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00:00Ça va se terminer quand ?
00:02Mais ce comportement n'étonne personne.
00:04Tout le monde connaît, maintenant la France entière,
00:06a appris à connaître Sébastien Delogu,
00:09qui est un député racaille,
00:11avec des méthodes de voyous,
00:13qui est indigne de son mandat, indigne de sa fonction.
00:15Rappelez-vous, il refusait de serrer la main
00:17aux plus jeunes députés de l'Assemblée nationale
00:19parce qu'il est Rassemblement national
00:21et que ça ne lui convenait pas.
00:23Il a des comportements outranciers.
00:25Il a brandi plusieurs fois le drapeau palestinien.
00:29Il refuse de chanter la marseillaise
00:31lors des commémorations de la libération de Marseille.
00:33Et puis, très clairement,
00:35on voit bien qu'il est gangréné par l'islamo-gauchisme.
00:37C'est l'ami des islamistes, Sébastien Delogu.
00:39Et peut-être qu'il est influencé
00:41par les comportements, par les consignes
00:43de ses amis du Hamas, qui considèrent
00:45qu'une femme est un être inférieur
00:47et qu'on ne peut pas être touché par une femme.
00:49Voilà, c'est tout ça, Sébastien Delogu.
00:51Et ça en dit long sur ce qu'est la France insoumise,
00:53qui est un parti fameux, dangereux,
00:55à livre pour les islamistes.
00:57Et ce sont les soutiens, les électeurs
00:59et les amis de Sébastien Delogu.
01:01Et très clairement,
01:03LFI, on le voit bien par cette représentation,
01:05mais par tous les comportements
01:07de leurs élus, est un parti
01:09dangereux, nauséabond,
01:11et on a des craintes s'ils arrivent au pouvoir.
01:13Et je vais vous dire, et c'est à cause de ça
01:15que l'ARCOM nous a, mine de rien,
01:17nous a pas retenu comme fréquence,
01:19que c'est surtout à cause de l'affaire Boyard, on va pas se mentir.
01:21L'affaire Boyard qui fait des scandales partout,
01:23comme Delogu, comme tout, mais ils ont retenu nous.
01:25Ça s'est toujours bien passé avec tous les députés,
01:27tous les ministres, tous les candidats
01:29qu'on a reçus, ça s'est toujours très bien passé
01:31avec tout le monde.
01:33Y compris de la France Insoumise, je me souviens.
01:35Mathilde Panot, Carles Partez-Bidango quand il y a eu
01:37l'histoire de l'URN à l'Assemblée,
01:39le soir à l'amnistie.
01:41Après, M. Odule, si jamais il est
01:43effleuré par, je sais pas, par exemple
01:45Lucie Casté ou Mathilde Panot, on est d'accord
01:47qu'il n'y a pas de problème, c'est juste
01:49parce qu'il se fait effleurer par une élue du Rassemblement National.
01:51C'est pas une question de femmes, à mon avis,
01:53c'est plus une question de couleur politique.
01:55– On ne sait pas vraiment, parce que
01:57quand on le voit en circonscription,
01:59quand on voit quelles sont
02:01ses accointances, sur quels ressorts
02:03finalement il flatte son électorat,
02:05on sent bien qu'il y a aussi l'idéologie
02:07islamiste qui rentre en ligne de compte.
02:09Alors oui, il y a le sectarisme bête, outrancier,
02:11puéril de la France Insoumise qui considère
02:13que quand on n'a pas les mêmes idées, il ne faut surtout pas avoir
02:15de contact physique parce qu'on pourrait peut-être
02:17être contaminé, mais il y a aussi
02:19l'islamo-gauchisme, encore une fois,
02:21qui vient gangréner leurs pensées
02:23et sont des comportements qu'on retrouve
02:25avec des islamistes qui ne peuvent pas
02:27regarder une femme, qui ne peuvent pas toucher une femme,
02:29etc. Donc encore une fois, je pense qu'il y a les deux.
02:31– Gilles Verdez. – Mais là, on part dans
02:33un grand délire de M. Odulle. – Qu'est-ce que vous pensez
02:35de cette séquence ? – Je ne suis pas le porte-parole
02:37de M. Odulle, je n'ai pas de sympathie pour lui, mais je ne suis pas choqué.
02:39Je ne suis pas choqué parce que c'est un symbole.
02:41– Si ça avait été un mec du RN
02:43qui se fait toucher par Mathilde Panot
02:45et qui a la même réaction, vous auriez dit quoi ?
02:47– Quel scandale !
02:49– On l'aime pour ça, on l'aime pour ça.
