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00:00On va parler d'Elie Semoun. J'adore Elie Semoun.
00:03Elie Semoun qui a accordé une interview justement au journal du dimanche
00:06et lors de laquelle il est revenu sur les propos tenus par Blanche Gardin.
00:09Alors c'est une autre humoriste Blanche Gardin.
00:11Grande humoriste évidemment.
00:12Oui bon elle n'est pas connue, c'est moins connue qu'Elie Semoun.
00:15Oui alors on ne sait plus où est la frontière en fait.
00:17Et vous allez comprendre la phrase qu'elle a donnée.
00:19On ne sait plus quand elle est sur scène et qu'elle peut dire une phrase dans un sketch
00:22ou si elle le pense vraiment puisqu'elle écrit quand même ses sketchs.
00:24Elle a simplement dit, ce qui est quand même un peu grave à mon sens,
00:27je m'appelle Blanche et depuis le 7 octobre je suis antisémite.
00:31Alors évidemment...
00:33Qu'est-ce qu'il a dit Elie Semoun ?
00:34Semoun il a réagi parce que...
00:35C'est quoi l'info là ?
00:36Alors...
00:37Il a dit, elle a pris un chemin qui ne me plaît pas.
00:39Si vous voulez je peux faire votre chronique.
00:41Non mais je vous le dis tout de suite, il y a une demi-heure je ne savais pas que j'étais là.
00:44Ah ouais ?
00:44Non mais...
00:45Ah...
00:46Ils t'ont reçu.
00:47Ils t'ont reçu.
00:48Ils t'ont reçu.
00:49Merci.
00:50Oh !
00:51Tu descends.
00:52Tu descends.
00:53Je commence vraiment à nous saouler.
00:54Non mais c'est bon.
00:55Merci.
00:56Alors oui donc...
00:57Donc Elie Semoun bien sûr qui s'était lié d'amitié avec Blanche Gardin, il a donné
01:01son point de vue.
01:02Ces gens-là pensent faire de l'humour mais en réalité ils font de la politique.
01:07Exactement.
01:08Donc j'ai du respect pour Blanche, elle a dit Elie Semoun.
01:10Mais elle n'était plus son amie.
01:11Avec qui j'étais très ami.
01:12Oui.
01:13Mais là elle a pris un chemin qui ne me plaît pas.
01:14D'accord.
01:15Voilà.
01:16Bon on peut le comprendre.
01:17En même temps, en même temps, ce n'est pas la première fois que les humoristes...
01:18Moi je me souviens de Coluche que j'ai quand même connu.
01:19Je peux vous dire que Coluche partait dans des directions dans ces émissions parfois
01:20qui étaient un humoriste connu pour être à gauche toute.
01:21Puisqu'il soulevait, il soulevait bien sûr, il défendait François Mitterrand à l'époque
01:22dans ses différentes campagnes.
01:23Et des fois il...
01:24Alors il n'allait jamais sur...
01:25Il n'allait jamais sur...
01:26Il n'allait jamais sur...
01:27le racisme.
01:28Évidemment, l'antisémitisme.
01:29Coluche.
01:30Il allait...
01:31Coluche, bien sûr.
01:32Il a fait le CRS arabe, tout ça quand même.
01:33Oui mais...
01:34Oui à l'époque on pouvait se permettre de...
01:35Mais bon, Coluche était très très drôle.
01:36C'est une autre époque.
01:37Il peut tout faire.
01:38Il peut tout faire.
01:39Coluche c'est un génie.
01:40Coluche c'est...
01:41Évidemment.
01:42C'est le meilleur de l'histoire.
01:43Mais aujourd'hui, on ne peut pas juger les propos d'Elie Semoun.
01:44Mais aujourd'hui, on ne peut pas juger les propos d'Elie Semoun.
01:45Mais aujourd'hui, on ne peut pas juger les propos d'Elie Semoun.
01:47Il faut bien comprendre ça.
01:48Et aujourd'hui, tout dérape.
01:49Et aujourd'hui, tout dérape.
01:50Et aujourd'hui, tout dérape.
01:51Et aujourd'hui, tout dérape.
01:52Évidemment.
01:53Évidemment.
