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Avec Stéphane Ravier

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##CA_BALANCE-2025-03-20##

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Transcription
00:00Ici Sud Radio. Les Français parlent au français. Les carottes sont cuites. Les carottes sont cuites.
00:14Je ne sais pas si les carottes sont cuites, mais alors vous avez vu dans quel état nous
00:22plus de 3 000 milliards de dettes, l'inflation, le chômage, les problèmes intérieurs, etc.
00:29Mais, mais, mais, réjouissons-nous, réjouissons-nous, Français françaises.
00:34Il y a quelque chose qui marche très bien et cette grosse entreprise ne connaît pas la crise.
00:38C'est le narcotrafic. Et oui, de 3 à 6 milliards d'euros de chiffre d'affaires par an.
00:473 milliards, effectivement, 240 000 employés, 28 000 villes et villages touchés,
00:5679% des communes avec le narcotrafic. Et je ne parle pas du reste.
01:03Et notamment ce qui se passe sous l'une des capitales du narcotrafic, pas la seule bien sûr, Marseille.
01:09On va en parler tout de suite.
01:11Sud Radio André Bercoff. Bercoff dans tous ses états, ça balance pas mal sur Sud Radio.
01:19Marseille, tais-toi Marseille, tu cries trop fort, je n'entends pas claquer.
01:28Merveilleuse chanson, Marseille, tais-toi Marseille. Non, non, non, Marseille ne doit pas se taire
01:35comme la France ne doit pas se taire devant ce qui se passe quand même.
01:39Rappelons quelques chiffres avant de donner la parole au sénateur Stéphane Ravier.
01:44Les services de police, très récemment, ont saisi 53,5 tonnes de cocaïne en 2024.
01:53Saisi, ça veut dire qu'il y a tout le reste. Là, c'est la partie émergée de l'iceberg, de l'iceberg très blanc.
02:00Une augmentation de 130% comparée à 2023. Des chiffres encore, dit Bruno de Tailloux.
02:06367 assassinats et interdits d'assassinats liés au trafic de stupéfiants.
02:12Voilà, et pas seulement, on ne parle pas du trafic de hachiches,
02:19on ne parle pas des comprimés d'ecstasy et de MDMA, on ne parle pas des amphitamines et des méthamphitamines, etc.
02:26Oui, les chiffres pour le cannabis sont en baisse, mais quand même, ça veut dire quoi ?
02:31101 tonnes saisies, 1 tonne d'héroïne saisie aussi en 2024.
02:35Vous voyez, ça marche vraiment très bien.
02:37Alors, pour contrer tout cela, depuis lundi 17 mars, les députés se penchent sur un texte de toute première importance,
02:44effectivement, l'examen de la proposition de loi pour sortir la France du piège du narcotrafic.
02:50Alors, ça va durer une semaine, ça a commencé lundi, ça va aller jusqu'à lundi prochain, c'est donc assez important.
02:58Commission d'enquête bi-partisane, donc les députés, et mercredi, c'est-à-dire hier,
03:05a été adopté l'une des mesures les plus décriées du texte visant à lutter contre le narcotrafic
03:11qui prévoit la création d'un nouveau régime carcéral d'isolement pour les plus gros trafiquants.
03:16Alors, est-ce que ça va marcher ou pas ? C'est très discuté en ce moment.
03:20En tout cas, ça a été approuvé par l'Assemblée nationale.
03:24Et puis, Marseille. Alors, Marseille, effectivement, d'abord, nous allons en parler.
03:29Et bonjour Stéphane Ravier.
03:31Bonjour M. Bercov.
03:32Bonjour. Vous êtes sénateur des Bouches-du-Rhône et vous êtes président de Marseille, d'abord.
03:39M. Ravier, alors, dites-moi, quand vous voyez ces chiffres déjà nationaux,
03:43quand vous voyez que, voilà, le gouvernement a décidé de prendre le taureau,
03:48je ne sais pas si on peut parler de taureau par les cornes,
03:51et puis de dire, voilà, on ne va pas consacrer une semaine pour sortir la France de ce fléau.
03:56En tout cas, pour essayer.
03:58Et puis déjà, une mesure a été, en tout cas, adoptée par la majorité de l'Assemblée.
04:03Votre réaction ?
04:05Écoutez, le gouvernement prend le taureau par les cornes, il était temps,
04:09mais mieux autant que jamais.
04:11Mais enfin, il le prend quand même par le bout des doigts.
04:14La réalité, c'est qu'aujourd'hui, nous sommes dans une situation extrêmement grave.
04:21Moi, ça fait longtemps que je ne parle même plus de narcotrafiquants, mais de narcoterroristes.
04:26Un terme qui a été repris par Madame Pécresse il y a peu.
