PARLEMENT LEPEP 08 10 2024_0

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PARLEMENT LEPEP 08 10 2024
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00:00:00délicieux.
00:00:03délicieux.
00:00:03délicieux. Qu'est-ce que c'est que ça?
00:00:06Qu'est-ce que c'est que ça?
00:00:06Qu'est-ce que c'est que ça? C'est que c'est que c'est
00:00:09C'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est
00:00:12C'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est
00:00:15C'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est
00:00:18C'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est
00:00:21C'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est
00:00:24C'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est
00:00:27que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est
00:00:30c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que
00:00:33c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que
00:00:36c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que
00:00:39c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que
00:00:42c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que
00:00:45c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que
00:00:48c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que
00:00:51c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que
00:00:54c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que
00:00:57c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que
00:01:00c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que
00:01:03c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que
00:01:06c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que
00:01:09c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que
00:01:13c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que
00:01:16c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que
00:01:19c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que
00:01:22c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que
00:01:25c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que
00:01:28c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que
00:01:31c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que
00:01:34c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que
00:01:37c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que
00:01:40c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que
00:01:43c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que
00:01:46c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que
00:01:49c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que
00:01:52c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que
00:01:55c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que
00:01:58c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que
00:02:01c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que
00:02:04c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que
00:02:07c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que
00:02:10c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que
00:02:13c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que
00:02:16c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que
00:02:19c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que
00:02:22c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que
00:02:25c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que
00:02:29c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que
00:02:32c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que
00:02:35c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que
00:02:38c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que
00:02:41c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que
00:02:44c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que
00:02:47c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que
00:02:50c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que c'est que
00:02:53même pas national d'envergure internationale les premiers
00:02:57ministres finit annonce l'accord historique euh politique qui
00:03:00finit faire entre la Grande-Bretagne et la République
00:03:03de Maurice et nous pensait qu'il bon nous attendait euh
00:03:06pénalty de Medgaule et puis nous attendait qu'il faisait non
00:03:09non non il ne batta pas tout il retournait donc nous pensait
00:03:12qu'il est bon qu'il euh les auditeurs et les internautes
00:03:16gagnent l'occasion tendent un petit peu plus en profondeur
00:03:21les dessous de l'affaire comme nous disons en en anglais
00:03:27alors est-ce que c'est un ou bien est-ce que c'est un ange
00:03:31tout à l'heure les réponses. Allez voilà donc nous nous
00:03:33commençons avec nos premiers thèmes vous connaissez la
00:03:35régie déjà il y en a euh en en ligne vous pouvez évoquer euh
00:03:40mon rappel ou donc votre priorité qui est le prochain
00:03:43gouvernement quel qu'il soit euh ou alors pour pour hérite euh
00:03:48euh
00:03:52euh
00:03:57allez voilà donc on est bonsoir. Bonsoir. Bonsoir.
00:04:04Bonsoir. Bonsoir tout d'abord tout d'abord nous aimeriez
00:04:08vous parce qu'il euh me connaît qui vous souffrant qui
00:04:10vous partie bien et qui quand même ça au fin d'accepter euh
00:04:15cet après-midi dans Top FM.
00:04:21Et difficile pour les fils Top FM donc c'est une obligation
00:04:24pour moi. Euh merci Etienne. Alors alors euh nous tous
00:04:28connaît pour une élection rapide euh aujourd'hui le
00:04:33huit octobre nous connaît qu'il est vingt-deux dans
00:04:36quatorze jours pour nominer que tout bon candidat peut être
00:04:39présenté et puis élection le dix-nouvembre. Mais nous
00:04:43connaît qu'il y a quatre semaines qui peut venir là. Il
00:04:46y a pour autant que le public qu'il y a de l'idée quelles
00:04:49seraient les priorités d'un prochain gouvernement et bon
00:04:53nous cognent quand même aux proximités avec le présent
00:04:55gouvernement et nous avons donc l'idée de vous. Quelles sont
00:04:58selon vous les priorités qui un prochain gouvernement
00:05:02bizarre prend en main on va dire bizarre attaqué à la tasse
00:05:05comment il est fini? Bon tout d'abord Etienne euh nous
00:05:11d'un conférence de presse que j'ai fait dans l'annonce de
00:05:15l'alliance des peuples euh des alliances des peuples. Il y a
00:05:19qui euh donc euh il y a pas mal de travail qui lui pensait ce
00:05:22gouvernement il fait très bien mais il y a aussi admettre qu'il
00:05:25y en a certaines qui chose qui peut-être d'autres capables
00:05:28faire mieux. Et il est clair qu'il y a un thème principal
00:05:32pour euh pour l'alliance des peuples hein ça qui m'a pensé
00:05:36Et c'est stabilité, continuité et progrès. Mais nous tous
00:05:41connaît qu'il y en a un de chez très très heureux et nous
00:05:44connaît c'est une amende de chez qui même à l'ancien euh
00:05:47l'idée de Jean-Xavier Duval finit très virulente finit finit
00:05:52avec très vert afin d'attaquer cette amende de chez-là à
00:05:55l'Assemblée. Il pose une question très pertinente.
00:05:57Aujourd'hui il est troublé euh ensemble avec l'équipe qui
00:06:00l'a attaqué. Donc il est clair qu'il ici comme à l'Indien
00:06:03Les boulets qui certaines semaines issues offre ça qui
00:06:06dit trouve importance au mondial national qui qui
00:06:09tâcle devant les choses là. Donc il est clair pour moi qui
00:06:12euh nous bien sûr nous faisons un manifeste euh électoral de
00:06:16l'alliance des peuples mais vous savez qu'il dans cette
00:06:19euh dans cette manifeste il y en a certaines issues là. Mais
00:06:22moi je pense que pour tout, pour tout, c'est tout ça des
00:06:26grands blocs là hein mais mais nous donne valeur à une
00:06:30partie extrémo-parlementaire qui finit faire cette saison
00:06:33de campagne, etc. Moi je pense que pour tout euh dans une
00:06:37priorité des priorités, moi je pense que c'est d'abord l'un
00:06:41et l'autre. Et et et sécurité et qui qui devine les choses.
00:06:45Nous faisons, nous faisons, sans, sans pointe les doigts,
00:06:48x, y, nous faisons accepter qu'il y en a une grosse issue
00:06:51de la drogue à l'île Maurice. Et et il est clair qu'il n'y a
00:06:54pas de qui gouvernement et bon. Moi je pense que euh ça qu'il
00:06:57pourrait y en avoir un gros gros développement si si l'alliance
00:07:00accorde un grand développement peut-être euh peut-être euh
00:07:06peut-être euh pour un total check-up de là-dessus. Peut-
00:07:10être même un dismantling de là-dessus. Et quand pour
00:07:13Benjamin il y a une body qui est beaucoup beaucoup plus
00:07:16efficace. Sans dire qu'il a tout euh ben nos fichiers en
00:07:19général pas efficaces. La la plupart efficaces mais il y a
00:07:22un petit groupe qui est pas efficace du tout. Sans dire
00:07:25plus que ça. Mais je pense beaucoup moyen et j'étais en
00:07:28La mafia a beaucoup d'avance extraordinaire là-dessus, donc sa réforme, ce n'est pas un coup de bazar qui l'a super gagné, mais pour Biza, il y a une réforme.
00:07:41Donc vous pensez, un des majeurs thèmes pour l'ONU, c'est de combattre la criminalité, surtout la drogue.
00:07:50Deuxièmement, c'est clair qu'on a une population âgée, qu'on a un état de bien-être à Lille-Maurice qui nous coûte des milliards et des milliards.
00:08:03Donc mon pensée pour Biza, c'est de streamliner nos services pour qu'ils soient beaucoup plus efficaces.
00:08:10Pour moi, il y a un gros problème à Lille-Maurice, parce que l'hôpital, jolis jolis bâtiments, jolis jolis hôpitaux, mais en même temps, en parallèle,
00:08:24qui, pour moi, est paradoxique, en même temps, on a toutes les qualités cliniques qui sont utiles.
00:08:31Normalement, on trouve des cliniques utiles quand on a un système médical qui ne peut pas fonctionner, un système de santé nationale qui ne peut pas fonctionner.
00:08:39Mais à Lille-Maurice, mon pensée, on a tout, on a un bâtiment, on a un appareil, on a tout, on a un personnel.
00:08:45Donc pour Biza, il y a une réforme, mon pensée, dans le système de santé. Il y a un problème, mon pensée, tous les parties, tous les blocs majeurs pour venir avec ça.
00:08:56Troisièmement, nous Biza, nous pouvons soutenir, nous pouvons, je ne vais pas dire qu'il y a un suicide, mais le gouvernement peut donner beaucoup pour aider, à travers Welfare State,
00:09:11il peut donner beaucoup pour aider non seulement les personnes âgées, mais aussi les jeunes. Donc pour soutenir ça, nous Biza fait l'économie beaucoup plus performante.
00:09:21Donc pour faire ça, nous Biza, enhance nos big income earners comme la touristique, financial services, etc.
00:09:33Mais mon pensée, tous les partis pour dire qu'ils nous Biza ouvrent de nouvelles zones de l'économie que nous pouvons exploiter.
00:09:43Donc mon pensée, c'est ma majorité. Je vais vous parler de tous les partis, parce qu'il y a l'humorisme, il y a ça, l'idéologie gauche-droite, en Angleterre, en France, etc.
00:09:54ou en Amérique, comme tous les conservateurs, qui ont accoutumé certaines choses.
00:10:00La plupart des gens s'accordent sur les thèmes majeurs d'humorisme. C'est comment on les met et comment on les implémente et qui a la réhabilité pour les implémenter, qui est important.
00:10:10Donc moi, on dirait, j'avais mon affiché officiellement, mais les clercs m'ont prouvé la campagne.
00:10:16Et oui, ils m'ont prouvé un retour d'épargne, un retour d'épargne d'argent comme Provinix.
00:10:24Et parce que pour moi, c'est la même stabilité, hein.
00:10:27Je ne vois d'aucune raison qu'on va la pousser dans ce gouvernement-là actuellement.
00:10:32Et pour moi, le thème principal, c'est de continuer à progresser et de continuer à moderniser l'humorisme.
00:10:39C'est ça qui est important.
00:10:40Il faut que l'on streamline l'économie et que l'on modernise notre pays.
00:10:45Je pense que c'est le besoin de tout, de tout le monde qui s'insère dans la politique.
00:10:49C'est ça qui est le thème.
00:10:50Parce que, à la fin du jour, comme un premier ministre m'a dit, le but, l'objectif du service de notre pays, c'est d'améliorer la vie des gens,
00:10:58d'améliorer la qualité de la vie de tous les Canadiens.
00:11:01Un mot, Samadou Gounamali, sur l'inflation et le coût de la vie.
00:11:04Je pensais que vous connaissiez bien que tout le monde est quelque part affecté.
00:11:10Oui. Nous tous, nous tous, à la supermarché, nous tous connaissons le coût de la vie.
00:11:15Il y a une fraude extraordinaire pour chaque personne. Il y a une fraude extraordinaire.
00:11:22Mais seulement, il ne faudrait pas nous penser, il ne faudrait pas nous dire que le coût de la vie à l'île Maurice,
00:11:29il y a des affaires qui concernent l'île Maurice.
00:11:33Ce n'est pas abnormal ici parce qu'il y a des affaires qui permettent à entendre le monde.
00:11:38Aujourd'hui, l'Europe perd dans l'hiver.
00:11:40On a une crise totale en Europe.
00:11:43En Angleterre, par exemple, dans le troisième âge, quand ici il y a eu beaucoup de protection avec le gouvernement,
00:11:49le troisième âge est en état de panique parce qu'il y a un coût de la vie.
00:11:53Malgré qu'il y a une baisse drastique de l'inflation en Angleterre,
00:11:57le coût de la vie est encore très élevé, le coût du gaz, du courant, de l'électricité est très élevé.
00:12:04Donc, il y a une crise mondiale qui nous crée peur.
00:12:08On ne connaît que la COVID qui affecte tout le pays.
00:12:11Deuxièmement, il y a l'Ukraine qui nous tout connaît.
00:12:15Mais là, on a une troisième crise.
00:12:18On a une très grande économie anglaise.
00:12:22Ce pays a considéré stockpiling d'essence, stockpiling d'huile.