01:54Antoine Decone et Luc Besson, que j'embrasse d'ailleurs les deux, que j'aime beaucoup,
01:55prêt à payer encore plus d'impôts.
01:56Antoine Decone et Luc Besson, que j'embrasse d'ailleurs les deux, que j'aime beaucoup,
01:57prêt à payer encore plus d'impôts.
01:58Ah oui ? Alors...
01:59Ah oui ? Alors...
02:00Il faut que je vous dise parce que...
02:01Il faut que je vous dise parce que...
02:02Ah voilà, j'ai l'âge, j'ai l'âge.
02:03Le réalisateur Luc Besson se dit prêt à payer plus d'impôts, c'est exact.
02:17Le réalisateur Luc Besson se dit prêt à payer plus d'impôts, c'est exact.
02:18C'est ce qu'il vient de dire.
02:19Voilà, pour aider les plus démunis et tacle même, au passage, les réfractaires du nouveau
02:24projet de la loi Michel Barnier.
02:27Donc, lui il est d'accord pour payer des impôts parce que si ça peut aider les plus
02:32divisés.
02:33Il montre du doigt, d'ailleurs, les enfants qui ont des fortunes de famille, qui souvent n'ont pas travaillé, ont hérité, etc.
02:41Et il dénonce un peu ça à Luc Besson. Donc, je trouve que c'est des propos respectables.
02:45– Vous racontez des infos sur Luc Besson, Antoine de Cône ? – Non.
02:47– Merci. – Non.
02:49– Antoine de Cône qui est lui-même un fils de famille.
02:52– Oui, j'adore Antoine. – Oui, moi aussi, mais c'est bizarre de dénoncer.
02:56– Non, non, Antoine, ce n'est pas ce qu'il a dit, c'est lui qui a dit ça.
03:00– Antoine, lui, il a dit, je paye beaucoup d'impôts, mais je crois à la vertu de l'impôt,
03:04qui me permet d'avoir des routes, des hôpitaux, des écoles.
03:06– Voilà, bravo. – Il dit qu'il est prêt à payer plus.
03:08– Merci. – Bravo.
03:09– Comment ça, bravo ?
03:11– C'est bien, voilà, c'est ce qu'il dit.
03:13– Ce mec, c'est un fou, sans être simple. Physiquement, ça devenait difficile.
03:21– Ça, c'est Carole Rousseau. – Oui.
03:23– Carole Rousseau, justement… – Ça, ce n'est pas un jeu, je vous dis les frais,
03:26– Vous rigolez, mais à un moment donné, Carole Rousseau était l'invité des enfants de la télé.
03:36Elle a été interrogée sur son retrait de l'antenne ces dernières années.
03:39C'est vrai qu'elle a un peu disparu des radars.
03:41– Un peu.
03:42– Alors, elle a confié justement que l'image ne l'intéressait désormais plus
03:45et effectivement, ce n'est plus son truc, voilà.
03:49On a un extrait ou pas ? Mettez-le.
03:51– L'image ne m'intéresse plus beaucoup, Laurent.
03:53– Elle n'a pas envie de revenir à la télévision ?
03:55– Allez, oui.
03:56– L'animatrice a pris un peu de recul.
03:58Physiquement, ça a été quelque chose de… ça devenait difficile à la fin, l'antenne.
04:04C'est-à-dire ça, se prendre les 15 tonnes, je ne sais pas comment vous faites aujourd'hui.
04:08Quand on se libère de ça, je trouve que ça a quelque chose d'assez magique.
04:12– Se libérer de quoi ?
04:14– L'image.
04:16– Elle est très jolie, c'est une très jolie femme.
04:19– Bien sûr, très jolie, je l'ai trouvée très jolie.
04:21– Donnez-moi l'élage, s'il vous plaît.
04:23– Elle est très jolie, on ne donne pas l'élage.
04:25– C'est une très belle femme, je ne sais pas.
04:27Non, mais le souci, ce genre de personne…
04:29– Vous n'avez rien à en prédiser ?
04:31– Non, mais…
04:33– C'est mythique, ça.
04:39– Je ne vais pas donner l'âge de Carole Rousseau.
04:41– Non, parce qu'elle est très belle.
04:43– Elle est très belle, c'est une très belle femme.
