• il y a 9 heures
Le Premier ministre a tendu la main à la gauche qui pourrait accepter de ne pas le censurer si l'application de la retraite à 64 ans était suspendue. Mais une partie de la gauche craint un jeu de dupes tandis que la droite est vent debout. Quant au camp présidentiel, il hésite, au même titre que le RN.

Category

🗞
News
Transcription
00:00Mais nous, nous ne voulons pas bordéliser les institutions, nous sommes respectueux des institutions, on ne censure pas a priori et on attend de voir.
00:07On attend tout à l'heure de voir ce discours de Politique Générale, même si effectivement on n'en attend pas grand-chose.
00:12On a du mal à imaginer que François Bayrou soit l'homme de la rupture avec le macronisme, soit l'homme qui fera un budget différent,
00:20mais il faut qu'il le fasse. Vous savez, c'est quand même très étonnant. Nous avons censuré ce gouvernement parce que le budget qu'il nous proposait était un budget socialiste.
00:26Il y avait 40 milliards de taxes et d'impôts supplémentaires. Nous ne voulions pas que les Français payent plus cher leurs médicaments,
00:31que les TPE, PME voient des hausses de charges. Nous voulions que les retraites soient indexées sur l'inflation.
00:37C'est la raison pour laquelle nous l'avons fait tomber. Et donc le gouvernement n'a même pas appris de cette leçon puisqu'il se tourne vers le Parti Socialiste.
00:43Donc c'est vrai que la période que nous vivons, tous autour de cette table, on est observateurs de la vie politique, est quand même très particulière.

Recommandations