00:12:29Je dirais qu'il fait comme ça parce que tout le monde peut penser qu'Israël peut attaquer l'Iran.
00:12:36L'Iran peut rétalier qu'Israël peut attaquer les refineries d'huile.
00:12:42L'Iran peut rétalier qu'Israël peut attaquer les refineries d'huile des autres pays là-bas.
00:12:47Donc, on peut avoir une crèche totale de stockpiling d'huile.
00:12:50Imaginez ce qui peut arriver à l'économie, c'est comme ça.
00:12:53Donc, l'inflation, le coût de la vie, influence 90 % des facteurs qui en déroulent nos contrôles.
00:13:0310 %, nous ne le faisons pas comme pour streamliner l'économie.
00:13:07Mais il ne faudrait pas nous dire qu'inflation, il y a une major issue pour tout le monde,
00:13:12le coût de la vie, il y a une grosse issue.
00:13:15Pour tout le monde, il y a tout ce qui se fait, tout ce qui se fait coûte 2 fois, 3 fois plus que ce qu'il nous a coûté.
00:13:19Mais il ne faudrait pas nous dire que c'est à cause du mismanagement d'un gouvernement.
00:13:23Non, il est arrivé à cause des facteurs comme la COVID, la grille, etc.
00:13:29Dernière question, en dehors des priorités d'un prochain gouvernement,
00:13:35pour les 60 députés qui pourraient être élus le 11 novembre,
00:13:40le même pronostic, qu'est-ce qu'il y a ?
00:13:43Bon, je ne peux pas vous dire...
00:13:45Sans discussion, on est deux mains dans la gueule, s'il vous plaît.
00:13:48Dis, un petit phénomène pour les éditeurs.
00:13:52Moi, personnellement, je ne veux pas qu'il y ait un coup de retard,
00:13:56pour les 60 députés. Je ne trouve pas une diagnose pour une majorité moins que 34.
00:14:04Laissez-moi vous dire ça.
00:14:06Donc, on fait tout le calcul.
00:14:08On trouve une élection qui va au niveau des affaires.
00:14:11Mais on trouve 34 à mon avis.
00:14:14Merci beaucoup Samad Goulamaly et au revoir.
00:14:17Allez, au revoir.
00:14:18Allez, voilà. C'était Samad Goulamaly qui évoque ce qu'il pensait.
00:14:23C'est une priorité qui est le gouvernement, quel qu'il soit.
00:14:27Oui, absolument.
00:14:29Absolument, je pensais qu'il y aurait un crime,
00:14:34un élément de violence qu'on trouvait dans la presse ces quelques mois.
00:14:39Je pensais qu'il y aurait une odeur,
00:14:41des gens qui mourraient dans ce pays.
00:14:44Et je pensais, le dossier de drogue aussi.
00:14:46Il y a des affaires qui, aujourd'hui, sont effrayantes.
00:14:51Donc, seulement, on connaît des chiffres.
00:14:53Il y a des chiffres que le public ne connaît pas.
00:14:56Je vous donne un exemple.
00:14:57Je tombe sur un index, un indice des Nations Unies,
00:15:01sur les fausses policières au monde.
00:15:06Et je me suis vraiment surpris
00:15:09de m'apprendre qu'ils mourissent dans le top 5.
00:15:12Dans le top 5 des pays qui n'ont le plus de policiers portés d'habitants au monde.
00:15:17Et je me disais, c'est drôle.
00:15:21Quand même, il y en a autant.
00:15:23Oui, c'est un petit problème.
00:15:25C'est-à-dire qu'il y a besoin de plus de ressources.
00:15:29Et pourtant, c'est le 5e pays le plus policé au monde.
00:15:33Et je me disais, c'est quoi le reste du pays ?
00:15:36Alors, là, qui vous choquait ?
00:15:38La Russie, c'est une dictature.
00:15:40Il y a à peu près 625 policiers,
00:15:43pour 100 000 habitants.
00:15:45Et pour autant, il y en a plus que 1 000,
00:15:47portés d'habitants.
00:15:49Ce qui fait qu'aujourd'hui, à l'île Maurice,
00:15:51il n'y a pas de police pour 100 Mauritiens.
00:15:54Ce qui paraît énorme quand on compare avec le reste du pays.
00:15:57Mais comment se fait-il d'aller avec tant de policiers
00:16:01qui ne capablent pas de problèmes comme ça ?
00:16:03Alors, est-ce que nous devons intervenir ?
00:16:05Allez, voilà, le deuxième intervenant, c'est Adil Amiamia, du MMM.
00:16:09Adil Amiamia, bonsoir.
00:16:11Oui, bonsoir.
00:16:13Adil Amiamia, bonsoir et bienvenue au Top FM.
00:16:16On commence directement avec la question phare.
00:16:19Quelles seraient, pour vous, les priorités
00:16:22d'un prochain gouvernement national,
00:16:25à partir du 12 novembre ?
00:16:28Oui, bonsoir Etienne, et bonsoir tout le monde.
00:16:31Nous sommes de portes à portes, actuellement,
00:16:33à Pleine-Verte, à la rue Lapé,
00:16:35un nouveau territoire qui vient de gagner.
00:16:37Bon, on rentre dans le tout.
00:16:39Bon, priorité d'un nouveau gouvernement,
00:16:42c'est, pour nous, la chose principale,
00:16:45c'est que nous puissions arrêter
00:16:47la dépréciation de nos roupies.
00:16:49Ok ? Nous puissions arrêter la dépréciation
00:16:51de nos roupies, parce qu'il nous a répété,
00:16:53il nous l'a dit plusieurs fois,
00:16:55depuis 2014 à ce jour,
00:16:57nos roupies ont perdu 60% de leur valeur.
00:17:00Et ça même, qui nous met en devant
00:17:03l'objectif principal, parce que nos priorités,
00:17:06c'est le combat contre la chiété de la vie.
00:17:10Nous voulions régler aussi
00:17:12ce problème de manque de dévises
00:17:14d'un pays là, et parallèlement,
00:17:16pour nous pouvoir faire ça,
00:17:18nous voulions pouvoir stabiliser nos roupies,
00:17:20pour nous pouvoir...
00:17:22pour nous pouvoir baisser
00:17:24les prix, les commodités
00:17:26de nos pays. Parce que plus
00:17:28nos roupies dépréciées,
00:17:30plus le gouvernement gagne,
00:17:32plus se casse le TVA.
00:17:34Et plus le TVA augmente,
00:17:36naturellement, tout quelque chose,
00:17:38et bien sûr, il y a aussi
00:17:40les objectifs pour baisser
00:17:42le prix de l'essence et du diesel
00:17:44par rapport à la baisse qui finit
00:17:46sur les marchés internationaux.
00:17:48Au début de l'année, l'essence diesel,
00:17:501 100 roupies de l'heure, le baril,
00:17:52aujourd'hui, 70 de l'heure.
00:17:54Donc, nous faisons un répercute de cette baisse-là.
00:17:56L'eau, pour les consommateurs,
00:17:58pareil, quand il montait aussi,
00:18:00il répercute ça pour les consommateurs.
00:18:03Donc, nous permettons un combat
00:18:05contre l'inflation.
00:18:08Est-ce que la création
00:18:10de nouveaux piliers économiques
00:18:12est aussi, étant donné la situation
00:18:14économique mondiale, donc,
00:18:16l'augmentation de nous, enfin,
00:18:18nous essayons d'enlever l'autosuffisance
00:18:20autant que possible, parce qu'il doit,
00:18:22pourquoi pas, faire les 100%,
00:18:24est-ce que ça aussi fait partie
00:18:26de notre priorité auquel un
00:18:28gouvernement, un prochain
00:18:30gouvernement, bien sûr.
00:18:32Mais,
00:18:34l'autosuffisance,
00:18:36mais laisse-moi dire aussi
00:18:38une deuxième affaire qui,
00:18:40moi, me considère, c'est un combat national,
00:18:42c'est le combat
00:18:44contre la drogue.
00:18:46Le combat contre la drogue, il y a un enjeu
00:18:48majeur qui touche à la fois
00:18:50des questions de santé publique,
00:18:52de sécurité liées à la criminalité,
00:18:54mais aussi de justice sociale.
00:18:56OK?
00:18:58Consommation et trafic de la drogue,
00:19:00en particulier le synthétique,
00:19:02ils ont augmenté considérablement
00:19:04et ça représente
00:19:06une menace sérieuse pour la société
00:19:08mauricienne. Il y a un rapport
00:19:10de Home Reduction Unit en 2020
00:19:12qui dit qu'il y a
00:19:1455 000 toxicomanes
00:19:16en Maurice. Et moi,
00:19:18je peux dire qu'aujourd'hui,
00:19:20la politique de répression,
00:19:22il y a un échec.
00:19:24Il y a un échec, parce que nous faisons
00:19:26une peine sévère,
00:19:28mais nous servons la force,
00:19:30etc., mais
00:19:32ce qui s'affine
00:19:34aux résultats
00:19:36nécessaires.
00:19:38Nous ne pouvons pas
00:19:40traiter les symptômes,
00:19:42nous ne pouvons pas attaquer
00:19:44les racines du problème,
00:19:46notamment les causes sociales
00:19:48et économiques qui poussent les gens
00:19:50à se tourner vers
00:19:52la drogue.
00:19:54Moi, ce qui me déplore,
00:19:56c'est un manque de soutien pour
00:19:58les programmes de prévention et
00:20:00d'habilitation.
00:20:02Les centres de traitement manquent
00:20:04sérieusement de ressources
00:20:06et ce qui perpétue
00:20:08ce cycle-là, c'est la dépendance
00:20:10et la marginalisation.
00:20:12L'impact social
00:20:14est dévastateur,
00:20:16plus particulièrement pour les jeunes
00:20:18et surtout pour les familles défavorisées.
00:20:20La prison en Maurice,
00:20:22malheureusement, est remplie
00:20:24pour les jeunes pour les délits de drogue,
00:20:26mais quels efforts peut-on faire
00:20:28pour soutenir les jeunes
00:20:30après leur libération ?
00:20:32Nous avons proposé
00:20:34une politique plus inclusive
00:20:36pour éloigner les jeunes
00:20:38de la drogue
00:20:40à travers l'éducation,
00:20:42l'emploi
00:20:44et surtout le service social
00:20:46adapté après
00:20:48une sortie
00:20:50depuis la prison.
00:20:52Maintenant, nous sommes
00:20:54au-dessus du visage.
00:20:56Le dessous-visage,
00:20:58c'est un slogan
00:21:00qui revient régulièrement,
00:21:02mais quels sont les résultats ?
00:21:04Maurice
00:21:06nous faut
00:21:08dépendre
00:21:10des importations,
00:21:12surtout en ce qui concerne
00:21:14les denrées alimentaires.
00:21:16L'initiative pour renforcer
00:21:18l'agriculture
00:21:20est assez ambitieuse
00:21:22et soutient
00:21:24l'insuffisance
00:21:26parce qu'il y a
00:21:28un manque d'investissement.
00:21:30Malheureusement,
00:21:32nos pays restent exposés
00:21:34à des chocs
00:21:36mondiaux
00:21:38et sans des solutions
00:21:40durables à long terme,
00:21:42on ne peut pas vraiment
00:21:44atteindre ce qu'on appelle
00:21:46l'autosuffisance.
00:21:48L'autosuffisance,
00:21:50c'est un des moyens
00:21:52pour nous
00:21:54de combattre l'inflation.
00:21:58Voilà.
00:22:00Alors, Adjami Amiya,
00:22:02à plusieurs reprises,
00:22:04durant les deux
00:22:06mandats précédents,
00:22:08que ce soit 2014-2019
00:22:10ou 2019-2024, nous ne tenons
00:22:12qu'aux Fiscal Responsibility Bill.
00:22:14Ça,
00:22:16vous qui êtes un comptable qui donne les chiffres,
00:22:18qu'est-ce que ça vous dit ?
00:22:20Vous savez,
00:22:22c'est vraiment important pour nous
00:22:24de venir avec une loi comme ça.
00:22:26C'est vraiment important pour nous
00:22:28de venir avec une loi comme ça
00:22:30parce qu'on doit responsabiliser
00:22:32les gens qui ont
00:22:34un poste de responsabilité
00:22:36pour nous conserver
00:22:38notre argent.
00:22:40On nous casse la monnaie publique
00:22:42intelligemment.
