• le mois dernier
Dans ce nouveau numéro de Loire Eco !

Créer un service de retouche et une ligne de vêtements adaptés pour les enfants et jeunes adultes en situation de handicap. C'est le concept de Mod'Everest un projet entrepreneurial porté par Sandra Sigaud et l'association Un Sourire pour Lana basée à Veauche.
Des seniors bénévoles au service de la solidarité et de l'insertion des publics en difficulté. C'est ce que propose l'association AGIR Abcd, implantée à la Maison des Associations à Saint-Etienne. Daniel Parizot, délégué territorial d'AGIR Abcd Loire sera sur le plateau de Loire Eco pour nous en parler.
Le groupe stéphanois DTF Médical était présent au CES Las Vegas pour présenter ses innovations. Une démarche soutenue par le programme d'accompagnement Mind porté par Saint-Etienne Métropole avec le soutien de la BPI et d'une multitude d'acteurs locaux.
Sans oublier le tour d'horizon de l'information économique de notre département avec les traditionnels Quiz Eco et Punch Eco !

La Loire a des savoir-faire, Loire Eco est là pour vous le faire savoir !

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Transcription
00:00Bonjour, c'est un plaisir de vous retrouver pour ce nouveau numéro de Loire Éco, votre
00:09émission dédiée à l'économie ligérienne.
00:12Ensemble, nous allons explorer l'actualité économique locale avec des analyses claires
00:16et approfondies.
00:17La Loire regorge de talents et de projets remarquables reconnus bien au-delà de nos
00:21frontières régionales au travers toute la France.
00:23Dans ce nouveau numéro, nous aborderons des sujets comme l'insertion professionnelle
00:27pour tous, l'univers de la mode en version inclusive et des initiatives locales qui favorisent
00:32l'entrepreneuriat.
00:33Nous mettrons en avant des collectivités qui s'engagent pour soutenir l'économie
00:37de notre territoire.
00:38Enfin, on vous propose un tour complet sur l'économie de notre département afin de
00:42mieux comprendre les enjeux actuels et les projets à venir.
00:46Tout cela, c'est dans l'émission Loire Éco, c'est parti !
00:57Et voilà, nous avons le plaisir d'accueillir toute l'équipe des chroniqueurs de Loire
01:07Éco avec Gilles Cayuela.
01:09Bonjour Gilles.
01:10Bonjour Emy.
01:11Gilles, de quoi allez-vous nous parler aujourd'hui ?
01:12D'habitude, vous savez, j'ai souvent tendance à parler de poids lourd de l'industrie,
01:18voire des start-up en devenir avec des perspectives de développement importantes.
01:22Cette semaine, j'ai décidé de mettre à l'honneur une initiative entrepreneurial
01:26qui a du sens, résolument inclusive, qui vise à créer un service de retouche et une
01:31collection innovante de vêtements adaptés pour les adolescents et jeunes adultes en
01:35situation de handicap.
01:36Cela s'appelle Modevrest et c'est un projet porté par Sandra Sigaud que nous aurons le
01:40plaisir de recevoir sur le plateau.
01:42C'est très bien.
01:43Alors, d'un coup, vous nous invitez des chefs d'entreprise de 2500 salariés et puis des
01:46fois une entreprise qui va se créer.
01:48C'est une forme de parité.
01:50C'est très bien.
01:51Laurent Vinault, bonjour.
01:52Bonjour.
01:53Moi, je vais vous parler de la retraite, alors pas de la retraite, pas de la réforme
01:57de la retraite.
01:58C'est prématuré.
01:59Il faut attendre encore un peu.
02:00Moi, je vais vous parler de retraités bénévoles, volontairement engagés et activement engagés
02:05en faveur de l'insertion sociale et de l'insertion professionnelle.
02:09D'accord.
02:10Madame Sigaud, on est très content que vous soyez à notre table.
02:12On a l'occasion de se revoir tout à l'heure par rapport à votre projet, justement, Modevrest,
02:17et nous avons Sylvain Ougier.
02:19Eh oui, salut Rémi.
02:20Salut à tous les légériens.
02:21Eh bien, comme d'habitude, on va faire une nouvelle étape du quiz éco-légérien, redécouvrir
02:25l'actualité économique pour gagner le fameux trophée Je suis…
02:28Art.
02:29Je suis Art.
02:30Le trophée Je suis Art.fr.
02:31Voilà, je crois qu'on va démarrer par ça, mon cher Rémi.
02:32Allez, on va démarrer par ça.
02:33Je vous laisse ma place, si vous avez bien compris.
02:34Allez, c'est parti.
02:35Allez, c'est parti.
02:36Eh oui, une nouvelle étape du quiz économique légérien, chers amis.
02:45Je vous rappelle, le principe, c'est découvrir ou redécouvrir l'actualité économique
02:49légérienne tout en s'amusant.
02:50Deux équipes qui vont s'affronter, on va dire l'équipe winneuse la plupart du temps,
02:56Caillou et Lavino, tester les buzzers, contre l'équipe Sigaud Pupier, testons les buzzers,
03:03et voilà, c'est tout bon, on est parti pour la première question.
03:07Allez.
03:08Une activité insolite dans un lieu insolite, de quoi parle-t-on ? Direction le nord de
03:13Saint-Etienne, un investissement de 200 000 euros parrainé par Initiative Loire pour
03:19développer une nouvelle activité, une nouvelle agence dans la Loire.
03:22Nous parlons de Loïc Parizeau, le directeur de la structure Stéphanoise, rattaché désormais
03:27au réseau national Philae, et qui va devenir, Loïc Parizeau, locataire de la SNCF.
03:33Gilles Kevela.
03:34Oui, c'est l'activité, c'est une pompe funèbre.
03:38Pompe funèbre.
03:39Bonne réponse de Gilles Kevela.
03:41Eh oui, écoutez bien, dans les locaux de la gare SNCF de la Terrasse, s'est développée
03:46une agence de pompe funèbre.
03:48Eh bien oui, c'est un lieu de passage, c'est un lieu d'au revoir, c'est un lieu de voyage,
03:53et donc l'objectif pour cette entreprise, c'est 5 à 6 obsèques mensuels pour mieux
03:58accompagner les familles seulement, mais écoutez bien, c'est aussi à l'originalité la création
04:04de cafés du deuil et de goûters mortels pour désacraliser la mort auprès des enfants,
04:10et parler de la mort auprès des familles, voilà, donc c'est cette nouvelle tendance
04:16qui va donc avoir lieu dans la gare SNCF de la Terrasse à Saint-Etienne.
04:19Bonne réponse de Gilles Kevela.
04:22Seconde question, gastronomie.
04:24Et nous allons parler, et nous allons chercher, pardon, le nom d'une commune de la Loire.
04:29Alors Rémi commence à sourire parce qu'il est spécialiste de la gastronomie.
04:32Les amis, vous connaissez éventuellement la Vervaine du Forêt.
04:36Sébastien Faurissier qui produit une liqueur locale à base de plantes naturelles et qui
04:41produit jusqu'à 500 bouteilles par jour.
04:44Et bien Sébastien Faurissier a décidé de s'agrandir, de se développer pour une nouvelle
04:50activité, un espace boutique et un musée, et tout ça dans quelle commune ? Voici ma
04:54question.
04:55Il me l'a dit.
