Discours de Florian Philippot aux Assises de la Souveraineté. Arras/France - 14 Septembre 2024

  • la semaine dernière
Ces images sont disponibles à l'achat. Pour plus d'informations :
administration@agence-ligne-de-conduite.com

COPYRIGHT AGENCE LDC.NEWS ©2018. ATTENTION TOUTES LES UTILISATIONS COMMERCIALES OU NON COMMERCIALES SONT STRICTEMENT INTERDITES. AUCUNE REPRODUCTION PARTIELLE OU PLEINE DE VIDÉOS ET DE PHOTOGRAPHIE SONT LIBRE DE DROIT. POUR TOUTES ACQUISITIONS PARTIELLES OU TOTALES, VEUILLEZ NOUS CONTACTER SUR NOTRE SITE WEB DAILYMOTION.
AGENCE DE COPYRIGHT LDC.NOUVELLES ©2018. ATTENTION, TOUT USAGE COMMERCIAL OU NON COMMERCIAL EST STRICTEMENT INTERDIT. AUCUNES REPRODUCTIONS VIDÉOS ET PHOTOS PARTIELLES OU INTÉGRALES NE SONT LIBRES DE DROIT. POUR TOUTES ACQUISITIONS PARTIELLES OU INTÉGRALES, MERCI DE NOUS CONTACTER VIA NOTRE SITE DAILYMOTION.

Category

🗞
News
Transcript
00:00C'est un plaisir immense d'être avec vous aujourd'hui à Arras et nous allons maintenant
00:19écouter le discours du Président des Patriotes qui est à l'origine de l'organisation de
00:27ce très bel événement que sont les Assises de la Souveraineté d'Arras de 2024, mesdames
00:31et messieurs, Florian Philippot.
00:32Merci à tous, merci beaucoup, mesdames et messieurs, chers amis, chers résistants,
00:57et bien nous voilà donc réunis à Arras, cette terre de France où souffle décidément
01:10le bon vent de l'unité et du patriotisme.
01:12Quand nous avions inauguré cette salle, beaucoup d'entre vous n'étaient pas encore là.
01:20Pour notre congrès fondateur, c'était en 2018, nous n'avions pas alors imaginé que
01:28nous allions tomber amoureux de cet endroit où il se passe, je le pense, tant de choses
01:36bien pour notre pays et notre peuple.
01:39Nous n'étions que 300, on remplissait à peu près ce couloir.
01:46Et puis nous sommes revenus, de l'eau avait coulé sous les ponts, c'était l'an dernier
01:57et nous étions 1 600, alors on s'est dit qu'on avait très envie de revenir et par
02:05impronts renforts, nous voilà donc aujourd'hui, mes chers amis, 2 500 !
02:19Mon cher François, notre référent du Pas-de-Calais, je ne sais pas où tu es mais tu es forcément
02:29quelque part, qui nous accueille chez toi, cours donc en sortant d'ici à la mairie d'Arras
02:40pour leur demander de construire une salle plus grande, car quand nous reviendrons, nous
02:46serons 5 000, que dis-je, 10 000, 15 000, 20 000, 30 000, nous serons tant qu'il faut
02:59aller jusqu'au bout, c'est-à-dire la victoire et sauver notre France !
03:06Alors, un grand, s'il vous plaît, un très grand, un immense bravo, aujourd'hui, à
03:21tous les bénévoles, sans qui rien ne serait possible !
03:25A tous les organisateurs qui travaillent nuit et jour depuis des semaines, à tous
03:38les animateurs, à tous les participants, invités, intervenants, représentants, dirigeants
03:46d'associations et de partis politiques ici représentés, bravo à vous tous, bravo
03:57les patriotes ! Vous avez démontré, une fois de plus, que la couleur orange décidément
04:08se mariait très bien avec le bleu, le blanc et le rouge.
