Loudéac - Conseil Municipal du 9 mars 2023 (partie 3)

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00:00Un autre tiers en 2025. Un autre tiers en 2026. C'est-à-dire que ça marche comme ça. Et pendant 6 ans, on est sûrs d'avoir continué à dépasser.
00:15Est-ce que vous pouvez rajouter quelque chose ?
00:17Non, c'est simplement pour illustrer ce que M. le maire vient de dire sur le nombre d'habitants.
00:24Et donc, c'est fait avec la population DGF, donc en rajoutant une résidence.
00:32Et justement, sur les logements vacants, on a reçu le fichier Excel de tous les logements vacants par l'INSEE.
00:41Donc, il faudrait le vérifier déjà parce qu'il y a eu des erreurs. Parfois, les garages de la police étaient dans les logements vacants.
00:49Il faut qu'on en enlève une partie. Mais on doit s'interroger aussi. Mais je pense qu'on a l'occasion d'en débattre.
00:56C'est peut-être d'inciter aussi aux membres du logement sur la ville. C'est peut-être d'inciter les communautaires aussi à rénover ces logements-là.
01:03D'autant plus qu'il y a de bonnes dispositifs quand même qui sont de l'État, voire de la région ou même de l'UCLC qui favorisent quand même tous ces travaux-là.
01:13Donc on sera peut-être amenés à réfléchir un peu ensemble, à peut-être un peu plus taxer ces logements vacants-là qui ne servent à rien.
01:21Voilà. Je trouve que ce n'est pas tellement logique. Et ainsi dit, de toute façon, on va peut-être attendre à s'attaquer, les gens, à révolver leurs appartements.
01:29Mais ça fera l'objet de déchanges, de débats. Voilà. C'était une piste. Et vous l'avez vu, il y a certaines communes, certaines villes surtout qui la mettent en place.
01:40Voilà. Est-ce que vous avez des questions par rapport au plan de voûte ? Voilà. Alors il y a l'effet mécanique aussi.
01:52Parce que normalement, on était à 10 365. On a l'effet mécanique également des logements de Saint-Domingue qui sont vides.
02:01Il ne faut pas oublier ceux-là. Donc c'est à peu près plus de 50. Aux 50, il y a 60 logements. Vous mettez 2, ça fait plus 120 habitants en plus.
02:11Donc ça, c'est en 2022. Et la suite après... Il n'y a pas la suite ?
02:22Voilà. C'est avec le tiers. D'abord, c'est la population DGF, c'est-à-dire c'est la population totale plus le dérivant secondaire.
02:40C'est ça. C'est tout confondu. C'est à peu près 150. Il faut rajouter 150 en plus. Donc voilà à peu près ce que ça va donner dans les années qui suivent.
02:53Donc c'est quand même plutôt encourageant pour les élus comme nous sommes de voir la population augmenter de nouveau.
03:01Ça prouve qu'il y a eu un certain dynamisme sur la collectivité. Voilà. Je vais finir avec la population, si vous avez des questionnements.
03:10C'est bon pour tout le monde. Je vous remercie. Vous voulez prendre la parole ? Je vous laisse la parole. Je vous propose plutôt... Allez-y.
03:20— Merci, monsieur le maire. En fait, je souhaitais intervenir en réponse aux propos qui ont été tenus lors du précédent conseil municipal,
03:28s'agissant du complexe quantique de 5 millions, ainsi que ce que je voulais aussi. Après, ça s'est suivi. Forcément, le lendemain, j'ai été interpellé par pas mal de personnes.
03:37Et cela a pèsé de ma part sur la base avec des classismes, voire même beaucoup d'isotropes. Je n'ai pas l'avenu lors de ce dernier conseil parce que je n'avais pas ce dossier avec moi.
03:47Ils sont nombreux. Il me semble important de donner des chiffres précis dans cette assemblée au risque simplement de manquer de crédibilité lors de nos prochaines interventions.
