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🔥 CLASH HISTORIQUE À LA MAISON BLANCHE : LES MASQUES TOMBENT !

Le 28 février 2025, une rencontre au sommet à Washington a viré au chaos sous les yeux du monde entier. Donald Trump, accompagné de son vice-président JD Vance, a affronté Volodymyr Zelensky dans une joute verbale explosive, révélant des fractures profondes sur la gestion du conflit en Ukraine.

François Asselineau a analysé cet événement hors norme et en a tiré les conclusions sur la situation politique en France.

Prévue comme une discussion stratégique, cette rencontre visait à aborder l’avenir de l’aide américaine à l’Ukraine face à une guerre qui s’éternise. Trump et Vance ont proposé un cessez-le-feu immédiat pour désamorcer les tensions mondiales et éviter une escalade nucléaire. Zelensky, lui, a rejeté cette option d’un revers de main, exigeant plus d’armes et un soutien inconditionnel. Le ton est monté rapidement et la situation a dégénéré quand Zelensky a accusé Trump de faiblesse face à Poutine, tandis que Trump a répliqué en dénonçant l’ingratitude de Kiev malgré les milliards déjà versés par les États-Unis.

Trump et Vance, avocats de la paix, refusent d’insulter Poutine, Trump mise sur la diplomatie pour préserver une porte de sortie. Vance, de son côté, met en garde contre une guerre sans fin qui épuiserait l’Occident. Zelensky, tient une position jusqu’au-boutiste. L’Ukrainien minimise l’aide américaine (plus de 100 milliards de dollars depuis 2022) et accuse ses détracteurs de méconnaître la "menace existentielle" russe.

Pendant ce temps, la classe politique française plonge la France dans le brouillard en condamnant Trump en bloc. Sans débat ni analyse, elle risque de nous précipiter dans un conflit global.
▪️Édouard Philippe parle de « trahison » de l’Ukraine par les États-Unis et appelle l’Europe à intervenir.
▪️François Hollande qualifie l’altercation de « scène obscène » et demande un nouveau plan d’aide.
▪️Raphaël Glucksmann accuse les Américains de honte et prône une autonomie européenne pour soutenir l’Ukraine.
▪️Gabriel Attal estime que les États-Unis ont perdu leur légitimité de leaders du monde libre.
▪️Olivier Faure dénonce un « renversement d’alliances » par Trump.
▪️Marine Tondelier traite Trump et Vance de « brutes à la solde de Poutine ».
▪️Laurent Wauquiez appelle l’Europe à « se réveiller ».
▪️Jean-Luc Mélenchoncritique les « atlantistes » et Macron, tout en soutenant indirectement Zelensky.

Le président de l’UPR voit dans ces réactions un alignement aveugle sur un narratif mondialiste guerrier, ignorant le contexte et risquant une escalade vers une guerre mondiale.

Cette affaire concerne tous les Français.

Ce clash n’est pas qu’une querelle lointaine : il expose les vrais enjeux de la guerre en Ukraine. Qui cherche vraiment la paix ? Qui joue avec le feu ? François Asselineau décrypte les faits, loin des discours formatés, pour donner les clés de compréhension aux Français. Le silence ou l’aveuglement de nos dirigeants pourrait coûter ch

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Transcripción
00:00:00♫ Générique de fin ♫
00:00:05Mes chers compatriotes, nous sommes aujourd'hui le samedi 1er mars 2025. Et je veux revenir avec vous sur cet épisode
00:00:13assez extraordinaire de la vie politique et de l'histoire contemporaine qui s'est déroulé hier, 28 février 2025,
00:00:21à la Maison-Blanche, lorsque le président américain Trump et le vice-président Vance ont reçu le président Zelensky,
00:00:30qui était venu pour des négociations aux États-Unis, et qu'ils l'ont reçu devant la presse américaine
00:00:37et la presse mondiale, qui a filmé ça. Alors pourquoi ? Vous savez, tout le monde est au courant. Cette conversation,
00:00:43cet échange s'est achevé par une algarade, une altercation très très forte, très très vive.
00:00:50Il y a un ou deux moments, on a presque eu l'impression que Zelensky et Trump allaient en venir aux mains.
00:00:59C'est sans précédent, je crois, dans l'histoire contemporaine et même dans l'histoire un peu plus ancienne
00:01:05de voir comme ça en direct des chefs d'État se dire leurs quatre vérités. Alors ça, c'est vraiment très extraordinaire.
00:01:12Mais je veux revenir avec vous, parce qu'il est extrêmement important, mais vraiment extrêmement important
00:01:18d'être très précis sur ce qui s'est passé, très précis sur ce que les uns et les autres ont dit, et ensuite d'en conclure,
00:01:26de former notre opinion éclairée sur ce qui s'est passé, et de voir comment la classe politique européenne,
00:01:34la façon dont la classe politique française a réagi est un absolu scandale, puisqu'ils ont réagi d'une façon
00:01:42qui est le contraire de ce que nous devrions faire, c'est-à-dire au contraire un soutien au président Trump
00:01:48dans toute cette affaire, parce que vous allez voir que le gentil, c'est Trump, et le méchant, c'est Zelensky.
00:01:53Et quand je vois comment Trump, comme on va le voir, pendant toute la durée de cette conversation, a essayé de militer
00:02:00pour un accord, pour la paix, pour éviter la Troisième Guerre mondiale, et que Zelensky, au contraire,
00:02:05n'a pas cessé de jeter de l'huile sur le feu, je considère que les réactions qu'on verra à la fin de M. Édouard Philippe,
00:02:14de M. Gabriel Attal, de Mme Marine Tondelier, de M. Faure, etc., etc., de tout le spectre politique français...
00:02:21Sauf... Je le reconnais. Je n'ai pas vu le Rassemblement national réagir. Mais pour l'instant, de tout ça, je suis sidéré.
00:02:29Et je pense que c'est quelque chose que les Français doivent garder à l'esprit. En tout cas, nous, on le gardera à l'esprit,
00:02:34parce que si jamais les Français votent pour cette engence-là à la succession de Macron, ça veut dire qu'ils voteront
00:02:40pour des gens qui veulent nous entraîner à une guerre mondiale. Alors je reviens sur ce qui s'est passé.
00:02:46D'abord, il faut savoir quelque chose dont les médias ne parlent pas. C'est que l'entretien entre Trump, Vance et Zelensky
00:02:55n'a pas duré 10 minutes. Il a duré 50 minutes. 49 minutes, exactement. Il y a d'ailleurs sur Internet...
00:03:02Et on mettra en dessous une vidéo qui retrace toute la durée de l'entretien. Et les vidéos qui sont circulées sur Internet
00:03:12ont été des vidéos complètement tronquées à la fin, et qui ont eu pour vocation de faire apparaître Zelensky
00:03:21comme étant agressé par Vance et par Trump, alors que lui aurait été une espèce de pauvre victime expiatoire
00:03:28très gentille, qui serait devenue demander un petit peu d'aide. Voilà. C'est un véritable montage absolument scandaleux,
00:03:35et qui témoigne de ce que derrière tout ça, il y a des forces obscures mondialistes qui essaient de tout faire
00:03:42pour nous entraîner vers une Troisième Guerre mondiale. En réalité, la conversation a duré 49 minutes.
00:03:49Allez donc la voir. Elle est en anglais. Je ne sais pas si elle sera traduite en intégralité en français.
00:03:53Or, pendant toute cette conversation, pendant les à peu près 40 premières minutes, disons les 39 premières minutes,
00:04:02la conversation s'est très bien déroulée en fait entre les présidents. Trump a expliqué qu'il était d'accord
00:04:09pour continuer à soutenir Zelensky et l'Ukraine, continuer à envoyer des armes, tout en exigeant qu'il y ait
00:04:17un accord à trouver pour avoir un cessez-le-feu, parce qu'il fallait protéger des vies humaines.
00:04:22Et à chaque fois qu'il disait ça, bon, il se passait à peu près rien, sauf que donc Zelensky expliquait que
00:04:30« Non, non, il fallait être dur, il fallait être dur ». Voilà. Et puis on en arrive à la fin, les 10, 12 dernières minutes,
00:04:39que je vais commenter avec vous de façon très minutieuse, parce qu'il faut absolument que vous voyez qui est qui,
00:04:45et qui cherche quoi, et quelle est la configuration des personnalités. Parce que vraiment, vous allez voir que ce que l'on raconte
00:04:51dans la presse, qui fait de Trump l'homme à abattre, c'est un véritable scandale. C'est au contraire l'homme à soutenir.
00:05:00Regardons ce passage qui est tiré de LCI, qui a fait une traduction... C'est la meilleure que j'ai trouvée pour l'instant.
00:05:07Je vais vous faire commenter une série de passages, en fait pas à pas, comment s'est déroulée la fin de cet entretien.
00:05:14Et vous allez le voir. Alors le premier passage que vous allez regarder, on voit Trump. Et il y a Trump qui explique
00:05:20d'une façon qui est honnête, en fait, devant le peuple américain. Il dit « Écoutez, je comprends qu'il y a de la haine.
00:05:27Vous avez de la haine pour Poutine. Ça, je le comprends. Mais je vous signale que Poutine aussi, il a de la haine pour vous.
00:05:32Et si on fait ça, moi, je peux jouer les durs », dit Trump. « Mais ça ne mènera à rien ». Et donc si on veut avoir des négociations,
00:05:40eh bien il faut quand même que l'on fasse des compromis et que l'on ait une autre approche que de passer son temps à vouloir insulter Poutine.
00:05:47— On écoute Donald Trump. — Bah d'accord. Tout simplement, vous voulez quoi ? Que je dise... Vous voulez que je dise des choses atroces
00:05:53sur Poutine, et ensuite... Oh, la lumière ! Comment ça va ? Qu'est-ce qui se passe ? Comment ça se passe avec cet accord ?