04:56C'est une commune de la Plaine du Forêt, qui est située en...
05:01J'allais dire Bonson.
05:03Bonne réponse de Rémi Pupier.
05:05Bonne réponse de Rémi Pupier.
05:06C'est effectivement sur la commune de Bonson, il a fait un investissement de près de 600
05:09000 euros.
05:10Il va présenter ce qu'est un alambic, il va avoir des panneaux explicatifs de la méthode
05:15de fabrication et bien évidemment une petite dégustation.
05:17Attention, l'abus de l'alcool est dangereux pour la santé, mais on voulait mettre en
05:22avant la commune de Bonson qui accueille le musée et la boutique de Sébastien Faurissier.
05:27Bonne réponse de Rémi Pupier, un partout.
05:31Troisième question, nous continuons sur la recherche du nom de commune, on recherche
05:34le nom d'une autre commune qui va accueillir une nouvelle enseigne pour une inauguration
05:38au mois de mai 2025.
05:40Les travaux vont démarrer là, début 2025.
05:43C'est un restaurant fast-food de 115 places assises, intérieures et 122 places extérieures.
05:49Gilles Cayuela qui a buzzé rapidement.
05:51C'est à Fiermini et c'est Burger King qui s'implante, avec 70 emplois à la fête.
05:56Bonne réponse de Gilles Cayuela.
05:57C'est l'enseigne Burger King qui s'installe à Fiermini, dans la zone des Prairies, juste
06:01en face du Leclerc Fiermini, 70 postes à pourvoir, donc allez-y les jeunes, vous pouvez
06:07candidater.
06:08Il y a des job-dating en partenariat notamment avec France Travail qui vont avoir lieu et
06:12on peut saluer Cédric Arguitu qui est donc le franchisé qui va développer ce nouveau
06:17Burger King à Fiermini.
06:18Bonne réponse de Gilles Cayuela, il y a 2-1, vous le savez le principe, on va tout miser
06:22sur la dernière question.
06:23Je compte sur vous pour buzzer le plus vite et gagner le trophée de ce premier quiz de
06:28l'année.
06:29Quatrième et dernière question, écoutez bien c'est un gros chiffre, c'est 16 millions
06:33d'euros.
06:34A quoi correspond-il ? Il s'agit d'une nouvelle levée de fonds bouclée par cette belle entreprise
06:40ligérienne.
06:41Une entreprise créée en 2014 et qui a levé Laurent Vinault.
06:46Lactips.
06:47Bonne réponse de Laurent Vinault.
06:52Cette entreprise ligérienne, écoutez bien, a levé depuis 2014 la bagatelle de 36 millions
06:57d'euros, 50 salariés.
06:59Ils viennent de s'installer dans une nouvelle usine flambe en oeuvre dans la Vallée du
07:03Gier, particulièrement à Saint-Paul-en-Jarret.
07:04Vous savez Lactips, c'est l'industriel qui a développé la solution innovante dans le
07:10secteur de l'emballage grâce à un polymère naturel biosourcé, hydrosoluble et biodégradable
07:17fabriqué à base de caséine de lait.
07:20Et donc vous pouvez retrouver vos pastilles de lave-vaisselle dans un sachet hydrosoluble
07:24qui va directement, et tout ça, biodégradable.
07:26Et à noter que Lactips est lauréat de l'appel à projet de France 2030, première usine,
07:32et c'est d'ailleurs dans ce cadre-là, avec le financement de la levée de fonds, plus
07:37la subvention allouée par France 2030, qu'ils vont pouvoir booster un petit peu leur chaîne
07:42de production avec une nouvelle ligne de production en cours.
07:45Belle réussite.
07:46Belle réussite de Lactips.
07:47Et je crois que c'est une victoire à Saint-Paul-en-Jarret.
07:49Très beau lookout à Saint-Paul-en-Jarret, effectivement.
07:51Belle victoire de l'équipe Cayuelo...
07:54Cayuelo.
07:55Cayuelo.
07:56C'est une beauté italienne.
07:57J'aurais pris un pseudonyme pour l'occasion.
07:59Allez Gilbert, le premier trophée de ce premier quiz.
08:02Non mais on l'offre à madame...
08:04Ah c'est gentil.
08:05Ah madame.
08:06Ah mais quel galant homme.
08:07Il est élégant.
08:08Bravo.
08:09Et bien voilà mon cher Émy, et je vous dis à très bientôt pour une nouvelle étape
08:12du Quiz Éco-Ligérien.
08:19Alors nous avons Gilles Cayuela qui va nous parler de Maud Everest.
08:24Alors Maud Everest, c'est quoi ?
08:27Eh bien c'est un projet de création d'entreprise qui vise à créer des vêtements innovants
08:31adaptés aux adolescents et jeunes adultes en situation de handicap.
08:34C'est un projet porté par Sandra Sigaud, maman de Lana, une jeune fille atteinte de
08:38neurofibromatose.
08:39Alors Sandra Sigaud, expliquez-nous ce qu'est Maud Everest et comment est venue un petit
08:43peu l'idée de ce projet ?
08:45Je dirais que Maud Everest est né d'un constat en fait.
08:49Un constat à la fois, on va dire simple, mais bouleversant.
08:53En fait, je pense que c'est un véritable défi pour des personnes et des jeunes en
08:57situation de handicap de s'habiller décemment, à la mode.
09:04Et c'est une maman qui parle en fait.
09:07J'ai une jeune fille, donc Lana, qui est en situation de handicap.
09:10On n'est plus dans une problématique vestimentaire puisqu'elle a été opérée à l'âge de
09:14huit ans.
09:15Mais de l'âge de trois ans jusqu'à huit ans, ça a été un parcours du combattant
09:19pour l'habiller parce qu'elle avait des corsets, elle avait des attelles, tout ça.
09:23Donc c'était très compliqué.
09:24Et puis, dernièrement, j'ai rencontré une jeune fille qui s'appelle Chirine.
09:29C'est une jeune ado en situation de handicap qui est en fauteuil roulant, qui est hypertonique,
09:37qui fait partie de notre troupe, de notre, j'expliquerai plus tard.
09:41Et en fait, cette jeune fille, elle était soliste dans mon précédent spectacle.
09:46Je lui ai fait une robe.
09:47Elle a trouvé ça incroyable.
09:48Sa maman m'a dit c'est trop bien.
09:50Est ce que tu pourrais pas un peu lui retoucher ses vêtements ? Je lui ai dit pourquoi pas.
09:54De là est né Maud Everest.
09:56Je me suis dit pourquoi pas apporter ce soutien à d'autres personnes.
10:00Donc avec une activité à la fois de retouche de vêtements.
10:03Expliquez nous un petit peu c'est quoi.
10:04On prend des vêtements actuels, vêtements classiques et on y apporte des modifications
10:09pour les rendre plus adaptés aux situations de handicap.
10:11C'est un peu ça l'idée ?
10:12Oui, c'est ça l'idée.
10:13L'idée, c'est vraiment qu'un jeune en situation de handicap puisse aller s'habiller
10:18dans tout magasin à la mode.
10:21Je ne vais pas citer les noms, mais voilà.
10:23Notre petite Chirine, elle a eu la chance de pouvoir porter un jean parce que les jeans,
10:28elle ne pouvait pas les porter.
