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00:0516h-17h, Sud Radio, c'est votre avenir, Alexandre Deloval.
00:09Bonjour à tous, ravi de vous retrouver pour une nouvelle semaine.
00:13Je suis avec vous pour vous accompagner et aussi pour vous guider intuitivement
00:18et même si vos journées sont souvent remplies de défis et d'incertitudes,
00:22mais cultiver une attitude positive peut sembler être un défi difficile
00:27dès lors que vous êtes dans des doutes.
00:30Alors, être positif est une compétence que vous pouvez tous développer
00:35et renforcer avec le temps.
00:37L'optimisme vous pousse à l'inspiration et à aller de l'avant
00:41et non à se freiner des peurs, des craintes et des croyances collectives.
00:46Je vais vous donner des conseils pratiques et inspirants
00:49pour vous aider à cultiver optimisme et positivité.
00:54Nos auditeurs d'aujourd'hui sont optimistes ou sont-ils pessimistes ?
00:58C'est notre sujet du jour et je vous donnerai aussi la signification
01:02lorsqu'on rêve de séquestration.
01:04Soyez le prochain auditeur pour passer à l'antenne de Sud Radio 0826 300 300.
01:11Marie est aux commandes de la réalisation,
01:13et Zach au standard.
01:15Sud Radio, c'est votre avenir, Alexandre Deloval.
01:19Et j'ai le plaisir d'accueillir ma première auditrice, Sandrine.
01:22Bonjour auditrice, euh, bonjour à Sandrine.
01:25Bonjour Alexandre.
01:27Comment allez-vous Sandrine ?
01:29Ben ça va.
01:30Ben ça va, bon très bien.
01:32Vous avez un début de semaine qui débute bien ?
01:36Euh, moyennement.
01:38Moyennement.
01:39Je vais essayer de rester optimiste.
01:41Voilà, exactement, puisqu'aujourd'hui on parle d'optimisme.
01:43Est-ce que vous, vous êtes d'une nature,
01:45parce qu'il y a des personnes qui ont des personnalités naturellement optimistes
01:49et puis il y a d'autres personnes où justement ils doivent mettre tout en place
01:54des moyens et des outils pour être optimistes.
01:58Vous faites partie de quelle catégorie de personnes ?
02:01Je dirais plutôt pessimiste,
02:04mais je me contraigne à essayer d'être dans du positif et de voir positif.
02:12Mais ma nature serait plutôt dans le pessimisme.
02:16Oui, et puis pas évident,
02:18quand on est entouré de personnes, d'un entourage qui parfois nous pousse à être
02:23pas forcément positif et optimiste.
02:26Vous avez une astuce pour vous protéger justement de choses ou de personnes toxiques ?
02:33Hum, non, j'avoue, non.
02:35Non, bon, en tous les cas...
02:36J'essaie de rester en retrait et d'éviter d'être entraîné,
02:41mais c'est pas toujours facile d'avoir le recul.
02:43Effectivement, et il est important de savoir s'économiser.
02:48C'est-à-dire que quand vous êtes face à des personnes qui génèrent du pessimisme,
02:53et bien de faire en sorte non pas de les abandonner,
02:55mais de faire en sorte de vous protéger et de ne pas entrer trop dans des dialogues
03:00qui vont justement vous amener, vous nourrir vers quelque chose de polluant et de toxique.
03:06Et bien sûr, je vous donnerai d'autres conseils tout le long de l'émission.
03:10Alors Sandrine, vous avez vécu une situation difficile,
03:16et notamment concernant votre fille,
03:19où j'imagine que vous, à quelques centaines de kilomètres de là où se situe votre fille,
03:25vous avez eu très peur.
03:26C'est à la suite des événements en Espagne, c'est ça ?
03:30Oui, tout à fait, oui.
03:31Racontez-nous un petit peu.
03:33Alors, ma fille a eu son bac l'an dernier.
03:39Elle est partie en école d'enterre en Espagne, à Valencia.
03:45Et voilà, donc elle est partie d'une petite ville très familiale,
03:51et reprête sur une grande ville, universitaire, internationale.
03:57Et là aussi se sont griffés les événements climatiques qu'il y a eu sur Valencia,
04:02qui ont chamboulé son quotidien sur 15 jours,
04:06avec toutes ces inondations, toutes ces catastrophes, les personnes disparues,
04:11la pénurie d'eau alimentaire.
04:14Et elle était au cœur de cette catastrophe climatique, votre fille ?
04:18Pas complètement, non.
04:20Parce que c'est plutôt des petits villages voisins,
04:22mais il y a eu un impact quand même sur le moral, sur les transports,
04:28et donc sur un rythme de vie,
04:31et puis imprégné de tout ce qui se passait,
04:34puisque les voitures les unes sur les autres,
04:37les bateaux sur les voitures, des personnes en détresse,
04:41donc pas directement, mais indirectement, oui.
04:46C'est une population qui a fait preuve de solidarité.
04:49Votre fille en a fait partie, de cette solidarité-là ?
04:53Oui, ma fille et mon fils, et surtout mon fils qui est aussi là-bas.
04:56Ils sont partis aider.
04:58Est-ce qu'elle est suivie aujourd'hui, psychologiquement, votre fille ?
05:01Oui.
05:02Oui, d'accord.
05:03Est-ce que, d'après vous, elle est en train de dépasser ce traumatisme,
05:08ou est-ce qu'elle s'enfonce dans quelque chose de dur et de difficile ?
05:11Non, non, je pense que ça va aller.
05:15Qui c'est autour d'elle qui a une consommation de cigarettes excessives ?
05:20Peut-être son frère.
05:22C'est son frère ? D'accord.
05:24Elle est avec lui, ou elle vit avec lui, ou il y a...
05:27Alors non, pas du tout, elle vit pas avec lui, mais ils sont dans la même ville.
05:30Et donc, vous la hébergez quelque temps, le temps qu'on puisse trouver un logement amoureux, là.
05:35D'accord. Et sa consommation de cigarettes est excessive, c'est ça ?
05:39Non, pas trop, je pense pas, pas à l'excès.
05:42Pas à l'excès.
05:43En tous les cas, il y a quelqu'un qui fume beaucoup, ou autre,
05:47et qui semblerait vouloir l'aider ou l'accompagner dans ce...