03:55Donc les propos tenus et qui les suivront, je les cite sorti du PV. Mme Blanger fait savoir que le montant de 558 926 € correspondant à l'extension
04:04et à la restructuration des vestiaires du terrain d'honneur pour 2023 est très élevé. Elle précise qu'elles sont très étonnées de voir une telle somme,
04:11notamment pour 130 mètres carrés. Dans un combien de temps ? Je dirais que je suis d'accord avec vous. Le coût, s'il est nécessaire, n'aurait pas été moins important.
04:21Mais ce site sportif, général de Saint-Louis-en-Provence, a été abandonné depuis longtemps. On a dû refaire la trotture des tennis, refaire les cours de tennis, et le tout pour près de 280 000 €.
04:32Maintenant, c'est toujours des vestiaires dans un état déplorable. Et c'est une demande des utilisateurs depuis de nombreuses et de nombreuses années.
04:40Lors de notre conseil municipal du 27 novembre, nous avions présenté un budget prévisionnel qui servait à 476 226 € afin de faire une demande de subvention de 121 050 €.
04:53Il est évidemment bien important d'étudier le dossier afin d'obtenir la subvention qui convient. Il n'y a rien d'autre. Ce budget, à l'époque, n'avait fait aucune remarque d'autre part,
05:04ni lors de la commission des affaires sportives du 19 décembre. Je suis donc étonné de vous le voir étonné. Les témoignants, ceux qui étaient bien sûr hors taxe,
05:13alors que ceux qui étaient présentés lors du débat de l'orientation budgétaire par M. Spardet lors de l'intercession, étaient bien évidemment anti-TC.
05:21Mais chacun aura pu faire la différence. Nous avons, depuis cette semaine, après de nombreuses violences vers certaines entreprises, nous avons réponse à la totalité des lois.
05:31Le résultat de ces consultations montre une augmentation potentielle du budget de 17 % par rapport aux prévisions. C'est dans les martiaux de cette année 2023.
05:39Les services de la ville ont d'ailleurs enregistré une augmentation de près de 15 % des fournitures bâtiments en 2022. Mais c'est au tour de la plaine d'offres pour maintenant faire l'objet d'une analyse financière détaillée.
05:51Mais il est également émonné de parler d'une surface de 130 m² qui correspond à l'agrandissement, puisque nous sommes sur une surface de 256 m² avec des réunitations existantes sur le double,
06:01ce qui, évidemment, modifie le prix calculé du mètre carré. Il s'agit donc donc d'une façon que j'ai pu dire dans la place locale d'un doublement de tarif.
06:10À ce point d'étude, nous sommes sur un prix au mètre carré de 1 830 000 € qui correspond standard à l'année 2023.
06:18Revenons au dernier conseil municipal. Je cite « De plus, ma congé fait savoir que la Ville de Tréville a fait le choix d'un autre système beaucoup moins coûteux, à savoir des blocs qui, à l'époque, avaient représenté environ 60 000 €. »
06:30Effectivement, la Ville de Tréville a fait ce choix. Or, c'est le bon prix. Il m'a été indiqué que ce n'était pas 60 000 €, mais exactement 141 214,54 €. Et ceci il y a plus de 10 ans.
06:42Ces blocs, s'ils peuvent être assez appropriés pour des bureaux, par exemple, ne sont pas forcément pour des vestiaires qui vieillissent assez mal.
06:49Puisque nous avons donc le financement des structures sportives, j'ai pu voir également par Vodafone, c'est pour régler les réseaux, Catherine comparant ce projet de conquête de 5 millions avec celui de Vallée des Sports.
07:00Je pourrais m'étendre sur le sujet tellement il y a à lire, mais je ne vais retenir pour mémoire qu'un point.
07:06Ce bel équipement du Vallée des Sports, d'un coût initial de 5 millions d'euros, a fini à 8,3 millions, soit 66 % de plus-value. La subvention obtenue, hélas, a été calculée sur le 5 non-prévu et non sur le résultat final.
07:20Quel dommage, voire quelle erreur, peut-on dire l'obligation. Dans la circonstance, je suis toujours preneur de conseils lorsqu'il faut avancer le dossier.