10:29Donc on est allé l'acheter le jean et je l'ai retouché.
10:31J'en ai fait un jean adapté.
10:34Très bien.
10:35Une question qui est au pari d'une agité confondante.
10:38Pourquoi Everest ?
10:39Alors, bonne question.
10:40Mode Everest, pourquoi ?
10:42Parce que pour moi, il faut grimper des montagnes pour pouvoir être habillé à la mode.
10:47Ah, belle image.
10:48Alors, mode Everest n'est pour l'heure pas encore une société à proprement parler.
10:53C'est pour l'heure encore un état de projet.
10:55Vous avez d'ailleurs lancé une campagne de financement participatif.
10:59Expliquez nous pourquoi, comment et quel est le montant escompté et à quoi va servir
11:03cette enveloppe finalement ?
11:05C'est vrai que je voudrais déjà bien préciser que pour l'instant, c'est un projet associatif
11:09qui est porté par l'association que j'ai créée pour ma fille qui s'appelle Un sourire
11:13pour Lana.
11:14Cette association, oui, j'ai besoin pour développer ce projet de fonds.
11:22Alors, l'association m'a permis de financer des machines, il y a des associations aussi
11:27qui nous ont aidé.
11:28Je pense aux amnistiers qui nous ont financé plusieurs machines.
11:32Mais bon, voilà, il y a aussi des matières premières, acheter plusieurs choses.
11:37Donc, j'ai décidé de faire un financement participatif via la plateforme Ulule.
11:41On a récolté depuis le 17 novembre à peu près 3000 et quelques euros.
11:47J'ai aussi d'autres, on en est à, on va dire, 7000 euros de dons, donc c'est déjà
11:53plutôt bien.
11:54C'est quoi l'objectif ?
11:55L'objectif, on va dire que c'est d'aller le plus haut possible comme il me reste.
11:59Il faut aller sur Ulule.
12:00Il faut aller sur Ulule.
12:01Et on met quoi comme nom ?
12:02Celle-là, elle est disponible jusqu'au 31 janvier.
12:04Comment ça s'appelle le nom ?
12:05Le nom, c'est, alors bonne question, la Boxe des Mamans Courage.
12:11D'accord.
12:12Est-ce que les particuliers peuvent bénéficier éventuellement de réductions d'impôts
12:15ou de choses comme ça lorsqu'ils donnent ?
12:18Oui, parce que notre association est d'intérêt général.
12:20Donc, pour tout don, vous pouvez bénéficier.
12:23Donc, les entreprises comme les particuliers peuvent bénéficier de réductions d'impôts.
12:27Donc, c'est incitatif.
12:28Alors, vous parlez de la Boxe des Mamans, c'est quoi justement ça ?
12:30Parmi les contributions qu'on propose sur notre plateforme Ulule, donc il y a plusieurs
12:35choses.
12:36Il y a les bonnets, qu'on appelait les bonnets Everest.
12:37Et puis, il y a des petites boxes, des petites boxes par abonnement, dans laquelle, que j'appelais
12:43les Boxe des Mamans Courage, puisqu'elles sont à destination des mamans qui, comme
12:48moi, galèrent un petit peu dans la vie.
12:50Mais il n'y a pas que moi.
12:51Il y a plein de mamans pour plein de choses différentes.
12:54Et du coup, c'est des boxes qui peuvent être offertes aux mamans.
13:00Avec des produits bien-être.
13:02Des produits bien-être.
13:03Ces mamans qui, au quotidien, sont dans des parcours un peu compliqués, puissent prendre
13:08un peu de temps pour elles.
13:09C'est un peu ça l'idée.
13:10C'est ça l'idée.
13:11Alors, Maud Everest, on vous l'a expliqué, c'est un service de retouche, mais c'est aussi
13:16dans l'idée création d'une collection de vêtements.
13:19Est-ce que vous avez déjà, est-ce que vous avez travaillé déjà sur des prototypes ? Est-ce
13:23qu'on peut déjà annoncer des produits qui sont un petit peu dans les tuyaux ? Est-ce
13:25que vous pouvez nous parler de tout ça ?
13:26On veut tout savoir.
13:29Alors, je ne pars pas toute seule.
13:32Je suis en train d'être formée par une styliste.
13:35Voilà.
13:36Et oui, j'ai des petites idées.
13:38Alors, au niveau des retouches, c'est vraiment un travail avec des ferretures éclair, des
13:42aimants, plein de choses comme ça.
13:43Et pour les tenues, il y a plusieurs choses.
13:45Déjà, je voudrais créer des choses pour développer un peu l'autonomie.
13:49Alors, des choses toutes bêtes, peut-être mettre une étiquette sur la manche gauche
13:53avec un bracelet, enfin, une étiquette rouge avec un bracelet rouge pour que les enfants
13:57se disent, tiens, ça, c'est le côté gauche.
13:58D'accord.
13:59Et ajouter des ficelles pour que ça puisse être plus simple pour être relevé.
14:04Voilà.
14:05Après, en matière de vêtements, j'ai réfléchi à des hauts très fluides avec fermeture
14:11éclair.
14:12Les bas, j'ai une idée de jupe.
14:15Ça serait une jupe droite sur laquelle, avec un scratch devant, sur laquelle on pourrait
14:20mettre plein de mini-jupes, enfin, de demi-jupes.
14:23D'accord.
14:24Voilà.
14:25Du coup, parce que...
14:26Ça permet d'accessoiriser.
14:27Voilà.
14:28Et tout ça, vous l'avez appris grâce à votre expérience au quotidien, j'imagine ?
14:30Oui, oui, oui.
14:31Et puis aussi grâce aux témoignages.
14:34Parce que ce que je n'ai pas dit, je crois qu'on voit les images de plusieurs enfants
14:37pour pouvoir monter ce projet.
14:38Je ne suis pas partie toute seule, je suis partie d'une bande de petits jeunes.
14:42D'accord.
14:43De futurs utilisateurs qui vous ont expliqué le plus bénéfique de l'immobilier.
14:46Voilà.
14:47Alors, il y a des enfants valides et non-valides parmi nos petits jeunes.
14:50Et puis, surtout, il y a aussi les parents, les mamans.
14:52Donc, j'ai un peu sélectionné, je crois qu'on voit l'image de toutes ces mamans, des enfants
14:56en fonction de leur handicap.
14:58Et puis, ils m'ont donné des idées.
14:59Vous voyez, par exemple, l'idée de la ficelle, c'est la jeune fille qu'on voit qui, malheureusement,
15:03a perdu un avant-bras.
15:05Enfin, vous voyez, c'est chouette de pouvoir échanger.
15:07Le fait que vous soyez très dynamique avec votre association, vous organisez régulièrement
15:11des spectacles et des choses comme ça, ça doit vous aider aussi à avoir des témoignages
15:15et un engouement avec des gens qui peuvent vous donner financièrement et puis d'autres
15:18qui peuvent vous apporter des conseils.
15:21C'est intéressant, cette structure.
15:24D'ailleurs, vous aviez une question sur les spectacles, d'ailleurs, de l'association.
15:27Oui, un mot pour terminer, justement, sur le prochain spectacle de la troupe d'Elana
15:33Enco, qui va aussi être là pour porter un petit peu le projet Mode Everest.
15:37Oui, oui, moi, j'ai créé cette association il y a déjà quelques années.
