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00:00– Mais le problème, c'est qu'il est tellement limité intellectuellement,
00:03il me fait tellement de peine.
00:04– Ce n'est pas la chips la plus croustillante du paquet, le bacon.
00:06– Mais au moins il me fait un peu de peine, en fait, Sébastien de Laugueule.
00:08Je vous jure que c'est vrai.
00:09Je n'ai même plus de haine pour lui aussi.
00:10Il me fait de la peine parce qu'il est tellement limité intellectuellement.
00:15– Mais pourquoi il met des mecs comme ça en avant pour s'exprimer
00:17pour un parti politique tout seul ?
00:18– Je sais, il me fait de la peine.
00:20Vraiment, il y a une phrase qui est incroyable.
00:22Il va aller où ?
00:23Déjà, LFI n'a jamais été élu, il le voit bien.
00:26Il est où Sébastien de Laugueule ?
00:27Il est chez Samedirage, le papeau au gouvernement.
00:29– Moi, j'ai deux choses qui m'embêtent un peu.
00:33– Il est marrant à la limite.
00:35– Tu ne puisses pas avoir la lucidité de se dire que Cyril Hanouna peut aller partout
00:38dans le monde parce qu'il a quelques pourboires dans sa sacoche.
00:41Ça, c'est quand même lunaire de penser que Cyril Hanouna ne va aller qu'en Tunisie.
00:45C'est-à-dire, moi je pars, je vais en Tunisie.
00:47Il y a plein de pays dans le monde où Cyril Hanouna aura deux, trois petites pièces à dépenser.
00:51Et que lui n'ait pas percuté ça, de se dire qu'il sera heureux, Hanouna, partout
00:54dans le monde, je trouve ça bizarre.
00:55Et la deuxième chose, pour ne pas être grossier, qui m'embête un peu plus, c'est que ce
01:00mec-là se réjouit des gens qui vont aller au chômage.
01:03Quand tu es de gauche, normalement, tu as une sensibilité de gauche, comme Gilles le
01:06fait tous les soirs, à aider les gens, quoi qu'il arrive, tout donner aux gens qui n'ont
01:10rien.
01:11C'est-à-dire qu'il y a des gens qui n'ont rien demandé, qui par définition, découlement
01:14de ce qui va se passer sur C8, la chaîne qui va fermer, vont se retrouver au chômage.
01:17Et lui, il est content qu'un mec qui a une famille, qui est à l'autre bout de je ne
01:20sais pas quelle boîte de prestataires qui bosse avec C8, il est content que ce mec-là
01:23soit au chômage.
01:24Il dit c'est fini pour Hanouna.
01:25Mais ce n'est pas fini pour Hanouna, Hanouna, il s'en fout, il l'a dit ici lui-même.
01:28Lui-même, il l'a dit qu'il s'en foutait.
01:30Et vous croyez vraiment que si ça s'arrête, Cyril va dire, ah ben c'est fini, je dois
01:33partir, allez vite, air Tunisie.
01:35Mais arrête, nettoie ta tête.
01:38– Le pauvre, il fait de la peine.
01:39– Je ne sais pas si il faut le dire, le pauvre.
01:42– Moi, il me fait de la peine toujours.
01:44– Mais qui s'en prennent à toi, je veux bien, qui disent voilà, tant pis, on ne
01:48le verra plus.
01:49Mais dans ton discours, ne dis pas ces bienfaits que la chaîne elle ferme en fait.
01:52Parce que tu vas mettre des gens au chômage, et ce n'est pas bien les gens au chômage.
01:55Parce que tu ne sais pas ce qui se passe après.
01:56– Mais le dire, dire on va le renvoyer dans son pays d'origine, la Tunisie, ce n'est
01:59pas un énorme contre son camp.
02:00– C'est vrai, c'est vrai.
02:01– Ce n'est pas tout ce qu'il critique.
02:02– Exactement.
02:03– On va le renvoyer dans son pays d'origine.
02:04– Il va aller où ? Il va retourner dans son pays en Tunisie.
02:06– C'est génial.
02:07– Contre son camp de ouf, mec.
02:08– C'est vrai, c'est vrai.
