"On assiste à une pantalonnade," a critiqué Alain Minc, économiste et essayiste, dans une interview récente. Ce commentaire concerne le premier budget du Premier ministre Michel Barnier actuellement examiné au Parlement. Minc souligne que Michel Barnier n'aura d'autre choix que d'utiliser l'article 49.3 pour faire adopter ce budget face à des circonstances extrêmement difficiles. Selon l'économiste, l'avenir de Barnier dépendra également du vote de Marine Le Pen sur la motion de censure proposée par la gauche.
## Une image de France ternie par des choix fiscaux
L’économiste déplore que l'image de la France à l’international souffre de ce qu’il appelle "un délire fiscal" où de nouveaux impôts sont constamment ajoutés. Il affirme que cet enchevêtrement fiscal ne prend pas en compte les conséquences néfastes sur la perception de la France à l'étranger. Minc rappelle qu’historiquement, les institutions françaises ont toujours su donner une impression de stabilité, que ce soit sous la droite ou la gauche au pouvoir.
## Les dérives d'une démocratie parlementaire
Alain Minc critique fortement l’état actuel de la démocratie parlementaire en France, décrivant des dérives qui s’opèrent sans la maturité requise. Il évoque un sentiment de tristesse chez les pays qui ont une certaine sympathie pour la France, et un plaisir malsain – la "schadenfreude" – chez ceux qui lui sont hostiles. Il rappelle aux députés de prendre en compte cette réalité inquiétante qu'est le coût du crédit, comparé à celui de l'Allemagne, tout en utilisant une métaphore sur la fragilité d'une glace mince.
## Urgence d'agir sur le plan économique
Concernant la situation économique du pays, l'économiste affirme qu'il "y a le feu" et critique la position de Michel Barnier, qui tente de manœuvrer dans un Parlement difficile. Minc explique que les réformes nécessaires demanderaient du temps et une certaine autorité. Il s'interroge sur le fait que le gouvernement gère des sujets courants, tel que l’harmonisation des jours de carence entre le secteur public et le privé, alors qu'il y a des enjeux beaucoup plus pressants à résoudre.
## La question de l'équité entre public et privé
Alain Minc remet aussi en question l’idée que les fonctionnaires devraient bénéficier d’un remboursement plus avantageux que les salariés du secteur privé pour les arrêts-maladies. Il critique l’idée que le gouvernement serait sur le point de stigmatiser les fonctionnaires à ce sujet. Finalement, tout en reconnaissant que Michel Barnier fait de son mieux avec les cartes qu'il a en main, Minc conclut sur le fait qu'il gère la situation avec un jeu défavorable, mais s'efforce de jouer au mieux.
## Une image de France ternie par des choix fiscaux
L’économiste déplore que l'image de la France à l’international souffre de ce qu’il appelle "un délire fiscal" où de nouveaux impôts sont constamment ajoutés. Il affirme que cet enchevêtrement fiscal ne prend pas en compte les conséquences néfastes sur la perception de la France à l'étranger. Minc rappelle qu’historiquement, les institutions françaises ont toujours su donner une impression de stabilité, que ce soit sous la droite ou la gauche au pouvoir.
## Les dérives d'une démocratie parlementaire
Alain Minc critique fortement l’état actuel de la démocratie parlementaire en France, décrivant des dérives qui s’opèrent sans la maturité requise. Il évoque un sentiment de tristesse chez les pays qui ont une certaine sympathie pour la France, et un plaisir malsain – la "schadenfreude" – chez ceux qui lui sont hostiles. Il rappelle aux députés de prendre en compte cette réalité inquiétante qu'est le coût du crédit, comparé à celui de l'Allemagne, tout en utilisant une métaphore sur la fragilité d'une glace mince.
## Urgence d'agir sur le plan économique
Concernant la situation économique du pays, l'économiste affirme qu'il "y a le feu" et critique la position de Michel Barnier, qui tente de manœuvrer dans un Parlement difficile. Minc explique que les réformes nécessaires demanderaient du temps et une certaine autorité. Il s'interroge sur le fait que le gouvernement gère des sujets courants, tel que l’harmonisation des jours de carence entre le secteur public et le privé, alors qu'il y a des enjeux beaucoup plus pressants à résoudre.
## La question de l'équité entre public et privé
Alain Minc remet aussi en question l’idée que les fonctionnaires devraient bénéficier d’un remboursement plus avantageux que les salariés du secteur privé pour les arrêts-maladies. Il critique l’idée que le gouvernement serait sur le point de stigmatiser les fonctionnaires à ce sujet. Finalement, tout en reconnaissant que Michel Barnier fait de son mieux avec les cartes qu'il a en main, Minc conclut sur le fait qu'il gère la situation avec un jeu défavorable, mais s'efforce de jouer au mieux.
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00:00On assiste à une pantalonnade à critiquer Alain Minc, économiste et essayiste.
00:05Dans une interview récente, ce commentaire concerne le premier but et du Premier ministre Michel Barnier actuellement examiné.
00:11Au Parlement, Minc souligne que Michel Barnier n'aura d'autre choix que d'utiliser l'article 49.3 pour faire adopter ce but face à des circonstances extrêmement difficiles, selon l'économiste.
00:22L'avenir de Barnier dépendra également du vote de Marine Le Pen sur la motion de censure proposée.
00:28Par la gauche, l'économiste déplore que l'image de la France à l'international souffre de ce qu'il appelle un « délire fiscal » où de nouveaux impôts sont constamment ajoutés.
00:36Il affirme que cet enchevêtrement fiscal ne prend pas en compte les conséquences néfastes sur la perception de la France à l'étranger.
00:44Minc rappelle qu'horistogiquement, les institutions françaises ont toujours su donner une impression de stabilité.
00:50Que ce soit sous la droite ou la gauche au pouvoir, Alain Minc critique fortement l'état actuel de la démocratie parlementaire en France.
00:57Décrivant des dérives qui s'opèrent sans la maturité requise, il évoque un sentiment de tristesse chez les pays qui ont une certaine sympathie pour la France.
01:05Et un plaisir malsain lâcha d'Enfroy de chez ceux qui lui sont hostiles, il rappelle aux députés de prendre en compte cette réalité inquiétante qu'est le coût du crédit.
01:13Comparé à celui de l'Allemagne, tout en utilisant une métaphore sur la fragilité d'une glace mince, concernant la situation économique du pays.
01:21L'économiste affirme qu'il y a le feu et critique la position de Michel Barnier,
01:25qui tente de manœuvrer dans un parlement difficile.
01:28Minc explique que les réformes nécessaires demanderaient du temps et une certaine autorité.
01:32Il s'interroge sur le fait que le gouvernement gère des sujets courants.
01:36Téléphone que l'harmonisation des jours de carence entre le secteur public et le privé.
01:40Alors qu'il y a des enjeux beaucoup plus pressants à résoudre, Alain Minc remet aussi en question l'idée que les fonctionnaires devraient bénéficier d'un
01:48remboursement plus avantageux que les salariés du secteur privé pour les arrêts maladie.
01:52Il critique l'idée que le gouvernement serait sur le point de stigmatiser les fonctionnaires à ce sujet, finalement.
01:59Tout en reconnaissant que Michel Barnier fait de son mieux avec les cartes qu'il a en main.
02:03Minc conclut sur le fait qu'il gère la situation avec un jeu défavorable.
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