15:41Vraiment, le poumon, le cœur même de notre association, c'est nos spectacles.
15:44J'ai créé une troupe, j'ai appelé l'Elana Enco, j'ai créé quatre comédies musicales.
15:50Voilà, donc on a joué la précédente l'année dernière, ça s'appelle Un cœur de rêve
15:55et on va la rejouer en mars prochain, les 21 et 23 mars.
15:59Pourquoi Un cœur de rêve ? C'est toujours en liaison avec Mode Everest.
16:03Ce n'est pas parce qu'on n'a pas un corps de rêve qu'on ne peut pas avoir un cœur de rêve.
16:08Il suffit d'avoir un cœur qui bat.
16:11Et c'est où, le spectacle ?
16:13Alors, le spectacle va se jouer à l'Escale, à Vosges, c'est une super salle.
16:18Pour toute information, je ne sais pas où on est là.
16:20Donc, c'est ma belle-maman qui gère la trésorerie.
16:25Voilà, je pourrais vous donner les coordonnées en off.
16:29D'accord.
16:29Et les dates 21 et 23 mars, bien sûr, à retrouver sur les réseaux sociaux aussi
16:33pour ceux qui veulent rentrer directement en contact pour la billetterie.
16:36On pourra vous aider dans la communication avec l'équipe de TLC.
16:40En tout cas, bravo pour votre engagement.
16:41Et puis, on espère qu'un jour, peut-être qu'ils seront cotés en bourse.
16:44J'espère bien.
16:45Sait-on jamais.
16:47Le début d'une grande histoire.
16:48Le début d'une grande histoire.
16:49Merci beaucoup, Mme Sigaud, de votre présence, de votre témoignage très touchant,
16:53très intéressant et on vous souhaite beaucoup de revenus avec une activité florissante.
16:59Merci à vous.
16:59Merci beaucoup.
17:00Merci, équipe.
17:00Merci.
17:07Alors, Messieurs, Dames, je vous propose de partir à la rencontre de Jean-Philippe Massardier.
17:11Jean-Philippe Massardier, est-ce que vous connaissez Jean-Philippe Massardier ?
17:13Oui.
17:14Ah bah oui, DTF Médical.
17:16Il est vice-président de l'association Noveca, qui est anciennement le...
17:21Le pôle des technologies médicales.
17:22Le pôle des technologies médicales.
17:24Jean-Philippe, c'est une entreprise qui date de plusieurs générations.
17:27Il se développe tout le temps.
17:29Il fait des acquisitions d'entreprises à l'extérieur et il porte des innovations.
17:34Beaucoup d'innovations.
17:35Beaucoup d'innovations.
17:36Il est basé en plein cœur du Technopole, en pleine zone d'Esther.
17:38Ah, exactement.
17:40Et donc, là, Jean-Philippe Massardier est parti à Las Vegas pour...
17:44Au CES, j'imagine.
17:45Au CES, qui est le Consumer Electronics Show.
17:50Et il va nous parler de ses innovations.
17:54C'est parti.
18:02Écoutez, bienvenue chez DTF Médical.
18:04Vous êtes ici dans cette entreprise familiale qui est née en 1951.
18:10Nous avons développé les premiers systèmes générateurs d'aérosols
18:15pour le traitement des pathologies respiratoires.
18:17À l'époque, on avait besoin de trouver des solutions contre la silicose,
18:21la maladie du mineur.
18:22Quelques années après, et toujours autour d'un socle commun qui est la pompe,
18:27notre entreprise s'est développée autour de l'allaitement maternel,
18:29ce qui fait que nous sommes, depuis 1954,
18:32toujours le seul et l'unique concepteur,
18:35fabriqueur, développeur de tirelets français.
18:44On a découvert, il y a quelques mois,
18:47une magnifique capacité au travers des laboratoires universitaires de Lyon
18:53qui permettrait de pouvoir, très rapidement,
18:57avoir une prévention ou un nouvel outil
19:00dans la prévention du cancer du sein.
19:02Cette démarche a été évaluée au travers d'une étude clinique
19:08qui a démontré des résultats extrêmement encourageants.
19:11L'objectif sera donc de pouvoir proposer cette innovation,
19:16de le faire challenger au prisme du Consumer Electronics Show,
19:21dans un souci de pouvoir également identifier
19:24des partenariats médicaux et industriels, potentiellement du financement.
19:28C'est une chance de pouvoir être accompagné par la métropole stéphanoise
19:32dans le cadre du projet MIND, d'une part,
19:35et puis de la région Auvergne-Rhône-Alpes,
19:36qui nous soutient dans ce déplacement sur place
19:40où nous serons trois personnes de notre équipe.
19:44On est vraiment dans un système de prévention.
19:47L'enjeu est vraiment de réduire les mailles du filet de la prévention.
19:51À ce stade, je ne peux pas vous présenter,
19:54j'allais dire, officiellement, la technologie et les images.
19:56On est dans une phase qui nous a permis d'obtenir un brevet français,
20:02qui était en extension au niveau européen.
20:05On sait que le CES est un sujet ou un lieu
20:08dans lequel les informations vont vite.
20:10Mes équipes sont très préparées à la communication
20:12qu'on sera amené à avoir sur place,
20:15tout en restant extrêmement précautionneux
20:17sur les éléments techniques, technologiques
20:20et directement spécifiques associés à cette innovation.
20:22C'est super et ça fait plaisir d'avoir des entreprises comme ça,
20:26ligériennes, qui rayonnent au niveau national.
20:29Alors, il le dit, il a été aidé par la région
20:32et il a été aidé aussi par Saint-Etienne Métropole.
20:35Il appelle ça le projet MINE.
20:36Est-ce que vous savez ce que c'est ?
20:37Oui, Métropole Innovation Design.
20:40C'est ça, Métropole Innovation Design,
20:42c'est un projet qui est porté par la Métropole,
20:44qui est financé aussi par la BPI
20:48et qui a comme objectif de renforcer les compétences
20:51des entreprises françaises.
20:53En tout cas, Saint-Etienne Métropole
20:55pousse les entreprises pour les accompagner
20:58dans ces démarches qui sont à la fois innovantes,
21:00des démarches de développement, de projets pour les entreprises.
21:05Et ce qui est intéressant aussi, c'est que c'est fait pas seul.
21:09Je vous ai parlé de la BPI qui finance Saint-Etienne Métropole,
21:12qui porte le projet,
21:13mais c'est aussi plein d'incubateurs
21:14et d'accélérateurs du territoire.
21:16Alors, il y a Usine, Team MINE,
21:19Pulsesis, Village Baïcéa, Ronalpa.
21:22Et puis, il y a des experts métiers,
21:24on les connaît tous, c'est Minéalogique,
21:26c'est Noveca et Digital League.
21:29Et puis, il y a des fonds d'investissement aussi,
21:31la FIM, la SCR Métropole Innovation
21:34et puis, bien sûr, les services de Saint-Etienne Métropole,
21:38tout ce qui est pépinière, tout ce qui est hébergement.
21:40Et ce qu'il y a d'intéressant, c'est cette fédération.
21:43Qu'en pensez-vous ?
21:44Justement, je pense que ce qui est intéressant,
21:46c'est que pendant des années,
21:48on a fonctionné avec tout un tas de structures
21:50qui proposaient leurs services d'accompagnement,
21:53leurs moyens de financement.