04:45Mais le souci de ces grandes animatrices de télévision,
04:47parce qu'elle a quand même fait pendant 15 ans de la télé,
04:49pratiquement, toutes les semaines.
04:51Mais le souci, c'est qu'elle n'a pas eu une vraie identité,
04:55soit à travers le succès d'une émission culte,
04:57Nico Saliagas, il a été installé dans le culte…
05:00– Star Academy.
05:01– Par la Star Academy.
05:03Vous, vous êtes dans le cultissime aussi par TPMP.
05:05C'est-à-dire que Drucker, on n'en parle même pas.
05:07– Coé.
05:08– Toutes ses émissions sont cultes.
05:09Coé, évidemment.
05:10Elle, elle n'a jamais eu une émission…
05:11– Avec son nom ?
05:12– Le Grand Concours.
05:13– D'un seul coup, qui a surpassé les audiences.
05:15– Le Grand Concours, elle est devenue…
05:16– Elle dit correct.
05:17– On sait.
05:18– Il a raison.
05:19– Non mais il a raison.
05:20– Parce qu'on ne donne pas aux femmes.
05:22– Valérie, Christine Bravo, elle est culte.
05:24Voilà.
05:25– Oui, Christine Bravo est culte.
05:26– Et Ville Thomas est culte.
05:27– Et Bruce Bougolini avec le maillon faible, c'est culte.
05:30– Non, ce n'est pas une question d'homme-femme.
05:32Je pense qu'elle ne l'a pas rencontrée,
05:34mais ce n'est pas forcément de sa responsabilité.
05:36Mais aussi, peut-être, on a une personnalité ou pas différente.
05:41Je pense que c'est de la faute de personne.
05:43Elle n'y est pour rien non plus.
05:44– Non.
05:45– Elle n'a pas marqué.
05:46– Si, on se rappelle quand même de Carole Rousseau.
05:47– Bien sûr.
05:48– Mais ça ne sera pas la couche de Paris Match.
05:50– Moi, je l'adore.
05:51– Ah !
05:52– Merci.
05:53– Non, mais…
05:54– On n'a pas envie qu'elle parte.
05:55Qu'est-ce que tu racontes, toi ?
05:56On l'adore.
05:57– Non, mais excusez-moi.
05:58On l'embrasse et elle nous entend.
05:59– Bien sûr.
06:00– Non, je ne parle à un chat.
06:01– Ce ne sera pas la couche de Paris Match où tu partiras.
06:03– Oh, merci.
06:04Allez, merci.
06:05Allez, on passe à autre chose.
06:06– Non, mais c'est important.
06:08– Vous n'êtes pas venu ici pour discuter avec Evangélie, non ?
06:10– Bah, si, justement.
06:11– Mais oui, on nous en est attendus.
06:12– Je l'ai attendue en face de chez moi.
06:13Elle n'est jamais venue.
06:14– Rancunier.
06:15– Justement.
06:16– Un acte moqueur.
06:17– Alors, c'est mon ami Laurent Ruquier à la rescousse de son ami Nicolas Bedos.
06:22Et j'aime une fois de plus l'attitude de Laurent que j'embrasse fort.
06:26– Exactement.
06:27Et moi, je le soutiens à 200 %.
06:28Parce que Michel Ruquier…
06:29– Laurent Ruquier, je trouve qu'il est incroyable.
06:30– Il est culte aussi.
06:31– Regardez.
06:32Regardez ce qu'il dit.
06:33– Ah oui.
06:34– Moi, mon ami, c'est Nicolas Bedos.
06:36Voilà, je vous le dis.
06:37Ça, il n'y a même pas à tergiverser de tous ceux qu'on voit là.
06:40Mon seul ami, c'est Nicolas Bedos.
06:42Et c'est quelqu'un que j'aime.
06:43C'est quelqu'un qui a un talent fou.
06:45Il a des soucis, on le sait depuis quelques semaines.
06:48Mais voilà, c'est comme ça.
06:49C'est la vie.
06:50Ça n'enlève rien à son talent.
06:52Et je lui souhaite très vite de faire d'autres films.
06:54Et je l'aime.
06:55C'est mon ami Nicolas Bedos.
06:57– Oui, oui.
06:58– Encore.
06:59Je l'embrasse, je l'embrasse, mon Laurent, d'ailleurs.