00:05:58Moi, je ne suis pas aligné avec Poutine. Je ne suis aligné avec personne. Je suis aligné avec les États-Unis d'Amérique, moi.
00:06:03Et pour le bien du monde, de la Terre. Je suis aligné avec le monde, moi. Et je veux qu'on avance. Vous voyez la haine qu'il y a pour Poutine.
00:06:11Pour moi, c'est difficile de mettre un accord en place avec ce niveau de haine. Et je le comprends. Mais l'autre face, c'est exactement l'autre côté,
00:06:19ne sont pas en amouré de lui non plus. Donc la question d'alignement, moi, je suis aligné avec le monde. Voilà. Je veux que les choses avancent.
00:06:28Je suis aligné avec l'Europe. Je veux voir si on peut régler cette affaire. Vous voulez que je sois dur ? Oui, je peux l'être,
00:06:36plus que n'importe qui, n'importe quel être humain. Mais c'est pas comme ça qu'on va arriver à un accord. C'est tout simple.
00:06:42Voilà. Donc vous avez vu ce que dit Trump. Il ne veut pas insulter Poutine, parce que ça ne servira à rien. Et il dit que lui, il veut
00:06:49le bien du monde. Il dit « Je suis en ligne avec le monde. Je suis en ligne avec l'Europe ». Il dit « Je suis en ligne pour la paix, en fait ».
00:06:57Et donc si on veut la paix, il faut pouvoir négocier. Et à ce moment-là, deuxième... Juste à la suite, deuxième passage que je commente,
00:07:06il y a le vice-président Vance qui assiste à l'entretien, à côté duquel d'ailleurs il y avait M. Rubio, le secrétaire d'État américain.
00:07:13Donc c'est vraiment les plus hauts dirigeants des États-Unis d'Amérique. Et il y a le vice-président Vance qui intervient pour
00:07:20conforter la position de Trump, et qui explique que Biden, depuis 4 ans, n'a pas arrêté d'insulter Poutine, et que finalement, ça n'a mené à rien.
00:07:32Et donc Vance dit... Écoutez, puisque ça n'a mené à rien, les insultes... Au contraire, d'ailleurs, la Russie n'a pas fait d'autre chose
00:07:39que d'envahir et de progresser. Eh ben il faut peut-être essayer maintenant la diplomatie. Voilà ce que dit Vance. Écoutez-le.
00:07:45Alors, tout à fait. Je vais répondre à ça. Depuis 4 ans, pendant les États-Unis, on avait un président qui se levait et qui disait des choses dures
00:07:54sur l'avenir Poutine. Et Poutine a ensuite envahi l'Ukraine et détruit une grande partie du pays. Le chemin vers la paix et la prospérité,
00:08:05c'est peut-être au travers de la diplomatie. On a essayé de faire comme Biden voulait le faire, voilà, en boufflant les muscles,
00:08:13en disant... Voilà, c'était ce qui comptait. L'Amérique, ce qui fait de l'Amérique un bon pays, c'est l'Amérique qui entre dans la voie diplomatique.
00:08:20Et ce que fait le président Trump ?
00:08:22Alors face à ça, la réaction de Zelensky... Je rappelle quand même que Zelensky est un président qui a fait une espèce de coup d'État,
00:08:30puisqu'il s'est maintenu au pouvoir après la fin de son mandat, sans élection. Je rappelle que l'Ukraine a perdu un nombre considérable,
00:08:40plusieurs millions, 5 ou 6 ou 7 millions d'Ukrainiens qui ont fui le pays. Je rappelle que c'est un pays qui est en pleine débandade,
00:08:48qu'il y a de moins en moins de gens qui veulent se battre en Ukraine. Je rappelle que 18% du territoire ukrainien sont occupés par la Russie.
00:08:59Je rappelle que chaque jour qui passe... D'ailleurs, on apprend ou on apprend pas, parce que les médias français sont très discrets
00:09:05sur le sujet que l'armée russe continue de progresser et dans le Donbass, et pour refouler la petite contre-offensive
00:09:13qui avait été faite par les forces ukrainiennes du côté de la région de Kursk. Et je rappelle aussi que les forces européennes
00:09:22n'ont plus non plus les moyens de soutenir l'Ukraine. Donc normalement, normalement, Zelensky, venant aux États-Unis
00:09:34pour quémonder de nouveau de l'aide militaire et de nouveau de l'argent, aurait dû... Enfin c'est le PAB.
00:09:40Aurait dû avoir un profil bas. Aurait dû être diplomate. N'aurait pas dû répliquer, comme on dit, hein, comme on dit,
00:09:48comme un sale gamin. On ne réplique pas. On ne l'avait pas répliqué, parce qu'il est... Alors déjà, quand il y a Macron,
00:09:55Keir Starmer, qui voit Trump, ils sont déjà des tout-petits face à un colosse. Mais alors a fortiori, l'Ukraine...
00:10:03L'Ukraine, en 3 minutes, Trump peut disposer de la vie, de la destinée de Zelensky. Donc quand on est dans cette situation,
00:10:13on ne la ramène pas. On la ramène d'autant moins d'ailleurs que Trump doit avoir des dossiers comme ça sur tous les détournements
00:10:20de fonds qui ont eu lieu en Ukraine et dont d'ailleurs Zelensky lui-même a bénéficié. Il y a un nombre incalculable
00:10:28d'informations qui ont circulé. Certaines étaient des fausses. D'autres sont exactes, comme par exemple la villa
00:10:32qu'il a achetée le long de la côte italienne. Voilà. Donc tout ceci, la corruption générale des dirigeants ukrainiens
00:10:41et de notoriété publique. Et d'ailleurs, sur les centaines de milliards qui sont allés en Ukraine, Zelensky lui-même a dit
00:10:49qu'il avait perdu la trace d'une centaine de milliards de dollars. Donc dans toute cette configuration de personnalité et de contraintes,
00:10:57normalement, Zelensky aurait dû être là en remerciant et dire « Bah écoutez, je comprends votre point de vue, mais voilà ».
00:11:03Et c'était d'ailleurs... Quand vous regardez l'émission, c'était d'ailleurs la conclusion logique, puisque ça devait se terminer
00:11:11probablement par la signature de l'accord pour la création du fonds d'investissement en Ukraine, avec notamment une participation
00:11:19des terres financées en partie par les terres rares notamment et les ressources minérales de l'Ukraine.
00:11:28On en a déjà parlé plusieurs fois. Eh bien pas du tout. Zelensky, comme on va le voir, avec un ton extrêmement rogue et agressif,
00:11:37a commencé au contraire à répliquer, à répliquer avance. Il a répliqué en disant que depuis 2014... En fait, depuis le Maïdan,
00:11:46c'est-à-dire un coup d'État organisé à Kiev par les services américains eux-mêmes, mais c'était du temps d'Obama.
00:11:54Donc Zelensky explique que depuis 2014, eh bien sous les présidents Obama, puis le président Trump, puis le président Biden,
00:12:06puis de nouveau le président Trump, eh bien en réalité, il s'est pas passé grand-chose. Les Russes sont intervenus.
00:12:12On l'a pas assez soutenu que lui... Il a signé des accords avec d'ailleurs la supervision de Mme Merkel et de M. Hollande.
00:12:19Je crois d'ailleurs qu'il s'est trompé. Je crois qu'il a dit Macron au lieu de Hollande. En fait, il fait allusion aux accords de Minsk I et de Minsk II.
00:12:26Eh bien que malgré tout ça, eh bien les Russes n'avaient absolument pas tenu compte. Ils avaient continué à tuer des Ukrainiens.
00:12:32Alors vous allez écouter ce passage. C'est un passage qui est tout à fait scandaleux. D'abord parce que rappelons que ce sont
00:12:39les États-Unis qui ont fait le coup d'État en 2014 contre un régime qui, auparavant, justement, savait gérer les liens avec la Russie.
00:12:47Deuxièmement parce qu'évidemment, eh bien Zelensky ne parle pas de toutes les provocations qui ont eu lieu depuis 2014
00:12:55contre les populations du Donbass. Et il n'en parle pas. Troisièmement, il ne parle pas non plus de ce que Mme Merkel et M. Hollande
00:13:04ont eux-mêmes avoué, c'est-à-dire que ce sont les Occidentaux qui n'ont pas voulu que soient respectés les accords de Minsk II,
00:13:12que d'ailleurs lui-même, Zelensky n'a pas du tout respecté. Donc il inverse complètement la charge de la preuve.
00:13:18Il fait passer les Russes pour des agresseurs, alors que pendant ces 8 ans, jusqu'à 2022, jusqu'à l'invasion russe,
00:13:25ce n'étaient pas les Ukrainiens qui tombaient sous les bombardements des Russes. C'étaient les populations russophones et orthodoxes
00:13:31très proches de la Russie qui vivent dans le Donbass depuis le XVIIIe siècle, qui étaient les victimes du gouvernement central de Kiev
00:13:40et notamment du gouvernement de Zelensky. Mais écoutez donc ce passage et voyez un peu comment il ment effrontément, en fait,
00:13:49en faisant passer la Russie pendant ces périodes de 2014 à 2022 comme agresseur, alors que c'est au contraire le gouvernement de Kiev
00:13:59qui passait son temps à agresser ces populations, sans compter d'ailleurs ce que l'on a appris depuis lors, c'est-à-dire les installations
00:14:06de base de la CIA tout le long de la frontière russe dès la fin du Maïdan dès 2014. Écoutez.
00:14:13Donc, il a occupé une grande partie de l'Ukraine, Poutine, à l'est du pays, la Crimée, et il a occupé ça en 2014 déjà.