21:56Aujourd'hui, tous ces acteurs sont regroupés
21:58dans une sorte de guichet unique.
22:00Ça permet de fédérer, d'avoir des financements croisés
22:03et sans doute de sécuriser un peu mieux
22:05les parcours des start-up.
22:08Quand on sait qu'aujourd'hui, depuis deux ans,
22:13la situation économique des start-up n'est pas évidente,
22:15difficulté à lever de fond.
22:16Là, on peut imaginer que le fait d'avoir
22:18des structures derrière comme ça,
22:19ça permet aussi d'avoir un certain poids
22:21pour aller chercher derrière des capitaux.
22:23Tout à fait, ça accélère.
22:24Je rejoins Gilles, le fait de chasser en meute,
22:26que tout le monde soit derrière le projet
22:28et que tous les acteurs soient autour de la table,
22:31ça permet de gagner du temps.
22:32Et donc, dans notre bassin stéphanoid,
22:36c'est toujours intéressant de voir que tous les acteurs
22:38sont autour de la table.
22:39Et puis, Jean-Philippe Massardier l'a dit précisément
22:41dans le reportage, c'est un parfait outil de prévention
22:45justement pour sécuriser la compagnie.
22:47Oui, c'est sûr.
22:48J'imagine que le taux d'existence des entreprises
22:49qui sont passées par ce guichet
22:50est bien supérieur qu'à la normale, j'imagine.
22:52Après cinq ans, c'est 75 %.
22:54C'est-à-dire que c'est long de faire des dossiers.
22:57Oui, c'est compliqué de s'inscrire dans des trucs,
23:00mais quelque part, ça aide aussi à réfléchir,
23:02ça aide à se stabiliser, à faire un business plan,
23:04à se faire aider.
23:05Et du coup, ça permet de pérenniser tout ça.
23:08En tout cas, bravo à Jean-Philippe Massardier,
23:13DTF Médical, de faire rayonner la Loire à Las Vegas.
23:19Bonjour, ravi de vous retrouver dans ce nouveau numéro de PUNCH ÉCO,
23:25votre rendez-vous qui percute l'économie ligérienne.
23:27On attaque avec le Ligérien Astik.
23:29Spécialisé dans la distribution de solutions d'emballage,
23:31le groupe d'Andrézieux Boutéon vient de reprendre la société
23:34Marc Emballe, spécialisé dans le négoce de produits d'emballage
23:37et carton modulé, basé à Heurtz dans le Barin.
23:40Avec l'acquisition de cette TPE de huit salariés,
23:42Astik poursuit son expansion géographique
23:44sur le territoire national,
23:45avec désormais une présence physique dans le Grand Est.
23:48Déjà présent en Nouvelle-Aquitaine avec la société Dupin,
23:51dans la Loire et le Rhône avec deux implantations d'Astik emballage,
23:54et en Bretagne avec la société Ocopa,
23:56le groupe Astik emploie quelques 130 salariés
23:58et réalise plus de 55 millions d'euros de chiffre d'affaires.
24:01On poursuit avec une information qui concerne l'emploi des jeunes
24:04dans l'agglomération Stéphanoise.
24:06La mission locale de Saint-Étienne et Couronne-Stéphanoise,
24:08ACATEO et 18 agences d'emploi viennent de signer des conventions de partenariat.
24:13Objectif, faciliter l'accès des jeunes vers l'emploi
24:15en les accompagnant dans leur parcours professionnel,
24:17en leur permettant de découvrir de nouveaux métiers
24:19et de rencontrer de potentiels employeurs.
24:22Ces conventions sont la déclinaison locale de l'accord cadre national
24:24signé le 25 novembre 2021 avec la DGEFP,
24:28Prisme Emploi, l'Union Nationale des Missions Locales, ACATEO,
24:32le Fonds Professionnel pour l'Emploi dans le Travail Temporaire
24:34et le Fonds d'Action Sociale du Travail Temporaire.
24:37Cette démarche s'inscrit globalement dans le dispositif Mission Jeune
24:40porté par la branche du Travail Temporaire.
24:42L'objectif est de développer le partenariat
24:44entre les réseaux des agences d'emploi et des missions locales
24:46afin d'être au plus près des besoins des jeunes.
24:50L'enseigne danoise Normale poursuit son expansion en France et dans la Loire.
24:53Détaillant de produits de marque à prix réduit
24:55dans le domaine des produits d'hygiène, des cosmétiques, snacks et produits ménagers,
24:59Normale vient d'ouvrir une nouvelle boutique
25:01dans le centre-ville de Saint-Etienne, rue du Général Foy.
25:04Déjà dotée d'un magasin implanté dans le centre commercial de Centre 2,
25:07l'enseigne Normale renforce sa présence dans la capitale ligérienne.
25:10Avec cette ouverture à Saint-Etienne,
25:12Normale compte désormais 189 magasins en France
25:14et plus de 775 points de vente au total en Europe.
25:19On termine ce punch écho avec une belle initiative en faveur d'une mobilité plus douce.
25:22Saint-Etienne-Métropole, la STAS et le Crédit Agricole Loire-Haute-Loire
25:26ont signé dernièrement un plan de mobilité employeur.
25:29Ce partenariat entre les trois acteurs
25:30vise à développer l'usage des transports en commun
25:33auprès des salariés du Crédit Agricole Loire-Haute-Loire.
25:35Avec cette convention, les salariés de l'établissement bancaire
25:38vont pouvoir bénéficier d'un abonnement STAS
25:40pris en charge à 75%
25:4215% par Saint-Etienne-Métropole
25:43et 50% par le Crédit Agricole Loire-Haute-Loire.
25:46Objectif, convaincre un maximum d'employés
25:48de troquer la voiture contre les transports en commun.
25:51À ce jour, 200 des 1400 collaborateurs
25:53que compte le Crédit Agricole Loire-Haute-Loire
25:55ont déjà opté pour les transports en commun
25:56dans leur trajet domicile-travail.
25:58Voilà, c'est terminé pour aujourd'hui.
25:59Je vous dis à très vite pour un nouveau numéro de Punch Écho.
26:03Alors, Laurent Vinault, nous allons parler maintenant d'une association.
26:07Une association qui s'appelle Agir A.B.C.D.
26:10avec son président Daniel Pariseau que vous nous avez amené.
26:13Bonjour Daniel.
26:14Bonjour.
26:16Alors, Daniel Pariseau n'est pas président.
26:18Ah oui, c'est vrai, il est délégué territorial.
26:20Daniel Pariseau a demandé un droit de rectification.
26:22C'est vrai.
26:23Il est délégué territorial.
26:24Nous l'accordons, nous l'accordons.
26:25Nous l'accordons.
26:26Vous avez raison, c'est ma faute.
26:27Non, je vous ai dit, il est délégué territorial.
26:29Il a demandé un droit de rectification.
26:31Non, je vous ai dit qu'on allait parler retraite.
26:33Alors, la retraite, c'est une étape importante dans la vie.
26:37Et c'est une étape importante de vie.
26:41Mais être en retraite, ça ne veut pas dire nécessairement se mettre hors jeu de la vie sociale
26:45ou se mettre précisément en retrait de toute vie sociale.