00:22:44C'est pas possible que d'année en année,
00:22:46il y ait un rapport qui dit
00:22:48qu'il y a un gaspillage pour centaines de millions
00:22:50mais après, non, il n'est pas arrivé.
00:22:52Ils ont dit,
00:22:54on va prendre l'exemple d'un secteur privé,
00:22:56il y a un manager, il y a un general manager,
00:22:58il dit qu'il y a une compagnie qui a
00:23:00un maldon, qui a une fraude, qui a un gaspillage.
00:23:02Il y a des sanctions qu'ils prennent.
00:23:04Ça dit qu'on a perdu ce travail,
00:23:06ça dit qu'on n'a pas de bonne discipline, etc.
00:23:08Mais malheureusement,
00:23:10dans le public, d'année en année,
00:23:12on peut dire qu'il y a un gaspillage
00:23:14mais jamais quelqu'un n'est inquiété
00:23:16C'est pour cela qu'il y a
00:23:18toutes les qualités du monde,
00:23:20y compris les politiciens qui prennent des décisions
00:23:22qui, vraiment,
00:23:24trouvent une casse dans le train
00:23:26et dans le train, c'est le cas de le dire,
00:23:28qui, je vous le dis,
00:23:30malgré ce mandat terminé,
00:23:32ils n'ont plus le pouvoir,
00:23:34ils n'ont aucune enquête, aucune responsabilisation,
00:23:36ils n'ont aucun...
00:23:38ils ne sont pas inquiétés, nullement.
00:23:40Donc, c'est tout à fait normal
00:23:42et il y en a dans beaucoup de pays,
00:23:44beaucoup de pays,
00:23:46beaucoup de pays européens qui ont peur d'Amérique, etc.
00:23:48Donc, ils viennent avec un
00:23:50comment dire,
00:23:52fiscal responsibility bill.
00:23:54Et,
00:23:56tout le temps,
00:23:58dans un pays comme Montmoris,
00:24:00nous connaît qui,
00:24:02normalement, nous tiennent pays
00:24:04en développement,
00:24:06et puis nous finissons dans un pays
00:24:08à revenu moyen,
00:24:10et puis nous finissons évolué, nous finissons même atteint,
00:24:12le statut de pays
00:24:14à haute économie,
00:24:16à haut revenu. Mais, au niveau
00:24:18de l'économie, en termes de
00:24:20piliers économiques,
00:24:22ou en termes de renforcement des piliers existants,
00:24:24qu'est-ce qui vous pensez ?
00:24:26Vous voyez,
00:24:28tout le temps, nous sommes
00:24:30en création d'un nouveau pilier,
00:24:32le gouvernement, une cause beaucoup lourde,
00:24:34nouveau pilier économique,
00:24:36mais résultats concrets,
00:24:38je vois, absents.
00:24:40L'économie bleue, par exemple,
00:24:42elle reste en grande partie théorique.
00:24:44Combien de créations d'ampleur
00:24:46finissent par rapport à ça ?
00:24:48Quelle nouvelle industrie
00:24:50finit-elle ?
00:24:52L'initiative, par exemple, dans les technologies
00:24:54et l'information,
00:24:56elle est souvent mal coordonnée,
00:24:58et par manque
00:25:00de vision à long terme.
00:25:02Elle fait des annonces sensationnelles,
00:25:04elle offre des suivis
00:25:06rigoureux,
00:25:08ou soutenir l'entreprise locale,
00:25:10et donc,
00:25:12nous sommes encore
00:25:14dépendants aujourd'hui, malheureusement,
00:25:16des secteurs traditionnels,
00:25:18tels que le tourisme, l'industrie
00:25:20carrière, et
00:25:22le textile. Il ne faudrait pas que l'on me dise
00:25:24qu'il y a un slogan creux, mais il faudrait
00:25:26qu'il soit concrétisé
00:25:28dans la réalité.
00:25:30Voilà, merci beaucoup Adil Amiami, tu peux faire pour ta pote,
00:25:32mais en cas de sortie dans l'hôtel, tu peux faire pour ta pote à la rue La Paix.
00:25:34Merci.
00:25:36Allez, voilà, nous manquons une pause,
00:25:38Etienne, et après, nous poursuivons la discussion.
00:25:42Nous manquons une pause.
00:26:06Nous manquons une pause.
00:26:36Nous manquons une pause.
00:26:38Nous manquons une pause.
00:26:40Nous manquons une pause.
00:26:42Nous manquons une pause.
00:26:44Nous manquons une pause.
00:26:46Nous manquons une pause.
00:26:48Nous manquons une pause.
00:26:50Nous manquons une pause.
00:26:52Nous manquons une pause.
00:26:54Nous manquons une pause.
00:26:56Nous manquons une pause.
00:26:58Nous manquons une pause.
00:27:00Nous manquons une pause.
00:27:02Nous manquons une pause.
00:27:04Nous manquons une pause.
00:27:06Nous manquons une pause.
00:27:08Nous manquons une pause.
00:27:10Nous manquons une pause.
00:27:12Nous manquons une pause.
00:27:14Nous manquons une pause.
00:27:16Nous manquons une pause.
00:27:18Nous manquons une pause.
00:27:20Nous manquons une pause.
00:27:22Nous manquons une pause.
00:27:24Nous manquons une pause.
00:27:26Nous manquons une pause.
00:27:28Nous manquons une pause.
00:27:30Nous manquons une pause.
00:27:32Nous manquons une pause.
00:28:02Nous manquons une pause.
00:28:04Nous manquons une pause.
00:28:06Nous manquons une pause.
00:28:08Nous manquons une pause.
00:28:10Nous manquons une pause.
00:28:12Nous manquons une pause.
00:28:14Nous manquons une pause.
00:28:16Nous manquons une pause.
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00:28:22Nous manquons une pause.
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00:28:42Nous manquons une pause.
00:28:44Nous manquons une pause.
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00:28:58Nous manquons une pause.
00:29:00Nous manquons une pause.
00:29:02Nous manquons une pause.
00:29:04Nous manquons une pause.
00:29:06Nous manquons une pause.
00:29:08Nous manquons une pause.
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00:29:12Nous manquons une pause.
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00:29:16Nous manquons une pause.
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00:29:20Nous manquons une pause.
00:29:22Nous manquons une pause.
00:29:24Nous manquons une pause.
00:29:26On souligne que le scrutin
00:29:28On souligne que le scrutin
00:29:30Illigres
00:29:33besoin
00:29:40ça et nous avec deux
00:29:45ment et elle est
00:29:48euh, euh, euh, euh, euh, euh,
00:30:18qui finit estimé qu'il y a 55 000 toxicomanes à Maurice.
00:30:23Et donc, ce qui veut dire que la politique de répression,
00:30:29les papes et moi aussi, parce que si le nombre de...
00:30:32Ah, mais non, en plus, si c'était 55 000 toxicomanes en 2022,
00:30:37et ce rapport, moi, je connais l'idée de janvier 2022,
00:30:40c'était une étude qui était faite en 2021.
00:30:43Donc, si en janvier 2022, c'est dans 55 000 toxicomanes,
00:30:48moi, je crois qu'il y a seulement beaucoup de gens qui l'ont diminué depuis.
00:30:51Donc, il y a nécessairement une montée, ça, premièrement.
00:30:54Deuxièmement, les spécialistes dans le domaine
00:30:58souvent disaient que quand on gagne un chiffre qui est estimé à tant,
00:31:02ça, c'est dans le chiffre, dans l'étude, dans la théorie.
00:31:06Mais dans la pratique, quand on gagne un chiffre comme ça,
00:31:09vous n'êtes pas au minimum.
00:31:11Ce qui serait... Si c'est vrai, ça veut dire qu'il y a plus de 100 000 toxicomanes,
00:31:16c'est à leur nom.
00:31:17Déjà, à 55 000 toxicomanes, pour moi, c'est déjà à leur nom.
00:31:20Pourquoi est-ce que c'est à leur nom ?
00:31:22Parce que, je me rappelle, nous étions avec le responsable,
00:31:25le responsable, le médecin, le médecin docteur,
00:31:29qui n'a pas rappelé son nom, Lakshmi ne m'a pas rappelé son nom,
00:31:32mais le docteur qui est responsable du Harm Reduction Unit
00:31:36du ministère de la Santé.
00:31:37– Lakshmi Thakur. – Voilà, M. Thakur, le docteur Thakur.
00:31:39Et il explique nous qu'au niveau de la méthadone,
00:31:43il n'y a seulement 8 200 toxicomanes qui sont sous traitement.
00:31:50Donc, ce qui veut dire que s'il y a au moins 55 000,
00:31:53ou si il y a 8 200, il reste beaucoup.
00:31:57Et en plus, nous faisons un autre exercice,
00:31:59nous nous demandons combien de sang de désintoxication il y a.
00:32:03Nous comprenons qu'il y en a 6, 3 pour le gouvernement,
00:32:05avec beaucoup, 6 pour le privé.
00:32:08Eh bien, pas le privé, le privé payant, c'est le privé volontaire.
00:32:13– D'accord, et donc, nous estimons que dans le meilleur des cas,
00:32:18il y en a peut-être 1 000 immunes par an qui aident en désintoxication.
00:32:23Donc, si on prend 8 200 immunes qui sont sous traitement de méthadone,
00:32:27et 1 000 immunes qui donnent un sang de désintoxication,
00:32:30ça veut dire qu'il y en a au moins 45 000 immunes,
00:32:33d'après ce surveil de 2022, qui ne sont pas connues pour se faire,
00:32:38mais sont supposées être occupées de droguer.
00:32:40Donc, il est clair, donc, qu'il y a un problème.
00:32:45Et est-ce que, malgré le fait qu'il nous fasse la commission Lam Shanglin
00:32:50sur la drogue, est-ce qu'il ne peut prendre les bonnes mesures ?
00:32:56Je vous donne l'exemple, où se trouve la réhabilitation dans ce système-là ?
00:33:04Deuxièmement, où se trouve la prévention ?
00:33:07Parce que, je crois, beaucoup de gens peuvent dire qu'il y a de plus en plus
00:33:10de jeunes qui sont dans la drogue.
00:33:13Donc, quelque part, il y a un problème.
00:33:15Et là, je veux vous dire, je prends bonne note de ce qu'Adil Amiamia peut dire.
00:33:20Il peut dire qu'il y a quelque part, est-ce qu'il ne peut bien
00:33:24le lien de causalité entre les causes sociales,
00:33:29la situation sociale de ce toxicomane-là et le fait qu'il soit dans la drogue ?
00:33:33Est-ce que, Maurice, nous, vraiment, et non en politique,
00:33:41nous savons quelle est la situation sociale,
00:33:46quelles sont les causes sociales qui font que les gens sont dans la drogue ?
00:33:50Et aujourd'hui, je dois dire, on n'a pas de réponse à cette question.
00:33:54Donc là, je dois dire, je suis très content qu'il y ait tous les deux intervenants,
00:34:01l'un qui est connu pour être pour le gouvernement,
00:34:04l'autre qui est un député de l'opposition,
00:34:06qui vienne dire que la drogue sera une des priorités,
00:34:10une des priorités du gouvernement qui, je suis très content,
00:34:16prend pouvoir en novembre 2024.
00:34:18Bon, je pense qu'il n'y a pas autant, parce que, vous savez,
00:34:22peut-être une autre affaire qui nous va plus guérir.
00:34:26Officiellement, officiellement, malgré le fait qu'il y a beaucoup de monde
00:34:29qui n'est pas d'accord avec le chiffre,
00:34:31officiellement, il y en a moins de 37 000 chômeurs à Maurice à zatte 2024.
00:34:39Mais beaucoup de monde dit que c'est parce qu'il fait une change des règles du jeu,
00:34:43au fur et à mesure qu'il y en a plus, etc.
00:34:44Mais nous, si on dit qu'il y en a moins de 37 000 chômeurs,
00:34:48est-ce qu'il y a une causalité entre le chômage et la toxicomanie ?
00:34:54Il y a une question comme ça qui nous fait inquiéter
00:34:56et qui, malheureusement, dans Maurice, n'a pas vraiment gagné l'information.
00:35:01Et peut-être que là, peut-être que j'ai besoin de dire,
00:35:05je ne vais pas me dire tristé, mais disons que je ne m'attendais comme priorité
00:35:10que le droit à l'information sera l'agenda,
00:35:14comme une priorité d'un prochain gouvernement.