05:51Alors, c'est peut-être le frère ?
05:53Oui, peut-être.
05:54Peut-être qu'il est là pour l'accompagner et pour l'aider.
05:57Aujourd'hui, quelle est votre interrogation pour votre fille ?
06:01Alors, suite à ça, et puis suite à cet événement, mais pas que, je pense,
06:07Léa a eu un coup de panique.
06:10Et donc, c'est une enfant déjà anxieuse,
06:16et donc, qui a été angoissée, qui ne dormait plus,
06:25qui n'arrivait plus à se concentrer la journée, pas dormir la nuit.
06:29Et voilà, du coup, on a essayé de la rassurer, de la sécuriser à distance.
06:35Et voilà, ça avait l'air d'aller un petit peu mieux cette fin de semaine.
06:41Et elle nous disait, mais je ne vais pas y arriver.
06:46Voilà.
06:47Je ne vais pas y arriver par rapport à son niveau scolaire.
06:52À ses examens.
06:52À ses examens, voilà. Exactement, oui.
06:55Elle est dans quel cursus d'enseignement ?
06:59Dentaire.
07:00Ah, c'est dentaire, d'accord.
07:02Et aujourd'hui, elle a déjà des fragilités ou des difficultés auparavant,
07:09avant d'avoir vécu ce traumatisme ?
07:11Oui, c'était une enfant déjà anxieuse, qui avait toujours peur de ne pas réussir,
07:15de ne pas bien faire et qui était quand même assez brillante, justement.
07:19D'accord.
07:20Pour moi, justement, de ce que je ressens, c'est qu'elle a un côté perfectionniste, votre fille.
07:26Et aujourd'hui, même s'il y a eu cet événement qui n'a fait que la ramener à des prises de conscience,
07:34à des peurs et à ses propres peurs, en fait, ça n'a fait que réveiller ses propres peurs
07:39qui sont déjà existantes depuis longtemps et depuis même très longtemps.
07:44Et c'est peut-être effectivement le moment pour elle d'entreprendre un travail pour guérir
07:54et pour lutter contre ces peurs-là et d'aller vers quelque chose d'un climat plus confiant
08:01et d'un avenir plus optimiste.
08:04Parce que je sens que chez votre fille, elle cultive quand même cette notion du pessimisme,
08:10même si elle est brillante, même si elle avance, elle est courageuse.
08:14Parce que malgré tout, elle a quand même décidé d'aller suivre un cursus d'enseignement universitaire à l'étranger.
08:22Donc, elle est quand même courageuse.
08:24Elle a l'ambition d'avancer.
08:26C'est vrai qu'elle est courageuse.
08:27Oui, totalement.
08:28Mais elle a des peurs qui remontent à peu près de l'âge.
08:31Entre ses 11 et 13 ans, elle a vécu des peurs.
08:34Il y a eu quelque chose, je ne sais pas si c'est d'un point de vue familial ou des événements.
08:38Oui, il y a eu ça.
08:40Et ces peurs se sont construites à partir de cet âge-là.
08:43Et elle s'est auto-éduquée avec ses propres peurs.
08:46Donc, je ne veux pas dire que cet événement n'a été très bien, pas du tout, loin de moi.
08:51Mais je crois qu'il faut qu'elle profite d'avoir vécu ce malheureux événement et ce traumatisme-là
09:00pour se dire, ça y est, je me prends en main et maintenant je vais corriger en profondeur,
09:05soigner en profondeur toutes mes fragilités, toutes mes difficultés.
09:09Elle a été suivie jusqu'en terminale et puis là, elle est partie à l'étranger.
09:15Donc, le suivi n'est pas le même, il est à distance parce que c'est compliqué.
09:20La maîtrise de la langue n'est pas complète sur le plan de la langue espagnole.
09:27Mais elle s'accroche.
09:29Et puis, on nous avait dit que justement, le fait qu'elle parte, ça pourrait lui faire du bien
09:33de s'éloigner un peu de la cellule familiale.
09:37Mais justement, il faut que cette période-là, elle la prenne comme une période salutatrice
09:42parce que pour moi, elle va réussir ses études.
09:44Elle a toutes les capacités.
09:46Il faut qu'elle lutte contre cette notion de peur.
09:48C'est bien d'avoir des peurs.
09:50Les peurs nous permettent de se remettre en question.
09:52Mais vivre avec ces peurs nous rend complètement négatifs et nous empêche et nous isole d'avancer.
09:58Donc, pour moi, vraiment, parfois, on vit tous des événements traumatisants.
10:05Et il ne faut pas uniquement s'arrêter.
10:07Bien sûr, tout dépend de l'événement.
10:10On relativise aussi, mais certains événements, il faut justement en profiter pour se dire
10:15c'est un moment où je vais rebondir et que ça fasse un effet un peu trampoline
10:20pour repartir sur quelque chose de positif.
10:22Et c'est ce qui va se passer pour votre fille.
10:24Vous verrez qu'elle va être étonnante dans sa manière d'avancer, de rebondir,
10:30de s'auto-guérir aussi, même si elle est suivie thérapeutiquement.
10:35Mais il ne faut pas qu'elle lâche et surtout qu'elle aille chercher en profondeur,
10:39non pas les peurs de ce qui s'est passé ces dernières semaines,
10:42mais de ce qu'il y a eu à partir de ses 11 ans,
10:45où là, elle a besoin de se réconcilier avec elle-même et avec ses propres peurs.
10:50D'accord ?
10:51D'accord, merci.
10:52Merci et surtout, vous, en tant que maman, Sandrine,
10:56restez confiante et envoyez-lui de la force et du courage.
11:01Merci beaucoup, Alexandre.
11:02Vous m'en donnez, en tout cas.
11:04Merci, on vous embrasse très fort.
11:06Merci beaucoup, maman.
11:08Merci, à très bientôt.
11:09Et allez, nous, on va faire une petite pause.
11:11Moi, je n'aurais pas peur de vous retrouver dans quelques minutes.
11:14Ni Marie, à la réelle, n'aura pas peur du tout.
11:17Et on va, nous, se retrouver avec Radhi.
11:20Eh bien, Radhi nous appelle pour un retour de prédiction.
11:23On adore ça et elle nous appelle parce qu'auparavant,
11:27elle avait un souci sentimental.