04:13Alors, pourquoi donc ces assises de la souveraineté, puisque c'est bien le nom de l'événement
04:22qui nous réunit aujourd'hui, ce 14 septembre, Arras ?
04:26D'abord, parce que ce 14 septembre, en ce moment, Macron parade sur les 100 Élysées.
04:32Vous avez loupé ça ! Il voudrait tant que l'or olympique soit le sien.
04:41Eh mais non, Emmanuel Macron, n'est pas Léon Marchand qui veut.
04:47Au mieux, vous êtes un marchand de cauchemars, un marchand de mensonges, un marchand de souffrances.
04:56Vous, vous ne transformez pas une course en or, vous transformez l'or en boue.
05:04Regardez ce que vous avez fait de la France, un pays, lui, en or.
05:12Oui, nous avons fait ces assises, paradoxalement, pour être debout.
05:20Debout, malgré la boue, debout, envers et contre tout.
05:27Voyez l'été que nous avons vécu, entre ce coup d'État latent du pouvoir qui nous
05:37montre ce qu'est la nature de l'oligarchie.
05:40Vous votez trois fois, vous dites trois fois non au système, et on vous pond, et on vous
05:55pond.
05:56Eh oui, ça a mis un certain temps, c'est pour ça que je me suis permis de le dire deux
06:03fois.
06:04Ça a mis 60 jours, une grosse ponte.
06:08Et on vous pond, Michel Barnier, Michel Barnier, je ne dis pas que je ne l'avais pas vu venir,
06:21je l'avais annoncé sur ma chaîne YouTube en juin, enfin tout de même.
06:25Michel Barnier, l'homme du système, il a tous les labels, l'homme de la trahison
06:37de Lisbonne.
06:38Moi, je suis comme Armand Altay, j'ai voté non en 2005, et je n'apprécie pas que trois
06:43ans plus tard, on ait volé mon nom, et Michel Barnier était l'un des grands organisateurs
06:48de ce viol démocratique.
06:51L'homme qui d'ailleurs, matin, midi et soir, nous disait à la télévision qu'il fallait
07:05voter oui en 2005, je m'en souviens comme si c'était hier.
07:08Il nous disait, il n'y a pas de plan B, ce sera ça ou ce sera rien.
07:12Bon, on l'a dit, ce sera rien.
07:13Et notre nom signifiait déjà liberté, et il signifiait déjà résistance.
07:21Et voilà que 19 ans plus tard, on nous recolle Michel Barnier, et on nous dit, dans ces
07:30équipes, il y aura des ministres macronistes.
07:32Et chez ses copains de Bruxelles qu'il connaît bien, Ursula continue de régner en Kayserine,
07:42et M.
07:43Breton continue de censurer à tour de bras.
07:46Quant au pseudo-opposition, et j'y mets 1, 2, 3, 4, 5, 10 guillemets, elle ne trouve
07:54rien de mieux à faire pour les unes de nous vendre tout un été une dame venue des finances
08:01de Paris qui s'est prise pour le Premier ministre pendant deux mois.
08:05C'était un peu étrange, Premier ministre virtuel.
08:08Alors qu'en face, côté RN, ben désolé, ça sent le pacte secret, le deal secret,
08:15comme dit la presse, à plein nez.
08:17Et on refuse de voter la censure.
08:21On nous dit, il faut laisser sa chance à Michel Barnier, comme si c'était le poulet
08:26de l'année, comme si on ne le connaissait pas déjà et de trop.
08:31Comme si, au passage, on pouvait faire ce cadeau à Macron, alors qu'on le sait, lui
08:38aussi il est sur un siège éjectable.
08:41Votez la destitution et il n'y a plus de Macron.
08:48Censurez le gouvernement, censurez-le encore, censurez-le toujours, c'est comme une bonne
08:57recette.
08:59Et vous y ajoutez à la fin, si ça n'est pas suffisant, une pincée supplémentaire
09:02de censure et Macron, démission.
