Le procès de familles jugées pour avoir accueilli sans agrément des mineurs, dont certains auraient subi des violences physiques, psychologiques, des humiliations et du travail forcé, s'est ouvert lundi à Châteauroux.
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00:00On aurait souhaité que l'aide sociale à l'enfance, la DAS comme tout le monde l'appelle, soit là pour
00:28s'exprimer, mais elle n'est pas là. Elle n'est pas là depuis le début. Aujourd'hui en France,
00:34quasiment toutes les semaines, voire deux ou trois fois par semaine, on entend des incidents
00:39liés à ces enfants. Je pense qu'on est tous contents d'être ici. Pour nous tous les jeunes,
00:45ça nous fait vraiment du bien, même si on est tous un peu stressés quand même. Ça va
00:53nous apporter du bonheur et des forces à nous. Je ne comprends pas, qu'on n'ait pas essayé de
01:15comprendre comment tous ces messages envoyés à l'ASE du Nord, comment ces informations qui
01:22ont été identifiées, ces violences qui ont été connues, n'aient pas donné lieu à plus d'investigation.
01:30Ne voulait-on pas voir ? Je n'en sais rien. Il y a aussi les violences faites sur les mineurs. Il y a
01:37aussi l'administration de substances nuisibles, puisque les enfants ont été drogués également,
01:42certains, pas tous. Donc oui, il y a un certain nombre de chefs d'accusation, dont le fait qu'ils
01:48aient accueilli des enfants sans autorisation.