07:28Mais j'ai suffisamment fait l'investissement dans les professionnels pour ne pas avoir à recevoir de leçons dans ce domaine.
07:33Ce dossier de conquête de 5 millions est suivi de près par les acteurs du projet. Je suis accompagné dans la circonstance par M. Presse, adjoint au groupe de vos travaux, le club de 5 millions équivalent associé au projet,
07:43et enfin les services techniques concernés. Et je veux ici remercier M. Kébéchard pour son investissement dans ce dossier si particulier.
07:51Pour conclure cette intervention, je prends comme un blancher que nous sommes d'accord sur un point. Ce dossier aurait pu être traité depuis plus de 10 ans.
07:58Et à cette époque, il aurait sûrement coûté beaucoup moins cher. Mais à ce moment-là, vous en regarderez, nous n'étions pas responsabilités.
08:06— Voilà, je vous remercie. Vous pouvez prendre la parole.
08:18— Nous recevons en ce moment l'obligation dans les retraites. Et j'aimerais réagir aussi au mot que vous avez pu mettre, puisque là aussi, je préfère recadrer les choses,
08:28parce qu'il se dit des choses et il y a des écartissements à faire. Vous nous dites en fait que vous vous plaignez et que les vidéasiens se plaignent de longues et coûteuses études.
08:41Alors c'est vrai que rien n'est gratuit et qu'il ne faut pas croire aussi investir dans des études pour récolter des fonds importants ou nécessaires pour financer les différents projets de la ville,
08:54puisque vous avez vu que dans le budget, sans financement extérieur, on ne va pas aller très loin. Donc je voudrais reprendre l'étude d'urbanisme que nous avons menée en 2018.
09:06Là, dès les études, on cherche les subventions. Donc cette étude a coûté à la ville 30% du montant de l'étude, ce qui fait une somme de 12 758 euros.
09:18Cette étude, comme je vous l'ai dit, c'est un investissement qui nous a permis de répondre à différents appels à projets, qu'ils soient régionaux, qu'ils soient de l'État.
09:28Et ces projets, à chaque fois, maintenant, dans tout appel à projets, il faut des projets durables qui s'inscrivent dans une stratégie globale.
09:37C'était la première étape de cette étude urbaine. Cette étude urbaine nous a permis de répondre justement pour l'affrichement contour.
09:47Et cette affrichement contour bénéficie, avec les subventions de l'État et de la région, en cumulant toutes les aides que nous avons, c'est 1 500 000 euros d'aides publiques
09:59pour un investissement à la base d'études qui coûtent à la ville de 12 758 euros. Donc en effet, les études coûtent, les études demandent du temps,
10:09mais on est tout à fait amplement remboursé de tous nos efforts. Donc moi, je trouve que ces notions d'études, en plus ce sont des études où l'on convie la population,
10:22les différents services, les différents acteurs du territoire, il y a de la concertation et on travaille ensemble.
10:29Et pour rappel aussi, sur des délais qui seraient longs, cette fameuse friche, nous avons pu l'acheter en 2020, une fois que nous avons eu les subventions de la région
10:42quand on a eu l'accord en 2019, puisqu'il n'était pas question qu'on se lance dans les travaux sans avoir pu les financer. La démolition a suivi en 2021,
10:52et la construction se fera en 2024. Et je vous rappelle qu'entre ce moment-là, il y a eu quand même la fameuse crise Covid qui a mis beaucoup de projets et beaucoup d'études
11:02qui ont ralenti énormément les choses. Et aussi, ce qu'il faut bien se dire, c'est que ce n'est pas parce que les dossiers ne sortent pas en baguette magique
11:13que les services, et aussi je remercie nos services en la présence de M. Guérichard et de M. Le Provost qui mènent ces dossiers avec nous,
11:23ce n'est pas les volontés de la ville de mettre des dossiers sous le tapis et puis de mettre ces études pour bloquer ou remplir des fonds d'armement.