00:14:26Il avait envahi et occupé la Crimée pendant beaucoup d'années. Mais en 2014, de 2014 jusqu'en 2022, voilà, on avait cette situation en place.
00:14:39Les gens mouraient et personne ne l'a arrêté. Vous le savez, nous, on a eu des conversations avec Poutine, beaucoup de conversations,
00:14:47on a eu des débats et on a signé, moi, personnellement, en tant que nouveau président en 2019, j'ai signé un accord.
00:14:55J'ai signé avec lui un accord pour un cessez-le-feu, cessez-le-feu, cessez-le-feu.
00:15:02Tout le monde m'a dit qu'on a signé... C'était un contrat avec un contrat de gaz. Oui. Mais après, cessez-le-feu, il ne l'a pas respecté.
00:15:15Il a tué nos gens. Il n'a pas échangé de prisonniers. On a signé pour un échange de prisonniers aussi. Il ne l'a pas fait.
00:15:21Donc de quelle diplomatie est-on parlant ? Qu'est-ce que les États-Unis peuvent faire ? Qu'est-ce que vous voulez dire ?
00:15:27Voilà. Alors comme vous voyez, à la fin de cet échange, il y a Zelensky, après avoir présenté de façon très fallacieuse la situation...
00:15:36Il dit... Voilà. Moi, j'ai essayé de négocier avec Poutine, mais Poutine n'a rien voulu savoir, ce qui est une inversion accusatoire.
00:15:42Et il se tourne donc vers Vins. Et il lui dit de quelle diplomatie parlez-vous, ce qui, là aussi, est quand même très arrogant,
00:15:50finalement, pour quelqu'un qui est vraiment un clochard et qui vient demander de l'argent aux États-Unis d'Amérique.
00:15:58Et à ce moment-là, Vins va lui répondre. Et va lui répondre d'une façon assez sèche en lui disant
00:16:04« Écoutez, la diplomatie dont je parle, c'est celle qui est en train de sauver votre pays de la destruction ».
00:16:08Et Vins poursuit en disant « Écoutez, vous êtes en train de forcer des conscrits à venir à l'armée. Vous êtes en train de mobiliser
00:16:15le maximum de gens, parce que les jeunes Ukrainiens ne veulent plus mourir. Il y a énormément de morts. Les jeunes, vous avez du mal
00:16:21à avoir des soldats. Donc vous devriez quand même réfléchir à la diplomatie, parce que si vous avez une position jusqu'au boutiste,
00:16:31vous allez vers la destruction ». C'est ce que dit Vins, en réalité. Écoutez.
00:16:36Je parle de la diplomatie qui va mettre fin à la destruction de votre pays. M. le Président, avec tout le respect que je vous dois,
00:16:43vous manquez de respect de venir dans le bureau Oval et dire cela devant les médias américains. Maintenant, vous, vous êtes en train
00:16:50de forcer des conscrits sur le front, parce que vous avez des problèmes de personnel. Vous devrez être content que le président
00:16:58entre dans ce conflit. Voilà. Et comme Zelensky, au lieu de commencer à sentir que la situation commençait à se dégrader,
00:17:10et s'il avait eu un peu de finesse ou bien s'il avait tout simplement voulu être diplomate, il sentait... Il aurait dû s'arrêter là.
00:17:17Il aurait dû ne pas répliquer. Mais pas du tout. Il commence à répliquer, à faire des borborings, gna gna gna gna,
00:17:24et que oui, tout le monde a des problèmes. Et à ce moment-là, donc Vins continue et lui dit... Mais attendez.
00:17:32Vous n'avez pas de problème ? Vous osez dire que vous avez des soldats ? En réalité, la population ukrainienne ne veut plus
00:17:39se battre avec les forces armées ukrainiennes. Et Vins, il dit que vous commencez à être en fait très insolent.
00:17:47Et il lui dit que vous manquez de respect. Vous manquez de respect pour cette administration. Vous êtes dans le bureau ovale
00:17:51de la Maison-Blanche. Et vous manquez de respect par rapport à cette administration qui est en train d'essayer de voir
00:17:57ce qu'il peut faire pour vous sauver. Écoutez ce passage.
00:17:59— Voilà. Vous amenez des gens. Vous faites des tours de propagande. Est-ce que vous n'êtes pas d'accord que vous avez des problèmes,
00:18:06que vos militaires ont des problèmes, que vous n'avez pas assez de monde, et vous manquez de respect de venir dans le bureau ovale
00:18:12et d'attaquer l'administration qui essaye de prévenir la destruction de votre pays ?
00:18:16— Et qu'est-ce que répond Zelensky à ça ? Là aussi, au lieu de s'écraser... Puis il est quand même venu chercher de l'argent et des munitions.
00:18:23Il n'a rien à donner d'autre que de demander de l'argent et de demander des armes. Voilà. Donc au lieu de se calmer...
00:18:29Eh bien pas du tout. Zelensky réplique à cette information de Vance, et réplique d'une façon alors carrément insultante,
00:18:37puisqu'il se tourne donc vers Trump. Et il explique que tout le monde a des problèmes. Nous avons des problèmes.
00:18:44Vous aussi, d'ailleurs, vous avez des problèmes. Dit ça à Trump. Vous avez des problèmes. Puis d'abord, vous ne les ressentez pas,
00:18:50parce qu'en fait, il y a l'océan qui vous sépare sous-entendu de l'Europe et de l'Ukraine et de la Russie.
00:18:56Mais vous finirez bien par ressentir les problèmes. C'est-à-dire en fait une quasi-menace. C'est-à-dire que Zelensky dit à Trump
00:19:04« En fait, vous êtes un peu con-con ». C'est-à-dire qu'en fait, après nous, ça sera l'Europe et puis les États-Unis
00:19:10qui seront agressés par la Russie. C'est-à-dire que Zelensky reprend le narratif de la propagande habituelle des mondialistes,
00:19:17qui veut faire croire que c'est la Russie qui veut envahir le monde entier. À ce propos, d'ailleurs, je me permets ici
00:19:25de faire une toute petite incidente. C'est de rappeler ici – je vous représente – la carte des bases américaines dans le monde,
00:19:34qui... Il y a pratiquement près de 800 bases militaires américaines dans le monde, qui encerclent notamment la Russie et la Chine.
00:19:41Mais après ça, on nous explique que c'est la Russie qui veut conquérir le monde et qui menace le monde entier.
00:19:46Je ferme la parenthèse, mais c'est quand même fondamental à avoir à l'esprit. Écoutez ce passage où Zelensky, donc,
00:19:54se permet d'attaquer Trump sur le thème qu'il a des problèmes et qu'il ne comprend pas la situation, parce que bientôt, ça sera son tour.
00:20:01— D'abord, pendant la guerre, tout le monde a des soucis, tout le monde a des problèmes, même vous. Mais vous, vous avez un océan.
00:20:08Mais vous ne le ressentez pas maintenant. Mais vous allez le ressentir à l'avenir.
00:20:14— Alors c'est là où commence l'explosion, en fait, de l'altercation, parce que c'est quand même fort de café.
00:20:21C'est que qui a commencé dans cette asphère ? Qui est-ce qui agresse l'autre là-dedans ? Vous avez donc Zelensky qui prétend
00:20:30que Trump ne connaît pas son métier, alors qu'il a quand même déjà été président des États-Unis pendant 4 ans.
00:20:35Il est là pour demander de l'argent. Et il vient expliquer que finalement, ils ont aussi des problèmes, eux, alors,
00:20:40et qu'ils ne comprennent pas. Ils ont un ressenti. Ils ne comprennent rien. Et donc face à ça, Trump perçoit ça pour ce que c'est,
00:20:48c'est-à-dire une arrogance insupportable de la part d'un petit roquet qui n'est rien et que du jour au lendemain,
00:20:53les États-Unis peuvent dégager. Trump réagit vivement et dit « Écoutez, ne nous dites pas quel est notre ressenti.
00:21:01Vous n'avez pas à nous dicter quoi que ce soit ». Voilà. C'est la pure vérité. Et d'ailleurs, les Américains qui regardent ça,
00:21:08l'écrasante majorité du peuple américain applaudit, parce que c'était exactement la vérité. Regardez ce passage.
00:21:15« Non, ne dites pas ce qu'on va ressentir. On essaye de résoudre un problème. Ne nous dites pas, n'essayez pas de nous dire ce que nous,
00:21:22nous allons ressentir. Il faut que ce soit clair. Il faut se souvenir de cela. Vous n'êtes pas dans une position de dicter quoi que ce soit
00:21:29que nous puissions ressentir. Nous, nous allons nous sentir très bien. On va se sentir très bien, très fort. Non, actuellement,
00:21:36vous n'êtes pas dans une bonne position. L'Ukraine est dans une mauvaise position et vous l'avez permis, ça, d'arriver. »
00:21:43Voilà. S'ensuit un brouhaha où Zelensky, encore une fois, au lieu de comprendre que c'est en train de déraper et que c'est en fait
00:21:51ce qu'il est venu chercher qui risque d'être en jeu, eh bien Zelensky, au lieu donc de s'écraser... Pas du tout.
00:21:56Il commence à grommer, non, non, etc., à couvrir la voie, à interrompre le président des États-Unis d'Amérique en personne.
00:22:02Et à ce moment-là, Trump lui dit exactement la vérité. Finalement, vous jouez avec la vie de millions de personnes,
00:22:10vous prenez le pari sur la vie de millions de personnes, vous jouez avec la Troisième Guerre mondiale, dit-il.