00:35:16Qu'est-ce qu'il faut faire ?
00:35:17Au moins, il faut réaliser le jour où, dans le Parlement des Peuples,
00:35:22il n'y a pas de cause qui, et non maintenant, dès là, commence à couper.
00:35:26Alors, mon technicien, mon expert de la CWA,
00:35:31Vino Radio avec nous, c'est le directeur de la Water Resources Unit,
00:35:36c'est le principal ingénieur de la CWA.
00:35:39Un responsable ramasse de l'eau, l'autre responsable distribue de l'eau.
00:35:43Je les connais tous les deux, c'est une période de sécheresse éventuellement
00:35:48pour bien couper de l'eau.
00:35:50Et je vais faire un preparedness plan, un plan d'urgence.
00:35:54Mais je me rappelle, c'est la question, est-ce qu'il nous caractère une coupure ou non ?
00:35:58Alors, nous vivons dans un pays où on peut couper de l'eau,
00:36:03mais il faut faire un plan d'urgence pour connaître ce qui peut donner de l'eau,
00:36:06et quelle quantité d'eau peut donner, ce qui peut donner de l'eau là,
00:36:10ce qui peut donner de l'eau là.
00:36:12Mais ni vous, ni moi, ni le reste de l'île Maurice,
00:36:15d'après le principal ingénieur qui tient le radio,
00:36:18ne peut pas le connaître.
00:36:19Donc, nous vivons dans un pays qui est assez étrange.
00:36:21Alors, par exemple,
00:36:23je me demande si pour autant qu'on est au niveau des drogués, des toxicomanes,
00:36:28est-ce qu'il y a une causalité entre le fait qu'on est au chômage
00:36:33et le fait que les autres peuvent prendre la drogue ?
00:36:37Mais nous n'avons aucune réponse à ça.
00:36:38Et souvent, des fois, si nous posons la question aussi,
00:36:41si il y a du monde dans le système public qui a la réponse,
00:36:45nous ne pouvons pas le dire.
00:36:47Donc, ce n'est pas normal.
00:36:48Et c'est pour ça que je me demande,
00:36:49peut-être, j'espère qu'il n'y aura pas de troisième intervenant,
00:36:52moi, je vais me poser la même priorité
00:36:54que n'importe quel gouvernement qui vienne s'y prendre.
00:36:57Moi, je suis convaincu que le droit à l'information,
00:37:02les baisers, viennent en priorité.
00:37:04Parce que, vous savez, c'est nous qui nommons des députés.
00:37:07C'est nous qui votons des députés.
00:37:09C'est nous qui, on va dire, légitimise le premier ministre
00:37:12sur le choix d'un ministre.
00:37:14Mais ce n'est pas grave, après,
00:37:15je suppose que le pays peut rouler pour nous.
00:37:19Pas pour nous, parce que nous qui nous votons.
00:37:21Et dans notre intérêt.
00:37:22C'est moi, tout ce que je veux, je vais le cacher.
00:37:25Moi, je crois que c'est pour le public lévé,
00:37:27dire que, mesdames et messieurs, les députés et les ministres,
00:37:30dorénavant, ils ne peuvent plus s'en rendre compte.
00:37:33Parce que, en fait,
00:37:34Michael, on est si vous d'accord,
00:37:36mais s'il finit le Parlement, les peuples,
00:37:39pendant les six derniers mois,
00:37:40c'est parce qu'il arrive à la conclusion
00:37:43que le Parlement, il ne peut pas se rendre compte assez.
00:37:46Et c'est quelque chose qui est très important,
00:37:48parce que, vous connaissez la la.
00:37:53Nous prenons l'exemple, la situation sociale,
00:37:56le lien entre le chômage et la toxicomanie,
00:38:00nous quittons maintenant au niveau, au niveau du statut social,
00:38:03au niveau est ce qu'il y a une causalité d'accord,
00:38:06au niveau de l'injustice sociale et la toxicomanie.
00:38:10C'est une question qui mérite d'être posée
00:38:12et non seulement ces questions méritent d'être posées,
00:38:14mais ce sont des questions qui méritent des réponses.
00:38:17Et aujourd'hui, après les temps durs,
00:38:20tu as le raccourci, le remand dans la prison,
00:38:25puis tu as ce procès, ou bien tu es condamné.
00:38:28Le seul chiffre qui nous gagne,
00:38:29combien de gens sont condamnés,
00:38:31combien de gens sont dans la prison,
00:38:33combien de gens sont conditionnés.
00:38:35Mais pourquoi ?
00:38:36Et le problème, c'est quoi ?
00:38:38C'est que ce sont nos enfants.
00:38:41Je vous ai dit qu'il n'y avait pas vos enfants, pas vos enfants.
00:38:44Mais dis-moi pourquoi ça n'est pas arrivé.
00:38:46Je vous donne un exemple,
00:38:47ce que je veux qu'on apprenne,
00:38:49c'est qu'il y a des écoles aujourd'hui,
00:38:50il y a des écoles et des collèges,
00:38:52où il y a des gens,
00:38:54des enfants,
00:38:55des enfants de l'école,
00:38:57des enfants de la collège,
00:38:59dont les parents sont des trafiquants de drogue,
00:39:01et ils nous donnent la drogue
00:39:03pour qu'on ne soit pas hôtes dans l'école.
00:39:05Mais imaginez ce que ça pourrait nous donner.
00:39:07Et en même temps, vous avez raison,
00:39:09il est vrai qu'il est réglé le problème de la drogue,
00:39:11mais le problème de la drogue dépend des choses simples.
00:39:13Il y a des choses qui...
00:39:15C'est une toile, ils ont réglé les autres problèmes aussi.
00:39:17En même temps, mais les autres affaires,
00:39:19et ça c'est une priorité,
00:39:21dans le sens que si ça continuait,
00:39:23imaginez, si vous pouvez dire que d'après les chiffres,
00:39:26nous sommes dans le cinquième pays qui a le plus de policiers,
00:39:30mais le problème, c'est que le nombre de cas de vol
00:39:33ou les autres cas qui lient,
00:39:36là aussi qui lient avec la toxicomanie donc augmentée,
00:39:39et on a aussi un autre souci,
00:39:41dans le sens qu'il arrive un moment,
00:39:43ça peut impacter l'industrie qui, quand l'industrie fermée,
00:39:46ne réalise pas l'importance, l'industrie touristique,
00:39:49et d'ailleurs, quand nous guettons ces derniers temps,
00:39:52ça consiste à des cas de violences d'attaque sur les touristes,
00:39:58l'augmenter, donc, tôt ou tard,
00:39:59s'ils ne trouvent pas de moyens pour régler ce problème-là,
00:40:03et donc nous bouffons ça, et sur le plan social,
00:40:05mais aussi sur le plan économique.
00:40:07Absolument, et vous savez ce qui est grave ?
00:40:09Est-ce que nous avons une étude qui est tellement simple
00:40:12pour guetter quel est le lien de causalité
00:40:16entre la criminalité et la toxicomanie ?
00:40:19Pour moi, c'est tellement simple,
00:40:21on n'exige pas que tout le monde qui est en prison
00:40:24fasse un exercice, une enquête,
00:40:26pour savoir s'il prend de la drogue,
00:40:27est-ce qu'il y a une cause qui l'involte,
00:40:29qui l'involte du tout ?
00:40:30Mais ne peut-on pas même pétacler le problème ?
00:40:35Ou s'il pétacle-t-il, il pétacle-t-il derrière nous les deux ?
00:40:37Et c'est ça qui me plaît, dire qu'à part une approche rigoureuse,
00:40:43une approche logique, une approche de bon sens
00:40:47envers le problème de toxicomanie,
00:40:49envers le problème de causalité avec le chômage,
00:40:54avec la criminalité, c'est une question simple,
00:40:57mais il faut un droit d'accès à l'information.
00:41:00Nous avons un auditeur qui fait le téléphone
00:41:02et qui peut intervenir,
00:41:04donc vous pensez que la priorité d'un prochain gouvernement
00:41:07c'est Alain Jeanneau,
00:41:09président de l'Association pour la prévention routière avant tout.
00:41:12Alain Jeanneau, bonsoir.
00:41:14Oui, bonsoir Michael, bonsoir Etienne.
00:41:17Je peux écouter cette émission avec beaucoup d'intérêt.
00:41:20Tout d'abord, je suis content de réagir par rapport à sa donnée
00:41:25du rapport qui nous est donné entre le nombre de policiers
00:41:28et le nombre d'habitants, le nombre de policiers par tête d'habitant.
00:41:31Vous connaissez une structure des personnes
00:41:34qui assurent l'ordre et la paix à Maurice,
00:41:37ce n'est pas forcément pareil comme dans les autres pays.
00:41:40Donc peut-être sa donnée, là, nous...
00:41:42Vous avez dit en perspective, OK.
00:41:44En perspective, parce que je regarde par exemple en France
00:41:47où il y a la police municipale, où il y a la gendarmerie,
00:41:51où il y a la police de l'État même.
00:41:53Donc, on ne connaît pas qui des policiers nous fait causer là.
00:41:57Par contre, ce qui est intéressant,
00:41:59c'est de nous faire une structure un peu comme à Singapour.
00:42:03On va dire faire pareil parce que chaque pays a sa spécificité,
00:42:07chaque pays a sa histoire, chaque pays a son contexte.
00:42:11L'État de Singapour, par exemple,
00:42:13les travaux que la police fait dans le bureau,
00:42:18ça, c'est assuré par la police volontaire.
00:42:22Il y en a, la police volontaire à Singapour.
00:42:25Il y a un système qui est établi où il y a, disons, les retraités, etc.
00:42:31Je veux faire ça dans les travaux qui impliquent
00:42:37l'administration, les affaires papiers, etc.
00:42:40Parce que quand on fait cause de la police,
00:42:42pas tout est assuré dans la paix.
00:42:44Il y en a qui, comme on dit, sont dans le bureau.
00:42:47Il y en a qui ont fait un travail administratif
00:42:49et se sont déployés pendant la période de fin d'année,
00:42:52notamment quand ils impliquent la police sur la route, etc.
00:42:55Exactement. Ça, c'est une première affaire que je compte dire.
00:42:59Et deuxième affaire, alors qu'il ne fait cause
00:43:01du problème de la drogue, où il y a l'offre,
00:43:03mais où il y a aussi la demande.
00:43:05Et je pensais qu'il y avait un prochain gouvernement,
00:43:10peu importe qui il était,
00:43:12il devait accentuer beaucoup sur la demande.
00:43:15Parce que si les gens ne peuvent pas vendre,
00:43:18ce qui peut vendre, ne peut pas vendre.
00:43:21Donc, il devait étudier ce que fait le monde de la drogue.
00:43:23Est-ce qu'il y en a assez...
00:43:25Par exemple, je me pose une question,
00:43:27est-ce qu'il y a assez de loisirs dans Maurice?
00:43:30Quelle qualité de loisirs?
00:43:31Est-ce qu'il y a des loisirs enrichissants?
00:43:33Je donne un simple exemple.
00:43:34Tous les touristes qui quittent 12 000 kilomètres,
00:43:38je devine Maurice, je devine à la plage.
00:43:41Mais on connaît, à jour,
00:43:43nous pouvons vivre une situation
00:43:44où il y a à peu près 330 kilomètres de côte,
00:43:49mais seulement 50 kilomètres réservés pour les plages publiques.
00:43:53Et dans ces 50 kilomètres-là,
00:43:55nous pouvons mettre environ 150 plages publiques.
00:43:58Mais ces petites plages publiques, peut-être un peu à gauche, à droite,
00:44:02peut-être qu'il n'y a pas de bonnes affaires qui nous suggèrent
00:44:06d'augmenter le nombre de places publiques
00:44:07pour toutes les personnes qui vivent là-bas.
00:44:09Il y a un très bon loisir
00:44:12que les gens peuvent faire en famille et qu'ils peuvent...
00:44:15Et ça, selon vous,
00:44:16c'est une des bonnes priorités d'un prochain gouvernement?
00:44:20Oui, d'après moi, oui.
00:44:21Après, déjà, moi, si nous vivons directement
00:44:24dans les affaires de la route à présent,
00:44:26je pensais qu'à l'avenir,
00:44:28nous pourrions mettre la route,
00:44:31road safety,
00:44:33under one umbrella, only one umbrella.