04:31Il y a déjà 20 ans, vous voyez, ce n'est pas la semaine dernière,
04:35il y a déjà 20 ans, je faisais savoir qu'à Marseille, si les cités n'avaient pas bougé
04:40lorsque les banlieues se sont enflammées à la suite du décès accidentel de jeunes
04:46qui étaient poursuivis par la police, vous vous en souvenez ?
04:49Oui, à Marseille, ça n'avait pas bougé.
04:52Les autorités politiques locales s'enorgueillaient de la politique locale
04:59qui avait fait en sorte que Marseille était restée unie, était restée dans la concorde.
05:05Et moi, je faisais savoir, au contraire, que si ça n'avait pas bougé,
05:08c'est parce que les trafiquants de subtené, tené, dans le sens physique du terme,
05:15tenaient déjà les cités.
05:17Il y avait déjà des réseaux de drogue tels qu'ils étaient capables de maintenir une sorte de paix sociale
05:27qui cachait un trafic déjà très important.
05:3120 ans plus tard, ça y est, on découvre l'humidité de l'eau.
05:34Vous voulez dire, Stéphane Ravier, qu'à l'époque déjà,
05:37ces manifestations et meutes auraient pu nuire au commerce, c'est ça ?
05:44Elles auraient pu nuire au commerce du trafic, bien sûr,
05:48et les autorités locales s'en sont accommodées très vite,
05:53soit par déni, soit par approche de la drogue d'un côté fessif.
06:02Ce message qui veut un petit joint par-ci, un petit rail de coq par-là,
06:08ce n'est pas très important, c'est plutôt festif, ce n'est pas grave,
06:11sans vouloir jamais aborder, ce qui est pour moi quand même une priorité,
06:15le problème de la santé publique.
06:17On n'entend jamais parler.
06:18Et puis, ça a arrangé tout le monde, ça a arrangé les politiques,
06:22que dans ces cités, on ne réclame pas d'emplois, il n'y a pas de mouvements sociaux,
06:29et puis ça fait tourner le commerce.
06:30Ces jeunes qui vendent, ils consomment sur place, la famille paye le loyer,
06:37ils partent en vacances pour beaucoup d'entre eux au bled,
06:40et puis ils vont dans le centre-ville faire tourner l'activité économique légale.
06:46Donc tout le monde s'est accommodé de ça, et ça a totalement dégénéré.
06:50Et sans parler du blanchiment, bien sûr, en achetant des boutiques,
06:53des restaurants et autres épiceries.
06:58Écoutez, aujourd'hui à Marseille, c'est la chambre de commerce et d'industrie
07:02qui tire la sonnette d'alarme, ce n'est plus seulement Stéphane Ravier,
07:06et qui s'émeut, c'est peu de le dire, de voir le centre-ville,
07:11alors là on ne parle plus des cités perdues pour la République et pour la France du quartier Nord,
07:15c'est le centre-ville de Marseille, c'est-à-dire la Cannière, ça, ça parle à tout le monde,
07:20c'est le vieux port, qui sont investis par des commerces de piètre qualité,
07:27vous savez, les épiceries, les barbershops, les ongleries,
07:31dont les propriétaires changent tous les trois mois.
07:34Il y a donc une certaine tiers-mondisation du centre-ville de Marseille,
07:39ça fait longtemps que c'est le cas dans les quartiers Nord, mais aussi dans les quartiers Est.
07:42La situation du stup fait qu'elle désormais déséquilibre totalement l'activité économique légale,
07:51et elle détériore le quotidien et l'image même de la ville de Marseille.
07:59Oui, alors justement, puisqu'on parle de Marseille et continuons,
08:04ce qui est incroyable, c'est que vous parlez vous-même d'il y a 20 ans,
08:09je me rappelle moi, ça ne me rajeunit pas, mais déjà à 30 ou 40 ans, déjà ça existait,
08:14et aujourd'hui c'est devenu encore une fois une entreprise,
08:17on a vu chiffres d'affaires de plusieurs milliards d'euros, etc.
08:21et cette espèce de blanchiment, d'acheter la paix sociale à ce niveau-là,
08:27est-ce que pour vous, en fait, on va vraiment, non pas dans le mur,
08:30mais peut-être beaucoup plus que le mur, une muraille de Chine,
08:34en laissant faire, en continuant, en faisant des, je dirais un peu,
08:39en blanchiment les barreaux, en faisant de la cosmétique,
08:42ou bien, qu'est-ce qu'on pourrait faire en fait ?
08:44C'est Van Ravier, vous vivez là, vous vivez cette réalité au quotidien,
08:49vous et des milliers et des milliers de citoyens,
08:51qu'est-ce qu'on pourrait faire vraiment ?