00:22:18Et il dit « C'est un manque de respect pour nous qui vous recevons ». Ce que vous faites là, c'est un manque fondamental de respect,
00:22:24puisque justement, tout au long des 40 minutes qui ont précédé, Trump avait bien expliqué qu'il fallait arriver à incesser le feu,
00:22:30justement pour éviter la guerre. Donc Zelensky se comporte comme une espèce de type complètement obtu, qui fait comme s'il ne comprenait pas
00:22:39ce que ses interlocuteurs lui disaient, alors qu'il le savait de toute façon avant de venir. Et donc il fait en fait comme s'il allait arracher
00:22:46une décision dont Trump... Et derrière lui, qui est une très grande partie du peuple américain, il ne veut pas de la Troisième Guerre mondiale.
00:22:54Voilà. Regardez comment Trump se fâche. Et il a raison de se fâcher, de défendre justement la paix du monde.
00:23:00Voilà. Et Trump et Evans sont tellement outrés, finalement,
00:23:30de voir ce requet qui exige en définitive que Trump, qui s'est fait élire justement sur la paix le plus vite possible en Ukraine...
00:23:39Il faut quand même pas oublier qu'il s'est fait élire par des dizaines de millions d'Américains sur ce programme.
00:23:43Et vous avez M. Zelensky, qui a... Lui a annulé les élections chez lui, qui prétend donc de faire changer Trump de cet objectif central
00:23:52de sa nouvelle présidence. Et donc on sent que Trump est hors de lui. On sent que Evans est également hors de lui.
00:23:59Et à ce moment-là, Evans intervient à son tour pour dire « Mais dites-moi, au fait, est-ce que vous avez dit merci depuis que vous êtes arrivé ? ».
00:24:05Parce que depuis qu'il est arrivé, Zelensky s'est comporté comme un mendiant arrogant, ne disant merci à personne,
00:24:12et trouvant tout à fait normal que les États-Unis d'Amérique ont déjà donné des centaines de milliards de dollars,
00:24:17faisant en réclamer d'autres, et en plus en insultant les gens. Et de surcroît, Evans lui sort aussi un argument
00:24:23qui aurait dû quand même faire s'écraser un petit peu Zelensky. Il lui dit d'ailleurs « Vous êtes venus en Pennsylvanie
00:24:29pour soutenir l'opposition », c'est-à-dire pour soutenir Kamala Harris dans la campagne électorale.
00:24:34Parce que c'est exact que le 26 septembre 2024, Zelensky est venu s'inviter dans la campagne électorale,
00:24:42comme le montre cet article du Monde d'ailleurs. C'était le 26 septembre. Il est venu soutenir Kamala Harris. Voilà.
00:24:48Donc Evans se dit « Vous êtes venus soutenir Kamala Harris. Elle a été battue. C'est nous qui avons été élus.
00:24:54C'est déjà bien gentil que nous, on prenne ça en charge et qu'on essaie de vous sauver la mise ». C'est ça que dit Evans. Écoutez-le.
00:25:03— Est-ce que vous avez dit merci une seule fois ici, dans cette réunion ? Est-ce que vous vous êtes entendu dire merci ?
00:25:09Vous êtes allé en Pennsylvanie pour faire campagne pour l'opposition en octobre. Et vous devez apprécier
00:25:18ce que nous faisons. Le Président tente de sauver votre pays. — Alors s'en suit Zelensky, qui encore une fois,
00:25:26au lieu de s'écraser devant l'accumulation des faits... Parce que c'est un fait qu'il était venu soutenir Kamala Harris contre Trump,
00:25:36et qu'il a encore le culot de venir donner des instructions à Trump. Mais c'est incroyable ! Et donc il y a de nouveau
00:25:43donc une algara. Les gens parlent... Ils refusent... En fait, ils refusent de se taire. On a l'impression à un moment ou à un autre,
00:25:50d'ailleurs, qu'ils vont en venir aux mains. Et Trump, à un moment, réintervient. Et là, il impose sa voix. Et il dit ceci
00:25:59pour en sorte de clôturer le débat. Écoutez, de toute façon, vous avez des gros problèmes. Vous êtes en train d'être battus.
00:26:05Et la seule possibilité que vous ayez de vous en sortir, c'est que nous soyons avec vous pour vous aider à vous en sortir.
00:26:09Mais donc sous-entendu, accepter nos conditions. Voilà. C'est que nous, on va pas se laisser entraîner dans une Troisième Guerre mondiale
00:26:14pour vos beaux yeux. Il faut arriver à un accord de paix. Il faut arriver à un cessez-le-feu. Voilà ce que dit Trump.
00:26:20« Votre pays a des gros problèmes. Mais vous n'êtes pas en train de gagner. Vous n'êtes pas en train de vaincre.
00:26:26Mais il y a beaucoup de chances que vous puissiez vous en sortir grâce à nous ».
00:26:30Et c'est alors que l'on arrive peut-être au passage le plus tendu, en fait, de cette algarade, où là, on a vraiment l'impression
00:26:39qu'ils vont vraiment en venir aux mains. C'est que Zelensky, poursuivant sur sa folie, en fait, comme s'il n'avait pas face à lui
00:26:50le président des États-Unis d'Amérique, Zelensky monte au créneau, répond, réplique en disant...
00:26:57Réplique. Trump vient de lui dire donc qu'ils sont en train d'être battus. Ils sont en train d'être écrasés.
00:27:04Et donc la seule possibilité qu'ils ont, c'est qu'ils soient toujours protégés par les États-Unis, que les États-Unis
00:27:09continuent de leur envoyer des armes, mais à condition d'avoir un cessez-le-feu. Et Zelensky, au lieu de dire merci beaucoup,
00:27:15il dit non, non, pas du tout. Il commence à expliquer que depuis 8 ans, l'Ukraine a été toute seule.
00:27:23Nous avons été seuls depuis 8 ans, depuis même 10 ans, depuis 2014 jusqu'à 2024. Alors ça, c'est quand même un peu...
00:27:31C'est quand même tellement mensonger, tellement grotesque, tellement burlesque de dire qu'ils ont été seuls,
00:27:38alors qu'ils ont été soutenus par une coalition de plus d'une quarantaine d'États, les pays de l'UE, les États-Unis d'Amérique,
00:27:45le Canada, etc., etc., l'OTAN. Dire que les Ukrainiens ont été seuls, c'est vraiment se moquer du monde.
00:27:52Et à ce moment-là, vous allez voir... Évidemment, Trump ne peut pas ne pas réagir en disant « Comment ça, vous avez été seuls ?
00:27:57On vous a donné 350 milliards de dollars ». Il parle de Président Biden en disant « Ce Président stupide vous a donné
00:28:03350 milliards de dollars. On vous a donné des équipements militaires. Vous osez dire que vous avez été seuls ? ».
00:28:09Et alors là, c'est peut-être le sommet de l'insulte. C'est que Trump dit « Si on n'avait pas été là, le conflit aurait été réglé en 15 jours ».
00:28:19Et à ce moment-là, Zelensky réplique, murmure plus exactement... Et là, d'ailleurs, la traduction de LCI est un petit peu fautive,
00:28:29parce qu'il oublie un morceau très important – peut-être volontairement, je ne sais pas –. C'est que quand Trump dit
00:28:34« Vous auriez été balayés en 15 jours », Zelensky répond « Oui, oui, c'est ça. En fait, c'est ce que dit Poutine ».
00:28:40C'est-à-dire « On aurait été balayés en 3 jours ». Voilà. Donc la traduction que vous allez voir dit « Oui, en 3 jours ».
00:28:44Mais si vous tendez bien l'oreille, vous verrez qu'en anglais, il dit bien « Poutine ». Mais ça n'a pas été traduit en français
00:28:49dans la traduction française. Et donc ça veut dire que Zelensky se paye la tête, en fait, de Trump. Zelensky dit « Oui, oui, en fait,
00:28:57bon, c'est ça, c'est que vous êtes comme Poutine ». Sous-entendu, presque, vous êtes un agent de Poutine,
00:29:01puisque c'est le discours ambiant chez les mondialistes. C'est-à-dire « Oui, c'est ça, 3 jours, 15 jours, 3 jours », etc.
00:29:08C'est-à-dire qu'en fait, au lieu de reconnaître la réalité, c'est que si les États-Unis d'Amérique, l'OTAN et les pays de l'Europe,
00:29:16mais surtout d'abord et avant tout les États-Unis d'Amérique et l'OTAN n'avaient pas été là, c'était une promenade de santé
00:29:22pour l'armée russe en Ukraine. C'est quand même la réalité. Et donc Zelensky, en fait, se fout de la gueule de Trump, carrément.
00:29:31Regardez ce passage extraordinaire.
00:29:33Monsieur le Président, depuis le début, nous avons été seuls. Mais on vous a dit merci. On vous a donné, avec le président stupide,
00:29:45on vous a donné 350 milliards de dollars. On vous a donné des équipements et du matériel militaire. Vous vous êtes servi de notre équipement.
00:29:52Si vous n'aviez pas notre équipement militaire, si vous n'aviez pas notre équipement militaire, cette guerre aurait été finie en une quinzaine de jours.
00:30:01Oui, d'accord. En 3 jours. Voilà. En 2 semaines. OK. Bien sûr. C'est ça. Ça va être difficile. Ça va être difficile d'arriver à un accord comme ça.
00:30:10Bon. Là, le divorce est consommé. Quand Trump comprend que Zelensky se paie sa tête en le comparant à Poutine, Trump,
00:30:21qui est un homme intelligent, a parfaitement compris qu'il a affaire à quelqu'un de complètement buté, qui est un buteur, en fait.
00:30:27Il semble même... D'ailleurs, j'ai regardé un certain nombre d'articles de presse et de gens qui ont regardé minutieusement la vidéo
00:30:35et même qui ont lu sur les lèvres. Il semble même qu'à un moment, Zelensky traite de « bitch », c'est-à-dire de « salope » ou de « fils de pute ».