00:44:36Ce n'est pas possible qu'il y ait un problème, disons,
00:44:40de signalisation sur les routes.
00:44:42On pourrait dire au ministère,
00:44:43le ministère pourrait dire non, mais ça, local government.
00:44:46On pourrait dire local government,
00:44:48l'autre côté pourrait dire non, mais ça,
00:44:49ça distingue, ça yende, ça libère.
00:44:52Vous comprenez, là ?
00:44:53L'idée, under one and only umbrella,
00:44:56c'est là que j'ai fait la promesse beaucoup mieux.
00:44:59Merci beaucoup pour le temps d'entrée.
00:45:00Merci à ceux qui nous ont téléphonés
00:45:03pour qu'ils soient intervenus pour réagir
00:45:05par rapport à ce qu'ils ont dit,
00:45:06mais aussi pour évoquer ce qui, vous pensez,
00:45:10est une des bonnes priorités d'un prochain gouvernement.
00:45:13Merci, Alain Jeannot.
00:45:14Merci, Alain Jeannot, et au revoir.
00:45:16Oui, je pensais qu'Alain Jeannot
00:45:19faisait une chose qui m'a même pris à coeur.
00:45:22Il nous dit qu'il y a tant de kilomètres de côtes
00:45:26et puis il y a tant de kilomètres de plages publiques
00:45:29et qu'il faut augmenter les plages publiques.
00:45:31Bon, je ne suis pas sûr
00:45:33si tous les kilomètres de littoral sont pris.
00:45:37Qu'est-ce qu'on peut faire pour les plages publiques ?
00:45:40Je pensais qu'il fallait faire...
00:45:41Il y a une loi qui s'appelle le Pass Geometric Act,
00:45:45qui dit comme ça que le public
00:45:49n'assiste à un droit de passage autour de l'île.
00:45:51Ça veut dire qu'il n'y a pas le droit,
00:45:53même s'il y a de la place devant le campement du Moune,
00:45:56il n'y a pas le droit d'arrêter.
00:45:58Et entre nous, je n'ai pas trouvé ce qu'il faut faire.
00:46:01S'il y a une plage géométrique, c'est-à-dire qu'il y a une terre de l'État.
00:46:04Ça veut dire qu'il y a quelqu'un qui dit terre de l'État,
00:46:06qui dit plage géométrique, ça veut dire le bien public.
00:46:09This is called public good, l'appartenir à la nation.
00:46:13Je n'ai pas trouvé ce qu'il faut faire.
00:46:15Un monsieur qui est dans le campement, pied dans l'eau,
00:46:18il nous a demandé de sortir de l'eau de la plage pour l'empêchement d'assister.
00:46:23Il nous a dit de passer, d'aller.
00:46:25Et ça, je pensais, c'est quelque chose qui nous faisait regretter.
00:46:29Je me souviens aussi d'un moment où il y avait une loi.
00:46:31À un moment donné, un gouvernement, à l'époque,
00:46:33il y avait une loi qui disait que chaque temps de 100 mètres,
00:46:37il fallait faire une entrée.
00:46:39Ça veut dire...
00:46:40Nous, nous avons toujours frappé moins quand on passe par exemple Tamarin.
00:46:45Si vous prenez, depuis l'église de Tamarin,
00:46:47où est-ce qu'on va dire que nous sommes ?
00:46:50Le côté droit, côté de la mer, autour de cette muraille.
00:46:54Donc, il y a des gens qui sont propriétaires,
00:46:57ils ont fait une barricade partout.
00:46:59Ça veut dire que si vous pouvez rouler aussi,
00:47:01là, vous êtes côté de la mer, au bas de la mer, autour de cette muraille.
00:47:05Et donc, c'est une façon de la loi qui dit,
00:47:07après chaque, je crois, je ne sais pas, 400, 500 mètres,
00:47:09il faut faire un limpasse pour que les gens puissent rentrer à Lollapalace.
00:47:13Je pense que pour moi, ce serait une très belle priorité.
00:47:18Je ne crois pas qu'il y ait 10 000 campements autour de Lollapalace dans Maurice.
00:47:25Je ne crois pas qu'il y en ait 10 000.
00:47:27Mais là, encore une fois, si vous me posez une question,
00:47:29le ministère n'est pas répondu.
00:47:31Alors, c'est pour ça le droit d'accès comme priorité.
00:47:33Et en même temps, Etienne, le problème, c'est que si c'est dans la loi,
00:47:36les autorités ont une responsabilité,
00:47:40c'est la loi appliquée qui a sa passage.
00:47:43Et nous attendons quand c'est des problèmes pour gagner,
00:47:46il y a pas de passage, il y a un ménage.
00:47:48Je me rappelle, en 2005, je suis ministre,
00:47:52et avec Bertil David, nous avions le crâne-miraille,
00:47:55nous avions fait ça aussi pour dire qu'on allait partir.
00:47:57Mais bon, 20 ans plus tard, les choses nous ont un peu pliées,
00:48:01et malheureusement, Bertil David nous a quittés.
00:48:03Mais nous étions très milités, là.
00:48:05Nous insistions.
00:48:06C'est un pays pour les Mauritiennes et les Mauritiens.
00:48:10Ils ne peuvent pas avoir la place pour la mer.
00:48:12Alors, nous avons dit que c'était une boute toute seule.
00:48:14Le public n'avait pas le droit de casser une suppose, de pique-niquer.
00:48:17Après, ils m'ont dit qu'ils allaient à Montmiché.
00:48:19Je trouvais ça inacceptable.
00:48:21Et je pensais que c'était tellement quelque chose qu'ils étaient capables de faire
00:48:25pour améliorer l'aspect qui, à l'instant, nous fait une chose,
00:48:29le manque de loisirs.
00:48:30Et je crois qu'ils nous ont acceptés.
00:48:33Comment on peut dire ?
00:48:35Plus d'un million d'étrangers prennent un avion
00:48:40pour venir à Mauritie pour avoir la place.
00:48:43Les touristes passent toute la France, l'Amérique, l'Angleterre
00:48:47pour venir à l'hôte d'Akéapip, le Cap-Brun, pour lui.
00:48:50Les touristes prennent un avion, 12 000 km, comme on dit,
00:48:54et ils paient des loisirs pour venir, pour avoir la place.
00:48:57Et nous ?
00:48:59Nous sommes des citoyens, nous sommes des citoyens.
00:49:02Nous faisons des miracles, nous passons nos sujets.
00:49:04Je pense qu'il y a aussi un gouvernement
00:49:07qui apporte ce fameux droit d'accès à l'information.
00:49:10Le droit d'accès à l'information, qui l'y permet-il ?
00:49:14L'y permet-il ?
00:49:16Découvrir nos erreurs, notre imbécilité,
00:49:19notre méchanceté, notre démagogie, notre exagération.
00:49:24Là, nous avons un lot.
00:49:26Un, le droit d'accès, et deuxièmement, prendre l'exemple à la place.
00:49:29Si tu connais, si tu connais à coup sûr,
00:49:32mais combien de campements il y a ?
00:49:34Là, la place publique, là, la place privée,
00:49:36pas la place, là, la place tout court, dans Maurice.
00:49:39Là, tu dis que si il y a 10 000 campements,
00:49:42mais quand même, nous, 1,2 millions de gens,
00:49:45ces 10 000 propriétaires de campements-là,
00:49:48nous autres qui avons la place, la mer, nous ne l'avons pas.
00:49:51Moi, je pense qu'il est entièrement possible,
00:49:54qu'il y ait dans le pache géométrique,
00:49:56qu'il y ait un amendement pour dire
00:49:58que le bail de ces gens-là,
00:50:00ils peuvent arrêter à, je ne sais pas, 20 mètres de la plage,
00:50:03à 20 mètres de la mer.
00:50:05Là, ça, 20 mètres, là, le public mauricien,
00:50:08il y en a un droit de passage,
00:50:10et il y en a un droit de pique-nique.
00:50:12On va trouver qu'il y a un droit de pique-nique.
00:50:15La manière qu'il ne peut faire,
00:50:17on va dire qu'il y a un propriétaire de campement,
00:50:20et il peut juiller la plage, la mer,
00:50:23on va dire que la mer est pour lui.
00:50:25Ça veut dire que la mer n'est plus pour le Mauricien,
00:50:27le Mauricien a la mer pour le propriétaire de campement.
00:50:30Vous mettez un lot là-dedans.
00:50:32Quoi qu'on pense, beaucoup de gens.
00:50:34Beaucoup d'accès, nous faisons une priorité.
00:50:37Le droit à l'accès de beaucoup de choses,
00:50:40nous faisons une priorité.
00:50:42Nous passons au deuxième thème, Étienne.
00:50:44Les chat-gosses nous rappellent qu'il finit là
00:50:47l'accord qualifié d'historique pour beaucoup de monde.
00:50:51Nous commençons, Étienne,
00:50:53par écouter un chroniqueur,
00:50:55donc Patrick Cohen,
00:50:57qui habite à Ville-Maurice,
00:50:59nous rappelle que Patrick Cohen,
00:51:01pour les gens qui regardent France 5,
00:51:03il est tous les jours, un jour de semaine,
00:51:06dans C'est à vous, présenté par Elisabeth Lemoyne,
00:51:09il y en a beaucoup, et nous soutenons l'équipe.
00:51:11Très jolie l'émission, en passant,
00:51:13soit dit en passant.
00:51:15Donc, nous écoutons Patrick Cohen,
00:51:17c'était jeudi dernier,
00:51:19mais tu évoques ça dans ce chronique,
00:51:22les temps passés.
00:51:24Donc, on rappelle que l'émission passe
00:51:26de 21h à 23h actuellement.
00:51:30Nous écoutons Patrick Cohen.
00:51:32L'île Maurice achève enfin sa décolonisation.
00:51:35Événement extraordinaire, 56 ans après l'indépendance de Maurice,
00:51:39l'ancienne puissance coloniale britannique
00:51:41concède aux anciens colonisés
00:51:43sa souveraineté sur un archipel de l'océan Indien.
00:51:46Les chat-gosses, c'était comme l'a écrit
00:51:48l'avocat et écrivain Philip Sands
00:51:50dans un livre paru il y a deux ans,
00:51:52la dernière colonie.
00:51:54Et ce ne serait qu'une anecdote si ces îles paradisiaques
00:51:57qui vivaient paisiblement de la pêche et du copra,
00:51:59l'huile de noix de coco, n'avaient été le décor
00:52:01d'un terrible drame humain au début des années 70,
00:52:04l'exil forcé de toute leur population,
00:52:06plusieurs milliers d'habitants chassés de leurs terres,
00:52:09transportés manu militari à Maurice et au Seychelles.
00:52:12Pour quelle raison ?
00:52:13Une raison qui porte un nom.
00:52:14Diego Garcia, c'est l'une des îles des chat-gosses,
00:52:16devenue une énorme base militaire
00:52:18parce que dans le cadre d'un accord secret,
00:52:20les Anglais en ont fait cadeau aux Américains.
00:52:23Tenez, c'est à vous, comme on dit ici même.
00:52:25Et les USA en ont fait leur plus grande base aérienne
00:52:28et navale dans le monde, en dehors du territoire américain.
00:52:31Lors des guerres du Golfe et d'Afghanistan,
00:52:33on avait souvent parlé de Diego Garcia
00:52:35parce que c'est là que partaient les bombardiers.
00:52:37Et ce sont les Américains qui ont exigé
00:52:39que les îles soient vidées de leurs habitants ?
00:52:41Oui, ils ont demandé qu'il n'y ait plus personne,
00:52:43mais les Anglais leur ont fait croire qu'il n'y avait personne.
00:52:45Ils leur ont fait croire qu'il n'y avait plus d'habitants,
00:52:47qu'il n'y avait pas d'habitants permanents, pas d'autochtones,
00:52:49seulement des saisonniers, donc aucun problème.
00:52:51En réalité, les Britanniques ont agi de façon épouvantable,
00:52:55en essayant d'abord d'affamer les habitants,
00:52:57de leur couper les vivres avec un blocus autour des îles,
00:52:59puis en organisant leur déportation.
00:53:02Il n'y a pas d'autre mot.