11:35Les Haras, par exemple, c'est maintenant un projet privé. C'est vrai qu'il met du temps à sortir, mais ce n'est pas la faute de la ville. Nous, on a fait ce qu'on s'était engagé,
11:48on a démoli la maison, ce qui permet maintenant de mettre en valeur ces Haras. Ils sont autant mis en valeur quand ils sont rénovés, mais c'est en cours.
11:57Je pense aussi au Cheval Blanc, où là, ce n'est pas non plus la ville qui bloque, c'est un problème avec un voisin qui, lui, ne veut pas voir son environnement bouger,
12:06donc il nous met des bâtons dans les roues. Mais là également, d'ailleurs, avec M. Le Provost et les services, nous avons encore un rendez-vous très prochainement avec l'EPF pour sortir de cet armement.
12:17Je voudrais revenir aussi à l'étude qui nous occupe énormément en ce moment, c'est l'étude préopérationnelle du quartier Taillat.
12:24Donc là également, il y a une étude coûteuse puisqu'on dépasse les 90 000 euros, donc en effet, c'est des sommes très importantes.
12:32Mais là, pareillement, nous avons trouvé des subventions et ça revient à la ville à hauteur de 10 %, donc à peine 10 000 euros.
12:40Et nous comptons bien, avec cette étude aussi, aller chercher des subventions et aides publiques des différents organismes à partir de cette étude.
12:52Je voudrais aussi dire quelques mots sur j'entends des collectivités qui vont s'enorgueillir de ne pas avoir à aller chercher des financements extérieurs.
13:03Très bien, c'est très bien pour eux. Mais je pense à certaines collectivités où leurs projets se réalisent grâce à un dynamisme, et c'est souvent un dynamisme économique.
13:16Et je rappelle en fait que les retombées économiques de fiscalité vont aux EPCI et non pas aux villes.
13:24Voilà, c'est un point aussi sur lequel je voulais rappeler.
13:29Et donc voilà, c'est en fait, et nous, on continue d'être ambitieux pour la ville, on continue de se battre pour obtenir ces aides extérieures.
13:42Et tout ce travail qui est fait, toute cette énergie qui est donnée, menée pour nos villes, c'est aussi bien entendu pour ne pas laisser mourir notre centre libre.
13:52Il y a eu d'ailleurs, au dernier municipal, des actions fortes, puisque la ville a décidé de nommer une conseillère déléguée spécialement au commerce du centre libre,
14:04qui se bat tous les jours avec beaucoup d'énergie. Et donc, ce que je voudrais dire aussi, c'est que si, même si ce temps paraît long, c'est extrêmement important.
14:17Il ne faut pas remettre en question ce temps de réflexion, parce que si on ne s'était pas donné ce temps de réflexion, la région Contours serait toujours debout aujourd'hui.
14:26Puisque je vous rappelle que ces 1,5 millions permettent également de résorber le fameux déficit de l'opération qui, entre l'arrache de l'Afrique et sa démolition des constructions,
14:38des pollutions avoisinaient, dépassaient même les 800 000 euros. Et je voudrais aussi dire que ce temps long, bien souvent, on n'en s'en rend plus compte.
14:53Et j'en veux pour preuve également que vous n'avez peut-être pas vu, mais il n'y a qu'un jour, nous avions le point sur les différentes DIA.
15:02Et dans ces DIA, en fait, nous avions encore une surface de l'ex-friche chronique, donc la friche qui est en face de l'église, qui a vu depuis apparaître, depuis 2012,
15:13apparaître IRAM, puis Informati. Et en fait, la CBC va céder la dernière surface encore libre à l'étage de ce contexte bâti.
15:27L'opération est lancée en 2012, quinze ans plus tard, on le voit encore. En effet, c'est énorme, c'est laborieux, ça demande de l'énergie,
15:39mais on continue d'avancer et on travaille évidemment pour le centre-ville. Ce que je voudrais dire aussi sur le centre-ville,
15:46quand vous dites dans vos propos qu'il y a la fermeture de plusieurs commerces, oui, mais j'aimerais quand même qu'on porte des regards positifs sur notre ville,
15:56puisque rappelez-vous, quand on annonçait toute cette dynamique d'études, on voulait que Charles Boudéassien soit l'ambassadeur positif de sa ville.