02:51Je ne suis pas choqué parce qu'il en fait un acte symbolique.
02:53Comme quand à l'Assemblée,
02:55il ne vous salue pas, moi je…
02:57– Vous trouvez ça bien ? – Non, je ne l'aurais pas fait,
02:59mais c'est le symbole qui compte.
03:01– Quand il met un coup de pression
03:03à jeunes élités, vous trouvez ça normal ?
03:05– Non, mais je ne suis pas proche,
03:07ni voilà, je n'ai pas d'affinité
03:09avec M. Delogu, mais je le prends là
03:11comme un symbole. Vous voyez, il met la main,
03:13il sait très bien que c'est filmé.
03:15C'est une manière de dire que vous n'êtes pas fréquentable.
03:17Voilà, et pour beaucoup de gens.
03:19– Il y a 11 millions de gens alors qu'il n'est pas fréquentable.
03:21– C'est pas moi qui le dit, c'est lui
03:23qui veut faire passer cette idée.
03:25– Ça ne va pas avancer comme ça.
03:27– C'est un provocateur.
03:29Un provocateur qui ne respecte pas 11 millions d'électeurs
03:31aujourd'hui, il faut le dire.
03:33Et ça, c'est la puanteur de la politique d'aujourd'hui
03:35et c'est des gens dangereux
03:37et j'espère qu'ils seront vite écartés.
03:39Et il faut rappeler aussi à tout le monde,
03:41parce que moi je n'ai rien contre les gens de gauche,
03:43mais c'est ces personnes-là qui ont tué la gauche.
03:45Et puis c'est à cause d'eux, il faut savoir le dire.
03:47Parce que la gauche, elle était importante dans notre pays.
03:49Et ils ont bousillé la gauche.
03:51– C'est la gauche.
03:53– Non, c'est pas la gauche.
03:55– C'est l'extrême gauche.
03:57– C'est une gauche.
03:59– Moi je suis d'accord, parce que la gauche,
04:01il y a tellement de gens qui se disent
04:03est-ce qu'on aimerait avoir une vraie gauche ?
04:05Et voilà, ils ont bousillé la gauche.
04:07– Ils l'ont diabolisé.
04:09– Dans leurs manifestations, ils brûlent des drapeaux français, c'est la gauche ?
04:11Non, non, c'est pas la gauche.
04:13C'est des gens qu'on la haine contre la France,
04:15ces gens-là, c'est tout. Ils n'aiment même pas les Français.
04:17– Les électeurs de gauche, on la haine de la France.
04:19– Mais ça, c'est pas la gauche.
04:21– Vous êtes d'extrême droite, arrêtez de nous soumettre.
04:23– Non, moi je ne suis pas d'extrême droite.
04:25– Mais si, reconnaissez-le, moi je suis de gauche,
04:27vous êtes d'extrême droite.
04:29– Si vous savez si les gilets jaunes étaient d'extrême droite,
04:31ça se saurait, vous vous trompez.
04:33– Je n'ai pas dit que les gilets jaunes…
04:35– Quand on entend le programme du Rassemblement National,
04:39je suis désolé de vous dire qu'ils sont bien en avant
04:41par rapport à des gens de la France insoumise,
04:43qui n'ont strictement rien à faire d'un bien des Français.
04:45– Faites comme si je n'étais pas là.
04:47– La pauvre Mamie.
04:49Mamie.
04:51– Je ne sais pas qui est Mamie.
04:53– Mamie.
04:55Mamie.
04:57Mamie.
04:59– J'ai une verdesse, arrêtez de traiter tout le monde,
05:01c'est insupportable.
05:03– Je ne l'ai pas du tout traité.
05:05– Est-ce que je peux vous poser une question ?
05:07Pourquoi lui, il a le droit de dire, vous êtes d'extrême gauche
05:09– Je n'ai pas dit que vous étiez d'extrême gauche.
05:11– Il n'y a pas de la gauche.
05:13– Je ne t'ai jamais dit ça, je suis juste en train de te dire
05:15que c'est un parti dangereux et les gens, il faut qu'ils en soient conscients.
05:17– La France a eu à un moment une gauche humaniste,
05:19autant de militants qu'État, les gens adhéraient,
05:21même ma mère, je vais dire ma mère,
05:23qui est femme d'un médecin de province,
05:25qui n'est pas du tout faite pour voter à la gauche,
05:27elle avait voté pour François Mitterrand.
05:29C'est-à-dire qu'ils avaient séduit au-delà de leur électorat normal.
05:33Mais ce n'est pas la gauche qui aurait demandé
05:35de brûler les mairies ou les commissariats comme de l'aujourd'hui.