00:53:03En 72 et 73, environ 2500 personnes
00:53:06sommaient d'abandonner leurs maisons, leurs terres,
00:53:09les tombes de leurs ancêtres.
00:53:10Regardez bien le témoignage qui va suivre.
00:53:12Il a été produit il y a 6 ans
00:53:14devant la Cour internationale de justice de la haie
00:53:17et il a été décisif dans cette histoire.
00:53:19La dame qu'on va voir s'appelle Liseby Élisée.
00:53:23Elle s'exprime en créole.
00:53:24Elle avait 20 ans quand elle a été arrachée
00:53:26de son île natale en pleine nuit.
00:53:48Liseby Élisée qui a perdu le bébé dont elle était enceinte
00:53:56lors de la traversée de quatre jours
00:53:58qui l'a emmenée à l'île Maurice.
00:54:00L'accord qui a été signé hier entre le Royaume-Uni et l'île Maurice
00:54:03prévoit, outre la souveraineté de Maurice,
00:54:05donc le retour des populations déplacées
00:54:08et de leurs descendants, donc sûrement de Liseby Élisée.
00:54:12Près de 10 000 personnes en tout sur ces 3 îles
00:54:15de peuplement des Tchagos, sur 2 des 3 îles, pardon,
00:54:18la troisième, Diego Garzar,
00:54:20restant sous le contrôle des Britanniques et des Américains
00:54:23pour le maintien de leur base militaire.
00:54:25Pourquoi disiez-vous que le témoignage de Liseby Élisée
00:54:27a joué un rôle décisif ?
00:54:28Parce que dans ce litige,
00:54:29l'État mauricien a gagné tous ses combats
00:54:31devant les instances internationales,
00:54:33à l'Assemblée générale de l'ONU
00:54:34et devant la Cour internationale de justice
00:54:37où, d'après l'avocat Philippe Sainz,
00:54:39c'est cette parole-là bouleversante
00:54:42qui a emporté la décision de la Cour.
00:54:45Et parce que c'est après la décision des juges de la haie
00:54:48que les Anglais se sont dit que c'était perdu
00:54:50et que leur intérêt était négocié.
00:54:52Donc il y a eu 2 ans de pourparlers,
00:54:54une accélération du processus en juillet
00:54:56avec l'arrivée des travaillistes au pouvoir,
00:54:58d'ailleurs les conservateurs crient au scandale aujourd'hui en Angleterre.
00:55:01Mais écoutez la leçon qu'en tire Philippe Sainz,
00:55:04l'avocat de l'État mauricien, interviewé sur RFI.
00:55:07Le droit international, dans un moment difficile dans le monde,
00:55:11on voit finalement que le droit international,
00:55:14ça peut vraiment servir à quelque chose.
00:55:16– Le droit international, ça peut servir à quelque chose,
00:55:19dit Philippe Sainz après cette victoire historique.
00:55:21Sainz qui est aussi l'avocat de l'autorité palestinienne
00:55:25en procès contre l'occupation des territoires en Israël.
00:55:30– Voilà, donc Patrick Cohen qui est un ami de Lil Mory,
00:55:35c'est aussi prononcé à la radio.
00:55:39Et nous pardonnons l'idiote Chagos.
00:55:43Allez, nous manquons une pause,
00:55:44et nous commentons ce sujet-là après la pub.
00:56:10Une grande première.
00:56:11Vivez en temps réel, la première radio-TV de Maurice.
00:56:16Découvrez notre studio, nos animateurs,
00:56:20vos hits musiques préférés en clip,
00:56:23et l'info complète, factuelle et crédible.
00:56:39Sous-titrage Société Radio-Canada
00:57:10– Sous-titrage Société Radio-Canada
00:57:31– De retour dans Pôle Monde, les peuples.
00:57:33Maura Pelloux qui nous préévoque donc notre deuxième sujet,
00:57:36le dossier Chagos.
00:57:39Et donc, nous finissons par écouter Patrick Cohen
00:57:41qui est chroniqueur dans ses tabous.
00:57:44Étienne, une réaction par rapport à ce qui a été dit ?
00:57:47– Oui, je pensais qu'il faut admettre
00:57:51qu'on n'arrive pas à faire l'angleterre
00:57:58accepter que Lil Mory est dans la souveraineté des Chagos.
00:58:04Tout ce temps-là, et comme Patrick Cohen peut le dire,
00:58:07Lil Mory a gagné tous les combats.
00:58:10Malgré qu'il ait gagné tous les combats,
00:58:12l'anglais peut dire qu'il a droit à la souveraineté des Chagos.
00:58:16Donc, l'acquis pour moi, c'est que, enfin,
00:58:21les anglais finissent par reconnaître que la souveraineté
00:58:25de l'archipel des Chagos appartient à la république de Mory.
00:58:29Ça, c'est la grande nouvelle,
00:58:33c'est le grand résultat de cet accord.
00:58:38La question qui se pose, c'est que,
00:58:40si nous finissons par gagner tous les combats,
00:58:43et tous les combats que nous finissons par gagner,
00:58:46tu peux dire que c'est Lil Mory, c'est la république de Mory,
00:58:50qui est dans la souveraineté des Chagos.
00:58:53Mais l'anglais, tu peux dire non.
00:58:55Si on dit que l'anglais n'a pas accepté,
00:58:58est-ce que nous finissons par vraiment gagner ?
00:59:01Le problème, c'est que, dans les années 60,
00:59:05quand Lil Mory s'est négocié sur l'indépendance,
00:59:09il s'est gagné Mory,
00:59:11il s'est laissé Chagos.
00:59:15Mais je vous dis qu'il est arrivé,
00:59:17malgré le fait que c'était une très grande avancée,
00:59:20que la Grande-Bretagne finit par reconnaître
00:59:23la souveraineté de Mory sur les Chagos,
00:59:25le problème, cette fois-ci, c'est que Lil Mory
00:59:28finit par gagner les Chagos,
00:59:30mais il est resté négocié.
00:59:33Alors, est-ce que là-dedans, il y a un problème ?
00:59:37Pas vraiment.
00:59:39On finit la guerre pendant 60 ans
00:59:41pour dire que les Chagos sont à nous,
00:59:43y compris les négociés.
00:59:46Il y a tous les combats
00:59:48que tu peux reconnaître dans les organes internationaux
00:59:51qui les Chagos liboumorisent,
00:59:55et incluant les négociés.
00:59:58Enfin, nous récifions les Anglais,
01:00:00avec une sienne de papier qui veut dire
01:00:02que les Chagos appartiennent à Mory.
01:00:05Seulement, semble-t-il,
01:00:07peut-être qu'on a laissé des plumes,
01:00:09parce que nous finissons par accepter
01:00:11que même si la Grande-Bretagne reconnaît
01:00:13que la souveraineté de Diego Garcia,
01:00:15c'est Mory,
01:00:17Mory finit par d'accord
01:00:19pour laisser la Grande-Bretagne
01:00:21exercer les droits souverains de Lil Mory
01:00:23contre Diego Garcia.
01:00:25Mais est-ce qu'ils n'ont pas fait une erreur ?
01:00:28Est-ce qu'ils n'ont pas fait une erreur ?
01:00:30Et heureusement, nous avons trouvé maintenant
01:00:33que l'accord a été conclu,
01:00:37mais le traité n'a pas été signé.
01:00:40Ça, c'est peut-être la chance qui nous est là.
01:00:43Parce que si tu finis dans l'accord
01:00:45et avec un traité qui ne finit pas signé,
01:00:48eh bien, tu sais,
01:00:51parce que dans l'accord
01:00:53qui finit annoncé par 10 Downing Street,
01:00:57par le bureau du premier ministre britannique,
01:01:00ce qui nous apprend,
01:01:02c'est que Lil Mory et la Grande-Bretagne
01:01:07finissent par conclure un accord politique historique.
01:01:10Mais il y a que le traité,
01:01:12pour un traité, il faut suivre un traité.
01:01:14Alors déjà, il faut savoir,
01:01:16il faut savoir, Michael,
01:01:18qu'apparemment le Speaker du Parlement britannique
01:01:23fait une crie avec le secrétaire du Foreign Affairs,
01:01:29David Lamy,
01:01:31il dit comme ça,
01:01:32« Au parti qui a un droit à non-salacola,
01:01:34s'informe parlement. »
01:01:36Donc, c'est-à-dire que même là-bas,
01:01:38il y en a quelques étincelles.
01:01:41Effectivement, là, on prévient l'autre équipe
01:01:43qui sonne sur l'avenir.
01:01:45Mais même le gouvernement parlementaire...
01:01:47Mais le même David Lamy finit par dire
01:01:50que c'est un historique moment,
01:01:51il peut dire que c'est une victorie,
01:01:54donc la victoire de la diplomatie.
01:01:56Mais il peut dire aussi qu'ils sauvent la base
01:01:59de Diego Garcia
01:02:01et que ça peut s'éclouer aussi les intérêts britanniques.
01:02:05Sauf que c'est ça.
01:02:06Sauf que pour lui, il fait son reste.
01:02:08Parce qu'il dit qu'il fait l'accord,
01:02:11il veut la souveraineté.
01:02:13Jamais Maurice ne peut pas dire qu'il sauve la base.
01:02:16À tout moment, il nous fait dire
01:02:19qu'il peut respecter le fait qu'il y ait une base militaire
01:02:23qui garantit la sécurité de la région
01:02:26dans Diego Garcia.
01:02:28Mais aujourd'hui...
01:02:29Je vous pose la question, Étienne.
01:02:30Mais ce n'est pas la concession à faire pour gagner ça?
01:02:34Non, c'est ce que je pense.
01:02:36Moi, je pense que le Tibézien amène l'Amérique là-dedans.
01:02:42D'ailleurs, il faut aussi constater
01:02:44que l'ère des deux premiers ministres de Grande-Bretagne
01:02:49et de Maurice annoncent l'accord.
01:02:53Un fait exceptionnel dans notre histoire.
01:02:56Le président des États-Unis d'Amérique,
01:02:58lui aussi, il publie un statement
01:03:01quand ils viennent applaudir...
01:03:04Ils applaudissent l'accord historique
01:03:07entre Mauritius et le Royaume-Uni.
01:03:10Donc, on a un Joe Biden dans l'Amérique là-bas,
01:03:14puis on a Miles et l'accord.
01:03:16Mais les l'Indien aussi qui est dans l'US,
01:03:18l'U.S. et l'U.K. facilitent.
01:03:20Ce qui m'a fait rendre l'esprit court,
01:03:22quand on me dit, est-ce que c'était la concession à faire?
01:03:24Moi, je dis non.
01:03:25Moi, c'est pour nuancer un petit peu ce qu'il fallait faire.
01:03:27Puisqu'il est clair
01:03:29que pour que le président des États-Unis d'Amérique
01:03:31intervienne au niveau international
01:03:34pour venir applaudir cet accord-là,
01:03:36nous, les Tibéziens, nous faisons une visite
01:03:39pour gagner quelque chose aujourd'hui.
01:03:41Parce que c'est lui le principal bénéficiaire de cette base.
01:03:44C'est lui le principal utilisateur de cette base.
01:03:46C'est lui qui vous payez, en fin de compte, à Biden.
01:03:49Moi, je préfère le dire à lui.
01:03:51En plus, c'est lui qui vous payez.
01:03:53Moi, je le dis à lui.
01:03:54Et en plus, on était en position de force
01:03:57parce que quand on a partagé Cohen-Finjaou,
01:03:59Lille-Maurice a gagné tous les combats.
01:04:02Alors, qui va nous gagner tous les combats?
01:04:04Après, le principal conseiller de l'Amérique
01:04:06qui peut servir à ça,
01:04:07je ne peux pas le dire à lui.
01:04:08Allez, Etienne, écoute.
01:04:09Donc, en fin de compte, avec Nando Bouda,
01:04:12il y a quelques heures.
01:04:15Aujourd'hui, à 16 heures exactement, Etienne.
01:04:18Donc, laissons-nous écouter ce que Nando Bouda nous rappelle.
01:04:20Nando Bouda, un ancien ministre des Affaires étrangères.
01:04:25Nando Bouda, bon après-midi et bienvenue au Top FM.
01:04:29Merci beaucoup.
01:04:30Merci beaucoup.
01:04:31Bonjour, mon auditeur, mon auditrice.