09:06Mais n'est-ce pas, raisonnablement, la seule chose bien à faire, et je dirais même la
09:12seule chose décente à faire, vu cette clique, vu ce qu'elle inflige au pays depuis sept
09:21ans, vu la somme de trahisons, de souffrances et de mensonges accumulées.
09:29Ici, à Arras, ce jour, ce sera notre petit côté robespierrien de la journée, pas de
09:40complaisance avec ces gens, avec l'oligarchie, avec ces européistes et ces mondialistes.
09:46Ici, on aime les gens, on aime le peuple de France, on aime la liberté, on aime la
09:54France.
09:55Alors on trouve qu'elle est encore beaucoup plus chouette sans tous ces gens-là.
09:57Oui, des assises pour être debout, après cet été de censure où X, le réseau social,
10:14a été menacé par le commissaire Breton, où le PDG de Télégramme a été arrêté
10:20par la police de Macron sur ordre, où même C8, qui ne va quand même pas très très
10:25loin dans l'esprit de rébellion, mais c'est déjà trop pour le système, a été dégagé
10:30de la TNT, nous avons, mes chers amis, en cette rentrée, plus que jamais, une furieuse
10:38envie de crier « Liberté ! Liberté ! ». Il y a un petit air de manif dans la salle,
10:56ça fait du bien, ça fait plaisir.
10:58Des assises, oui, pour être debout, pour être libre, pour être souverain, pour défendre
11:05la paix, pour choisir la vérité, toujours, pour bâtir l'avenir, pour construire l'unité
11:12des assises pour une France belle, grande, juste, heureuse.
11:16Je ne connaissais pas meilleur moyen de reprendre l'année et j'avais très envie qu'on le
11:22fasse ensemble, tous ensemble ici, réunis à Arras, avec des hommes et des femmes d'exception
11:28dont vous avez pu entendre toute la journée et le reste du temps si vous tendez l'oreille,
11:34la formidable volonté de bâtir autre chose, un autre projet d'avenir et d'espérance
11:40pour la France et pour toute l'humanité.
11:42Je me dis que si ces assises n'existaient pas, il aurait fallu les inventer.
11:48Alors bravo à tous, grand bravo à tous.
11:51Les assises de la souveraineté, de la souveraineté, parce que sans souveraineté, il n'est que
12:02soumission.
12:03Et alors le débat démocratique n'est plus que mensonge.
12:07Les pantins s'agitent sous nos yeux mais comme des marionnettes, qu'ils sont.
12:13Dans l'ombre des coulisses de Bruxelles et Washington, les vrais marionnettistes choisissent
12:24à notre place notre destin, veulent contrôler nos vies.
12:28Je ne l'accepte pas.
12:31Ici, on ne l'accepte pas.
12:34Ici, nous rappelons une évidence, le seul et unique souverain, c'est nous.
12:43La souveraineté, c'est nous.
12:45La souveraineté, c'est le peuple, c'est la nation, c'est la France.
12:51Dehors les imposteurs, dehors les pantins, ne restons plus spectateurs, finie la comédie,
12:58nous montons sur scène et c'est nous qui redevenons acteurs de notre propre vie et
13:03du destin de notre propre pays.
13:05Voilà ce que nous crions avec fierté et enthousiasme en cette journée à Arras, ce
13:1014 septembre, pour ces assises de la souveraineté.
13:22Alors, bien sûr, la souveraineté, c'est un moyen.
13:26On doit être souverain, c'est-à-dire indépendant, libre, maître chez soi, décisionnaire en
13:30dernière instance.
13:31Voilà une foule de synonymes que vous choisissez pour pouvoir faire quelque chose.
13:37Dès lors, le Frexit et tous ses cousins, la sortie de l'OMS, de la CEDH, de l'OTAN,
13:42par exemple, sont des moyens.