11:30Aujourd'hui, elle nous racontera en direct
11:32comment les choses ont évolué.
11:34Ne bougez pas et puis, on parlera, bien sûr, de l'optimisme.
11:37Sud Radio.
11:39Parlons vrai.
11:40Parlons vrai.
11:40Sud Radio.
11:41Parlons 16h, 17h.
11:42Sud Radio, c'est votre avenir.
11:44Alexandre Deloval.
11:46Et de retour dans votre émission, c'est votre avenir.
11:48Alors, vous, vous avez peut-être des questionnements sur votre futur
11:53ou tout simplement aussi un projet de vie, de déménagement,
11:56peut-être de reconversion professionnelle ou d'un point de vue familial.
12:00Vous vous posez des questions sur l'un de vos proches.
12:03Un numéro, le 0 826 300 300 ZAC au standard vous attend.
12:08Et bien entendu, vous aurez cette possibilité de passer à l'antenne et en direct.
12:13Aujourd'hui, on parle d'optimisme.
12:15Et oui, vous savez que l'optimisme, c'est une pratique, une attitude au quotidien.
12:19Il faut avant toute chose être prêt au changement pour agir,
12:23car l'optimisme, c'est surmonter les situations difficiles.
12:27Et bien entendu, bien entendu, choisir vos mots, c'est très important.
12:32Alors, si vous souhaitez en finir avec le négatif et le pessimisme,
12:37prenez soin de l'environnement, du contenu média aussi,
12:41de l'information ou de l'actualité qui entre en contact avec vos yeux et votre cœur
12:47afin de prendre soin de vous et de prendre aussi soin de votre bien-être mental et émotionnel.
12:54Car nourrir trop de critiques à votre égard et à l'égard des autres,
12:58ça vous rend forcément négatif et aussi donc pessimiste.
13:02Cultivez la compassion envers les autres.
13:05C'est très important de pouvoir le faire.
13:07Accepter les imperfections de chacun et celles aussi de vous-même.
13:13Eh bien, ça vous rendra plus heureux et aussi même, ça vous rendra plus en paix.
13:18Prendre soin de votre corps pour être positif, ça passe par une alimentation saine,
13:23par de l'exercice physique pour prêter plus d'attention à votre corps.
13:28Et souvenez-vous que vous méritez d'être heureux, alors soyons positifs.
13:33Et à présent, j'ai le plaisir d'accueillir Radhi. Bonjour Radhi.
13:36Bonjour Alexandre.
13:38Je suis heureux de vous avoir à l'antenne.
13:41Je crois que vous nous avez appelé il n'y a pas très longtemps
13:43parce que je me souviens bien de votre témoignage.
13:46Il y a de cela trois semaines.
13:47Il y a trois semaines, voilà, exactement.
13:51Et vous nous avez appelé pour quel sujet ?
13:53Enfin, je crois que c'est sentimental, mais il s'agissait de quoi exactement, Radhi ?
13:59Sentimental, c'est-à-dire que mon compagnon,
14:03ça n'allait pas, ça n'allait pas puisqu'il voyait son ex-femme,
14:08son ex-ex-femme, comme il dit, et moi, ça ne me convenait pas.
14:12D'accord.
14:13Ça ne me convenait pas, donc une séparation, de toute façon.
14:18Mais alors, pardonnez-moi, vous viviez ensemble
14:20ou est-ce que vous viviez séparés tous les deux ?
14:22On vivait séparés, chacun dans son appartement, en fait.
14:25D'accord, d'accord.
14:27Donc, ça ne vous convenait pas ce jour-là ?
14:28C'était à quelle période ?
14:30Donc, il y a trois semaines, c'était au mois de novembre.
14:32C'est ça.
14:33Voilà.
14:33Et vous nous avez appelé pour savoir quelle était votre question ?
14:36C'était savoir si vous allez continuer ou pas, non ?
14:39C'est ça, oui.
14:41Si on allait continuer ensemble, voilà.
14:43D'accord.
14:43Et je vous ai dit quoi, Radhi ?
14:45Et vous m'aviez dit que ce que j'ai retenu, que ça allait s'arranger.
14:50Voilà, ça j'ai retenu, ça s'est clair et net.
14:53D'accord.
14:54Voilà, et donc oui, en effet, depuis dix jours, ça s'est remis, on s'est remis, donc...
15:00Ça s'est remis.
15:01Voilà.
15:01Ah ben, on aurait pu faire sonner le gong.
15:06Bon, parfait, mais comment ça s'est remis ?
15:08Parce que, bon, vous dites ça s'est remis, mais comment, il y a eu peut-être...
15:11Est-ce que vous avez laissé passer certaines choses ?
15:15Est-ce que lui s'est remis en question ?
15:17Est-ce que vous avez tapé du poing sur la table ?
15:19Racontez-nous un petit peu.
15:21J'ai laissé passer certaines choses, puisque déjà, à mon âge, là,
15:25j'ai plus le temps de, comment dire, chercher à être de nouveau de ceci, de cela.
15:32Il se trouve qu'avec lui, ça fait depuis quatre ans qu'on est ensemble.
15:36D'accord.
15:37Donc très bien, il m'a dit de lui faire confiance.
15:39S'il voit son ex-femme, comme il le dit, c'est pas pour autre,
15:45c'est juste pour de l'amitié.
15:47Bon, parfait.
15:48Donc là, vous lui accordez encore de la confiance ?
15:51Oui.
15:52Et là, pour l'instant, il montre, on va dire, patte blanche.
15:55Voilà, c'est ça.
15:56Mais ça va continuer.
15:57Il va falloir peut-être, de temps en temps, lui rappeler certaines règles,
16:00parce que ça reste un homme.
16:02Désolé.
16:03Ah oui, c'est vrai.
16:05Vous les connaissez, les hommes.
16:07À peu près, oui.
16:08Voilà, je veux pas dire que ça s'éduque, mais quand même.
16:12Parfois, ça peut se laisser un peu aller, mais il ne le fera pas pour vous faire du mal.
16:16Il le fera tout simplement pour le bien de tout le monde.
16:19Mais voilà, c'est à vous d'être attentive et puis de nourrir cet amour
16:26et de rester optimiste et positive, comme vous l'avez fait.