16:05Et quand je vois que les commerçants se battent aussi au jour le jour pour maintenir leur commerce, quand je vois Agathe qui crée une deuxième boutique,
16:13quand je vois le Petit Pouce aéroport, quand je vois que les voyageurs entreprennent des travaux extrêmement importants,
16:20quand je vois que les Nettos comme Intermarché, pour maintenir leur commerce, font des travaux, on ne peut pas dire que le centre-ville se meurt.
16:31Il faut qu'en nous-mêmes, nous portions une image et un discours positif sur tout cela.
16:36– Madame Moustrap peut-être ajouter quelque chose sur le commerce, peut-être spécifiquement ?
16:40– Oui, allez-y Madame Moustrap.
16:45– Au niveau des commerces, je voudrais vous dire que si la ville n'avait pas aidé Nettos à faire son magasin,
16:50Nettos n'aurait jamais été refait. M. Verpe l'a prouvé. Intermarché, on a beaucoup travaillé aussi pour eux.
16:57Et aujourd'hui, je trouve que la rue Montcouteau n'a jamais été aussi belle.
17:01On a participé avec les commerçants qui refaisent en vitrine, qui repeignent.
17:06Et je trouve que vraiment, on a beaucoup de demandes, même pour la ville.
17:09Mais on est tributaires aussi de propriétaires qui ne veulent pas faire des travaux,
17:14que les commerces sont vieillissants, qui demandent des loyers excessifs.
17:18Et je peux vous dire que c'est une bagarre de tous les moments pour que la ville bouge.
17:22Et je trouve que la ville a beaucoup évolué.
17:24– Merci Mme Straster. Mme Diouf, vous pouvez continuer s'il vous plaît.
17:27– Et puis, il y a un autre point aussi que je suis sentie personnellement attaquée.
17:30Malheureusement, je n'étais pas au fameux conseil communautaire pour répondre au Président,
17:37par rapport justement à la vente de l'aise et le drogue à Semelle.
17:45Donc en fait, de laisser que l'on portait des propos sans venir nous voir directement
17:51pour expliquer et comprendre les choses, je trouve ça dommage,
17:54parce qu'on est vraiment des élus très importants.
17:59Donc, quand j'ai vu dans la presse justement la taille qui était faite à la ville,
18:04j'ai appris que le porteur de projet...
18:08Donc en fait, c'est une personne qui a fait une offre en septembre à la CBC
18:12pour racheter ce fameux foncier.
18:16Il avait donné en fait un délai d'un mois pour qu'elle se positionne.
18:21Nous avons rencontré ce porteur de projet fin novembre, tout début décembre.
18:26Nous étions un groupe d'élus qui apprenons justement,
18:29c'était une personne qui avait différents projets sur la ville.
18:32Et c'est là, nous, que nous apprenons qu'il a fait cette fameuse offre de rachat
18:37de l'ex Vélodrome.
18:39Et c'est vrai que là, je suis intervenue pour lui dire,
18:42vu que c'est comme 17 milles mètres carrés de terrain,
18:47c'est comme dans un quartier sur lequel on travaille depuis que nous sommes élus,
18:51un quartier stratégique.
18:53On vient avec le quartier de la gare vers le centre-ville.
18:58Je lui ai dit, moi, ça m'intéresse pour qu'on travaille ensemble.
19:01Puisque nous, on n'organise pas 17 milles mètres carrés de terrain
19:04sans que les élus soient aussi investis dans ce projet.
19:09Et je ne sais pas, 15 jours plus tard, on voit que c'est à l'ordre du jour de SCBC
19:15qu'ils acceptent l'offre.
19:19Et une semaine après, puisque, rappelez-vous, le conseil a été décalé,
19:23une semaine après, l'offre avait disparu.