00:30:44Excusez-moi, mais c'est ça que ça veut dire. Son interlocuteur... On sait pas si c'est Trump ou Vance. Mais il le murmure entre les lèvres.
00:30:50En tout cas, ça a envahi tous les réseaux sociaux aux États-Unis. Vrai ou faux, en tout cas, ça montre que là,
00:30:56on est arrivé à un divorce complet entre les deux. Et Trump, pour quand même essayer de calmer le jeu, parce que là,
00:31:03ils en sont quasiment à se taper dessus, eh bien Trump clôture la discussion d'une seule phrase en disant « Bon, écoutez, très bien,
00:31:12ça va être difficile de parvenir à un accord comme ça ». Alors à ce moment-là, il y a Vance qui intervient en disant
00:31:19« Non mais ça peut pas continuer comme ça. Vous devez respecter le président des États-Unis », dit Vance à Zelensky.
00:31:28Et à ce moment-là, il y a Trump qui l'interrompt et qui dit « Non, non, non, non, non, c'est très bien ». Et il dit...
00:31:33Et vous allez écouter ce passage qui est assez extraordinaire aussi, où Trump dit « Non, moi, je trouve que c'est très bien qu'on ait
00:31:39finalement ce déballage devant la population américaine, parce qu'il est très important que les gens, la population américaine,
00:31:45voient ce qui se passe, comprennent ce qui se passe ». Et il dit que les gens... En gros, que les gens se fassent leur opinion et disent
00:31:52« Moi, ce que je veux, c'est la paix, c'est le cessez-le-feu ». Écoutez ce passage qui montre en fait un très grand souci de la part de Trump,
00:32:00de transparence. C'est l'exercice quasiment le plus démocratique qu'on ait jamais vu depuis des décennies. On n'a jamais vu ça,
00:32:07un président des États-Unis qui se bat pied à pied pour imposer la paix avec un partenaire récalcitrant et qui lui explique...
00:32:15Et c'est du bon sens. On veut bien vous aider. On veut bien vous envoyer encore de l'argent et des munitions. Mais il faut maintenant
00:32:22que ça se termine, parce que vous n'avez plus d'hommes, vous n'avez plus d'armée, etc. Donc il faut maintenant que ça se termine.
00:32:30Et sinon, nous, on s'en va. Et ça va se terminer. Vous allez être bouffés comme une bouchée de pain, en fait, par les Russes.
00:32:35Donc voilà. C'est ça que dit Trump. Et il souhaite que ce soit les Américains qui puissent en juger. Regardez ce passage.
00:32:41« Moi, je crois que c'est bon que la population américaine voie ce qui se passe. C'est important. C'est pour ça que je continue cette discussion
00:32:47et ces échanges. Vous devez être reconnaissant. Les gens sont en train de mourir. Vous n'avez plus de soldats.
00:32:56Vous commencez à ne plus avoir de soldats. Ce serait une bonne chose. Et ensuite, vous nous dites « Ah non, moi, je ne veux pas cesser le feu,
00:33:03je ne veux pas cesser le feu. Moi, je veux ci, moi, je veux ça ». Non, écoutez. Si vous arrivez à un cessez-le-feu, maintenant, prenez-le.
00:33:11Comme ça, il n'y aura plus de balles qui voleront et vos hommes ne seront plus tués. Vous ne voulez pas de cessez-le-feu ?
00:33:17C'est ça que vous dites ? « Moi, je veux un cessez-le-feu ». Vous allez avoir un cessez-le-feu plus rapidement avec cet accord.
00:33:22Alors suite à quoi Zelensky, encore une fois, revient au débat en disant « Mais non, on ne peut pas faire confiance à Poutine.
00:33:29On ne peut pas faire de cessez-le-feu. Vous voulez un cessez-le-feu, mais on ne peut pas faire confiance.
00:33:32Il n'y aura jamais de cessez-le-feu », etc., etc. Et là, Trump se fâche en disant que peut-être que... Oui, peut-être que
00:33:38Poutine a bombardé ci et ça. Peut-être qu'il ne respectait pas la parole d'Obama, de Biden et compagnie. Mais Trump dit « Moi,
00:33:45Poutine me respecte ». Et d'ailleurs, il dit... Ce qu'il faut comprendre aussi, c'est qu'on a accablé Poutine d'un certain nombre
00:33:52d'accusations, de fausses accusations, des chasses aux sorcières. Et il nomme notamment Biden et Hillary Clinton en disant
00:33:59qu'ils avaient accablé Poutine de toute une série de faussetés sur le fils Hunter Biden, sur ci ou sur ça, comme si c'était
00:34:06derrière ça, derrière l'affaire de l'ordinateur portable, laptop. Il y avait eu des campagnes entières aux États-Unis qui disaient
00:34:13que tout ça, c'était de la faute de Poutine, ce qui était en fait totalement faux. Et il dit... Poutine a traversé tout ça.
00:34:19Il a été constamment accusé de quantité de mots en fait par les démocrates, par Biden et par Hillary Clinton. Donc ça va comme ça.
00:34:27Donc moi, dit-il, je vais m'imposer à Poutine, parce que moi, il me respectera sous-entendu, parce que moi, je ne l'accuse pas
00:34:33de tous les péchés du monde. Je ne l'accuse pas de fausses accusations. Et regardez ce passage.
00:34:40Moi, je ne le sais pas. Ils n'ont pas respecté le cessez-le-feu avec Biden. Ils ne respectaient pas Biden. Ils ne respectaient pas Obama.
00:34:46Moi, ils me respectent. Laissez-moi vous dire. Biden a lancé une fausse chasse aux sorcières. Hillary Clinton aussi.
00:34:55C'était une arnaque démocratique. Et il a traversé cela, Poutine. On l'a accusé de plein de choses. Il avait une chasse aux sorcières,
00:35:04mais il n'avait rien à faire là-dedans. Il s'est sorti de la salle de bain de Biden, de la chambre à coucher de Hunter Biden.
00:35:14Et ensuite, on a dit, ah, voilà, il y a ce laptop d'enfer qui a été fait par la Russie. C'était une arnaque. Et il a supporté ça.
00:35:24On l'a accusé de tout cela, de toutes ces choses. Moi, tout ce que je puis dire, c'est cela.
00:35:28Peut-être qu'il n'a pas respecté des accords avec Obama, avec Bush et peut-être avec Biden. Peut-être qu'il l'a fait. Il l'a fait.
00:35:35Je ne sais pas. Moi, je ne sais pas ce qui est arrivé. Mais avec moi, il n'a pas brisé des accords. Il veut qu'on arrive à un accord.
00:35:40Je ne sais pas si on va pouvoir le faire. Voilà. Et puis on arrive à la fin de cette altercation. Donc Trump considère que bon,
00:35:47maintenant, c'est bon, il faut conclure. Et il lui dit en gros... Vous allez voir, c'est le dernier passage essentiel de cette discussion.
00:35:57Trump explique « Écoutez, de toute façon, c'est à prendre ou à laisser ». En gros, c'est que soit vous faites un accord,
00:36:06vous passez un accord, vous faites un cessez-le-feu avec la Russie, et on est là pour vous soutenir et pour vous défendre
00:36:12et pour finalement, sous-entendu, avoir les meilleures conditions pour vous dans un accord où évidemment,
00:36:18on consacrera une partie de la victoire à la Russie, parce qu'on ne peut pas faire autrement. Je rappelle que la Russie
00:36:24occupe 18% du territoire ukrainien. Donc c'est ce que dit Trump. Et c'est d'ailleurs le simple bon sens.
00:36:29Dans toutes les chancelleries du monde entier, tout le monde sait parfaitement que jamais la Russie n'acceptera de rendre
00:36:37la Crimée et puis le Donbass. Jamais. Et ça, on le sait depuis le début. Ces républiques ont été annexées à la Fédération de Russie.
00:36:47Alors évidemment, certains peuvent dire « Mais alors c'est scandaleux. À ce moment-là, il faut continuer la guerre ».
00:36:51C'est ce que disait Darius Rochemin, qui a dit « C'est formidable. On peut être optimiste. La guerre va continuer ».
00:36:57Sauf que la guerre, ça veut dire la Troisième Guerre mondiale. C'est ça que ça veut dire. Et ça veut dire que
00:37:02comme les Ukrainiens n'ont plus de soldats, ça veut dire que la chair à canon, c'est nous. C'est nous. C'est nous, les Européens.
00:37:09Et Trump, lui, veut faire en sorte que ça ne soit pas les Américains, justement. Il dit « Nous, on essaie de régler le jeu.
00:37:14Maintenant, si vous ne voulez pas », c'est ce qu'il dit donc à Zelensky, « eh bien nous, on se retirera pas d'accord ». Voilà.
00:37:20Et il dit « ça sera pas beau à voir ». Et c'est sous-entendu. Vous pouvez toujours compter sur les pays d'Europe.
00:37:25Vous verrez. En fait, c'est zéro. Et Trump continue et achève son truc en disant « C'est pas gentil, ce que vous faites,
00:37:32parce que nous, on essaie de vous aider dans une situation extrêmement difficile. En fait, vous êtes battus.
00:37:38Nous, alors même que vous êtes allés soutenir Mme Hillary Clinton, je suis président des États-Unis,
00:37:45malgré ça, j'essaie de sauver encore la mise de ce qui peut être sauvé en Ukraine en arrêtant le désastre, en arrêtant le massacre.
00:37:52Maintenant, si vous n'en voulez pas, eh bien nous, on se retire. Et puis on verra. Et ça sera pas beau à voir ».
00:37:57Et il dit « En fait, vous êtes un ingrat ». Voilà. « En fait, c'est pas gentil du tout. On essaie de faire ce qu'on peut
00:38:02pour vous sauver. Et en fait », sous-entendu, « vous nous crachez au visage. Ça n'est pas aimable. Ça n'est pas gentil ».