16:29Donc vous êtes d'une nature positive, non ?
16:31Ah oui, je le suis, je le suis, oui.
16:35Aujourd'hui, est-ce que vous avez une autre question sur un autre sujet
16:39ou ça concerne toujours le même sujet ?
16:41Voilà, j'ai une question sur une maison que j'ai mis en vente depuis deux ans au Sénégal,
16:49puisque j'ai voulu la vendre pour acheter ici un appartement, en fait.
16:54D'accord.
16:55Et elle ne se vend pas, cette maison ?
16:58Ça ne se vend pas.
16:59J'ai eu une seule proposition qui ne me convenait pas et depuis lors, plus rien.
17:05C'est bizarre parce que l'accès de cette maison, est-ce que c'est un peu compliqué
17:09ou est-ce qu'il y a un accès particulier à cette maison ?
17:14C'est un peu compliqué, alors accès...
17:17Comment vous dis-je ?
17:18Quand il pleut, bien sûr, il y a beaucoup d'eau.
17:20De toute façon, on pourrait y accéder, voilà.
17:23Quand il pleut, vous voulez dire que c'est une zone inondable ?
17:28Entre guillemets, puisque ce n'est pas loin de la mer aussi.
17:31Ce n'est pas loin de la mer et à côté, il y a une déchetterie aussi,
17:34à 2-3 kilomètres de là, je crois, je ne sais plus.
17:36D'accord.
17:38Et moi, on montre un accès un peu difficile,
17:43donc ça peut être lié à des raisons climatiques,
17:46mais est-ce que c'est une route, un chemin pour y accéder
17:50qui est un peu plus difficile au niveau de l'accès de cette maison ?
17:54Peut-être, peut-être, peut-être.
17:57Puisque aussi, je reviens sur ça, il y a beaucoup de sable.
18:00La première fois que j'y suis allée, en voiture, c'est un peu compliqué aussi.
18:04Voilà, c'est ça.
18:06Parce que je pense que ça aussi, ça freine un petit peu.
18:10Alors peut-être que le site est idéal, il est paradisiaque, certes,
18:14mais l'accessibilité me semble un peu compliquée.
18:17Et peut-être, ou alors, il faut envisager de refaire un peu la route
18:21ou d'entretenir de manière à ce que ça soit plus sécurisant.
18:26Mais vous allez vendre cette maison, vous allez la vendre.
18:28Vous allez pouvoir la vendre et ça se fait surtout par réseau.
18:31Il y a une femme qui s'en occupe là-bas, qui gère ?
18:34Oui, ma petite sœur.
18:35C'est la petite sœur, d'accord.
18:37Et est-ce qu'elle a donné cette maison dans une agence immobilière ?
18:45Non, je ne pense pas.
18:46Elle avait trouvé un courtier, comme on dit.
18:49Un courtier, oui.
18:50Oui, parce que pour moi, il y a un intermédiaire
18:52qui vous amène un potentiel, enfin des clients.
18:57Et je crois que cet endroit-là, on peut le transformer
19:00pour en faire quelque chose de secondaire, de vacances
19:04ou peut-être pour louer pour des vacanciers ou autre.
19:08Mais on dirait que dans cette habitation-là,
19:11on en fera quelque chose pour en faire une activité estivale
19:15ou en tous les cas de saisonnière.
19:19D'accord.
19:20Alors ça va se vendre, mais ça va demander encore un petit peu de temps.
19:23Et est-ce que votre sœur doit être appuyée ou doit être aidée
19:28par d'autres personnes ?
19:29Ce n'est pas impossible.
19:30Ce n'est pas impossible parce que par elle-même, toute seule,
19:32je sens que ça va être un peu plus compliqué.
19:34Et on peut l'amener vers une femme d'une bonne quarantaine d'années
19:39qui a un réseau de contacts où là, il y a effectivement
19:43cette opportunité, cette possibilité de vendre.
19:46Alors après, la négociation au niveau du prix,
19:49il va falloir faire attention parce qu'on essaiera
19:50de vouloir vraiment l'abaisser au niveau de son prix.
19:54Alors que c'est une maison, quand même, de par son site et géographique,
19:59elle a quand même une certaine valeur à respecter.
20:02Donc attention de ne pas trop céder.
20:04Oui, donc ne pas être pressée en fait, c'est ça ?
20:08Oui, ne pas être pressée.
20:09Et je ne sais pas, il y a quatre personnes.
20:12Est-ce qu'il y a quatre personnes sur cette maison ?
20:15Vous êtes toutes seules avec votre sœur sur cette maison ?
20:18Vous êtes combien ?
20:19C'est-à-dire ?
20:21Deux dents ou je n'ai pas compris ?
20:23Un héritier de cette maison ?
20:25Ah oui, non, ça c'est ma propre maison à moi.
20:30D'accord, et vous avez vous même construit une famille de quatre ?
20:33Non, non, non, j'ai deux enfants en fait.
20:38D'accord, mais quand vous avez eu cette maison,
20:40vous étiez peut-être avec vos deux enfants et le papa des enfants peut-être ?
20:45Voilà, c'est ça.
20:48Bon, mais en tous les cas, vous allez vendre,
20:49mais il va falloir patienter encore un petit peu, d'accord ?
20:52Très bien.
20:54Bien, merci, un peu moins d'une année pour la vente.
20:58Ah, super !
20:59Merci à vous, Rédi, prenez soin de vous.
21:02Et puis si votre compagnon n'est pas sage,
21:05vous appelez le 0 826 300 300, on va s'occuper de lui.
21:10Très bien, très bien.
21:12De toute façon, la prochaine fois, ça sera pour mon fils.
21:15Bon, ça j'appellerai une autre fois.
21:16Allons-y.
21:17Très bien.
21:18Merci, à bientôt.
21:19Je vous remercie, au revoir.
21:21Et nous, on va faire une petite pause.
21:23On va se retrouver avec Françoise.
21:25Françoise a rencontré un homme il y a six mois sur un site de rencontre.
21:29Bon, là, tout va bien.
21:30Cet homme a un fort tempérament avec des jugements sévères concernant Françoise.
21:37Elle s'est confiée à sa maman pour lui expliquer que tout n'allait pas très bien dans cette histoire,
21:42sauf qu'il a entendu la conversation.