02:09– Il va retourner dans son pays, qui n'en voudra pas ?
02:12– Exactement, il est un con.
02:13– Parce que la Tunisie ne voudra pas de toi, c'est-à-dire que quand tu vas arriver,
02:16ils vont dire non, c'est quoi ? C'est de l'argent ? On n'en veut pas.
02:19– Il est fou, lui.
02:20– Mais je vous dis, le pauvre, il est fou, c'est un énorme.
02:23– Il ne se rend pas compte de ce qu'il dit.
02:25– Mais le pauvre, c'est qu'il est quand même…
02:27– Honnêtement, ça ne me fait pas de peine.
02:28– Mais moi, il me fait de la peine.
02:29– Mais moi, ça me fait peur.
02:30Moi, je trouve ça dangereux, en fait, ce genre de discours.
02:32– Oui, mais il y a des gens qui l'écoutent.
02:34– Chéri, il est limité, excusez-moi de vous le dire.
02:36– Mais il est quand même député, Chéri.
02:37– Il est limité.
02:38– Il ne sait pas qui est Pétain, il ne connaît pas son histoire,
02:39il ne se trompe pas chaque interview, il ne maîtrise pas ses dossiers.
02:42Le gars, on lui demande de représenter les Français, de créer des lois,
02:45pas passer son temps sur les plateaux à critiquer Cyril Hanouna.
02:47– Oui, mais on le voit bien qu'il est limité intellectuellement.
02:51On le voit bien, c'est vrai, voilà, on ne va pas…
02:54Si tu prends pour argent comptant tout ce que dit Sébastien Delogu, malheureusement…
02:58– Non, mais ça fait de la peine pour nos élus, quoi,
03:00parce qu'il est quand même député de la nation.
03:02– Ce qui fait de la peine, c'est que moi, souvent ici,
03:03je me suis battu en disant, les députés sont trop payés,
03:05elle est bonne la gamelle, tu te rappelles, Guillaume ?
03:07– Oui.
03:08– Souvent, j'ai dit, il ne faut pas leur donner 8-9 000 euros par mois,
03:11ça suffit, on leur donnerait 3-4 000 balles, ça suffit.
03:13Mais quand je vois des députés comme ça, je me dis, merde,
03:15il faut que je change mon fusil d'épaule et que je me dis,
03:17peut-être qu'il faut payer des gens intéressants
03:19pour justement ne plus avoir des gens comme ça.
03:21Parce que donner 7 000 euros à un mec qui te sort,
03:23il va aller où, Cyril Hanouna ?
03:25– La réalité, c'est qu'il veut faire du buzz,
03:27il n'a qu'un intérêt en tête, c'est la mairie de Marseille en 2026,
03:29voilà ce qui l'intéresse, donc il essaye de faire du buzz sur vous.
03:32Il sait que parler de Cyril Hanouna dans les interviews, ça marche,
03:34donc il fait son buzz pour servir ses ambitions personnelles.
03:37– Marseille, c'est une ville importante.
03:40– C'est moi qui m'en vais, là.
03:42– Moi, je me tire, vraiment.
03:44Respect Marseille.
03:46– Et je voudrais juste dire à Sébastien Deleville,
03:48parce que là, il revient sur son lit, il dit oui,
03:50il a dit, si LFI, Cyril Hanouna avait dit,
03:52si LFI est au pouvoir, je m'en vais.
03:54– On va pouvoir.
03:55– Mais ils sont où, LFI ?
03:57Excusez-moi, ils sont où ?
03:58Il est chez Sam Zira ?
04:00Il n'est pas au gouvernement, à ce que je sache.
04:02– J'adore Sam Zira, mais qu'est-ce qu'il a fait là-bas ?
04:04– Il a fait l'interview de l'autre fois ou il est retourné une deuxième fois ?
04:06– Non, il est retourné une deuxième fois.
04:09– Et moi, il n'a pas compris, c'est que Sam Zira se sert de lui.
04:13Et Sam, il est extrêmement malin, il a raison.
04:15– Sam Zira, il est très fort.
04:16– Il a raison, parce qu'il se sert de lui,
04:18et l'autre, comme un...