00:38:07Regardez la fin de cette altercation.
00:38:10« Le problème actuellement, c'est que moi, voilà, je vous ai donné la possibilité de faire le dur. Et sans les États-Unis, vous ne seriez pas à dur.
00:38:18Vos gens sont très courageux. Mais soit il faut qu'on arrive à un accord, ou nous, on se retire. Et si nous, on se retire, vous allez voir ce qui va se passer.
00:38:25Et ça, je crois pas que ça va être joli pour vous. Mais voilà, vous pouvez continuer à combattre. Mais vous n'avez pas les cartes en main.
00:38:31Mais une fois qu'on aura signé cet accord, vous serez dans une bien meilleure position. Mais vous n'agissez pas en tant que personne reconnaissante.
00:38:37Et ça, ce n'est pas gentil. Ce n'est pas gentil du tout. Voilà. Et je crois qu'on en a assez entendu, assez vu. Qu'est-ce que vous en pensez ? »
00:38:44Voilà. Alors une fois qu'on a réexaminé très attentivement, comme je viens de le faire avec vous, l'ensemble de ces échanges,
00:38:55il faut savoir donc que ça s'est très mal terminé, c'est-à-dire que Trump, Vance et Rubio sont sortis. Ils se sont concertés ensuite.
00:39:05Et ils ont fait savoir qu'il n'y aurait pas de suite à ça. Ils ont prié Zelensky de quitter les lieux. Les Ukrainiens
00:39:12voulaient – paraît-il – rester encore. Et donc Trump a dit que ça n'était plus d'actualité, ce qui est vraiment très très grave
00:39:19pour l'Ukraine, parce que ça veut dire que l'accord sur les minerais qui devait être signé, eh bien ne le sera pas...
00:39:25Non, en tout cas, il ne l'a pas été cette fois-ci, et que Zelensky a été obligé de partir la queue entre les jambes,
00:39:31si j'ose dire, pour remonter dans sa voiture et repartir pour l'Ukraine. Voilà. Tout en disant qu'il remerciait les États-Unis d'Amérique
00:39:38de l'avoir invité, parce qu'il s'est rendu compte qu'il allait quand même beaucoup trop loin. Alors face à ça, normalement,
00:39:45la première chose qu'il faut faire, c'est de ne pas réagir sur le coup. En tout cas, moi, c'est ce que j'ai fait.
00:39:53Je me suis dit avant toute chose... Il y a deux choses fondamentales. On ne réagit pas tout de suite.
00:39:59Et deuxièmement, on essaie de voir ce qui s'est passé très exactement. Il faut en revenir au verbatim.
00:40:05Il faut examiner ça à la loupe. Il y a aussi quelque chose d'extrêmement important. C'est que l'extrait qui nous a été donné
00:40:12faisait suite à toute une conversation préalable. Je l'ai dit en préambule. Et donc il est très important de connaître l'histoire auparavant.
00:40:21C'est d'ailleurs ici un des problèmes principaux du monde contemporain, et en particulier en France. C'est qu'on fait comme
00:40:28s'il n'y avait jamais d'événements antérieurs à ce qu'on vous met sous le nez. Je rappelle par exemple qu'on nous explique toujours
00:40:36que la Russie a envahi l'Ukraine le 24 février 2022, comme si c'était – comme ça – un pays qui n'avait rien demandé,
00:40:46alors que je l'ai dit, et tout le monde le sait, l'Ukraine... Au contraire, le gouvernement de Kiev n'avait pas cessé
00:40:51d'agresser les populations russophones du Donbass depuis 8 ans. Donc les gens qui continuent à dire le narratif...
00:40:59C'est le narratif de Macron. C'est le narratif de toute la scène politique française, quasiment. C'est le narratif des européistes.
00:41:05C'est le narratif des mondialistes. C'est le narratif de Jacques Attali. C'est le narratif de Glucksmann. C'est le narratif des uns et des autres,
00:41:11qui consistent à dire en réalité la Russie est l'agresseur. Non, la Russie n'est pas l'agresseur. La Russie, effectivement,
00:41:18a envahi l'Ukraine le 24 février 2022. Mais c'était en vertu de l'article 51 de la Charte des Nations unies
00:41:25pour venir protéger les populations qui étaient depuis 8 ans les martyrs du régime de Kiev. Bon.
00:41:31Encore une fois, l'histoire n'a pas commencé le 24 février 2022. De la même façon, d'ailleurs, qu'au sujet de la guerre en Palestine
00:41:38et à Gaza, de l'écrasement de Gaza, il y a toute une partie de la classe politique française qui a fait comme si
00:41:46les attaques terroristes du Hamas le 7 octobre 2023 étaient sorties comme ça d'un chapeau, alors que tout allait bien auparavant.
00:41:53Non, ça n'est pas excuser les attaques terroristes du Hamas que de rappeler qu'elles ne sont quand même pas venues comme ça
00:42:00dans un ciel serein. C'est qu'il y a des années et des années auparavant, et notamment de refus d'Israël d'appliquer
00:42:07les résolutions du Conseil de sécurité. On ne peut pas juger d'un sujet si on n'a pas le contexte et l'origine.
00:42:15Et si on ne revient pas notamment au verbatim. Et je me permets ici une petite annotation historique.
00:42:21C'est qu'on touche du doigt ici tout ce qui a fait l'éclatement des plus grands désastres nationaux.
00:42:29Pourquoi la France s'est-elle lancée en 1870 dans la guerre contre la Prusse à l'issue d'une méprise sur la dépêche d'Ems ?
00:42:41C'est-à-dire... Je l'ai déjà expliqué, je crois. C'est-à-dire que cette guerre de 1870 a commencé en fait sur une espèce
00:42:47d'imbroglio diplomatique de Quiproquo, sur lequel Bismarck avait jeté de l'huile sur le feu. En gros, c'était au sujet
00:42:54du prince Loyopol de Hohenzollern, de sa succession qui renonçait à succéder au trône d'Espagne.
00:43:00La France craignait un encerclement diplomatique. Et donc l'ambassadeur de France, c'est-à-dire l'ambassadeur de Napoléon III
00:43:06auprès du royaume de Prusse, qui s'appelait le comte de Benedetti, était allé se rendre en juillet 1870 à Bad Ems,
00:43:15où il y avait justement le roi de Prusse qui prenait les eaux, comme on disait à l'époque. Et le comte de Benedetti
00:43:20essaye de rencontrer le roi de Prusse. Il le rencontre une première fois. Ça se passe pas mal. Et puis une deuxième fois.
00:43:25Et c'est à ce moment-là qu'il y a un imbroglio, parce que Bismarck, qui était le chancelier, le roi de Prusse,
00:43:32Guillaume II, n'était pas très très malin. En revanche, Bismarck était très intelligent. Et Bismarck sentait qu'il allait être
00:43:39court-circuité par les Français, par le comte de Benedetti. Donc il balance une dépêche... Alors j'entre pas dans les détails.
00:43:45Mais ça a enflammé la scène politique française à l'époque, en fait sur une méprise. Et on a cru que le comte de Benedetti
00:43:54avait reçu un véritable camouflet diplomatique, ce qui n'était absolument pas le cas. Et tout le monde s'est enflammé.
00:43:59Toute la scène politique française a dit « Il faut aller faire la guerre, il faut aller faire la guerre ». Et c'est comme ça
00:44:04que Napoléon III a déclenché la guerre contre le royaume de Prusse, alors que tout le monde savait qu'on était
00:44:09tout à fait sous-équipés par rapport au royaume de Prusse, et qu'on a été laminés en quelques semaines.
00:44:15Et ça a été l'effondrement, le Second Empire. Voilà. De la même façon que tout le monde s'est enflammé avec l'assassinat
00:44:22de l'archiduc François Ferdinand et son épouse à Sarajevo à l'été 1914. Et au lieu de calmer le jeu, de faire preuve de sang-froid,
00:44:32eh bien on a eu une espèce d'embrasement de la scène politique française, anglaise, etc., qui nous a menés au déclenchement
00:44:41de la Première Guerre mondiale. C'est dire... C'est dire à quel point, lorsque Trump parle de troisième guerre mondiale,
00:44:50de risque de troisième guerre mondiale, c'est dire à quel point il faut être sur ces sujets d'une extraordinaire prudence,
00:44:56d'une extraordinaire vigilance. C'est ça, l'intérêt d'avoir un chef d'État en France qui connaisse l'histoire,
00:45:06qui ait de la bouteille, qui ait de l'expérience et qui garde son sang-froid. Or, on a assisté à quoi ?
00:45:14On a assisté malheureusement à un embrasement de la scène politique française, exactement digne de l'embrasement
00:45:22qu'il y a eu le 13 juillet 1870 après l'affaire de la dépêche d'Ems. Et on a tous les responsables politiques français,
00:45:29ou presque, qui ont pris fait et cause pour Zelensky et en demandant quasiment sur l'air des lampions
00:45:37d'aller faire la guerre à la Russie au nom de l'Ukraine. Entrons un petit peu dans ces déclarations inouïes,
00:45:45d'autant plus inouïes qu'ils ont fait ça sans être allés regarder le détail comme je viens de le faire avec vous.
00:45:52Regardez ce qu'ils ont dit les uns après les autres. Donc réaction d'Édouard Philippe, ancien Premier ministre, sur son compte Twitter
00:45:58au sujet de l'altercation entre Biden et Zelensky. « L'Ukraine n'a pas été battue. Elle est trahie.