21:44Et ça fait une semaine maintenant qu'elle n'a plus de nouvelles de cet homme.
21:48Et elle espère quand même une réconciliation, car elle reste quand même attachée à lui.
21:52Est-ce possible ou pas ?
21:54La réponse, c'est dans quelques minutes.
21:55Et surtout, ne bougez pas.
21:58Retour de C'est Votre Avenir dans un instant sur Sud Radio.
22:0216h17, Sud Radio, C'est Votre Avenir, Alexandre Deloval.
22:06Et de retour dans votre émission, C'est Votre Avenir.
22:09Alors, bienvenue à tous ceux qui nous rejoignent.
22:12Je rappelle un numéro d'appel, le 0 826 300 300.
22:15Vous avez des problèmes, ça arrive pour tout le monde d'avoir des soucis, des inquiétudes,
22:20des interrogations sur son futur ou sur un proche.
22:24Eh bien, à ce numéro, 0 826 300 300.
22:28Aujourd'hui, on parle d'optimisme.
22:30Et oui, vous savez qu'il est important d'être optimiste et arrêter de vous mettre la pression.
22:36Et plutôt, faites rentrer de la légèreté dans votre quotidien.
22:40Ça permettra d'être optimiste et de cultiver aussi au quotidien la pensée positive.
22:48Et puis, on est aussi parfois trop négatif quand on est trop sérieux.
22:53Alors, il faut oser de tout.
22:56Il faut oser adopter une attitude de plus en plus désinvolte et puis oser rire à la vie,
23:03oser rire de vous-même, oser faire de l'humour.
23:07Et vous verrez que les choses vous amèneront à plus d'optimisme.
23:10Et je vais être optimiste pour Françoise, je l'espère.
23:14Bonjour, Françoise.
23:15Bonjour, Alexandre.
23:17Bienvenue à l'antenne de Sud Radio.
23:19Ah oui, je suis heureuse de vous avoir.
23:21Moi aussi, je suis ravi.
23:22J'entends le son de votre voix qui a plein d'énergie positive.
23:29Et donc, je vais vous poser cette question.
23:31Est-ce que vous êtes, vous, de nature optimiste?
23:35Je le suis souvent.
23:37Je me pousse à l'être.
23:38Quand je vois que le moral descend, je me dis non, ça va aller.
23:42Tu vas y arriver. C'est bon.
23:44Voilà, exactement.
23:45C'est important, comme je disais tout à l'heure, de choisir les bons mots pour corriger.
23:50Et même dans des choses, des pensées négatives, eh bien, on essaye de trouver des phrases
23:57qui vont justement être positives et optimistes.
24:01Alors, Françoise, vous avez rencontré un homme sur un site de rencontre.
24:06Eh bien, pourquoi pas?
24:08Pourquoi pas?
24:11Vous êtes d'où, Françoise?
24:14Je suis du Gard.
24:15Du Gard.
24:16Donc, ça a été facile, cette rencontre?
24:21Je ne l'avais pas bien choisi, mais après, bon, il était gentil, agréable.
24:27Les premiers temps, c'était moyen, mais bon.
24:30Et puis, petit à petit, il voulait toujours avoir raison, avoir le dessus sur moi.
24:36Il m'imposait des choses auxquelles je n'avais pas réfléchi, ni voulu, ni...
24:41Et là, je me laissais un peu faire.
24:44Et plus ça allait, et plus il prenait le dessus sur moi, et voilà.
24:48D'accord, il a un besoin de contrôle sur vous.
24:52C'est ça, exactement.
24:54Est-ce qu'il porte des jugements sur vous ou est-ce qu'il vous dévalorise?
24:59Oui.
25:00Ça, c'est pas bien.
25:01Et quel genre de jugement et quel genre de dévalorisation?
25:05Un jour, il me posait des questions sur quelque chose de banal,
25:09sur les numéros des villes, vous savez, comme chez nous.
25:16Eh bien, je ne me rappelais pas du tout.
25:18Et il m'a dit, mais qu'est-ce que tu as appris en géographie?
25:20Mais tu n'as pas été à l'école.
25:23Mais de la façon, j'en ai même pleuré.
25:25Oui, oui.
25:26Voilà.
25:27Oui, c'est humiliant un peu, ce genre d'attitude.
25:30Tout à fait.
25:31Ah oui, effectivement.
25:33Alors, de ce que j'ai comme information,
25:35vous avez appelé votre maman?
25:38Oui, parce que j'en avais marre.
25:40Mais très bien.
25:42Est-ce que je peux vous demander votre âge?
25:44J'ai 70 ans.
25:46Mais magnifique. Et votre maman est à quel âge alors?
25:4989 ans.
25:5089 ans. Elle vous a eu jeune.
25:52Et encore à 70 ans, on appelle sa maman pour se confier.
25:59Mais c'est magnifique.
26:00Oui, parce qu'elle est coûteuse.
26:02Elle est bienveillante et elle a des actes de gratitude envers vous.
26:08C'est ça.
26:11Et donc, il a entendu la conversation.
26:13C'est ça.
26:14Alors, racontez.
26:16Il m'avait dit au tout début de notre relation,
26:19il voulait qu'on vive et qu'on vieillisse tous les deux.
26:22Donc, j'étais d'accord, il n'y avait aucun problème.
26:24Et le chemin faisant, il me disait toujours
26:28quand il venait à l'appartement,
26:30que mon appartement lui plaisait.
26:32Mais il ne m'a jamais dit ouvertement qu'il voulait vivre avec moi et chez moi.
26:37Et là, ce jour-là, il me reparle de son amie avec qui elle était formidable.
26:46Moi, j'en pouvais plus là.
26:48Ça, c'est toujours les mêmes choses.
26:49Moi, me dévaloriser.
26:51Là, j'ai dit, écoute, là, il faut...
26:52Voilà, j'en pouvais plus.
26:54Il faisait une comparaison avec vous?
26:58Entre son ex-amie et vous?
27:00Non, il ne faisait pas une comparaison,
27:01mais il me disait, elle, elle le savait faire ça, le savait faire ça.
27:05Un petit peu quand même.
27:06Oui, oui, oui, d'accord.
27:08Oui, oui, à la limite.
