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00:00Nous sommes encore au joli musée de l'hôtel Lips, à Gertwiller.
00:04Michel Habsinger, toutes ces choses que les gens ont appréciées,
00:08a-t-elle été positive ou négative ?
00:13C'était très bizarre avec cette Kherish.
00:16C'est comme si l'esprit s'éteignait.
00:18C'est une Kherish qui a été éditée et j'ai tout d'un coup prohibité.
00:21Il y a beaucoup de chapitres dedans.
00:23Et à partir du moment où on l'interprète,
00:25on peut faire de la magie.
00:27J'ai déjà essayé, je suis inculpé.
00:29Et on peut même croire qu'elle a un peu de sauvetage.
00:32C'est comme si on l'entendait.
00:34C'est l'effort.
00:36C'est l'effort qui nous apporte l'expérience.
00:38Et je t'ai montré comment les gens sont vraiment chrétiens.
00:42Nous sommes les chrétiens.
00:44Mais, le genou.
00:46C'est un genou de père.
00:48Le genou et le ventre.
00:50Il y a des teintes.
00:52Oui.
00:53C'est très spécial.
00:54On ne sait pas si c'était pour le bien ou pour le mal.
00:57Il a l'air un peu démoniaque.
00:59Mais il y a aussi le Christ.
01:01Et le Christ est là-bas.
01:03Oui, le Christ nous a apporté.
01:05Oui.
01:07J'ai des autres à côté.
01:09C'est des virbules de l'esclavage.
01:11L'esclavage ?
01:13C'est des ténèbres.
01:15Est-ce qu'ils ont utilisé un poison ?
01:17C'est à cause de la douleur.
01:19Tous ceux qui le connaissaient,
01:21tous ceux qui l'ont fait,
01:23ils sont tous morts.
01:25Ils ne me connaissent plus.
01:27Ils ne peuvent plus répondre.
01:29Et j'ai aussi un peu d'esclavage.
01:31C'est un peu comique.
01:33En français, c'est «bonne soirée».
01:35Pourquoi ?
01:37En allemand, c'est «Valentine».
01:39Et j'ai l'habitude de l'appeler «Valentine».
01:41C'est comme si j'avais les yeux fermés.
01:43C'est comme si j'avais les yeux fermés.
01:45«Valentine», c'est ce que tu penses.
01:47Tu n'as pas les mots ensemble.
01:49«Valentine».
01:51Je n'ai jamais pensé à ce mot.
01:53Je pensais que c'était «Valentine».
01:55Mais non, c'est un mot
01:57que les gens ont apporté.
01:59Pour qu'ils soient encore en santé.
02:01Et tu l'as apporté
02:03très souvent.
02:05En fait, j'ai la douleur
02:07qu'on ne sait plus
02:09ce qui s'est passé.
02:11C'est totalement perdu.
02:13C'est comme la «chope madone».
02:15Pourquoi «chope madone» ?
02:17C'est un ton.
02:19Quand quelqu'un est malade,
02:21on les brise les mains.
02:23On les fait un «zup» ou un «win».
02:25On les déguste ou on les boit
02:27pour se réparer.
02:29Ça n'a pas amené plus de difficultés
02:31quand on les dégustait ?
02:33Je ne sais pas.
02:35Quand ils sont tous morts,
02:37ils parlent tous ensemble.
02:39Mais certains sont encore en santé
02:41quand c'est le mal fait.
02:43C'est comme «Aber».
02:45Ça a eu de la force.
02:47Ce sont des boulons.
02:49Je ne crois pas qu'on soit
02:51dans l'Elsasson.
02:53Je n'ai jamais trouvé ça.
02:55C'est venu de loin.
02:57Les gens ont duré.
02:59Ça s'est passé de génération en génération.
03:01Parfois, on a fait des inventions.
03:03Mais plus tard,
03:05je vous en parlerai dans quelques minutes,
03:07j'ai eu un peu peur
03:09quand j'ai fait
03:11ce que j'ai fait à la maison.
03:13Je ne suis pas si peur,
03:15mais tu as même plaisir.
03:17On en parlera dans quelques minutes.