00:46:06Et l'exécutif américain est en train d'humilier tout un peuple ». C'est incroyable ! Ça, c'est Édouard Philippe qu'on nous présente
00:46:15comme étant le futur président de la République. Il n'est même pas allé faire... Le souci minimum, c'est de faire le travail que j'ai fait,
00:46:22c'est de voir exactement qui a dit quoi et qui cherchait quoi. Au contraire, vous avez vu que Trump ou Vance sont là pour protéger
00:46:30le peuple ukrainien, pour dire « Il y en a assez, qu'il y a des centaines de millions d'Ukrainiens qui meurent à cause de l'absence
00:46:36de cessez-le-feu ». Et donc Édouard Philippe a poursuivi « La France et l'Europe doivent être aux côtés de l'Ukraine.
00:46:43C'est notre avenir qui est en jeu ». C'est toujours la même histoire. C'est le baratin. C'est que si on ne sauve pas l'Ukraine maintenant,
00:46:50après, ça sera la Pologne, la Roumanie, la Slovaquie, la Tchéquie, l'Allemagne, et puis la France, c'est-à-dire Poutine,
00:46:58le nouvel Hitler. C'est le narratif des mondialistes. À part Édouard Philippe, l'ancien président de la République,
00:47:05François Hollande, il a qualifié l'altercation à la Maison-Blanche de scène obscène de téléréalité.
00:47:15Pourquoi scène obscène de téléréalité ? Obscène, pourquoi obscène ? C'est moins obscène que de le voir, lui, sur son scooter
00:47:22pour aller voir sa maîtresse. En fait, ce que Hollande n'a pas supporté, c'est la vérité. J'ai dit tout à l'heure que Trump se félicitait
00:47:33que cette altercation ait eu lieu devant les caméras pour que la population américaine – il l'a dit – puisse faire sa propre opinion.
00:47:41C'est pas une scène obscène de téléréalité. C'est en fait un exercice fantastique de transparence démocratique, pour que chacun sache
00:47:50qui est qui et qui veut quoi. Parce qu'évidemment, avec M. Hollande, il faudrait pas que ça se sache. Ça permettrait de poursuivre
00:47:59le narratif qui ferait de Zelensky un être tout fragile, représentant de la démocratie, injustement attaqué par le méchant Poutine
00:48:08qui est Adolf Hitler, et avec le comparse d'Adolf Hitler qui serait Trump. C'est ça, le narratif des mondialistes.
00:48:14Mais vous voyez bien que c'est le contraire exact de la vérité. Ce sont les Russes qui ont été agressés pendant 8 ans dans le Donbass.
00:48:21Lorsque les Russes ont intervenu, ça n'était pas pour conquérir l'Ukraine. C'est simplement pour protéger les populations du Donbass.
00:48:27Jamais d'ailleurs, les Russes ne demandent à acquérir l'Ukraine, et encore moins à se propager vers l'ouest. Je l'ai déjà dit 50 fois.
00:48:35Le problème de Poutine, c'est qu'il a 17 millions de km² pour 150 millions d'habitants. C'est-à-dire qu'il a 33 fois
00:48:43la superficie de la France pour une population qui est 2,5 fois celle de la France. Donc ce qu'a fait Trump, c'est un exercice de transparence,
00:48:52et où on voit là-dedans que... Excusez-moi de le dire, mais le salopard, c'est Zelensky. Lorsque Trump lui dit qu'il y a
00:48:58des centaines de milliers de morts en Ukraine, Zelensky s'en fout, en fait. C'est quand même Zelensky le premier
00:49:04qui devrait vouloir le cesser le feu. Et Hollande poursuit en disant que la France et l'Europe doivent décider au plus vite
00:49:15un nouveau plan d'aide pour l'Ukraine. Alors je signale quand même que nous avons donné déjà des dizaines de milliards de dollars à l'Ukraine.
00:49:25Et je signale quand même à M. Hollande que la France est ruinée. Nous avons plus de 3 400 milliards d'euros,
00:49:33c'est-à-dire qui vont peut-être de 3 600 milliards de dollars de dettes publiques. Et je signale d'ailleurs à M. Hollande
00:49:42qu'aujourd'hui même, l'agence de notation Standard & Poor's vient de dégrader la note de la France, pas de la note exactement,
00:49:50qui reste à A à moins, mais de l'affubler d'un signal négatif, perspective négative. Ça veut dire qu'au prochain coup,
00:49:57la France va passer de A à moins peut-être à A moins. C'est-à-dire que de plus en plus, il va être difficile pour la France
00:50:05de trouver des financements alors qu'elle est ruinée. Et M. Hollande veut qu'on accorde encore plus d'aide à Zelensky.
00:50:13Mais est-ce que les Français se rendent compte ? Et ça n'est pas tout, puisque par ailleurs, François Hollande dit
00:50:19que si Donald Trump, dans le bureau Oval, parlait, c'est Vladimir Poutine qui était son souffleur.
00:50:27C'est-à-dire que Hollande reprend à son compte cette désinformation, ce complotisme, ce conspirationniste abject des mondialistes
00:50:37qui consiste à dire que Trump, s'il parle comme ça, c'est forcément que c'est un agent de Poutine.
00:50:43Mais ça veut dire au passage... Si on suit cette propagande, ça veut dire que Vance... Et vous l'avez vu parler.
00:50:49Ça veut dire que c'est aussi un agent de Poutine. Et puis Rubio, le secrétaire d'État qui était à côté de Vance,
00:50:55c'est aussi un agent de Poutine. Et puis Kennedy Jr., qui est au gouvernement américain comme ministre,
00:51:01c'est aussi un agent de Poutine. Et puis sans doute également que Kash Patel, qui est à la tête du FBI,
00:51:06c'est aussi un agent de Poutine. Donc en fait, Poutine, il a des agents partout, en fait.
00:51:11Est-ce que vous voyez la maladie mentale de ces gens ? Ou plus exactement le fait que ces mondialistes,
00:51:18ceux qui m'ont reproché à moi comme à des centaines d'autres d'être des conspirationnistes, des complotistes...
00:51:24En fait, c'est eux qui, en fait, passent leur temps à pouvoir dénoncer des complots qui n'existent pas.
00:51:33En tout cas, François Hollande, qui a été chassé par les Français comme un malpropre... Je rappelle qu'il avait
00:51:39une popularité qui était inférieure à 10% quand il a quitté le pouvoir. François Hollande, qui est de notoriété publique
00:51:44un imbécile complet. François Hollande ramène encore sa fraise, un peu comme Zelensky, comme s'il comptait.
00:51:51Mais il n'y a pas qu'Édouard Philippe et François Hollande qui sont intervenus. Il y en a d'autres.
00:51:56Raphaël Glucksmann. Vous connaissez Raphaël Glucksmann. On en a suffisamment parlé. C'est un agent...
00:52:03J'ose plus dire un agent américain, parce que maintenant, on sait plus ce que ça veut dire, « américain ».
00:52:06« Américain », il y a le mieux et il y a le pire. Le meilleur, c'est justement la nouvelle équipe gouvernementale
00:52:12qui veut arrêter cet impérialisme, arrêter le fait que les États-Unis soient en permanence des fauteurs de guerre,
00:52:19et qui veut aboutir au plus vite... C'est le feu en Europe. On devrait soutenir Poutine, mais pas du tout.
00:52:25On a aussi le mot « américain ». Ça recouvre aussi ceux qui sont dans la main de l'État profond américain,
00:52:30c'est-à-dire de USAID, la CIA, la National Endowment for Democracy, le Conseil atlantique comme Benjamin Haddad, etc.
00:52:38Tout le monde sait que Raphaël Glucksmann... Enfin tout le monde sait, tous les gens qui en tout cas me suivent
00:52:42et suivent quand même d'autres analystes. Mais tout le monde sait que Raphaël Glucksmann a été un proche
00:52:49de l'ancien président de la République de Géorgie, et que c'est un agent très proche des intérêts américains.
00:52:58Raphaël Glucksmann, qui épouse dans tous les domaines le narratif guerrier de Mme Victoria Nuland, de la CIA, de la NED, etc.,
00:53:10eh bien Raphaël Glucksmann est intervenu là aussi pour hurler au scandale. Il a dit ceci.
00:53:16« Les Américains devraient avoir honte ce soir ». Et il a appelé les Européens à assumer seuls notre sécurité
00:53:22et l'aide à la résistance ukrainienne.
00:53:29Et puis les autres. Qui est-ce qui est intervenu également ? Le jeune Gabriel Attal. Gabriel Attal qui a dit
00:53:35« Ce soir, les États-Unis ont perdu le droit de se revendiquer comme les leaders du monde libre. Ce soir, ce rôle
00:53:42nous revient à nous, Européens ». Est-ce que vous vous rendez compte ? Il estime que les États-Unis ont perdu le droit
00:53:50d'être les leaders du monde libre tout simplement parce que Trump veut empêcher la Troisième Guerre mondiale
00:53:57et veut avoir un accord de paix tout en disant à Zelensky qu'il voulait bien le soutenir mais qu'il fallait
00:54:03maintenant arriver à la paix. Mais c'est absolument incroyable. M. Zelensky va-t-il pouvoir compter sur M. Attal,
00:54:12M. Glucksmann, M. Édouard Philippe ou M. François Hollande pour venir se battre, pour mettre un treillis
00:54:18et venir se battre sur les terres ukrainiennes contre les Russes ? Il va faire quoi, Gabriel Attal, qui est arrivé
00:54:25d'ailleurs récemment à Kiev avec sa valise à roulettes, là, et puis il était habillé comme s'il arrivait à Courchevel ?
00:54:31Et puis c'est pas tout. Il y a également Olivier Faure du PS. Trump annonce avec toute la vulgarité et la violence dont il est capable
00:54:39un renversement d'alliances et de valeurs. Et le peuple français et l'UE devraient faire bloc avec le peuple ukrainien.