01:04:33Nando Bouda, le thème de l'actualité
01:04:36qui finit par faire beaucoup de buzz
01:04:38durant ces quelques jours,
01:04:40c'est l'accord politique
01:04:42entre la Grande-Bretagne et l'île Maurice
01:04:44dans le dossier Chagos.
01:04:46Je viens de vous dire que la pénalité
01:04:48n'a pas été scoree par Pravin Djagnat
01:04:50sauf une batte en poteau qui a été retournée.
01:04:52Nando Bouda, qu'est-ce qui vous dit ça?
01:04:54Bon, je dis ça parce que
01:04:56tu peux présenter ça comme un KO.
01:04:59C'est-à-dire que c'est un mouv' de l'opposition.
01:05:02C'est un mouv' que l'opposition n'est pas capable de résister
01:05:05et que l'opposition peut knock-out.
01:05:08Premièrement, dans le statement
01:05:11que le ministre des Affaires étrangères a fait,
01:05:15le Foreign and Commonwealth Development Office
01:05:19qui sorti sa LACO,
01:05:21le Foreign Secretary a fait un commentaire,
01:05:24David Lamming, et qu'est-ce qu'il dit?
01:05:26Il dit comme ça,
01:05:28« The treaty is neither signed nor ratified. »
01:05:31Ça vient-t-il encore avec une LACO politique?
01:05:35Encore avec une LACO purement politique
01:05:38et qui n'a tout le travail pour faire concernant le traité.
01:05:42Maintenant, quand on a les deux constitutions,
01:05:45en Grande-Bretagne, un traité de cette envergure,
01:05:48il faut passer par le House of Commons,
01:05:50il faut passer par le House of Lords
01:05:52et il faut qu'il y ait l'ascent of the King.
01:05:54Contenons les différends.
01:05:55D'ailleurs, l'autre jour, le ministre Ghanouine explique ça.
01:05:58Il dit que l'exécutif est capable d'amener un traité
01:06:01et qu'il n'est pas nécessaire d'amener dans le Parlement.
01:06:04C'est ce qu'il dit au niveau de Lino Morris et de l'opposition
01:06:07qui vont traiter de cette envergure.
01:06:09Ils ne passent pas par le Parlement désormais.
01:06:11Et là, c'est l'occasion de le faire.
01:06:13Je retourne ce qu'il dit.
01:06:15Ça veut dire que l'accord
01:06:17veut dire que le traité
01:06:19« has neither been signed nor ratified ».
01:06:21On écoute tous les commentaires qu'il y a dans le House of Commons.
01:06:24Beaucoup disent comme ça, en fin de compte,
01:06:27que ce mouvement pose un problème
01:06:30pour ce qu'ils appellent
01:06:32le « international military footprint of Great Britain » dans le monde.
01:06:36C'est pas ce que disent Diego Garcia et l'Indo-Pacifique.
01:06:39Maintenant, pour que ce traité soit signé,
01:06:42il faut une majorité au Parlement.
01:06:44Maintenant, est-ce qu'il y a une « party line » ?
01:06:47Est-ce qu'il y a des conservateurs pour voter ?
01:06:49Est-ce qu'il y a des libéraux pour voter ?
01:06:51Et moi, je peux même dire une chose,
01:06:53c'est que peut-être pour le Premier ministre, Sir Stormer,
01:06:56il n'y a pas même un problème qui le pose
01:06:58d'amener une situation de minorité
01:07:01dans le House of Commons,
01:07:02et qui pose un problème de ce « prime ministership » même.
01:07:04Alors, je retourne sur ce que je peux dire.
01:07:06Qu'est-ce que cela, en fin de compte, révèle ?
01:07:08Premièrement, quand on gagne l'indépendance « under juris »,
01:07:11on gagne l'indépendance sans Chagos,
01:07:13et nous disons qu'à l'époque,
01:07:15la délégation qui est allée
01:07:18fait une manière qui force d'autres « under juris »
01:07:23pour accepter, disons, soit l'indépendance à Maurice,
01:07:27sans Diego, sans les Chagos,
01:07:30ou soit pas l'indépendance du tout, Wilson dit ça d'ailleurs.
01:07:33Mais cette fois-ci, c'est l'inverse.
01:07:35Nous avons Chagos sans Diego Garcia.
01:07:38Et nous, nous acceptons,
01:07:40cette fois-ci, ce n'est pas « under juris »,
01:07:42c'est en toute connaissance de cause.
01:07:45Nous avons une situation, dans la géopolitique
01:07:48et dans l'international law, assez cocasse.
01:07:51Premièrement, nous avons l'État, Maurice,
01:07:53qui a les droits souverains de Diego Garcia.
01:07:56As an umbrella, parce que nous disons qu'il a les droits souverains de Chagos.
01:08:00Donc, Maurice a les droits souverains de Diego Garcia.
01:08:02Mais seulement qu'il nous peut dire,
01:08:04un autre pays, l'Angleterre,
01:08:06peut exercer ses droits souverains de Diego Garcia.
01:08:09Mais dans quel pays au monde, dans quel contexte,
01:08:11dans l'exemple qu'on a dans le monde,
01:08:14est-ce qu'une chose comme ça peut arriver ?
01:08:16Troisième chose maintenant, c'est un troisième pays,
01:08:18c'est-à-dire l'Amérique,
01:08:20qui peut « enjoy the full enjoyment »
01:08:23de cette terre-là, c'est l'Amérique.
01:08:25Donc, nous avons une situation,
01:08:27c'est-à-dire la terre pour nous,
01:08:29mais la souveraineté peut exercer pour quelqu'un d'autre,
01:08:32et l'enjoyment peut exercer pour quelqu'un d'autre, les Américains.
01:08:35C'est une carte-figure exceptionnelle.
01:08:37Maintenant, une autre affaire qui est grave,
01:08:39c'est que l'État ne peut guérir la situation.
01:08:42L'Éclair, d'ailleurs, le Powell,
01:08:45c'est-à-dire le Jonathan Powell,
01:08:47qui était le négociateur du côté des Anglais,
01:08:49il dit « this was done sous la précipitation »
01:08:52parce qu'il tient à une élection de Maurice.
01:08:54Et là, Duncan Smith,
01:08:57qui est le député de Crawley,
01:08:59côté de beaucoup de Ségouciens, frères Ségouciens,
01:09:01il dit « this is a disgusting government ».
01:09:04Mais quand on regarde la réputation de Maurice,
01:09:07finalement, les Anglais réprochent l'administration britannique,
01:09:10et d'ailleurs, ils ont passé cet accord
01:09:12à un moment que le Parti n'est pas en Parlement,
01:09:14et ils le réprochent, ils disent « on ne peut pas faire ça
01:09:16pour un pays qui n'est pas en Parlement »,
01:09:18ce qui fait qu'ils ont un rappel,
01:09:20et dès que le Parlement revient,
01:09:22le ministre des Affaires étrangères,
01:09:24le ministre des Affaires étrangères,
01:09:26il dit « il est venu pour expliquer, ça je peux expliquer. »
01:09:28Ça veut dire finalement qu'il finit par arriver,
01:09:30c'est qu'il finit par faire ça en toute précipitation,
01:09:32il est clair que pour Pravin Jaghnath,
01:09:34il a besoin d'un accord.
01:09:36Alors, il a dit qu'il ne voulait pas un accord
01:09:38« state to state », donc il veut un accord
01:09:40purement politique, sans haine.
01:09:42Deuxième chose, il dit « on va voir les autres modalités après ».
01:09:45Il est clair qu'aujourd'hui, ce que Pravin Jaghnath voulait,
01:09:48c'est de gagner un accord,
01:09:50c'est comme ça qu'il veut gagner une main,
01:09:52c'est ce qu'on voit dans le livre de Sterling
01:09:54depuis l'augmentation de l'élection électorale.
01:09:56Il a dit que c'était une bonne chose,
01:09:58c'était un bon point de départ,
01:10:00parce que c'est la logique de ce fonctionnement
01:10:02qu'il a fait,
01:10:04il a donné de l'argent à l'élection électorale,
01:10:06parce que c'est un objectif électoraliste.
01:10:08Alors, le fait qu'il a dit ça,
01:10:10pour le transversal,
01:10:12ça veut dire qu'il n'a pas le découvert,
01:10:14qu'il a finalement fait un sale out,
01:10:16une braderie de nos droits souverains,
01:10:19au niveau de la cause.
01:10:21Qu'est-ce que tu veux faire ?
01:10:22Ce que tu veux demander, c'est de gagner la souveraineté de Chagos.
01:10:26Là, nous, nous nous engagons avec les Américains,
01:10:28pour dire comme ça, nous donnons un bail,
01:10:3050 ans, à Diego Garcia,
01:10:33et il exerce ses droits là,
01:10:36avec la base militaire.
01:10:39Et pour moi, c'est une occasion ratée,
01:10:42ratée parce qu'il ne peut pas se rapprocher avec les Etats-Unis.
01:10:44Pravin Jagna, tu veux le White House dire Biden,
01:10:46parce que c'est une corde maîtresse.
01:10:48Diego Garcia, c'est la corde maîtresse,
01:10:50et Chagos, c'est un atout exceptionnel.
01:10:53Mais, dans deux mots,
01:10:55le Premier ministre de Grande-Bretagne,
01:10:57le Premier ministre de l'île Maurice,
01:10:59veut dire qu'il est fier d'avoir un accord historique.
01:11:04Le président des Etats-Unis,
01:11:06l'île dit qu'il applaudit un accord historique
01:11:10et la conclusion de négociations
01:11:13entre Maurice et la Grande-Bretagne sur les Chagos.
01:11:16Ou on peut dire que c'est un fiasco.
01:11:19Abiy, quelle sera l'importance des Chagos
01:11:22dans la campagne électorale qui s'annonce jusqu'au 19 novembre?
01:11:26Je pense que le Premier ministre est convaincu
01:11:28qu'il peut venir raconter tout ça.
01:11:30On retourne les Chagos au sein de la République.
01:11:34Deuxièmement, on peut retourner avec un budget chaque année.
01:11:38Et troisièmement, ça peut permettre aux pays de payer des pensions,
01:11:41parce qu'ils pensent avoir 65 milliards dans cinq ans encore.
01:11:47Si vous comptez 20 000 ou 250 000 rupees.
01:11:50Alors maintenant, ça veut dire qu'au fait,
01:11:53l'Américain qui fait un indien comme ça,
01:11:55qu'il est heureux avec ça.
01:11:56Il applaudit.
01:11:57Il applaudit.
01:11:58Parce que David Manning l'indien comme ça,
01:12:03l'indien comme ça, second,
01:12:04it impacted on our relationship with the US
01:12:07who neither wanted nor welcomed the legal uncertainty.
01:12:11Abiy, l'État tient la legal uncertainty.
01:12:13Vous d'accord, moi.
01:12:14Mais qu'il fasse une certaine avec nous.
01:12:17Une légale certainty, ça veut dire qu'on a une baillère
01:12:19et qu'on a un locataire.
01:12:21Alors, moi je crois que le peuple infini a découvert
01:12:25qu'il existait un second sell-out.
01:12:27Et l'autre là tient une duresse concernant Chagos
01:12:30à l'époque de l'indépendance.
01:12:31Et ça là, au fait, les volontaires,
01:12:33parce qu'ils pouvaient avoir un gain purement politique.
01:12:36Parce qu'ils voulaient à tout prix que ça,
01:12:38la Corolla, soit signée avant l'exécution.
01:12:42Donc, je pense que la population comprend.
01:12:44C'est moi qui me faisais dire une chose,
01:12:46que c'est un grand pas en avant
01:12:48qui nous gagne la souveraineté envers les Chagos.
01:12:50Parce que c'est quelque chose qui nous peut attendre,
01:12:53nous peut rêver, et je pense que ça peut permettre
01:12:55beaucoup de choses, surtout sur les autres îles.
01:12:57Et notamment nos frères chagossiens qui ont envie de retourner.
01:13:00Nous avons besoin de notre propre resettlement programme.
01:13:02Et puis il y a une autre chose,
01:13:03nous n'avons pas besoin d'un resettlement programme
01:13:05dépendant de l'Anglais.
01:13:06Nous avons besoin de faire notre propre resettlement programme
01:13:08parce que les îles nous appartiennent.
01:13:10Donc finalement, quand nous sommes arrivés là,
01:13:12c'est que nous sommes arrivés dans une situation
01:13:14où les Américains n'avaient rien à faire avec nous.