27:10Et il part dans le salon, donc moi, je sentais vraiment...
27:15Je lui ai déjà dit, je lui ai dit, on devrait parler un petit peu,
27:18dire ce qui ne va pas et tout.
27:19Mais c'est juste le départ, on ne se connaît pas bien.
27:22Et puis tu verras, au fur et à mesure, ça ira bien, tout ça.
27:26Et il ne voulait jamais qu'on discute à fond des problèmes que je ressentais, moi.
27:31Bien sûr.
27:31Et donc, il va s'asseoir dans le salon, tout ça.
27:36Et moi, j'en profite pour me mettre dans la cuisine, fermer tout.
27:40Et voilà, c'est maman.
27:42Et voilà, c'est magnifique.
27:45Maman, elle me pose la question,
27:46mais tu te sens vivre avec lui?
27:48Et je réponds, non.
27:49Et là, ça a été déflagrant.
27:52Il est parti, il est parti chez lui.
27:54Donc, le lendemain, sans rien dire, comme si c'était en m'embrassant,
27:58en me disant, ma chérie, je t'appelle dès que j'arrive et tout.
28:02Et le lendemain, il me dit, voilà, j'ai à te dire quelque chose de sérieux.
28:06Tu ne m'interromps pas.
28:08Et il me dévoile tout ça.
28:10Il me dit, voilà, j'ai entendu que tu parlais avec ta mère.
28:12J'ai entendu que tu disais des choses, que tu disais le contraire avec moi.
28:16Donc, tu dis le contraire avec qui ça t'arrange.
28:19Voilà, donc ça a été déflagrant.
28:22Il a profité de l'occasion de partir, de ne plus être dans votre cercle à vous,
28:26sur votre terrain, pour tout simplement dire, ben, salut, ciao.
28:31Voilà, exactement.
28:33Ça manque un peu de courage quand même, non?
28:35Tout à fait, je suis d'accord avec vous.
28:36Oui, et de sincérité aussi.
28:38Tout à fait.
28:39Et votre question, Françoise?
28:42Comme vous parliez, la sincérité, je me demande si vraiment,
28:44il avait des sentiments pour moi.
28:48Comment on peut avoir des sentiments quand quelqu'un a un jugement sévère sur vous?
28:53Quand quelqu'un vous dévalorise.
28:54Est-ce qu'on peut appeler ça un sentiment de bienveillance envers l'autre?
29:00Un sentiment d'amour?
29:01Je ne crois pas, Françoise.
29:02Non, je suis d'accord avec vous.
29:04Je suis d'accord.
29:05Pourquoi vous vous attachez à une personne qui ne vous donne pas que du bien?
29:10Parce que c'est la solitude qui me gagnait.
29:13Et quand il est là, bon, ce n'était pas formidable.
29:16Mais bon, ça faisait, voilà, je n'étais pas seule complètement.
29:20On allait marcher, on allait visiter des trucs, voilà.
29:23Non, je n'aime pas ce discours-là, Françoise.
29:25Non, je n'aime pas dans le sens pour vous et pour lui aussi, bien entendu.
29:30Mais ne comblez pas la solitude par quelque chose qui n'apporte pas un épanouissement
29:37ou qui n'apporte pas un bel accomplissement de ce que vous avez envie de vivre
29:43et de ce que pour vous représente l'amour.
29:46Ne comblez pas cette solitude parce que ça va vous rattraper.
29:50Et il ne faut pas oublier certains comportements et certaines attitudes
29:55qu'il a pu avoir envers vous.
29:57Il ne faut pas oublier ça.
29:59On dit souvent que le naturel revient au galop.
30:02Et là, même si vous voulez peut-être pardonner,
30:05même s'il vous met face à une situation de culpabilité
30:09en vous faisant porter la faute de dire oui, tu as dit à ta maman ci, ça, ça, ça.
30:13Eh bien, vous, vous pouvez vous retrouver dans une situation de dire bon,
30:18allez, je baisse les armes et j'essaye de faire des efforts de m'améliorer.
30:21Mais c'est peut-être pas à vous à changer et à vous améliorer.
30:25C'est à tous les deux, mais à repartir sur des choses qui doivent être claires,
30:30saines et non pas toxiques et polluantes.
30:34Et là, pour moi, je sens que chez lui et chez cet homme, il a du mal.
30:39Il a du mal à corriger sa façon d'être, son attitude.
30:45Donc, pour répondre et très clairement, je vous sens un peu fragile.
30:52Donc, je vous sens avoir la possibilité d'un retour avec lui parce que là,
30:55il fait le monsieur qui maîtrise et qui contrôle.
31:00Mais ça ne fonctionnera pas, ça ne marchera pas.
31:04Et à nouveau, il repartira vers des critiques ou vers une attitude assez négative.
31:11Donc, protégez-vous, Françoise.
31:13Et moi, j'aurais tendance à dire, anticipez et regardez l'avenir autrement et différemment.
31:18D'accord ?
31:19D'accord. Donc, vous pensez une chose qui risque de revenir ?
31:22Oui, oui.
31:24Mais moi, il faut que, voilà.
31:25Mais je suis d'accord, je vous écouterai, Alexandre, vraiment, parce que j'en ai besoin.
31:29Et moi, de voir ce qu'il en est, parce que de toute façon, il ne fera que ça, partir et revenir.
31:33Voilà. Suivez votre cœur, mais faites-lui du bien à votre cœur et pas du mal.
31:40D'accord ?
31:41Bien sûr.
31:41Merci.
31:42Et Alexandre, une dernière question.
31:45Est-ce que je finirai par trouver l'amour, quand même ?
31:47Mais bien sûr, Françoise.
31:48Je vous sens avoir le cœur ouvert, justement, à la bonne rencontre
31:52et à tendre la main vers un homme qui vous mérite, tout simplement.
31:56Et là, oui, vous allez rencontrer.
31:57Pour 2025, vous avez une très jolie rencontre.
31:59Mais moi, je vous encourage à nous rappeler ou à rester peut-être à l'antenne du Standard.
32:04Et on va peut-être vous voir ensemble pour vous reprogrammer un passage.
32:09D'accord ?
32:10Merci.
32:11Merci à vous.
32:12Je vous embrasse.
32:13Merci.
32:13Merci, moi aussi, beaucoup.
