L’ancien magistrat, Georges Fenech, parle de la place de la religion dans les stades de football après la polémique du rupture du jeûne pendant Angers-Monaco : «Une religion ne doit pas imposer son rythme sur un stade».
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00:00Moi, je fais partie de ceux qui n'acceptent pas ce genre de choses parce qu'au fond, déjà pour la rupture du ramadan, il y a déjà des causes où on peut ne pas respecter la lettre.
00:15Il faudrait aussi prévoir que ces joueurs de haut niveau qui sont dans des compétitions puissent s'exonérer de ces règles strictes.
00:23Parce que c'est leur travail en réalité.
00:27Une religion n'a pas à imposer son rythme sur un stade, c'est évident.
00:35Vous nous dites qu'on ne peut pas tout organiser en fonction de l'islam.
00:40Évidemment. Il faudrait aussi tenir compte d'autres contraintes, d'autres religions. On ne s'en sort pas.
00:46Il faut évidemment, et je crois que l'Assemblée sénale doit s'actuer aussi, puisque le Sénat l'a fait, pour interdire tout signe religieux, tout antrisme religieux dans le sport.
00:55C'est interdit déjà.
00:57Sous-titrage Société Radio-Canada