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Audrey voulait radioker "Poker Face" de Lady Gaga. Une chanson qui parle moins de parties de poker que de parties de jambes en l’air… Nous en profiterons pour karaoker Madonna et rendre hommage au crooner Herbert Léonard et bien sûr… Michel car tous les chemins mènent à lui.

Retrouvez « Le karaoké de Thomas Croisière » sur France Inter et sur : https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/la-chronique-de-thomas-croisiere

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😹
Amusant
Transcription
00:00Tout le monde est ok pour le radis ?
00:01Ok !
00:02Et surtout Audrey, qui m'a demandé pour les 18 ans de son fils Alexandre, qu'elle surnomme
00:06affectueusement Nounou, un titre qu'il adore depuis l'enfance, un tube de Stéphanie Germanotta
00:11plus connu sous le nom de Lady Gaga.
00:14Il ne peut pas lire, il ne peut pas lire, il ne peut pas lire, il ne peut pas lire
00:25ma tête de poker face, poker face.
00:29Lady Gaga, dont le nouvel album sort d'ailleurs aujourd'hui, décidément, le radioquai est
00:33toujours à la pointe de l'actualité actuelle.
00:35Et comme beaucoup, je ne suis pas certain qu'Audrey et Nounou aient réalisé que poker
00:39face parle moins de parties de cartes que de parties de jambes en l'air.
00:42Je vous encourage à en écouter toutes les paroles et vous en profiterez pour noter que
00:46Lady Gaga ne dit pas popopopoker face, popopopoker face, mais popopopoker face, fufufufu, fucker
00:52face.
00:53On écoute.
00:54On réécoute.
00:55Et maintenant qu'Alexandre, comme toi, a dit il y a 18 ans, il comprend très bien le
01:05sujet abordé dans ce sucé international.
01:08Cette mise en bouche m'amène à ce que pratique comme une prière Madonna dans
01:12« I can't hear my name », « Je suis à genoux et j'en emmène là-bas ».
01:23Sa proposition est clairement plus pieux que pieuse, puisque la madone s'adonne à une
01:27activité qui peut se pratiquer à genoux, mais pas en chantant, sauf si les paroles
01:30de la chanson en question sont « glou glou glou ».
01:33On continue.
01:35Oui, je suis désolé, il est minuit.
01:38Oui, tu le sens bien mon gros pouvoir.
01:40« You know I take you there », moi je vais t'emmener là-bas, tu vas voir.
01:44Franchement, tant qu'à célébrer la turlute, autant y aller frontal, limite facial, comme
01:49avec celui qui a cassé sa pipe dimanche, et à qui le radioquet se devait de rendre
01:53hommage.
01:54Évidemment.
01:55« Sentir ta bouche effronter », voilà, là on est dans le concret.
01:58En anglais, ça donne.
01:59« Dans tous mes rêves, dans un délicieux va-et-vient », tu le visualises le va-et-vient.
02:06Pour parler pipette, il ne prenait pas de pincettes, Herbert Léonard.
02:11Alors, avec moi.
02:12« Je n'ai qu'un pays, celui de ton corps, je n'ai qu'un péché, ton triangle d'or,
02:19je découvre en toi toutes les audaces, quand tu m'aimes, je te chante.
02:26»
02:28« Pourquoi le triangle des Bermudes ? »
02:29« Le triangle d'or, pas des Bermudes, après, je vois bien où se situe votre sexualité.
02:33Repose en paix, Herbert Léonard, toi qui chanta si bien le plaisir, la puissance, la gloire
02:39et l'amour.
02:40« À faire balire tous les marques qui le servent, à faire rougir les putains de la
02:51Mais oui, ce sont bien les paroles de…
02:53« Je vais t'aimer comme on ne l'était jamais. »
02:57C'est la seule chanson de Sardou que je connaisse.
02:59Et que chante Herbert Léonard.
03:01Vous voyez, Alick et Marion, car une fois de plus, tous les chemins, même ceux de l'amour,
03:05mènent à Michel.
03:06Et la vie, c'est plus marrant, c'est moins désespérant, en karaokant du Herbert.

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