04:20Il va à chaque fois.
04:22Après, je vous l'ai dit, ce n'est pas le couteau
04:24le plus aiguisé du tiroir, c'est Sébastien Deleville.
04:26– C'est Forrest Gump sur la gentillesse.
04:28– C'est vrai que c'est Forrest Gump.
04:29– C'est qu'il est trop pris sur Twitter,
04:30c'est à faire le buzz dès qu'on dit Hanouna.
04:31– Mais vous avez raison, en fait, c'est Forrest Gump.
04:34– C'est vrai que c'est ça, sans rigoler, c'est ça.
04:36Voilà.
04:38Quand je vous l'ai dit, le pauvre, c'est...
04:40Moi, il faudrait qu'il fasse un test de QI, lui.
04:43Franchement, c'est...
04:45– Moi, je pense que Gilles est plus de gauche que Sébastien Deleville.
04:47– Moi aussi, de loin.
04:49– On l'a tous les soirs, on l'entend parler dans les loges.
04:51Il ne joue pas de personnage.
04:53Tous les soirs, il est là.
04:54– Il est plus de gauche que Sébastien Deleville, c'est sûr.
04:56– Il est plus de gauche qu'un mec qui se dit
04:57je m'en fous que 300 personnes aillent au chômage.
04:59Lui, je pense qu'il ne laissera pas 300 personnes au chômage.
05:01Ça fait plus chier à lui.
05:03– Vous avez entendu ce qu'il a dit dans l'extrait ?
05:04Il a dit je vais appeler Gilles et je vais lui expliquer comment faire.
05:06Donc, il se pose en donneur de leçons,
05:08lui qui ne maîtrise pas son histoire, qui ne maîtrise pas ses dossiers.
05:10– Je pense que Gilles Dernez connaît beaucoup plus de choses
05:12que Sébastien Deleville.
05:13Gilles, qu'est-ce que tu as à lui répondre, à Seb ?
05:15– Bon, ça ne m'enchante pas.
05:17Alors, ce n'est pas mes amis, mais moi, j'ai un peu plus de mal
05:20à le prendre d'une manière humoristique
05:23parce qu'il remet en cause des convictions.
05:25Je ne m'attache pas trop aux hommes.
05:26Sébastien Delegu, je m'en fous un peu.
05:28Mais je m'attache aux idées.
05:29Donc, dire il n'est pas de gauche, ça remet en question…
05:32Je ne vais pas vous dire que j'arrive à être au-dessus de tout ça
05:35et à m'en foutre.
05:36Ce serait mentir.
05:37Donc, ici, je ne mens pas.
05:38Donc, voilà.
05:39Je suis un peu touché.
05:40Et la fin me gêne beaucoup parce qu'il dit
05:42et s'il dépasse la limite, on le remettrait en place.
05:45Donc, il y aurait une forme de censure.
05:47Je serais une sorte de pantin, de jouet,
05:49disant des choses que je ne pense pas,
05:51mais en même temps étant censuré.
05:53Donc, je trouve ça un peu dégueulasse.
05:55Et en fait, si jamais j'ai la possibilité,
05:58je vais essayer d'en parler avec lui.
06:00Je ne sais pas comment…
06:01– On a son numéro, on peut vous le donner.
06:03– Alors, je veux bien.
06:04Je vais essayer de l'appeler.
06:05Je vais voir parce que je ne peux pas laisser passer ça.
06:08C'est public.
06:09Ça remet en question ce que je suis, ce auquel je crois.
06:12Et je n'ai pas votre…
06:13J'aimerais avoir votre détachement parce que vous…
06:16Mais moi, je n'ai pas.
06:17Donc, voilà.
06:18Ça ne m'enchante pas du tout.
06:21Ça ne m'enchante pas parce que c'est remettre en question
06:25ce que je suis profondément, de manière publique,
06:28parce qu'on en parle ici et c'est légitime,
06:30parce que des gens le regardent.
06:31Et je n'aime pas ça.
06:32C'est en fait dire que je mens, soir après soir, depuis 12 ans.
06:36Ça, ça ne va pas.
