• il y a 2 mois
Avocat, Gilles-William Goldnadel a abordé la minute de silence pour Philippine perturbée par plusieurs individus : «Il n'y a rien, les autorités d'occultations se taisent».

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Transcription
00:00Imaginez un seul instant, moi mon imagination est impuissante à décrire cette réaction médiatique,
00:06si par une hypothèse hardie, des groupes de droite avaient interrompu une minute de silence à la mémoire de Nahel.
00:18Mais ça aurait fait le tour de France et pour plusieurs jours.
00:23Là, il n'y a rien.
00:25Il y a ce que j'appelle les autorités d'occultation qui se taisent.
00:30Maintenant, je voudrais vous dire quand même quelque chose.
00:33C'est très bien de faire une minute de silence, je trouve ça très bien,
00:37mais vous parlez de manifestation digne et silencieuse.
00:41Ceux qui ne supportent plus la situation actuelle ne sont pas condamnés non plus à faire silence tout en étant troublés.
00:50J'observe d'ailleurs que, à tout hasard, j'ouvre une petite parenthèse idéologique,
00:53ceux qui les troublent sont souvent des porteurs de keffiers.
00:57Ceux qui sont à Sciences Po, qui arrachent les affiches, ce sont les mêmes qui arrachent les affiches des otages.
01:05C'est la même idéologie anti-occidentale, anti-blanche, pour dire encore les choses crûment bien.
01:14Mais donc je veux dire, moi je ne verrais aucun inconvénient à ce qu'il y ait une manifestation qui ne soit pas silencieuse,
01:20qui soit évidemment non-violente, pas un slogan raciste bien entendu.
01:28Mais pourquoi le monopole de la manifestation serait uniquement utilisé par la gauche extrême ?
01:39Il y a quelque chose qui m'échappe et que je ne reproche pas cette fois-ci à la gauche,
01:43mais que je reproche au contraire aux Français de droite.

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