00:54:47C'est honteux. C'est honteux de dire ça. Le PS, Trump annonce un renversement d'alliances et de valeurs, alors que Trump,
00:54:56au contraire, dit qu'il veut bien continuer à envoyer de l'argent et des armes à l'Ukraine, mais à condition que
00:55:02maintenant, on parle de façon correcte avec Poutine et qu'on aboutisse à un cessez-le-feu.
00:55:09Donc M. Faure, le PS, veut la guerre, en fait. Il veut continuer à insulter Poutine et veut la guerre avec la Russie.
00:55:16Mais c'est le parti de la guerre. C'est pas tout. Marine Tondelier, la patronne des écologistes, a jugé que Donald Trump
00:55:26et son vice-président s'étaient comportés avec Zelensky comme des brutes à la solde de Poutine.
00:55:33L'Europe doit se réveiller. Elle est seule. Voilà que les écologistes, donc, militent maintenant pour la guerre.
00:55:40Ils militent si l'Europe est seule. Ça veut dire qu'elle doit se réarmer. C'est-à-dire que les écologistes doivent soutenir
00:55:45les projets de M. Mertz, le futur nouveau chancelier allemand, un ancien de BlackRock, d'ailleurs, soit dit en passant,
00:55:51qui veut monter à 5% le budget de l'armée allemande pour faire la guerre à la Russie.
00:55:59C'est-à-dire que Mme Marine Tondelier, la patronne des écolos qui part en guerre contre les voitures des pauvres gens
00:56:06ou des classes modestes en France, voilà, elle est pour les ZFE. Elle est pour l'apartheid social dans les grandes villes.
00:56:12Seuls les riches, ceux qui ont des belles voitures vont pouvoir circuler dans les grandes villes. Ça, c'est les écolos.
00:56:18Les écolos qui veulent également... Qui veulent emmerder les Français, parce qu'on a des passoires thermiques.
00:56:23Donc il faut... Ils préfèrent avoir des milliers de SDF dans les rues plutôt que d'autoriser des loueurs à louer
00:56:30des logements un petit peu vétustes mais qui sont des passoires thermiques, au motif qu'il faut protéger la planète.
00:56:36Mais Mme Tondelier, qui veut protéger la planète ainsi... Alors ça ne la dérange pas de faire la guerre avec la Russie
00:56:42et d'aller directement vers une Troisième Guerre mondiale, peut-être avec des débordements de guerres nucléaires. C'est ça ?
00:56:48C'est une sacrée écologiste. Laurent Wauquiez, le patron des Républicains, qui a estimé qu'il était urgent
00:56:57que l'Europe se réveille. Isabelle au bois dormant. Alors ça, l'urgent que l'Europe se réveille, ça veut tout dire et rien dire.
00:57:04C'est bien un truc à la Wauquiez, au Républicain, un chèvre-chou, parce qu'ils savent que dans leur électorat,
00:57:09il y en a quand même qui trouvent quand même que les dizaines de milliards de dollars ou d'euros que l'on a versés
00:57:17à l'Ukraine et les détournements de fonds, ça commence à faire beaucoup. Donc Wauquiez, il est là. Il dit une chose et son contraire.
00:57:24C'est vraiment l'anguille absolue. Enfin c'est vraiment quelqu'un sur lequel on peut absolument pas compter.
00:57:29Il y a même Mélenchon, qui lui... Alors c'est fondu d'un communiqué assez extraordinaire, puisque lui, il a dit que
00:57:35en humiliant Zelensky, Trump prouve qu'il n'a rien à faire du soi-disant accord avec Macron.
00:57:44Les atlantistes européens sont les coupables d'une capitulation sans condition et sans issue.
00:57:53Alors là, c'est assez extraordinaire, parce qu'en fait, il soutient Zelensky, aussi. Mélenchon, la France insoumise.
00:58:00Voilà. Au lieu de dire ce que je dis, M. Mélenchon comme d'ailleurs les autres n'ont pas fait ce travail absolument salutaire
00:58:07de salubrité publique que je viens de faire avec vous. Non, non, Mélenchon, il part en guerre. Et lui, la seule chose qu'il a trouvée,
00:58:12c'est de taper sur Macron en disant « Ben voilà, en fait, Trump, il a humilié Zelensky. Ça prouve que Macron n'a servi à rien du tout,
00:58:18et puis que les atlantistes européistes ne mènent à rien ». Mais c'est pas ce que je dis. Ça n'a rien à voir.
00:58:25C'est-à-dire que sur le fond, Mélenchon reprend à son compte le narratif en faveur de Zelensky, qui aurait été humilié.
00:58:35Voilà. Voilà les réactions que j'ai pu trouver. Je n'ai pas trouvé de réaction ni du RN, ni de chez Zemmour,
00:58:43ni de Mme Marion Maréchal. Je trouve ça un peu surprenant, parce que c'est une affaire tellement importante
00:58:49que tout le monde doit réagir. Donc je suppose qu'ils doivent vouloir ménager la chèvre et le chou, parce qu'ils doivent se dire
00:58:56qu'il y a un certain nombre de leurs électeurs qui sont quand même pour Trump. Mais d'un autre côté, tout ce petit monde, en fait,
00:59:01Mardela, Mme Le Pen, Mme Maréchal, Mme Knafo, M. Zemmour, etc., ils ont tous très très peur des gros yeux que pourraient faire
00:59:11Apolline de Malherbe ou Patrick Cohen ou bien Jacques Attali. Donc ils sont là... Il faut surtout pas...
00:59:17Comment est-ce que vous pouvez avoir confiance dans des gens comme ça ? Voilà. J'ai terminé ici cette analyse.
00:59:24Vraiment, je crois qu'elle est extrêmement importante, et qu'elle est aussi importante à la fois pour l'opinion que nous devons nous faire
00:59:31de la situation en Europe, de la situation géopolitique, de la situation de la guerre avec la Russie.
00:59:37Mais elle est également très importante pour l'opinion que nous devons nous faire de Trump, Vance, l'équipe qui dirige
00:59:43les États-Unis d'Amérique, pour l'opinion que nous devons nous faire de Zelensky, et pour l'opinion des Russes là-dedans
00:59:49qui regardent ça. Ils doivent être un peu ébaubis de voir tout ce qui s'y passe. Il y a quand même eu une réaction
00:59:56intéressante du Kremlin, de Mme Maria Zakharova, qui est la porte-parole, qui a dit que finalement, c'est un son de cloche
01:00:04qui est très différent évidemment du reste. Le Kremlin donc a soutenu Trump et Vance en disant que finalement,
01:00:10ils avaient fait preuve de beaucoup de retenue par rapport au mensonge de Zelensky, que d'ailleurs Mme Zakharova
01:00:19n'a pas hésité à traiter d'ordure. Voilà. Et puis il y a d'autres réactions de dirigeants russes. Certains ont dit qu'en fait,
01:00:25c'était quand même un tour de force que Trump n'ait pas réagi plus violemment, parce que ce que méritait en fait Zelensky,
01:00:32c'est un coup de poing dans la gueule, quoi. Enfin en gros, c'est ça. Voilà la situation. Mais ce qui est important aussi
01:00:39dans cette vidéo, que vous devez méditer, c'est ce que ça vous indique sur la scène politique française. Voilà.
01:00:48Les Français, pour la prochaine élection présidentielle, il faudra jamais qu'ils oublient ce qui vient de se passer.
01:00:55Parce que pour choisir un président de la République, il faut avoir quelqu'un qui est de la bouteille. Je l'ai déjà dit.
01:01:01De l'expérience, du sang-froid. Et qui soit totalement indifférent aux pressions médiatiques, qui ne cherchent qu'une chose,
01:01:11le bien-être de la France, le bien-être des Français. Et actuellement, je me fais le porte-parole de millions de Français
01:01:19qui ne veulent pas d'une Troisième Guerre mondiale, qui ne veulent pas qu'on continue à envoyer des dizaines de milliards
01:01:25de dollars ou d'euros à un régime ultra-corrompu comme en Ukraine, alors que nous sommes en faillite et alors que nous avons
01:01:32des urgences nationales qui sont effrayantes dans tous les domaines, que ce soit la situation de l'hôpital,
01:01:38la situation de l'ensemble des services publics, la situation de la sécurité, la situation de nos départements
01:01:45et territoires d'outre-mer, que ce soit le niveau de vie des Français de façon plus générale.
01:01:51On a quand même d'autres choses à faire que d'aller dépenser des milliards de dollars pour soutenir Zelensky,
01:01:56dont on a vu tout à l'heure qu'en fait, le méchant dans l'affaire, c'est lui. C'est pas Trump ni Vance.
01:02:04Il faudra vous en souvenir pour la prochaine élection présidentielle. Donc ne votez pas pour l'un de ces responsables politiques
01:02:13dont je vous ai aigrené le nom, qui, au lieu d'examiner la situation avec sang-froid, détermination et d'abord en revenant
01:02:21à la réalité des faits, avec le souci toujours de préserver la paix mondiale et le bien-être des Français,
01:02:26tous ces gens, en fait, qui se sont répandus tout de suite sans savoir de quoi ils parlaient, avec des cris aéris de nuque
01:02:35sur le thème « Il faut faire ci, il faut faire ça », « L'Europe doit faire ci », « L'Europe doit se réveiller »,
01:02:40« L'Europe doit faire ci, doit faire ça ». En fait, ces gens sont les héritiers de ceux qui nous ont menés au désastre
01:02:46de la guerre de 1870 et de ceux qui nous ont menés au désastre de la guerre de 1914. Voilà.
01:02:54Merci de m'avoir écouté. Et faites circuler au plus possible cette vidéo qui est – je trouve – de salubrité publique.
01:03:02Vive l'Union populaire républicaine. Vive la vérité. Vive la paix. Et vive la France.
01:03:16Sous-titrage Société Radio-Canada

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