06:37– Guillaume, Sébastien Delegault, il me fait penser à Jean-Luc Mélenchon.
06:40C'est-à-dire que même quand tu l'aimes bien,
06:41même quand tu es gentil avec lui, il te défonce.
06:43Mais ils aiment qui, les gens de la France insoumise ?
06:45Ils n'aiment pas les gens de droite.
06:46Ils n'aiment pas le reste de la gauche.
06:48Les gens des cités, des quartiers, ils prétendent les défendre.
06:50En réalité, les méprises, on l'a vu récemment.
06:52Je pense que ces gens-là n'aiment personne à part eux-mêmes, en réalité.
06:54Ils n'aiment personne.
06:55Gilles Verdez, qui défend la France insoumise tous les soirs dans cette édition,
06:59il lui chie à la gueule.
07:00Mais c'est quoi ces gens ?
07:01– Après, comme je vous l'ai dit, c'est Sébastien Delogu, les gars.
07:05Sébastien Delogu, c'est quand même…
07:07– C'est un nom bien serré.
07:08– Oui, mais c'est quand même…
07:10– Oui, mais il parle beaucoup au nom de la France insoumise.
07:12On le voit beaucoup.
07:13– C'est une des figures étendard de la France insoumise.
07:16– Pour vous dire le niveau de la France insoumise.
07:18– Oui, si vous voulez, mais qu'on le veuille ou non, il est extrêmement…
07:21– Ça vous donne le niveau, oui.
07:22– C'est l'éclairant de Mathilde Panot.
07:23– La différence que je vois simplement là, c'est l'élégance.
07:26C'est-à-dire qu'il y a des gens qui ont…
07:28Il a le droit de penser ce qu'il veut, cet homme.
07:31Mais la moindre des élégances, c'est de t'appeler.
07:33Tout ce que tu viens de dire à l'instant, c'est moi, je vais l'appeler pour lui en parler.
07:37Je pense qu'aujourd'hui, il y a une lâcheté de nos politiques.
07:42Ils font aussi qu'on ne se sent pas représenté, quoi.
07:45Que ce soit par la droite ou par la gauche.
07:47– D'accord.
07:48– C'est ça, en fait.
07:49Donc, peut-être un peu plus d'élégance serait la bienvenue, je trouve.
07:52– Romain, qu'est-ce que tu en penses, toi ?
07:54Le pauvre Gilles Bernaise, il en a pris plein la gueule.
07:56– Ah, moi, je trouve qu'il ne m'invite pas du tout, en fait.
07:58Même la manière de parler, il n'a pas la manière de parler d'un député.
08:01– C'est ça.
08:02– Wesh, frérot, presque.
08:03– Mais il me dit frérot à moi.
08:05– Vous avez raison de soulever ça, Romain.
08:07– Frérot, je ne suis pas…
08:08– Frérot, c'est fini pour toi.
08:10Je suis choqué de sa manière de parler, en tout cas.
08:12– Mais à moi, il me dit c'est fini pour toi.
08:14– C'est incroyable.
08:15– C'est-à-dire le niveau des députés.
08:16– Ça sera fini pour lui avant lui.
08:17– Ils ont été élus.
08:18Vous dites, ouais, il est comme ci, il est comme ça.
08:20Il ne connaît pas l'histoire, il ne connaît pas ceci.
08:22D'accord, c'est un fait.
08:23Il n'est pas très bien.
08:24C'est un fait.
08:25Mais il y a des gens qui ont mis un bulletin.
08:27Et ça, ça, il faut respecter.
08:29– Bien sûr.
08:30– Il est élu, il n'y a pas de problème.
08:32– Ce qu'on appelle le body language.
08:33La façon dont il se tient, cette espèce d'arrogance.
08:36Un peu les jambes écartées comme ça, de cow-boy.
08:39Le truc, le torse en arrière, bombé.
08:41On sent, mais la haine chez cette personne.
08:44Bon, après, moi, je ne vois pas très bien qui c'est.
08:47Mais vous dites qu'il est un peu simplet, un peu simple d'esprit.
08:49Bon, peut-être.
08:50– C'est gentil.
08:52– C'est ce que vous dites.