05:37– Il y a une gauche laïque aussi à l'époque.
05:39– Mais Gilles Vernez, Gilou, mon Gilou, réveille-toi mon vieux.
05:43– Le Nouveau Front Populaire, c'est une coalition.
05:45– Mais arrête avec ça, tu vois bien que c'est décomposé.
05:47Avec la nomination de Barnier, c'est terminé.
05:51– Je ne vais pas être après.
05:55– Arrête de rêver, et tu l'as dit tout à l'heure,
05:57tu as bien dit qu'Asseneuve, pour toi, ce n'était pas la gauche.
05:59– Oui, ta gauche, c'est de l'Auguste, c'est Boyard,
06:01c'est Mpano, c'est Rimas, c'est tout.
06:05– La gauche qui aime l'ordre et qui aime les flics,
06:07pour vous, ce n'est pas la gauche.
06:09– Julien, je vais vous dire quelque chose, vous savez pourquoi il dit ça ?
06:11Parce qu'il est comme de l'Auguste,
06:13il a peur après que des mecs l'appellent et lui disent
06:15« Ah ben, t'as vu ce que t'as dit ? »
06:17Ben voilà, on sait très bien, merci Gilles Vernez.
06:19Il a peur qu'à la pub, on lui dise « Ah ben, t'as vu ? »
06:21On sait bon, on sait, arrêtez les mecs, c'est bon.
06:23Arrêtez de nous prendre pour des jambons.
06:25Non mais c'est vrai, ne nous prenez pas pour des raloufes.
06:27Non mais Gilles Vernez, franchement, arrêtez, on sait très bien.
06:31Donc c'est pour ça que quand tu dis que Cazeneuve, ce n'est pas la gauche,
06:33c'est que ta gauche, c'est de l'Auguste,
06:35ce n'est pas de l'autre, c'est Mélenchon.
06:37– Le nouveau front populaire Cazeneuve, ce n'est pas le nouveau front populaire.
06:39– Mais ça n'existe pas, il n'existe plus.
06:41– Il n'existe plus, arrêtez un peu, c'est de l'Allemagne.
06:43– Ils en veulent même plus là, les filles.
06:45– Ils en veulent même plus, c'est déboulé.
06:47Regarde ce qu'a dit Fabien Roussel,
06:49il a dit qu'on ne veut plus entendre Mélenchon.
06:51– Ça fait deux ans que Fabien Roussel et Mélenchon ne se sont pas parlé.
06:53Ils veulent faire une coalition.
06:55Ils ont été chercher Lucie Castex, moi aussi je peux sortir un nom,
06:57Cébrine Bouillard.
06:59Franchement les gars, elle était dans ma classe en quatrième de B.
07:01Franchement, arrêtez un peu, soyez sérieux.
07:03Franchement, Ghislaine Biot.
07:05– Elle est payée 9000 euros aussi.
07:07– Oui c'est ça, 9000 euros, exactement.
07:09Gilles Bernet, soyez sérieux.
07:11C'est bien que vous défendiez, parce que c'est important.
07:13– Que je défende, je donne mes convictions.
07:15– Il y a plein d'électeurs qui pensent ça.
07:17– Regardez ses comportements.
07:19Je le redis aux téléspectateurs,
07:21on me dit, moi je vais vous dire,
07:23il y a plein de gens de gauche que j'adore.
07:25Il y a plein de gens de gauche que j'adore.
07:27Il y a plein de gens de droite que j'adore aussi.
07:29Moi je parle à tout le monde.
07:31Mais je vais vous dire, eux, c'est devenu insupportable.
07:33Ils sont devenus insupportables.
07:35Excusez-moi Gilles Bernet, à un moment il faut le dire.
07:37Et je sais que votre gauche c'est la LFI, mais vous avez le droit.
07:39– Et on entend parler que de…
07:41– La LFI, il y a des gens très bien à la LFI.
07:43– Oui.
07:45– Mais on ne les entend pas.
07:47– Mais je dénonce eux.
07:49– Ils ont été virés.
07:51– Ils ont été virés.
07:53– Ceux qui venaient la route, ils les ont mis de côté.
07:55– Alexis Corbière, je suis désolé, c'est quelqu'un à qui tu peux discuter.
07:57Tu peux être d'accord avec lui, pas d'accord avec lui,
07:59mais c'est quelqu'un…
08:01– Raquel Garrido, on peut discuter.
08:03– Exactement, Raquel Garrido, elle est exceptionnelle.
08:05– Ruffin.