32:16Et la parole est à Sophie.
32:18Bonjour, Sophie.
32:20Oui, bonjour.
32:21Bienvenue à l'antenne, messieurs de radio.
32:23Oui, merci, Alexandre.
32:25Merci beaucoup.
32:26Vous êtes optimiste dans la vie, Sophie.
32:29Alors, ça dépend en fait des circonstances.
32:34Quand je suis plutôt en groupe, je casse un peu ma timidité,
32:39donc je plaisante très facilement.
32:41Donc, voilà, je rigole, tout ça.
32:45Mais c'est souvent quand je me retrouve toute seule chez moi
32:48que là, je suis plutôt…
32:51voilà, je bois un peu noir, quoi.
32:53D'accord.
32:53Alors, c'est vrai que c'est intéressant ce que vous dites
32:55parce que vous savez que l'optimisme se cultive
32:58avec des actes de gentillesse.
33:00Quand vous ouvrez votre cœur aux autres,
33:04eh bien, ça donne cette capacité à devenir plus optimiste.
33:09Bon, bien sûr qu'il y a des jours où…
33:11il y a des jours bien et moins bien, évidemment.
33:14Comme tout le monde, même la personne la plus optimiste.
33:17C'est important à un moment donné de se retrouver face à soi-même,
33:20de se poser des questions.
33:21Mais le fait, comme vous le dites, d'être avec l'entourage
33:25où vous osez rire, vous osez donner,
33:27ce sont des actes de gentillesse, de gratitude aussi.
33:30Eh bien, ça permet de cultiver l'optimisme.
33:34Et pour vous, aujourd'hui, est-ce que vous êtes heureuse ?
33:41Ben, moyennement, pas trop.
33:45Non, pas trop.
33:46Racontez-nous et pour quelles raisons vous nous appelez ?
33:50Alors, tout simplement parce que je réside dans un département de l'Aude,
33:58donc où j'ai mes origines familiales.
34:01Et j'ai acquis un terrain et j'ai construit une maison
34:05parce que ce qui me tenait à cœur, c'était d'avoir un chez-moi.
34:08Après, moult déménagements.
34:12Et en fait, suite à une rupture sentimentale il y a une année,
34:17je me retrouve vraiment seule et je me sens trop isolée dans le village où je suis.
34:23Et trop dépendante de la voiture.
34:25Donc, cette situation ne me convient plus du tout.
34:30Et du coup, j'ai plusieurs options qui s'offrent à moi,
34:33mais j'ai beaucoup de mal à savoir laquelle me conviendrait le mieux.
34:37D'accord. Donc, aujourd'hui, il se pose la question de se dire,
34:42je déménage et je m'en vais.
34:44Tout à fait.
34:45Exactement. Et c'est ce que je vous vois faire.
34:47Oui.
34:48Oui, vous allez partir, vous allez déménager.
34:50C'est bizarre, mais je vous vois vous rapprocher de la mer ou de l'océan.
34:54Pas forcément au bord de mer ou au bord de l'océan.
34:56L'Atlantique me parle bien quand même, le côté atlantique,
34:59mais pas forcément à la proximité de l'océan,
35:02mais un peu dans les terres, mais pas très loin non plus.
35:06Vous avez songé à vous rapprocher de l'Atlantique ?
35:10En fait, oui, c'est là où vivent mes deux sœurs.
35:14D'accord.
35:16Alors, vous vous entendez bien avec vos sœurs ?
35:19Oui.
35:20Alors, on va dire oui, ça va, ça va.
35:24Ça dépend des moments, c'est qu'on a chacune son caractère.
35:28Oui, bien sûr. Personne n'est parfait.
35:31Mais dans l'ensemble, on s'entraide.
35:32Voilà, sur le fond, on sait s'entraider.
35:34D'accord. Alors pour moi, oui, effectivement,
35:37je vous sens avoir cette capacité,
35:39cette possibilité de rapprochement vers l'Atlantique.
35:44Peut-être pas à quelques kilomètres de vos sœurs,
35:48mais pas très loin, vous voyez, comme si ça faisait...
35:50En fait, géographiquement, c'est comme si sur la carte,
35:53ça dessine un triangle par rapport à là où se situent vos deux sœurs.
35:58Mais pour moi, je vois vraiment cette forme géométrique d'un triangle.
36:03Et là, peut-être que c'est intéressant de regarder un petit peu
36:06sur une carte où se situent vos deux sœurs
36:08et voir quelle est la pointe qui pourrait permettre de tracer ce triangle.
36:13Et je vous sens aller vers un endroit comme ça,
36:17où là, vous allez pouvoir reconstruire votre bonheur,
36:19votre environnement, une vie sociale,
36:21et puis avoir peut-être moins besoin
36:24ou être moins dépendante de cette voiture.
36:26Avant d'avoir une voiture volante.
36:29Dans quelques décennies, on aura la voiture volante.
36:32Oui, oui, c'est sûr.
36:33D'accord ?
36:34Oui, oui, d'accord.
36:35Ne vous précipitez pas, mais allez vers ce projet-là.
36:38Il sera positif et c'est optimiste.
36:40Et en plus, ça vous redonnera du boom au cœur
36:43et ça ne va pas vous isoler ou vous enfermer dans quelque chose.
36:47Oui, super.
36:48Merci beaucoup, Alexandre.
36:50Moi, j'adore vos émissions.
36:52Elles sont très instructives et qui nous permettent d'évoluer surtout.
36:56Et de transmettre.
36:57C'est tout à fait ce que j'essaie de faire au quotidien,
37:02de transmettre et de guider les personnes dans leur chemin qui leur appartient.
37:07Merci, merci Sophie.
37:09Prenez soin de vous et puis surtout,
37:11revenez vers nous dès que vous aurez pris votre décision.
37:15Très bien, merci beaucoup, Alexandre.
37:17Merci.
37:18Allez, on fait une petite pause, on se retrouve avec Thierry.
37:22Alors, vous savez que le vendredi 13 septembre dernier,
37:24Thierry a décidé de sortir, lui qui ne sort pas beaucoup.
37:28Et là, il a eu un coup de foudre pour un homme.
37:31Un coup de foudre lors d'un vendredi 13, c'est pour Thierry,
37:35c'est quelque chose dont il n'oubliera jamais.