07:03– C'est une phrase…
07:04– On s'envoyait des textos très marrants avec Laurent.
07:06– Oui, mais c'est…
07:07– Non, mais je peux dire un truc ?
07:08– Oui, bien sûr.
07:09– Je dois dire, on s'envoyait des textos très marrants avec Laurent.
07:14Parce qu'il m'a envoyé un petit texto il y a trois semaines.
07:18Il me dit, bon, entre toi l'après-midi sur Europe 1
07:21et Camille qui arrive sur une autre radio,
07:24vous voulez me tuer, c'est ça ?
07:26Je lui ai dit, n'inquiète pas, tu as le temps.
07:29Tu as le temps avant qu'on arrive à tes audiences.
07:31Et il m'a dit, au contraire, ça me fait tellement plaisir
07:33que vous soyez tous les deux en face de moi.
07:35Et je lui ai dit, de toute façon, c'est vrai que j'adore ce mec.
07:39– C'est un amour, Laurent.
07:40– C'est un amour et vraiment, je l'adore.
07:42Voilà, il le sait.
07:43– Mais c'est une attitude qui l'honore.
07:45Vous voyez, ce qui avait choqué les Français,
07:48c'est quand il y a eu l'affaire Pierre Palmade,
07:50sa meilleure amie qui était Muriel Robin,
07:52avec qui ils ont écrit les sketchs à quatre mains.
07:55Ça a été son amie pendant 30 ans.
07:57Et puis d'un seul coup, le fait qu'elle l'ait lâchée de manière…
08:00Alors, pour les bonnes ou les mauvaises raisons,
08:02je ne reviendrai pas sur le fond de l'histoire,
08:04mais je trouve que l'amitié, ça doit se placer au-dessus,
08:07à mon sens, de la vie de chacun.
08:09Que les histoires soient bien ou pas bien,
08:11qu'on ait tué quelqu'un, qu'on ait fait ce qui…
08:14quand on a dépassé la ligne rouge avec la loi,
08:17l'amitié doit rester au-dessus de tout.
08:19Et c'est ce qui honore, justement, Laurent Ruquier face à Nicolas Bedos.
08:22– Il y a une différence, c'est que sur Palmade,
08:24tout le monde le savait pendant 20, 30 ans.
08:26Tout le monde le savait et tout le monde faisait la bringue avec lui.
08:28Quand il est tombé, tout le monde a dit non, je ne le connais pas.
08:30Là, on ne savait pas ce que faisait Nicolas Bedos
08:32et on devrait tous avoir un ami comme Laurent Ruquier,
08:34parce que moi j'aime bien les mecs qui restent sur le droit
08:36et qui ne bougent pas une oreille.
08:37– Et j'adore, il sait que je l'aime, Laurent.
08:39Et c'est quelqu'un, vraiment, je vous dis, dans le métier,
08:41vraiment, c'est quelqu'un de rare.
08:43Je l'adore, ce mec.
08:44– Et Murielle Robins, à sa décharge,
08:46elle a quand même aidé pendant des années,
08:48Pierre Palmade a essayé de sortir de tout ça aussi.
08:51– Comme Michel Larocque.
08:52– Je suis assez d'accord.
08:53Comme Michel Larocque, que j'embrasse aussi ma mission.
08:54– Ce n'est pas les mêmes choses, ce qu'a fait Pierre Palmade.
08:56– Les Français n'aiment pas parler d'un plan.
08:57C'est Adriana Carambeu qui dit ça.
08:58– Oui, c'est vrai.
08:59Alors, je ne sais pas si j'en ai, je ne l'ai pas dit encore, non.
09:03– Je n'ai pas encore vu ma fille.
09:05– Si je vous demande…
09:06– Oui, parce qu'elle a été interviewée, justement, sur ses revenus.
09:10Justement, elle a expliqué, selon mes souvenirs,
09:12que ça fait 30 ans, elle n'a pas galéré pendant 30 ans
09:16pour ne pas avoir d'argent aujourd'hui, en deux mots, ce qu'elle a dit.
09:18– D'accord.
09:19– Elle a raison, maintenant, elle vit à Marrakech.
09:21– Oui, bien sûr.
