Cyril Hanouna est revenu hier soir sur l'enquête de "Bonjour" la matinale de TF1, sur son éventuelle candidature à la Présidence de la République. Sans jamais confirmer, ni infirmer cette éventuelle candidature, Cyril Hanouna a expliqué que si rien n'était fait dans les prochaines années "les USA, la Chine et la Russie allaient se partager le monde."
Il a également fustigé la journaliste Alba Ventura qui expliquait que les idées développées par l'animateur étaient impossible à mettre en place en France.
"Tout ce qu'elle dit, c'est ce dont les Français ne veulent plus" a expliquer Cyril Hanouna, "c'est l'immobilisme et la France d'avant".
Hier matin, dans "Bonjour", la matinale de TF1, Paul Larrouturou a longuement décrypté l'éventuelle candidature de l'animateur Cyril Hanouna à la prochaine présidentielle. Une rumeur qui enfle depuis quelques jours avec les révélations de l'hebdomadaire "Marianne" ou encore du "Point".
Selon le journaliste politique de TF1, l'animateur de C8 estime qu'il lui faudrait 5 millions d'euros pour le 1er tour et 20 millions d'euros s'il est qualifié pour le second tour. Il a également déclaré que l’animateur de "TPMP" a une idée : supprimer le Sénat et tirer au sort des citoyens.
Pour avoir l'avis des personnalités politiques, Paul Larrouturou s'est rendu à l'Assemblée nationale. "Vous me faites une grosse blague. Sérieusement ? Je ne voterai pas pour lui !", a réagi Emmanuel Grégoire, député (PS) de Paris. "Les idées qu’exprime Monsieur Hanouna à travers ses émissions, depuis des années, sont des idées que je condamnerai frontalement", a déclaré, pour sa part, Manuel Bompard, coordinateur national LFI.
Il a également fustigé la journaliste Alba Ventura qui expliquait que les idées développées par l'animateur étaient impossible à mettre en place en France.
"Tout ce qu'elle dit, c'est ce dont les Français ne veulent plus" a expliquer Cyril Hanouna, "c'est l'immobilisme et la France d'avant".
Hier matin, dans "Bonjour", la matinale de TF1, Paul Larrouturou a longuement décrypté l'éventuelle candidature de l'animateur Cyril Hanouna à la prochaine présidentielle. Une rumeur qui enfle depuis quelques jours avec les révélations de l'hebdomadaire "Marianne" ou encore du "Point".
Selon le journaliste politique de TF1, l'animateur de C8 estime qu'il lui faudrait 5 millions d'euros pour le 1er tour et 20 millions d'euros s'il est qualifié pour le second tour. Il a également déclaré que l’animateur de "TPMP" a une idée : supprimer le Sénat et tirer au sort des citoyens.
Pour avoir l'avis des personnalités politiques, Paul Larrouturou s'est rendu à l'Assemblée nationale. "Vous me faites une grosse blague. Sérieusement ? Je ne voterai pas pour lui !", a réagi Emmanuel Grégoire, député (PS) de Paris. "Les idées qu’exprime Monsieur Hanouna à travers ses émissions, depuis des années, sont des idées que je condamnerai frontalement", a déclaré, pour sa part, Manuel Bompard, coordinateur national LFI.
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00:00Cyril Hanouna songe à l'élection présidentielle, c'est ce que révélait Marianne, c'est une information que je suis en mesure de vous confirmer ce matin dans Bonjour et d'apporter de nouveaux éléments.
00:08Cyril Hanouna songerait très sérieusement à 2026. J'ai contacté un membre de la petite équipe avec lequel il se prépare très concrètement.
00:16Et concrètement, le nerf de la guerre, c'est l'argent. Il a donc un plan de financement.
00:20Il estime, Cyril Hanouna, qu'il lui faudrait 5 millions d'euros environ pour se hisser au premier tour et 20 millions en espérant gagner.