08:53Parce qu'on entend beaucoup parler, l'action là, on la voit moins.
08:58Évidemment que la situation a tellement dégénéré que ça ne sera pas facile,
09:02mais ce n'est pas parce que c'est compliqué qu'il ne faut pas le faire.
09:05La situation de l'insécurité au quotidien que ce trafic génère,
09:11elle est insupportable pour les Marseillais.
09:13Ce sont les honnêtes gens qui sont incarcérés chez eux, dans les cités,
09:17qui ne peuvent pas sortir ou y entrer aux heures qu'ils voudraient,
09:20puisqu'ils sont contrôlés, fouillés par les narcotrafiquants.
09:24Donc la situation est extrêmement grave, mais...
09:28Stéphane Ravier, juste un mot, pardon.
09:32Est-ce que ça va jusqu'au barrage, parce qu'on voit les images, etc.,
09:36où vous dites, oui, vous ne pouvez pas rentrer,
09:38il y a quelqu'un qui met une espèce de...
09:40Il y a les frontières, quoi.
09:42Ceux qui veulent ouvrir les frontières, en revanche,
09:44elles sont fermées à l'intérieur.
09:46A force de supprimer les frontières extérieures,
09:50il y a désormais des frontières intérieures.
09:52Des frontières intérieures pour se protéger de l'insécurité,
09:55des frontières intérieures aussi érigées par les trafiquants.
09:57J'ai moi-même été plusieurs fois contrôlé,
10:00arrêté, contrôlé, fouillé,
10:02et la fois dernière, c'était avec Marion Maréchal,
10:04qui était à Marseille,
10:06et qui avait tenu à voir de près comment cela se passait.
10:10Elle n'a pas été, entre guillemets, déçue,
10:12et nous avons été arrêtés au checkpoint de la cité,
10:16dans une cité du 13e arrondissement de Marseille,
10:18les Olivier A, pour ne pas la citer,
10:20où la cité est totalement, entre les mains,
10:23sous contrôle des narcotrafiquants.
10:25Alors, comment y répondre ?
10:27C'est toute une chaîne.
10:28Moi, je suis tout à fait favorable à ce qu'il y ait,
10:30évidemment, dans la prévention,
10:32et notamment dans le domaine médical,
10:34les conséquences de la consommation de drogue,
10:36y compris du schiste,
10:38qui a des conséquences directes sur le cerveau.
10:40On n'en entend jamais parler.
10:42Est-ce qu'il faut sanctionner les consommateurs ?
10:44Stéphane Aramé pose la question.
10:46Il faut sanctionner tout le monde.
10:48Toute la chaîne doit être sanctionnée,
10:50la chaîne du trafic.
10:52S'il n'y a pas de vendeurs,
10:54il n'y a pas de consommateurs.
10:56Mais s'il n'y a pas de consommateurs,
10:58il n'y aura pas de vendeurs non plus.
11:00Les sanctions envers les consommateurs
11:02sont trop faibles.
11:03C'est 150 euros d'amende,
11:05et les bouges du rôle caracolent en tête,
11:09au niveau national.
11:11Nous sommes sur la plus haute marge du podium,
11:13mais seulement un tiers des amendes sont payées.
11:17Donc, il faut multiplier par trois,
11:19au moins, l'amende,
11:20et qu'il y ait des prélèvements sur salaire,
11:22qu'il y ait des ponctions sur les prestations sociales,
11:27s'il le faut,
11:28et de l'emprisonnement.
11:30Moi, j'ai déposé une proposition de loi
11:33en septembre 2023,
11:35année record pour les règlements de compte.
11:38Il y avait eu 49 morts à Marseille.
11:41J'ai déposé une proposition de loi
11:44qui englobait, bien sûr,
11:46des sanctions très lourdes pour les consommateurs
11:49qui, aujourd'hui, achètent,
11:51consomment quasiment en toute impunité.
11:53Donc, du consommateur jusqu'au chouf,
11:56en passant par le vendeur, la nourrice
11:58et la tête de réseau,
12:01il faut que tout soit craqué
12:04et qu'il soit sévèrement condamné,
12:05et on ne s'attaquera pas.
12:06Et permettez-moi d'ajouter, quand même,
12:08un élément dont le ministre de l'Intérieur,
12:10M. Retailleau, n'a absolument pas parlé
12:12lorsqu'il est venu à Marseille
12:13faire sa première conférence de presse à ce sujet,
12:15c'est l'immigration.
12:18C'est l'immigration.
12:19Les policiers de Marseille vous diront
12:22que 50% des petits hommes,
12:25de ceux qui font le chouf et de ceux qui vendent,
12:2750%, non seulement sont des étrangers,
12:30mais ce sont des clandestins.
12:32Ce sont des clandestins.