08:07– Raquel Garrido, moi quoi qu'il arrive,
08:09j'adore Raquel Garrido.
08:11J'adore Alexis Corbière.
08:13Je les aime vraiment.
08:15Je les ai considérés comme des amis, je le dis.
08:17Et je vais vous dire, je vais revenir aussi sur cet été,
08:19parce qu'il y a eu un truc qui est sorti,
08:21ça c'est important ça.
08:23On m'a dit que j'avais dîné avec Jordan Bardella.
08:25Mais les gars, déjà je dîne avec qui je veux,
08:27parce que les journalistes, ils ont dit, voilà,
08:29il a dîné avec Jordan, mais je dînais moi.
08:31Moi je faisais passer des heures, sachez, avec Raquel Garrido.
08:33Raquel Garrido, je l'avais 3-4 fois par semaine au téléphone.
08:35Alexis Corbière, je l'adore.
08:37Et il était avec moi dans ma loge,
08:39on rigolait avec Raquel Garrido et lui pendant des heures.
08:41Vous étiez là, vous étiez témoin.
08:43On se régalait.
08:45Jordan Bardella, oui, je vois Jordan Bardella.
08:47Oui, je vois, j'ai pu voir Gérard Darmanin.
08:49Oui, je peux voir Julien Audoul.
08:51Oui, je peux voir, je peux voir, voilà,
08:53je vois tout le monde.
08:55– Laura Wauquiez, vous connaissez.
08:57– Laura Wauquiez, exceptionnelle.
08:59C'est Golan Royale que j'aime,
09:01quand je la vois, je l'embrasse comme du bon pain.
09:03– Olivier Véran.
09:05– Olivier Véran, exactement, je l'adore.
09:07– Dati. – Grachida Dati, mon idole.
09:09Donc voilà, écoutez, arrêtez, ces journalistes,
09:11c'est insupportable, non mais c'est insupportable.
09:13– C'est la police des dîners.
09:15– C'est la police des dîners maintenant.
09:17Écoutez-moi bien, je dînerai avec qui je veux
09:19et je pense que vous rêveriez de dîner avec nous.
09:21On ne vous invitera jamais, parce qu'on n'a pas envie
09:23de payer pour vous, mais c'est insupportable, ces gens.
09:25Et partout maintenant, c'est le dîner secret
09:27de Jordan Bardella avec Cyril Hanouna.
09:29Non mais écoutez-moi bien.
09:31Mais au contraire, moi je continuerai
09:33à dîner avec Jordan Bardella.
09:35Je continuerai à aller prendre des verres
09:37avec Julien Audoul.
09:39J'aimerais beaucoup, et je le redis,
09:41j'aimerais beaucoup revoir Akel Garido
09:43et revoir Alexis Corbière.
09:45Je l'aurais même écrit pour leur dire
09:47comme je les aimais.
09:49Et voilà, ça continuera comme ça.
09:51Gérald Darmanin, je ne m'en suis jamais caché,
09:53c'est quelqu'un que j'adore.
09:55– Edouard Philippe a dîné avec Marine Le Pen aussi,
09:57ça avait fait tout un esclan dans Libération.
09:59On a le droit de dîner avec Marine Le Pen,
10:01il n'est pas reparti avec sa carte du RN
10:03parce qu'il a dîné avec Marine Le Pen.
10:05– C'est insupportable, ces gens.
10:07Bernard Montiel a tout à fait le droit
10:09de dîner avec les journalistes qui nous tombent dessus à chaque fois.
10:11Brigitte Macron, tous ceux qui la rencontrent,
10:13je suis désolé qu'ils soient de n'importe quel bord,
10:15je suis sûr que Julien Audoul, il va dire
10:17on l'adore, tu ne peux pas ne pas l'aimer.
10:19Elle est douce, elle est sympathique,
10:21elle est gentille, elle s'intéresse à tout.
10:23Donc arrêtez les gars.
10:25On prend les gens en tant qu'êtres humains,
10:27on prend les hommes, les hommes et les femmes.
10:29Julien Audoul, je sais que c'est quelqu'un
10:31d'extrêmement sympathique.
10:33Julien Audoul, tu sais que c'est tout.
10:35Donc arrêtez.
10:37Ils sont jaloux, en plus c'est de la jalousie.
10:39Ils sont jaloux de Bernard Montiel parce qu'il parle avec Brigitte Macron.
10:41Ils sont jaloux de nous parce qu'on parle…
10:43– À la France.
10:45– C'est insupportable, on parle à la France
10:47et ça continuera comme ça, mais c'était insupportable.
10:49– Sous-titrage ST' 501