37:37Sauf que ce coup de foudre, eh oui, eh oui,
37:40l'a ramené les pieds sur terre.
37:41Et on en parle juste après, ne bougez pas.
37:45Appelez maintenant Sud Radio 0 826 300 300
37:48et participez à C'est Votre Avenir.
37:5116h-17h, Sud Radio C'est Votre Avenir, Alexandre Deloval.
37:55Et de retour dans votre émission C'est Votre Avenir.
37:59Si vous souhaitez poser des questions sur votre futur,
38:03eh bien, profitez-en, il reste encore quelques minutes.
38:060 826 300 300.
38:09Vous retrouverez après les vraies voix présentées par Cécile Dominibus.
38:12Ah non, juste Philippe David aujourd'hui, Cécile étant absente.
38:16Et à présent, c'est la rubrique des rêves.
38:19Vous savez que si vous rêvez de séquestration, eh bien,
38:23cela peut indiquer ou ça peut refléter un sentiment de confinement
38:27ou d'oppression dans la vie réelle.
38:30Ce type de rêve peut symboliser aussi des peurs profondes,
38:34des sentiments de vulnérabilité ou une perte de contrôle
38:38sur une situation.
38:40Et j'accueille mon dernier auditeur de cette émission du jour.
38:45C'est Thierry. Bonjour Thierry.
38:48Oui, bonjour Alexandre.
38:49Bienvenue à l'antenne de Sud Radio.
38:51Merci.
38:52Vous êtes un fidèle auditeur, Thierry.
38:54Oui, je vous adore parce que je vous écoute tous les soirs.
38:57Pensez-vous, entre 16h et 17h.
39:00Hier, c'était Marie que j'apprécie beaucoup, mais je préfère Pensez-vous, voilà quoi.
39:06Bon, en tout cas, c'est votre avenir, reste, c'est votre avenir.
39:09Et c'est important d'être fidèle à l'antenne de Sud Radio.
39:14Voilà. Thierry, vous avez eu un coup de foudre ce vendredi 13.
39:19Ça arrive, comme quoi le destin, parfois, nous annonce de belles surprises.
39:24Et sauf que ça a évolué autrement et différemment.
39:28Alors, comme il ne nous reste pas beaucoup de minutes,
39:30je vais vous demander de nous raconter un peu ce qui s'est passé
39:33et quelle est votre question.
39:35Ce qui s'est passé, en fait, c'est que le vendredi 13,
39:38ce coup de foudre n'était pas du tout prévu.
39:41J'ai eu un contact, on va dire commercial, un rendez-vous professionnel.
39:48Et quand cette personne est arrivée chez moi, ça se sent,
39:52il y a eu un ressenti aussi des deux côtés.
39:54Et cette personne, on a passé toute la nuit à discuter.
39:58Enfin bon, bref, et puis on s'est revus, on s'est revus.
40:00C'était très, très bien.
40:02La relation, on va dire, a duré trois semaines, un mois.
40:06Cette personne était en rupture, c'est-à-dire que son ex-compagnon
40:11venait de le quitter.
40:12Donc, c'est une personne qui est un petit peu quand même fragile,
40:17qui n'a pas de caractère, on va dire, et a vu ce qu'il m'avait dit sur son ex.
40:20Enfin bon, voilà quoi, c'est quelqu'un de manipulateur, apparemment.
40:24Et l'ex a refait surface dans les semaines qui ont suivi
40:28parce qu'il a su qu'il avait une relation avec moi.
40:31Et depuis, bon ben voilà, ça s'est terminé, l'ex est revenu.
40:34Et vous voulez savoir s'il y a une possibilité de retour ?
40:37Je suis désolé, je vous précipite, mais on doit rendre l'antenne.
40:40Je suis vraiment désolé.
40:41Alors, je vais vous répondre tout de suite parce que j'ai déjà travaillé
40:44sur le sujet avant de vous avoir.
40:46Pour moi, c'est difficile, c'est compliqué, c'est difficile.
40:49Donc, ne focalisez pas sur cette relation,
40:52même si vous avez vécu un moment magique, un moment de détente.
40:56Et aussi, ça vous a montré qu'il était encore possible d'aimer et d'être aimé.
41:00Mais je ne vois pas une grande réalisation et un grand suivi
41:04dans la relation sentimentale avec cet homme.
41:07Mais par contre, dans trois, quatre mois,
41:09vous avez une autre réalisation affective.
41:12Je vous invite, Thierry, à nous rappeler et on va regarder un peu plus près
41:15et je prendrai un peu plus de temps pour vous répondre, d'accord ?
41:18OK.
41:18Merci à vous, je vous souhaite une bonne fin de journée.
41:21Merci, à vous.
41:22Merci.
41:23Et à présent, ce sont les vrais voix avec Philippe David.
41:27Bonsoir, Alexandre Delovade.
41:30Au menu des vrais voix,
41:33on va parler du retour sur le faible taux d'exécution des OQTF,
41:37les obligations de quitter le territoire français,
41:39bien en dessous de la moyenne européenne.
41:41C'est notamment le rapport Klinkert qui en parle.
41:43Pourquoi la France n'arrive-t-elle pas à appliquer ses décisions d'expulsion ?
41:48D'où cette question, expulsion des personnes sous OQTF.
41:51Faut-il aller au bras de fer avec les pays d'origine ?
41:53Vous pensez qu'il faut aller au bras de fer ou vous pensez que non ?
41:56Venez nous donner votre avis au 0826 300 300.
41:59À 18h37, le coup de projecteur, la France peut-elle tourner son nouveau budget ?
42:04Oui.
42:05Pas de shutdown à l'américaine,
42:06c'est Yael Brownfield-Pivet qui l'a dit ce matin sur Sud Radio chez Jean-Jacques Bourdin.
42:10Mais est-ce qu'on peut fonctionner son nouveau budget ?
42:12Ce serait le 2024.
42:14Vous pensez que oui ou vous pensez que vu le trou qu'il y a,
42:17ça va être très compliqué ?
42:18On attend encore vos avis au 0826 300 300.
42:22Nos trois vrais voix du jour, Philippe Bilger, Sébastien Ménard et François Osillo.
42:25Bonne émission, je vous dis à demain.