• avant-hier
Rafiki Saïd et Cyriaque Irié sont passés à côté de leur match vendredi à Metz (2-1). Conséquence : la puissance de frappe de l'Estac a été réduite à peau de chagrin. Intervenants : Mattéo Clochard & Alan Mangin

Catégorie

🗞
News
Transcription
00:00Tous les sélectionnés n'étaient pas dans le 11,
00:03hormis les deux ailiers.
00:05Il faut dire aussi qu'en fait leurs remplaçants naturels sont tellement en dessous en termes de niveau
00:10que l'entraîneur a un peu obligé de les mettre ses deux principales armes.
00:15Et en fait, ils ont fait zéro différence à eux deux, mais vraiment zéro point de coup.
00:18Je n'ai pas le souvenir d'une action, d'un dribble réussi par l'un des deux.
00:22Vraiment un match compliqué.
00:23On a retrouvé un peu une estaque comme on l'avait vu il y a maintenant quelques mois,
00:28c'est-à-dire un peu impuissante offensivement.
00:31Et c'est vrai que quand ces deux ailiers sont dans un mauvais jour comme aujourd'hui,
00:36la force de frappe offensive est presque nulle.
00:41Hormis une incursion de Diop ou de Chavallerin qui a aussi fait une frappe,
00:46ou une frappe vouée à l'échec de Assoumou qui a capuché la barre.
00:51Juste avant, il avait fait une frappe de 40 mètres alors qu'il avait un 4 contre 3 à jouer.
00:56Et il a pris une soufflante sur cette action.
00:59Mais voilà, en tout cas, quand ça y est, les ailiers ne sont pas dans un bon jour,
01:01c'est presque les trois quarts du pouvoir troyen offensif qui sont annihilés.

Recommandations