26:49Et de façon très significative,
26:51puisqu'il s'agit d'une nouvelle étape de vie,
26:54on a un nombre significatif de retraités ou de pré-retraités
27:00qui choisissent précisément d'offrir de leur temps et de leurs compétences
27:04pour des structures associatives ou pas d'ailleurs.
27:07Mais simplement sur le million et demi d'associations que compte la France,
27:12il faut retenir qu'il y a 36% des bénévoles
27:16qui sont des retraités âgés de plus de 65 ans.
27:19C'est-à-dire qu'il y a un bénévole sur quatre en France qui a plus de 65 ans.
27:23Alors, au sein de l'association qui est animée par Daniel Pariseau,
27:29que j'ai le plaisir d'accueillir,
27:31le pourcentage, lui, est beaucoup plus significatif.
27:34Il pourrait être de 100%, mais il n'y est pas.
27:38Il est un peu moins,
27:40plus qu'effectivement l'association,
27:42c'est facile pour elle d'atteindre ce chiffre de 100%,
27:45puisqu'il s'agit de l'association générale
27:48des intervenants retraités,
27:51actions de bénévoles pour la coopération et le bénévolat.
27:55Et le développement.
27:57C'est une structure que vous connaissez plus communément
28:00sous le nom de Agir ABCD.
28:02Alors, cette association,
28:04ou cette organisation non-gouvernementale,
28:06puisqu'en fait elle a les deux casquettes,
28:08c'est une ONG, c'est une organisation non-gouvernementale.
28:11Elle a été créée en 1983,
28:13et elle se décline à travers
28:1752 délégations territoriales
28:20et 45 antennes.
28:22Et elle fédère, peu ou prou, chaque année,
28:243000 bénévoles retraités.
28:26Alors Daniel Parizeau,
28:28vous êtes droit de rectification oblige,
28:30vous êtes délégué territorial ABCD Loire.
28:33Alors précisément, quelle est la raison d'aide de cette association ?
28:37L'association Agir ABCD,
28:39l'ADN, c'est l'aide aux plus démunis.
28:43Ce ne sont pas des personnes vraiment démunies dans la précarité,
28:46mais ce sont aussi des gens démunis
28:48par rapport à des connaissances,
28:50par exemple des seniors qui ont de la difficulté
28:52à l'utilisation du numérique.
28:54Donc c'est une activité qui est relativement large,
28:58et dans la Loire, on s'inscrit quand même pas mal
29:00dans le monde de l'insertion,
29:02et notamment de l'insertion économique.
29:04Avec le concours de vos bénévoles retraités,
29:06il y en a une petite centaine, entre 60 et 100 ?
29:08Alors actuellement, on est environ une soixantaine,
29:10mais je fais un nom rectificatif,
29:12nous avons également des non-retraités,
29:14puisque dans la Loire,
29:16on a également des personnes qui,
29:18de 20 ans à 55 ans,
29:20qui sont toujours en activité.
29:23Alors précisément, d'un côté,
29:25on a des jeunes, si je puis dire,
29:27et puis on a des retraités, des vrais retraités,
29:29au regard de la réglementation.
29:31Quel est le profil des bénévoles ?
29:33Alors le profil des bénévoles retraités,
29:35en règle générale, sont des personnes
29:37qui viennent de différents horizons,
29:39ça peut être l'éducation nationale,
29:41ça peut être également le commerce,
29:43l'entreprise, l'agriculture,
29:45moi je viens plutôt de l'agriculture,
29:47ça peut être également aujourd'hui des jeunes,
29:49notamment des jeunes étudiants,
29:51pas loin de 5 à 6 étudiants
29:53qui viennent de Jean Monnet, par exemple.
29:55L'idée, c'est vraiment
29:57d'avoir une multitude
29:59de compétences et de connaissances,
30:01puisque à Girabé-Cédé,
30:03on fait du bénévolat de compétences
30:05auprès de différents types de populations.
30:07Alors vous l'avez rappelé, Daniel Parizeau,
30:09vos champs d'intervention, pardon,
30:11c'est précisément les savoirs
30:13fondamentaux,
30:15lire, écrire,
30:17c'est également l'insertion, la mobilité,
30:19le lien social.
30:21À travers quel type d'action
30:23concrètement est-ce que
30:25vous apportez précisément
30:27les compétences, les expertises
30:29que vous évoquiez ? Quel type d'action ?
30:31Alors en règle générale, on essaie
30:33de ne pas faire des one-shots,
30:35plutôt de s'inscrire dans la ligne
30:37longue. Nous avons
30:39actuellement une convention, par exemple,
30:41avec le GEC-BTP, GEC c'est groupement
30:43d'employés en 500 qualifications.
30:45L'idée, c'est de prendre des alternants
30:47qui arrivent à J0 et les emmener
30:49à J8, 8 mois, 12 mois, 14 mois,
30:51leur apprendre
30:53les savoirs fondamentaux
30:55de parler français.
30:57On fait un français qui est cible des métiers,
30:59c'est-à-dire que le maçon va plutôt utiliser les mots du métier
31:01pour qu'il puisse réussir leur certificat de qualification
31:03professionnelle, l'étude pro,
31:05le bac pro, et ensuite on les amène
31:07à réussir le permis de conduire.
31:09Là on a une équipe qui se charge
31:11pour tout ce qui est apprentissage du code.
31:13On a également un simulateur de conduite qui nous permet
31:15de mettre en situation et ensuite
31:17de partir dans une hôtel-école classique.
31:19L'idée c'est, lorsqu'on a
31:21un CQP, un certificat de qualification
31:23plus un permis de conduire, en général
31:25c'est un CDI assuré à la clé.
31:27Là par exemple, moi je suis retraité, j'ai envie
31:29de devenir bénévole au sein de votre association.
31:31Il faut compter combien de temps bénévole
31:33pour pouvoir répondre à vos attentes ?
31:35Alors, moi ma démarche
31:37est assez simple.
31:39Je vous renverse la question, c'est combien de temps vous avez
31:41de temps à consacrer ?
31:432 heures, ok, pas de problème.
31:45On va mettre en place un suivi sur 2 heures.
31:47Si vous en avez 6, 8, 12, etc.
31:49On mettra en place des suivis
31:51adaptés en fait à votre...
31:53Oui, chacun module son rythme d'organisme.
31:55Par exemple, des étudiants sont plutôt libres le samedi matin.
31:57Donc actuellement, ils interviennent par exemple
31:59en français le samedi matin au foyer Clairvivre
32:01auprès de mineurs non accompagnés.
32:03Alors là, vous venez de nous donner l'exemple
32:05à la fois des savoirs fondamentaux
32:07avec l'exemple du GEC
32:09BTP
32:11la préparation au code de la route
32:13avec des appareils de simulation qui sont souvent conduits
32:15d'ailleurs par d'anciens moniteurs d'auto-école.
32:17Si je comprends bien,
32:19vous l'avez dit,
32:21on ne fait pas du one shot, vous venez souvent
32:23en complémentarité ou en concertation
32:25ou en collaboration avec d'autres partenaires.
32:27Absolument,
32:29l'objectif c'est de travailler avec des partenaires
32:31donc on a actuellement
32:33une trentaine de partenaires, différents horizons
32:35avec lesquels on va travailler
32:37pour l'obtention soit
32:39d'un diplôme, soit
32:41l'acquisition de compétences pour mener
32:43une action X ou Y.
