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Depuis la découverte du corps noyé et ligoté du petit garçon de 4 ans dans la Vologne le 16 octobre 1984, l'enquête a connu de nombreux rebondissements sans jamais parvenir à identifier le ou les auteurs de ce crime. Une affaire tentaculaire avec “17.765 pièces de procédure, sept magistrats instructeurs”, qui tente aujourd’hui de rebondir grâce aux progrès de la science. 

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00:0040 ans après le meurtre du petit Grégory, le mystère reste entier.
00:03Depuis la découverte du corps noyé et ligoté du petit garçon de 4 ans dans la Vologne le 16 octobre 1984,
00:09l'enquête a connu de nombreux rebondissements sans jamais parvenir à identifier le ou les auteurs de ce crime.
00:15Une affaire tentaculaire avec 17 765 pièces de procédure, 7 magistrats instructeurs,
00:20qui tentent aujourd'hui de rebondir grâce au progrès de la science.
00:23En mars dernier, de nouvelles expertises ont été ordonnées pour tenter de savoir
00:26si les ADN retrouvés sur la scène de crime correspondent avec les ADN des protagonistes du dossier.
00:31Ces recherches devraient donner des résultats d'ici 5 à 6 mois selon Thierry Moser,
00:35avocat des parents du petit Grégory.
00:37La justice se penche aussi sur la fréquence vocale des appels téléphoniques du corbeau,
00:41une sorte d'ADN de la voix, pour définir une identité vocale
00:44et ainsi découvrir qui harcelait la famille depuis plusieurs années.
00:57Cette technique, encore très avant-gardiste, va d'abord nécessiter une étude de faisabilité et donc du temps.
01:02Le père de Grégory Villemin, Jean-Marie, s'est par ailleurs récemment exprimé dans une BD intitulée Grégory.
01:07Il écrit notamment
01:26pour sa mémoire, pour toujours avec lui.

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