00:26Je rappelle que la fortune personnelle de l'animateur et producteur compte en dizaines de millions d'euros, donc l'argent ne devrait pas être un problème.
00:34C'est donc un vrai sujet, un sujet très sérieux.
00:37Alors, ils ont continué et Bruce Toussaint trouve ma candidature possible, mais surtout pense que tout est possible car les politiques font tout pour.
00:45Regardez, je suis assez d'accord avec Bruce Toussaint.
00:49Il n'y a pas une personnalité politique que vous avez interviewée qui considère que, éventuellement, la classe politique est peut-être un tout petit peu responsable
00:57de cette possibilité de l'espace qu'elle peut éventuellement laisser à une personnalité, quelle qu'elle soit.
01:03Que ce soit Cyril Hanouna ou une personnalité comme ça, hors du sérail.
01:07C'est quand même un problème parce qu'en réalité, il y a un espace et il n'y a jamais eu autant d'espace.
01:13Il est très populaire, en effet, et surtout, il me semble qu'il n'y a jamais eu autant d'espace.
01:17Alors, ils ont demandé à Sandrine Rousseau et à plein d'autres députés. Je vous montre à Sandrine Rousseau ce qu'il pensait de ma candidature en 2027.
01:24Je pense que ce scénario est tout à fait possible. On l'a vu avec Trump aux Etats-Unis. C'est à peu près le même genre de personnage.
01:30Je pense qu'il le prépare. Je pense que ça fait un moment qu'il y pense.
01:33Je pense même qu'il a été viré de C8 précisément pour pouvoir être plus libre vis-à-vis de Bolloré, mais que tout cela n'est qu'un vaste théâtre.
01:43En tout cas, moi, je me battrais corps et âme contre ça parce que, vraiment, Cyril Hanouna en candidat à la présidentielle, c'est une sorte de défaite de la démocratie.
01:52Elle a dit « viré de C8 ».
01:54C'est incroyable.
01:56Je souviens que quand elle venait ici, elle recoulait. Elle était tout à fait censée.
02:00C'est tout l'inverse.
02:01C'est vrai qu'elle recoulait.
02:02Elle recoulait.
02:03Elle recoulait.
02:04Alors, ils ont même commencé à parler de mon prétendu programme politique.
02:09Et elle a parlé « viré de C8 » en parlant de vous.
02:12Ils ont enlevé la chaîne.
02:16Les mots ont un sens.
02:18Les mots ont un sens, exactement.
02:20Ce n'est pas pour elle.
02:21Merci.
02:22Regardez, ils ont parlé de mon prétendu programme politique.
02:24C'est incroyable.
02:25Cyril Hanouna pense déjà à son programme et les dernières informations, je suis en mesure de vous livrer une idée, qu'il pèse, qu'il sous-pèse.
02:31Cette idée, ce serait de supprimer le Sénat, tout simplement, et de tirer au sort des citoyens.
02:37Du populisme à l'état pur, pardon.
02:39Il fait une autre proposition.
02:41Payer les gens en brut et pas en net.
02:43Et en gros, vous faites ce que vous voulez.
02:45C'est-à-dire votre sécu, votre assurance chômage, etc.
02:48Mais enfin, ça repose sur quoi ?
02:51Alors, cette dame, je ne sais plus comment elle s'appelle.
02:54Alba.
02:55Alba Ventura.
02:56Vous voyez ou pas ?
02:57Typiquement, c'est exactement ce que ne veulent pas entendre les Français.
03:01Typiquement, elle va exactement dans ce que ne veulent pas entendre les Français.
03:05Ce n'est pas possible.
03:06Elle leur dit que ce n'est pas possible parce que le Sénat sera toujours là.
03:08Mais le prochain Président, je n'ai jamais dit que j'allais me présenter ou pas.
03:12S'il ne fait pas tout péter, je vous le dis, ça sera exactement pareil.
03:17Vous pouvez voter pour qui vous voulez.