12:34Il faut aussi, bien sûr, s'attaquer aux gros bonnets,
12:36mais si vous coupez aussi à la base,
12:39cela vous permettra d'être soulagé.
12:41Et il faut expulser, bien sûr,
12:43après leur passage en prison,
12:46il faut expulser tous ces étrangers
12:48clandestins qui ont participé au trafic.
12:50Alors Stéphane Ravier, il faut, il faut,
12:52et je comprends, il faut.
12:53Mais justement, qui va le faire ?
12:55Pourquoi je vous dis qui va le faire ?
12:57C'est parce qu'effectivement, la situation,
12:59on la voit.
13:00Alors moi, il y a deux questions que je voulais poser.
13:02Est-ce que vous iriez jusqu'à sanctionner
13:04les familles de ceux qui sont convaincus
13:06de trafic ?
13:07Et, autre question,
13:09est-ce que vous êtes, ou alors,
13:11il faut trouver, parce qu'on voit beaucoup
13:13les images du Salvador,
13:14vous avez donné des solutions à Naïb Boukele,
13:16le président de Salvador,
13:18dont on voit ce qu'il a fait sur les dizaines
13:20de milliers de narcotrafiquants.
13:21Moi, je suis allé au Salvador il y a 5 ans,
13:23à 7 heures du soir, vous étiez enfermé
13:25dans votre hôtel,
13:26parce qu'il était hors question de sortir.
13:28Est-ce que, en fait,
13:30est-ce qu'il faut aller vers des solutions
13:32très dures, même si elles paraissent
13:34très dures, ou est-ce qu'on peut
13:36se contenter de demi-mesures ?
13:38Je pose la question.
13:39Ecoutez, M. Bercov, il faut savoir ce que l'on veut,
13:42à partir de savoir à qui l'on a affaire.
13:44Ce sont des narcoterroristes.
13:46Il y a 24 heures, dans la cité Erbel,
13:48dans le 11e arrondissement de Marseille,
13:50dans les quartiers Est,
13:51un équipement flambant neuf
13:53est passé au stade de neuf flambants.
13:56Un équipement de 500 000 euros
13:59qui devait être inauguré
14:00a été incendié
14:02par, assurément, les narcotrafiquants
14:05du quartier.
14:07Un équipement ? Quel équipement,
14:09juste pour ça ?
14:10Un équipement d'accueil,
14:12un équipement social,
14:15pour une cité qui va bénéficier
14:18pour sa rénovation de 180 millions d'euros.
14:21Vous voyez bien que l'argent pour ces cités
14:23ne manque pas, bien au contraire.
14:25Nous avons affaire à des narcoterroristes,
14:27il faut les traiter comme tel.
14:28Et moi, l'exemple du Salvador,
14:30s'il faut y venir,
14:34il ne faut plus prendre de gants
14:38parce que, vous l'avez dit vous-même,
14:39lorsque vous vous êtes rendu là-bas,
14:40et c'est comme de nombreux marseillais ici,
14:42ce sont les honnêtes gens qui sont enfermés,
14:45ce sont les honnêtes gens
14:46qui voient leur liberté individuelle
14:48être bafouée, voire être retirée.
14:50Donc, il faut prendre tous les moyens
14:53et vous l'avez dit, et je l'ai déjà proposé,
14:55il faut retirer les prestations sociales
14:57aux familles dont on est convaincu
14:59de la participation aux trafics de drogue,
15:01retirer le logement social
15:03dont elles bénéficient souvent,
15:05les éloigner du territoire
15:07lorsqu'elles sont françaises
15:08et les expulser lorsqu'elles sont étrangères.
15:11C'est ce que font tous les pays du monde,
15:13sauf le nôtre,
15:15qui préfère subir,
15:17qui préfère voir sa population honnête
15:20être incarcérée chez elle,
15:22voire être victime,
15:23comme l'avait été cette jeune marseillaise
15:25qui a été tuée alors qu'elle était chez elle,
15:28par une rafale de kalachnikovs
15:30d'un trafiquant qui voulait intimider.
15:32Voilà où on en est à Marseille.
15:33Et voilà où on en est effectivement,
15:35un peu partout,
15:36vu qu'aucune des petites villes,
15:38des villages aujourd'hui étaient touchées.
15:41C'est un vrai fléau,
15:43mais voilà, Stéphane Rabier,
15:45c'est vrai qu'assez de mots,
15:47peut-être quelques actes
15:49ne seraient pas les malvenus.
15:51On verra ce que va donner
15:53effectivement cette réunion,
15:56cette semaine de l'Assemblée nationale,
15:58qui votera, verra, ne l'oublions jamais.
16:00Merci Stéphane Rabier.
16:02Merci M. Bercoche.

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