01:13:17Ils n'avaient pas confiance en Mauritie.
01:13:19Parce qu'ils pensaient qu'ils n'étaient pas capables
01:13:21de nous donner les autres bonnes îles
01:13:23et je pense que c'est justement le problème de la Chine.
01:13:26Et il y a quelque chose que personne n'a pas encore soulevé,
01:13:29et je suis content de le soulever ici aujourd'hui,
01:13:31c'est de dire comme ça que
01:13:33nous avons le soutien complet de Mauritie
01:13:35pour des arrangements de sécurité robustes,
01:13:38y compris pour prévenir,
01:13:40c'est-à-dire Mauritie pour prévenir
01:13:42les forces armées étrangères
01:13:44d'accéder ou d'y s'installer
01:13:47sur les autres îles.
01:13:49C'est-à-dire que nous prenons notre engagement là.
01:13:51Nous prenons notre engagement
01:13:52que nous renouvelons nos droits souverains.
01:13:54C'est logique comme ça.
01:13:55Et pour les autres bonnes îles,
01:13:57nous prenons l'engagement
01:13:58qu'ils ne doivent pas nous donner ces bonnes îles-là.
01:14:00Aucun accès à les autres pays
01:14:02qui sont capables, sans qu'il y ait justement
01:14:04des Anglais et des Américains qui sont d'accord avec ça.
01:14:08Ça veut dire donc,
01:14:10pour la campagne électorale,
01:14:12est-ce que les chagosses,
01:14:14pour un thème fondamental,
01:14:16majeur ou bien mineur,
01:14:18parce qu'ils ont découvert finalement
01:14:20qu'il y avait des individus
01:14:22qui n'ont donc pas pénalisé
01:14:24pour une rentrée,
01:14:25mais qui ont voulu apporter une ressource.
01:14:27Je pense que sentimentalement, émotionnellement,
01:14:29il y a quelque chose
01:14:31qui nous fait fière,
01:14:32qui nous regagne, les chagosses.
01:14:34Mais en même temps,
01:14:35pour trouver qu'ils n'ont finalement
01:14:37pas fait trop beaucoup de précipitations.
01:14:39Premiers ministres, ils ont fait ça
01:14:40pour une raison purement politique,
01:14:42pour un gain politique.
01:14:43Et quand ils ont découvert ça,
01:14:45je ne crois pas qu'il y a eu un bel impact politique
01:14:47pendant la campagne électorale.
01:14:49Dernier rongle d'attaque dans le Bouddha,
01:14:53nous voulons savoir ce qui peut se passer
01:14:55au niveau de l'information.
01:14:56C'est de la Grande-Bretagne
01:14:57qui nous apprend
01:14:58qu'il y a 11 rounds de négociations
01:15:00avec le gouvernement conservateur
01:15:02et 2 rounds de négociations
01:15:04avec le gouvernement travailliste.
01:15:05C'est à travers le Parlement britannique
01:15:07qu'ils nous apprennent
01:15:09de M. David Lamy,
01:15:10qui est passé, qui n'est pas passé, etc.
01:15:12Ils nous apprennent de l'Amérique,
01:15:14le président Biden a annoncé
01:15:15qu'il passe dans nos pays.
01:15:16Mais finalement, il y a un problème
01:15:18dans le droit d'accès à l'information
01:15:20quand tout ce qui concerne nos pays
01:15:21ne peut apprendre pas des hauts.
01:15:23D'ailleurs, dernier en date,
01:15:24c'est que vendredi,
01:15:26l'ancien leader des conservateurs,
01:15:28Jan Duncan Smith,
01:15:29finit de traiter le gouvernement mauricien
01:15:31de « disgusting government »
01:15:33parce qu'il y pensait qu'il finit
01:15:34de faire quelque chose de très mal
01:15:36dans ce qui nous déroulait
01:15:37au niveau des Chagos.
01:15:38Mais pourquoi tout ça est grave ?
01:15:39Nous, mauriciens,
01:15:40nous ne parlons pas de ce qui se passe
01:15:41dans nos pays.
01:15:42C'est des hauts qui nous donnent la nouvelle.
01:15:43La solution à ça,
01:15:44c'est le Right of Information Act.
01:15:45Et qui est extrêmement important,
01:15:47je vous le dis,
01:15:48qui nous donne transparence.
01:15:49Pour mes médecins,
01:15:50ils répondent à combien de questions
01:15:51dans le Parlement ?
01:15:52Mais toutes ces informations-là,
01:15:53nous ne pouvons pas gagner.
01:15:54Aucune information,
01:15:55nous ne pouvons pas gagner.
01:15:56Et qui, désormais,
01:15:57quand il s'agit de l'intégrité territoriale,
01:16:02quand il s'agit d'un bout,
01:16:04d'un mètre carré de nos territoires,
01:16:06quand il s'agit de l'intégrité territoriale,
01:16:08tout ne passe pas par le Parlement,
01:16:10il y a la transparence.
01:16:12Parce qu'un gouvernement,
01:16:14qui justement n'a pas joué
01:16:15le jeu de la transparence,
01:16:16n'est pas capable.
01:16:17Si on met des signes de traité
01:16:19pour les poser dans la table du Parlement,
01:16:22au nom du peuple,
01:16:23ce n'est pas possible.
01:16:24Nous devons arrêter ça.
01:16:25Nando Buda,
01:16:26merci beaucoup et au revoir.
01:16:28Merci beaucoup.
01:16:29Voilà, c'était Nando Buda,
01:16:31ancien ministre des Affaires étrangères.
01:16:33Etienne nous a précisé,
01:16:35qu'il nous laissait...
01:16:36Ah oui, oui.
01:16:38En fait, il est assez malheureux
01:16:41parce que depuis samedi,
01:16:44nous rentrons en communication
01:16:46et nous serons en contact
01:16:48avec le bureau du Premier ministre,
01:16:50avec son adviser, son vice-adviser.
01:16:53Je me souviens bien,
01:16:55je l'ai contacté huit fois.
01:16:57Et il ne répond pas,
01:17:00qu'est-ce qui pourrait intervenir
01:17:02au niveau de l'opposition.
01:17:03Je l'ai informé.
01:17:05Je lui ai dit quel serait le sujet
01:17:07qui pourrait être traité
01:17:08dans le Parlement du Pays-Bas.
01:17:10Mais finalement,
01:17:12pas de résultat, pas de réponse
01:17:14si le gouvernement va intervenir ou pas.
01:17:16Finalement, nous ne pouvons aller devant.
01:17:18Là, le bureau du Premier ministre,
01:17:20à travers l'attaché,
01:17:22son adviser,
01:17:23ne peut pas répondre à nous,
01:17:24ne peut pas nous donner une réponse.
01:17:25Je ne sais pas à quel point ça va arriver.
01:17:27J'ai eu l'idée de contacter directement
01:17:30certains membres du gouvernement.
01:17:32Entre autres,
01:17:33Samad Goulamari tout à l'heure,
01:17:35mais aussi Alain Gagnon.
01:17:36Alors Alain Gagnon,
01:17:38je lui ai appelé
01:17:40moins d'un appel téléphonique
01:17:42et trois messages.
01:17:43D'accord ?
01:17:44Il ne répond pas à moi,
01:17:45je veux dire,
01:17:46la gentillesse répond à moi
01:17:48à un moment donné.
01:17:49Et il n'est pas d'accord pour intervenir.
01:17:51Mais seulement après,
01:17:52il ne me rappelle pas.
01:17:53Et finalement,
01:17:54ce n'est pas réalisé.
01:17:56Ce n'est pas réalisé.
01:17:57Il y a eu une cérémonie religieuse
01:17:59que j'ai participé personnellement.
01:18:01Donc, il n'est pas capable de parler avec moi.
01:18:03Donc, les référendums,
01:18:05après mes dix appels
01:18:07et mes trois messages,
01:18:08et les référendums,
01:18:10à un autre collègue,
01:18:12un autre collègue ministre,
01:18:14qui m'a appelé cinq fois,
01:18:16sans réponse.
01:18:17Donc, finalement,
01:18:19finalement,
01:18:20il y en a vingt-six.
01:18:21Parce que de toute façon,
01:18:22il y a vingt collègues qui sont venus demain
01:18:23pour l'invité de Hot Talk.
01:18:26Oui, probablement.
01:18:27Vous pensez qu'il a question sur les chargosses.
01:18:29Donc, son réaction sur les chargosses.
01:18:30Non, probablement, je te prie.
01:18:31Mais, Michael,
01:18:32nous retournons à ce droit à l'information.
01:18:34Quand il dit qu'on le prie,
01:18:36il est fier qu'on l'ait, il prie.
01:18:37Oui, oui.
01:18:38Disons, disons,
01:18:39de partir dans dix mois pour intervenir.
01:18:40De toute façon, il y en a Orvin Boulel.
01:18:41Donc, comme on disait,
01:18:42il y en a vingt collègues qui sont venus demain
01:18:43pour l'invité de Hot Talk.
01:18:44Donc, sûrement,
01:18:45il sera interrogé sur les chargosses.
01:18:47Il vous donne son réaction.
01:18:48Là, il y en a un autre ministre,
01:18:49un ancien ministre des Affaires étrangères
01:18:50qui est en ligne, Orvin Boulel.
01:18:51Orvin Boulel, bonsoir.
01:18:52Bonsoir.
01:18:53Pareil, quoi.
01:18:54Toujours dans mes autres collègues.
01:18:55Moi, si vous l'étiez en pression.
01:18:56Très privé, pression.
01:18:57Si vous préférez qu'on parle.
01:18:58Bien sûr, vous répondrez toujours favorablement.
01:18:59Oui.
01:19:00Parce qu'en fait,
01:19:01ils sont aussi porte à porte.
01:19:02Parce qu'on est dans plein campagne électorale.
01:19:03Et après,
01:19:04tout comme mon camarade Ghanou,
01:19:05donc, vous, bien sûr,
01:19:06dans une session de prière
01:19:07qui était tenue à travers la séance de prière,
01:19:08il y en a un,
01:19:09il y en a un,
01:19:10il y en a un,
01:19:11il y en a un,
01:19:12il y en a un,
01:19:13il y en a un,
01:19:14il y en a un,
01:19:15il y en a un,
01:19:16il y en a un,
01:19:17il y en a un,
01:19:18il y en a un,
01:19:19il y en a un,
01:19:20il y en a un,
01:19:21il y en a un,
01:19:22il y en a un,
01:19:23il y en a un,
01:19:24il y en a un,
01:19:25il y en a un,
01:19:26il y en a un,
01:19:27il y en a un,
01:19:28il y en a un,
01:19:29il y en a un,
01:19:30il y en a un,
01:19:31il y en a un,
01:19:32il y en a un,
01:19:33il y en a un,
01:19:34il y en a un,
01:19:35il y en a un,
01:19:36il y en a un,
01:19:37il y en a un,
01:19:38il y en a un,
01:19:39il y en a un,
01:19:40il y en a un,
01:19:41il y en a un,
01:19:42il y en a un,
01:19:43il y en a un,
01:19:44il y en a un,
01:19:45il y en a un,
01:19:46il y en a un,
01:19:47il y en a un,
01:19:48il y en a un,
01:19:49il y en a un,
01:19:50il y en a un,
01:19:51il y en a un,
01:19:52il y en a un,
01:19:53il y en a un,
01:19:54il y en a un,
01:19:55il y en a un,
01:19:56il y en a un,
01:19:57il y en a un,
01:19:58il y en a un,
01:19:59il y en a un,
01:20:00il y en a un,
01:20:01il y en a un,
01:20:02il y en a un,
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01:20:04il y en a un,
01:20:05il y en a un,
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01:20:07il y en a un,
01:20:08il y en a un,
01:20:09il y en a un,
01:20:10il y en a un,
01:20:11il y en a un,
01:20:12il y en a un,
01:20:13il y en a un,
01:20:14il y en a un,
01:20:15il y en a un,
01:20:16il y en a un,
01:20:17il y en a un,
01:20:18il y en a un,
01:20:19il y en a un,
01:20:20il y en a un,
01:20:21il y en a un,
01:20:22il y en a un,
01:20:23il y en a un,
01:20:24il y en a un,
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01:20:26il y en a un,
01:20:27il y en a un,
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