32:45Donc nous, en fait,
32:47l'objectif c'est vraiment
32:49d'emmener quelqu'un
32:51de A, de l'emmener jusqu'à
32:53au maximum Z, peut-être.
32:55L'idée c'est vraiment d'arriver
32:57à ce que nos bénévoles
32:59s'y retrouvent parce qu'ils vont apporter leurs compétences
33:01en même temps, comment dire,
33:03les personnes que l'on accompagne puissent aussi s'y retrouver
33:05pleinement parce qu'on va leur apporter de la compétence
33:07pour une réussite derrière.
33:09On évoquait tout à l'heure dans la séquence
33:11précédente Mind,
33:13c'est un peu ça, vous travaillez
33:15en bonne intelligence
33:17avec les partenaires
33:19au service de l'intérêt général.
33:21Oui, c'est-à-dire que nous,
33:23nous ne sommes pas une entreprise,
33:25donc en fait l'objectif c'est de ne pas être en concurrence
33:27avec des entreprises sur le marché,
33:29avec des salariés, etc.
33:31Je ne crois pas aimer qu'on vienne titiller sur là-dessus.
33:33Par contre, nous on fait beaucoup
33:35d'actions
33:37que d'autres ne mènent pas,
33:39ou qui sont vraiment du ciblage
33:41très précis, par exemple quand on fait du français
33:43vraiment cible et métier.
33:45Aujourd'hui, trouver aussi du temps,
33:47parce qu'en règle générale ça se fait après 17h, 18h,
33:49en dehors des heures, on va dire, classiques.
33:51Oui, c'est du bien neuro, du sur-mesure.
33:53Alors,
33:55tout public peut
33:57solliciter AgirABCD,
33:59chaque année vous accompagnez
34:01combien de personnes ?
34:03Aujourd'hui,
34:05pour 2024, on va être à peu près à 550 personnes
34:07accompagnées.
34:09Ensuite, des personnes, on va dire, c'est un peu plus
34:11diffus, puisqu'on intermet aussi beaucoup au niveau
34:13de la sécurité routière, dans le cadre
34:15d'actions menées avec la préfecture de la Loire.
34:17Donc là, on va toucher peut-être
34:193-4 000 personnes, puisque là on a été très présents
34:21cette année, notamment sur le village olympique,
34:23également sur des
34:25actions de promotion
34:27de la sécurité routière.
34:29Les bénévoles peuvent
34:31puiser leur satisfaction dans la réussite
34:33des gens qui font vos parcours ?
34:35Est-ce qu'ils réussissent leurs examens ?
34:37Est-ce qu'ils réussissent régulièrement ?
34:39Alors, réussite de l'examen,
34:41oui, alors il y a bien sûr
34:43de l'échec, mais également
34:45de la réussite derrière. L'idée, en fait,
34:47c'est pas forcément la réussite à tout prix,
34:49c'est qu'est-ce que nous on peut apporter dans le parcours
34:51de la personne.
34:53Et des générations différentes
34:55qui se croisent ?
34:57C'est ce que j'allais dire, en fait. Inversement,
34:59avec nous, qu'est-ce que ces personnes-là
35:01nous apportent, en fait ? C'est beaucoup de connaissances,
35:03c'est beaucoup de richesses, c'est, comment dire,
35:05de la connaissance, en fait, de leur parcours,
35:07parce qu'on parle toujours du parcours du migrant,
35:09mais c'est plus intéressant de le connaître
35:11au travers de leur propre mission.
35:13Si j'ai bien compris, l'idée, c'est d'intervenir
35:15sur des champs que les structures
35:17classiques, sur lesquelles ne vont pas,
35:19vous levez un certain nombre de freins
35:21à l'emploi. Est-ce que vous avez
35:23un retour, par exemple, sur les 450
35:25personnes que vous avez accompagnées,
35:27combien ont pu trouver un emploi derrière ?
35:29Vous avez ce type de statistiques
35:31ou pas au sein de la société ?
35:33Alors on l'a, par exemple, avec le
35:35GEC-BTP, oui. En fait, ils accompagnent,
35:37ils connaissent les taux de réussite,
35:39avec, comment dire, la mission locale,
35:41puisqu'on intervient à la mission locale de Saint-Étienne
35:43pour de l'aide aux jeunes au niveau
35:45de l'apprentissage pour le code de la route.
35:47Donc là, on connaît derrière les réussites.
35:49Facile à savoir.
35:51Donc il y a des objectifs, enfin,
35:53du quantitatif, et puis à un moment, après,
35:55on ne sait pas exactement
35:57quelle va être la réussite de telle ou telle personne
35:59qu'on aura accompagnée pendant,
36:01pendant 2 mois, 3 mois, puisqu'on a des personnes
36:03qu'on a aussi sur des faibles temps
36:05qui arrêtent parce qu'ils sont sortis d'un job
36:07ou parce qu'ils sortent des radars.
36:09Alors le bénévolat, c'est tout à son honneur
36:11et par essence
36:13gracieux. Pour autant, toutes les actions
36:15dont vous parlez, toutes les actions
36:17qui sont conduites, avec le GEC, avec le CRIPI,
36:19avec d'autres, ça a un coût.
36:21D'où vient l'argent ?
36:23Ah, l'argent.
36:25Bien sûr, alors l'argent, nous,
36:27on n'intervient pas
36:29si on n'a pas une convention, en fait,
36:31de fonctionnement avec la structure.
36:33C'est-à-dire que ça peut être
36:35un échange de salles, ça peut être ça, par exemple,
36:37avec une amicale, on travaille, l'amicale Michelet, par exemple,
36:39on s'occupe des personnes du quartier
36:41et en même temps, ils nous prêtent des salles.
36:43Ça peut être une subvention,
36:45parce qu'en effet, on répond à des appels à projet,
36:47et ça peut être, en règle générale, avec les structures,
36:49avec lesquelles on travaille, il y a toujours une convention
36:51et il y a un coût à la clé.
36:53Puis après, il y a des opérations plus spécifiques,
36:55on va dire un peu des one-shot avec, je ne sais pas,
36:57une mutuelle sur 3 après-midi,
36:59autour du numérique, par exemple.
37:01Donc là, ça va être un autre type d'action.
37:03On aura toujours un modèle économique.
37:05Parce que le bénévolat, c'est bien, c'est un but non lucratif,
37:07mais quelque part, nous, on n'est pas rémunérés,
37:09mais il y a quand même besoin de matière.
37:11Donc c'est un escape game, par exemple,
37:13autour de la sécurité routière.
37:15Ou des frais exposés, des frais kilométriques,
37:17des frais de fonctionnement, oui.
37:19– Vous rayonnez sur l'ensemble du département de la Loire ?
37:21– Alors, AGRBCD 42, c'est l'intégralité du département de la Loire.
37:24On fait également du transport solidaire, par exemple,
37:26sur la région de Noir-Étable, avec une opération
37:28qui s'appelle Mobicar 42,
37:30où nous transportons des personnes âgées
37:33qui n'ont pas d'autres moyens de transport.
37:35En 2024, on va faire à peu près 25 000 kilomètres,
37:38environ 500 transports, avec des bénévoles solidaires,
37:42des chauffeurs solidaires qui vont aller chercher ces personnes,
37:45les emmener à 70% sur des rendez-vous médicaux.