03:20Ça sera exactement pareil.
03:21Et quand vous entendez des gens comme ça, qui vous disent, oui, mais ça, ce n'est pas possible
03:24parce que c'est les mecs du Sénat qui décident si on ferme le Sénat ou pas.
03:27En plus, c'est faux.
03:28Vous avez tout compris.
03:29C'est faux.
03:30Voilà, exactement.
03:31En plus, Thomas, on sait que c'est faux.
03:32Mais c'est vrai que quand vous entendez ça, et quand elle dit le brut et le net.
03:36Mais les mecs, c'est le nerf de la guerre.
03:38Aujourd'hui, il faut remettre l'argent dans les poches des Français.
03:40C'est aussi simple que ça.
03:42Aujourd'hui, le prochain Président en 2027, il a deux priorités.
03:47Moi, je le dis, le prochain Président, j'aimerais qu'il me dise, j'ai deux priorités.
03:51Le pouvoir d'achat, remettre l'argent dans les poches des Français et la sécurité.
03:55Il dit, je ne vais pas faire grand-chose d'autre, mais sachez que vous allez être en sécurité
03:59et vous allez avoir de l'argent.
04:01Vous allez voir si les Français seront heureux ou pas.
04:03Il ne faut pas non plus courir sans millièvres à la fois.
04:06Mais quand j'entends cette dame, qui est très sympa, me dire, ça, ce n'est pas possible.
04:12Mais elle est exactement dans ce qu'on vit en France depuis des années,
04:16qui se répète et qui se répète et qui fait qu'on est dans cette situation aujourd'hui.
04:19Et dans ce marasme.
04:21Et aujourd'hui, on a la tête sous l'eau.
04:23Et je peux vous dire, on est en grand bleu, là.
04:25Parce qu'on n'est pas prêt de la relever.
04:27– Mais Alba, elle bichait en vous interviewant à RTL il y a deux ans.
04:30Et c'est ce même jour où les techniciens se sont tous précipités vers vous
04:33pour vous embrasser en disant qu'est-ce qu'on les contente de voir.
04:35– Non, mais je l'aime bien, Alba Montura, moi.
04:37Mais Alba, que j'aime beaucoup.
04:39– Mais ça ne la regarde pas.
04:41– Mais non, mais ce n'est pas ça.
04:43Elle est dans l'ancien monde.
04:45Aujourd'hui, on a besoin d'un nouveau monde.
04:47Regardez ce qui est en train de se passer.
04:49Regardez ce qui s'est passé aujourd'hui aux États-Unis.
04:51Vous voyez bien que si la France ne bouge pas,
04:53je vais vous dire ce qui va se passer dans quelques années,
04:56dans quelques années, dans quelques mois, qui vont arriver très vite.
05:01Les États-Unis, la Russie et la Chine vont se partager le monde.
05:06Je vous le dis.
05:07Alors, on a beau avoir Jean-Noël Barraud, j'ai vu Jean-Noël Barraud,
05:09le ministre des Affaires étrangères.
05:11Non, mais Jean-Noël Barraud, je croyais qu'il vendait des lits, moi, des lits bébés.
05:15Je croyais qu'il vendait des lits bébés, le gars.
05:17Jean-Noël Barraud qui vient à la gueule enfarinée à l'Assemblée nationale
05:20et qui se prend pour Clint Eastwood.
05:22Non, mais les gars.
05:24Sans rigoler.
05:25C'est un génie, lui.
05:27Et qui dit, moi, je vais remettre les États-Unis et la Russie et la Chine dans le pas.
05:33Non, mais lui.
05:34Jean-Noël Barraud, il va arriver devant Trump et dire,
05:36allez-y, retourne vendre des lits bébés, là, et laisse les grands travailler.
05:39Merci, s'il vous plaît.
05:40Foutez-moi ça dehors.
05:41Non, mais les mecs.
05:42Sans rigoler.
05:43Bon, on va se retrouver dans un instant.