:15Et c'est famille entrepreneuriale. En fait, si on ne va pas dans l'entreprise, on va sûrement recevoir des parts ou des actions de l'entreprise familiale et donc devenir actionnaire.
15:25Et donc, c'est quoi être un actionnaire engagé ? Comment on contribue en étant non exécutif pour la famille ?
15:31C'est aussi important que tout le monde soit formé et informé dans la nexgène parce que peut-être qu'ils choisiront un parmi tous, mais ceux qui n'ont pas été choisis, ça ne veut pas dire qu'ils sortent de la famille.
15:42Et ils seront les premiers supportifs de celui qui a été choisi.
15:45Philippe Grodner le disait, le mieux, c'est la cooptation.
15:48C'est-à-dire que si les jeunes entre eux disent que le meilleur d'entre nous, c'est lui ou elle, tant mieux.
15:52On peut se révéler actif dans un écosystème familial, pas forcément dans l'axe primaire de la société familiale.
16:02On peut acquérir de la légitimité. Les jeunes nous parlent beaucoup de mission, de sens.
16:07Mais ils peuvent aller acquérir une légitimité dans la climatologie.
16:11Ils peuvent devenir très bons dans leur domaine et à un moment donné, on ne sait pas pourquoi, ils reprendront un virage, ils reviendront dans leur entreprise familiale.
16:17Il faut les laisser libres de revenir. La plus belle cage, c'est celle dont la porte est ouverte.
16:24Qu'est-ce qu'on souhaite à la fois et qu'est-ce qu'on vous souhaite dans cette nouvelle mission qui est devant vous ?
16:30Je trouve qu'on a une très belle mission. Le service aux familles est une très belle mission.
16:37Ce qu'on souhaite à la fois, c'est de continuer à se déployer comme on se déploie, d'offrir à nos adhérents un niveau,
16:45il y a une qualité d'échange entre nous, nous appuyer sur des experts qu'on a déjà dans nos adhérents, mais de multiplier.
16:53Et surtout, de promouvoir cette mission de famille office parce que plus de familles seront équipées et accompagnées par des familles office,
17:01plus on aura de chances d'avoir des membres aussi à l'association.
17:03Génial. Je vous souhaite un bel événement sur Family Stories. Merci d'être venu à notre micro.
17:11Et on vous remercie de nous avoir suivis sur cette émission spéciale aujourd'hui.
17:15Merci.

Recommandations