37:48– Toute la Loire, mais pas que, vous allez même au-delà,
37:50puisque vous avez aussi des missions à l'étranger,
37:52pouvez-vous nous en dire un mot ?
37:54– Alors, ça, c'est vraiment la création d'AGRBCD en 1983,
37:57c'était des missions à l'étranger, 100%.
37:59Aujourd'hui, ça représente à peu près 30-35% de missions à l'étranger,
38:02et le reste sur des activations locales.
38:05L'étranger, c'est soit des demandes de missions
38:08qui sont formulées par un pays, par une ONG,
38:10soit, comment dire, un projet qui part de la France, va à l'étranger.
38:14Actuellement, on a un partenariat avec la Moldavie, par exemple,
38:17pour mettre en place des actions sur le territoire moldave.
38:21– Parfait.
38:22– Dernière question, en deux mots.
38:24Beaucoup d'associations ont vu une érosion de leurs bénévoles après Covid,
38:29vous, ce n'est pas le cas ?
38:30– Non, nous, ce n'est pas le cas, on sort peut-être un peu de l'ordinaire,
38:33mais en effet, moi, je ne me plains pas forcément,
38:35puisqu'on augmente régulièrement notre nombre de bénévoles.
38:38– Alors, justement, merci pour cette dernière question, M. Vinault,
38:41parce que Daniel Parizeau, avec AGRBCD, est très dynamique.
38:45Très dynamique sur le territoire, parce qu'il n'est pas seulement dans sa mission
38:50et il travaille pour le bénévolat en général.
38:53Et c'est un acteur, d'ailleurs, avec lequel on côtoie régulièrement,
38:56sur l'opération Les Merci aux Bénévoles,
38:58qui est une opération qui existe maintenant depuis 4 ans,
39:01qui rayonne sur l'ensemble du département
39:03et qui demande aux associations de faire aussi des appels à projets,
39:07de projets futurs, avec des items qui sont la culture,
39:11qui sont l'environnement, qui sont le patrimoine,
39:13ou qui sont la santé, la famille.
39:15Et avec ces 4 items, il y a 150 associations
39:19qui postulent sur le site internet lesmerci.fr
39:22pour pouvoir mettre son projet.
39:25Et Daniel Parizeau s'implique largement dans cette structure
39:31qui a l'avantage de mettre des coups de projecteur
39:35grâce à TL7 et à France Bleu, on doit dire ici et aujourd'hui,
39:39pour pouvoir mettre un coup de projecteur aux associations
39:42mais aussi leur donner un chèque pour pouvoir leur aider à financer.
39:47Et d'ailleurs, il y a une commission financement qui est en route
39:51et aussi il y a l'intérêt général et aussi on sollicite les entreprises
39:57pour pouvoir flécher l'ensemble des associations
40:00avec un jury dense, riche, impartial,
40:04qui permet de cerner des structures pour pouvoir les aider à financer.
40:09Autrement dit, si vous êtes une entreprise
40:11et que vous voulez faire un don,
40:12vous allez sur le site lesmerci.fr
40:15et ce don sera donné à bon escient
40:18avec une structure qui aura été élue
40:20comme étant une structure bien particulière
40:22avec une action bien ciblée sur le département.
40:25Est-ce que j'ai bien...
40:26Absolument.
40:27Parfait.
40:28Donc merci au bénévole et merci à Agir ABCD.
40:30Merci au bénévole et merci à Agir ABCD.
40:32Merci.
40:33Vous le savez certainement, il y a une pénurie de fonciers.
40:41On pourrait accueillir des entreprises,
40:43mais aujourd'hui c'est difficile de trouver des lieux
40:47et figurez-vous qu'il y a une nouvelle zone
40:49qui vient d'être mise en place par Saint-Etienne Métropole,
40:531,4 million d'euros pour créer 5 parcelles
40:57qui font entre 1000 et 5000 m2, 5 à 8 parcelles.
41:01Je vous laisse regarder ce sujet.
41:04Les travaux d'agrandissement de la zone d'activité
41:06Les Flashes à Saint-Gallemier ont débuté aujourd'hui.
41:088 nouvelles entreprises pourront donc s'installer en ville avant 2026.
41:12La métropole de Saint-Etienne a investi 1,4 million d'euros.
41:15On a investi là où on peut avoir du foncier
41:18parce qu'aujourd'hui on a un problème de pénurie foncière.
41:20Donc là où on peut récupérer du foncier,
41:22bien évidemment la métropole va développer des offres pour les entreprises.
41:27La zone d'activité Les Flashes 2, elle méritait d'être agrandie.
41:30Pourquoi ? Parce qu'on a beaucoup de demandes d'entreprises
41:32qui souhaitent s'installer sur le territoire de la métropole.
41:35Et pour pouvoir répondre aux demandes des entreprises,
41:37nous devons créer des zones d'activité ou les agrandir comme ici.
41:40On avait les Flashes 1 et là c'est les Flashes 2 qui vont s'agrandir
41:44avec 8 lots qui sont viabilisés et qui vont être entre 1000 et 5000 m2
41:49qui vont permettre d'accueillir des beaux projets.
41:51Des comités de sélection auront lieu
41:53afin de choisir les entreprises qui pourront s'installer.
41:55Le premier aura lieu en décembre et le maire de Saint-Gallemier
41:58compte bien garder un œil sur la sélection.
42:00Le jury sera composé à la fois des élus de métropole et de la commune,
42:03mais ce sera avant tout le fait de pouvoir accueillir à la fois
42:06les entreprises actuelles qui veulent s'agrandir
42:08et qui sont à l'étroit aujourd'hui dans leur mur.
42:10Donc ces entreprises-là seront privilégiées,
42:13mais il faudra bien sûr un niveau d'emploi minimal
42:16pour que ce soit une zone d'activité économique.
42:18Donc on va dire minimum 3 emplois par société.
42:22Pour la ville de Saint-Gallemier, l'agrandissement de la zone d'activité
42:25permettra également un essor d'attractivité.
42:27Quand on accueille des gens qui viennent travailler
42:29dans Saint-Gallemier, on espère qu'ils viennent bien sûr
42:31s'installer avec leurs familles sur la commune.
42:33Et en plus au niveau de nos commerces locaux,
42:35ça accompagne la bonne vitalité de notre commerce local.
42:38L'extension Les Flashes 2 est prévue pour la fin 2025.
42:41Elle ajoutera 2,13 hectares aux 2,28 déjà aménagés.
42:51Et pour terminer cette émission,
42:53nous allons parler du Journal des entreprises.
42:56Pour vous parler du numéro double
42:58décembre-janvier du Journal des entreprises Auvergne-Rhône-Alpes,
43:00un numéro dans lequel vous trouverez une interview
43:02du nouveau directeur général de Casino
43:04qui nous explique son plan pour retrouver l'équilibre
43:06ainsi qu'une enquête sur les zones de turbulences
43:08rencontrées par la filière aéronautique dans la région.
43:10Tout ceci est à retrouver en format papier
43:12et également sur le www.lejournaldesentreprises.com
43:16Merci beaucoup.
43:17Vous savez, la Loire est un territoire de savoir-faire
43:20et nous, à Loire & Co, on est là pour vous le faire savoir.
43:22Au revoir.
43:25...

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