19:27Donc, je n'ai pas compris, j'ai rappelé aussi ce porteur de projet
19:31et il m'a dit, en fait, qu'il était avec tout un groupe d'investisseurs
19:36et la réponse a été un peu lente.
19:39Donc, ils ne sont pas venus ici.
19:42Moi, j'ai quand même regardé des chiffres
19:45et je voudrais quand même les partager avec vous
19:47parce que c'est source aussi de réflexion et d'enseignement.
19:51Donc là, il y avait une offre d'achat de 600 000 euros pour 17 milles mètres carrés.
19:56Ce qui veut dire que le prix au mètre carré revenait à 35 euros le lacan.
20:02Vous tapez et vous vous renseignez sur les communes autour de nous
20:06qui sont asseintes de lignes de route.
20:09Non, justement, j'ai été mentionnée.
20:13Vous tapez sur les bâtissements autour de chez nous,
20:17que ce soit Trédé, La Roche, Michel-Égard aussi, ou Quignon.
20:21Le prix du terrain mur balisé,
20:23sur lequel vous pouvez directement des pesetas vous construire,
20:27ça varie entre 15 et 31 euros le mètre carré.
20:30Là, ils achètent à 35, un terrain qui n'est pas viabilisé.
20:33Quand on a travaillé sur le lotissement du monnaie,
20:36une des premières questions que j'ai posées à la ménageuse, c'est
20:39à combien il faut estimer au minimum le prix de viabilisation ?
20:44En dessous de 50 à 60 euros du mètre carré, on ne peut pas faire.
20:48Ça, c'était avant le confinement, avant ce reste des prix.
20:53Donc, si à 35, vous rajoutez 60 euros du mètre carré,
20:56vous rajoutez des frais et une marge minimum de 20 %,
20:59on arrive sur des prix de sortie 110, 120 euros du mètre carré.
21:03Vu la conjoncture, il est possible, ça c'est mon analyse,
21:08il est possible que ce porteur de projet s'est dit
21:10que ce n'était pas le moment de lancer un tel projet ambitieux
21:14sur du diag avec des prix de sortie à 120 euros du mètre carré.
21:18Voilà, c'était ce que je voulais aussi vous dire puisque
21:22je ne fais pas muscler, je n'ai pas des bras musclés,
21:27je ne suis pas du tout en mesure d'arrêter un investisseur
21:30qui viendra sur du diag, je ne veux pas sûr,
21:33mais sur les banques de l'anomalie.
21:36Merci.
21:37Merci Marat.
21:39On va reposer dans les jours, s'il y a plus d'interventions.
21:43On se rejoigne.
21:46On va enlever nos droits.
21:50J'ai eu de grandes chances.
21:54Je vous invite tout simplement à le crédit 6 avril à 18h
22:02à visiter le Vélodrome 2 de Bretagne,
22:06à Pascal Guillaume, directeur technique de la Hong Kong
22:11et à moi de ma part.
22:13Merci Henri.
22:15Allez, allez.
22:18C'est spécial pour les administrations.
22:22Pour le nombre, on a loupé le nombre,
22:24on avait pensé le groupe des frères, le groupe mondial.
22:27On l'a prêté jusqu'à là.
22:29Alors, prochain conseil musical.
22:32Alors, les services, les responsables de services,
22:35Ville et LCBC, ont invité un nouveau site de présentation.
22:39Alors, ça sera plutôt sur le mois de mai
22:41parce qu'on m'a dit que la piste, ça a beaucoup avancé.
22:44La piste sera faite sur mai, juin et juillet.
22:46Alors, juste avant qu'on se quitte,
22:48enfin qu'on se retrouve tout à l'heure,
22:50le prochain conseil est fixé au 25 mai
22:53et M. le Provost me faisait dire tout à l'heure
22:55qu'on sera sûrement obligés d'en caler un avant
22:58à cause des affaires financières.
23:00Il y a des déadlines que nous devons réfléter.
23:02Ce sera peut-être un petit conseil technique,
23:04mais voilà.
23:06On reviendra le plus tôt possible.
23:08Allez, à tout à l'heure.
23:10A tout de suite.

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