09:22– Elle vit là, maintenant, aujourd'hui, entre Marrakech et Monaco.
09:25Donc, elle aime vivre dans ce luxe, etc.
09:28C'est sa manière, c'est sa raison d'être.
09:31Pourquoi pas ?
09:32Moi, ce n'est pas la mienne, mais en même temps, elle est heureuse.
09:34– Mais bon, elle ne vous a rien demandé.
09:36– Oui, mais en même temps, moi, j'ai fait ses palaces, comme ça.
09:39– Tu le détournes un peu, quand même, ses propos.
09:41Tu as eu une demi-heure préparée, je comprends.
09:43Non, mais la vérité, c'est qu'on lui demande si elle vit bien aujourd'hui,
09:46si elle gagne sa vie, etc.
09:47Et elle dit honnêtement, comme elle le ferait chez Jordan Deluxe,
09:50la vérité, qu'elle vit très bien, qu'elle a une belle pension alimentaire.
09:53– Moi, je l'adore, je l'adore.
09:54– Et à la fin, elle finit en disant, vous n'êtes pas gêné de parler de ça ?
09:57Elle dit, ben non, je ne suis pas gêné, je gagne de l'argent, je le dis.
09:59Je sais que les Français n'aiment pas trop ça.
10:01Donc, ce n'est pas exactement ce qu'elle a dit.
10:03– Elle dit, je fais.
10:04– Mais tu as eu une demi-heure préparée, donc je comprends.
10:06– Elle termine en disant, je fais tout ça pour ma fille.
10:08– Oui, parce que c'est l'existence de sa vie, c'est sa fille, évidemment.
10:11C'est un enfant, c'est important dans la vie.
10:13Et puis Marc Lavoine, en ce moment.
10:15– Oui.
10:16– C'est un enfant, Marc Lavoine ?
10:17– Non, c'est le grand amour.
10:19Alors, justement, ils se confiaient cette semaine.
10:21– Qui ? Marc Lavoine ?
10:22– Marc Lavoine et…
10:23– Alors…
10:24– Ça vient avec eux, ça.
10:27– C'est un génie, ce mec-là.
10:31Marc Lavoine et…
10:34– Non, mais alors, qu'est-ce qui se passe ?
10:36– Et leur amour est formidable.
10:37– Entre qui et qui ?
10:38– Parce qu'ils ne se voient pas tous les jours.
10:39– Non.
10:40– Ils l'expliquent.
10:41– Parce qu'ils se voient.
10:42Elle, elle est entre Marrakech et Monaco.
10:44– Puis lui, il est sur le parking des Anges.
10:46– Ah !
10:47– C'est un peu ça.
10:51Donc, ils ne se voient pas.
10:53Mais quand ils se retrouvent, là, c'est…
10:56C'est bizarre, parce que…
10:58– C'est malade !
11:00– Non, mais là, par contre, c'est magique, bien sûr.
11:04Il ne faut pas vivre avec les gens, souvent.
11:06Je ne sais pas si vous avez fait cette expérience, Cyril.
11:08Ne pas vivre avec les gens qu'on aime, forcément.
11:11– Non, mais c'est très important.
11:14– Oubliez-moi.
11:15– Moi, j'ai toujours vécu avec la femme que vous m'avez présentée.
11:17– Mais ce n'est pas à vous le sujet !
11:18– C'est vrai, c'est à toi qu'il se met dedans.
11:20– Non, mais parce que j'ai cette expérience.
11:21– Il a toujours vécu, j'ai présenté une femme.
11:22– Oui, vous m'avez présenté un jour une très jolie femme.
11:24– Bien sûr, avec qui vous avez resté 15 ans.
11:26– Oui, 14 ans.
11:27– 14 ans.
11:28– Ça a été au rasoir.
11:29Mais on ne vivait pas ensemble.
11:30– Rasoir ?
11:31– Non.
11:32Mais elle vivait à Bastille et moi, j'étais à Venue d'Eterne, à Paris.
11:37Et c'était génial.
11:38– Elle n'est pas très loin de son mère.
11:39– Elle n'est pas très loin quand même.
11:41– C'est vrai, habiter à Ouarzazate et toi à Moscou.
11:45– Enfin, 6,5 km quand même.
11:48– Et bien.