08:53Mais effectivement, les propos ne sont pas très aiguisés.
08:55Je suis d'accord avec vous.
08:56Mais au-delà de ça, il y a des gens qui l'écoutent.
08:59Il y a des gens qui ont mis un bulletin.
09:00Il y a des gens pour lesquels, peut-être, sa parole a du poids.
09:03Et sa parole, moi, ce que j'entends et ce que je vois de ce mec,
09:07dans cette espèce d'arrogance comme ça,
09:08et la façon dont il s'adresse à vous aussi.
09:10Parce qu'on vous l'a reproché, ça.
09:12La manière dont vous, vous étiez adressé à un député.
09:15Mais c'est pareil, ça va dans les deux sens, il me semble.
09:18Entre citoyens, on doit se parler de la même manière, il me semble.
09:21Et là, on voit chez cet homme-là, uniquement de la haine.
09:24Moi, je n'ai pas de la peine.
09:25Moi, ça me rend plutôt peur, en fait.
09:26– Le problème qu'il a, c'est qu'il a quand même un problème.
09:28– Mais vous savez…
09:29– Non, le plus gros problème, moi, je trouve, c'est quand il dit
09:31« Et Cyril Léonard va retourner en Tunisie ».
09:32– Oui, d'accord, mais c'est ça…
09:33– C'est tout ce qui est critique.
09:35– Le mélange de l'ignorance et la haine, c'est le pire combo.
09:40– On est en plein dans un débat.
09:41On dit, il ne faut pas renvoyer les gens dans leur pays.
09:43Il ne faut pas les essentialiser.
09:44C'est des Français comme les autres, etc.
09:45Là, vous avez dit, je pars de la France.
09:47N'importe quel citoyen a le droit de partir de la France.
09:49Non, non.
09:50Il vous essentialise le fait que vous êtes d'origine tunisienne.
09:51Donc, tu retournes en Tunisie.
09:52Contre son compte.
09:53– C'est un génie, c'est un génie.
09:54– C'est vraiment la pire des bêtises.
09:56– C'est la pire des bêtises à dire.
09:58– Un OQTF.
09:59– « Tunisien soi-disant », il dit.
10:00– « Soi-disant », il dit, oui, soi-disant.
10:02– C'est un gugus.
10:03Vraiment, c'est un énorme gugus.
10:04Mais moi, il me fait rire parce que je me dis,
10:07quand je l'écoute parler, ce gugus, c'est vraiment un gugus.
10:10Il ne comprend rien à rien.
10:11C'est-à-dire qu'il est complètement à la ramasse.
10:13Bien sûr que je l'inviterais.
10:14Ça serait énorme, mais il ne viendra jamais.
10:18– Un député qui l'est avec le doigt, comme ça, déjà, ça part mal.
10:21– Et pourtant, moi, si j'étais bébé, je viendrais, moi.
10:23– Bien sûr, mais ça serait énorme.
10:24– Avec tout ce qu'on dit là.
10:25Comme là, il vient de dire « un député qui l'est avec le doigt »,
10:27moi, je viendrais.
10:28– C'est un gugus, mais bon, voilà.
10:29– C'est le vide interstellaire.
10:30– Et je ne pense pas qu'il ait le courage de venir ici.
10:31– Ah, c'est dommage.
10:32– Peut-être qu'il viendrait.
10:33– Non, non, non, il ne viendrait pas.
10:34On l'a déjà lancé plein de fois.
10:35– Non, il a été lancé plusieurs fois.
10:48– Il a été lancé plusieurs fois.
10:49– Il a été lancé plusieurs fois.
10:50– Il a été lancé plusieurs fois.
10:51– Il a été lancé plusieurs fois.
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11:00– Il a été lancé plusieurs fois.
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11:21– Il a été lancé plusieurs fois.
11:22– Il a été lancé plusieurs fois.
11:23– Il a été lancé plusieurs fois.
11:25– Je le verrais plus faire des matchs TikTok, des partenariats qu'être à l'Assemblée
11:29nationale.
11:30– Je crois qu'elle a tout résumé.
11:31– Oui, c'est très grave.
11:32– Oui, c'est très grave, mais c'est comme ça.