13:45Et on me dit parfois, le Frexit, rappelle-le, dis-le plus souvent, le Frexit, ça n'est
13:53qu'un moyen, pas une fin en soi.
13:55D'une certaine manière, c'est vrai.
13:59C'est le moyen de pouvoir faire, de pouvoir se redresser, retrouver notre prospérité,
14:05notre sécurité, notre place dans le monde, nos libertés, un avenir pour nos enfants,
14:09on va en parler dans un instant.
14:12Mais cette phrase, je dois l'avouer, m'a toujours un tout petit peu gêné.
14:17Elle m'a toujours laissé un goût bizarre, un sentiment un peu étrange.
14:22Briser nos chaînes, ça n'est pas qu'un moyen.
14:26Je ne suis pas totalement d'accord avec ça.
14:28Je vais vous le dire sans détour.
14:31Se libérer, se libérer, c'est un moyen.
14:34Je vais vous le dire sans détour.
14:37Se libérer, briser ses chaînes, c'est déjà en soi un combat merveilleux.
14:46Rendu plus encore formidable quand on sait qu'il précède un avenir à rebâtir.
14:54Tâche ô combien motivante, exaltante.
14:58Mais réfléchissez bien à cela.
15:00Quand un peuple boute hors de son pays, une armée hostile, étrangère,
15:05dans le but, bien sûr, de reprendre le cours normal des choses, de son destin,
15:10ce n'est pas qu'un moyen, c'est déjà une œuvre en soi.
15:16Une somme d'abnégation, de sacrifices, d'efforts, de courage, de combats.
15:24Parfois de souffrances, de luttes, de combats, parfois de défaites.
15:30Mais aussi de victoires, jusqu'à la victoire finale et la libération.
15:36Eh bien, le Frexit et tous les combats souverainistes authentiques,
15:41mes chers amis, c'est la même chose.
15:44C'est déjà en soi un accomplissement extraordinaire.
15:49Un hommage qu'on rend à la France éternelle et à tous ceux qui, avant, bien avant nous,
15:55sont tombés déjà pour la libérer et pour nous offrir un avenir de liberté.
16:02Le Frexit, c'est un moyen, bien sûr, et d'ailleurs, il ne se suffit pas à lui-même.
16:07Il faut aussi s'assurer, derrière le Frexit, de tout changer.
16:13Je ne voudrais pour rien au monde un Frexit avec Macron et Bruno Le Maire au pouvoir.
16:19Et nos amis britanniques ont encore du travail à faire.
16:22Mais il est une condition nécessaire, impérieuse, indispensable.
16:28Pas suffisante, mais nécessaire.
16:31Mais il n'est pas non plus qu'une condition suffisante.
16:35Le combat pour le Frexit est la preuve que nous sommes vivants.
16:44Vivants et debout.
16:47Et qu'on a bien l'intention de vivre des jours et des années meilleurs.
16:54Et même nos meilleures années.
16:57Ces meilleurs moments, nous les passerons sans l'euro et sans l'Union européenne.
17:04Parce que nous voulons une agriculture française vivante, de qualité, de proximité, de circuit court,
17:10qui paie bien les paysans, et non pas soumis au libre-échange qui saccage absolument tout.
17:18À commencer par notre santé et les revenus des agriculteurs et l'environnement.
17:23Mais là, on entend moins les écolos sur le libre-échange.
17:26Ils oublient soudainement d'en parler.
17:33Quitter l'Union européenne nous permettra de développer ce projet agricole français
17:38adéquat, humain, et de reprendre la main sur notre commerce.
17:43S'en sera fini des larves et des insectes que Mme von der Leyen et Bill Gates veulent mettre dans nos assiettes.
17:50S'en sera fini notamment du traité de libre-échange, Union européenne, mercosur,
17:56qui repointe le bout de son nez en cette rentrée.
17:59Et pour lequel, écoutez bien, la Commission européenne et l'Allemagne ont déjà annoncé qu'ils allaient tordre le bras à la France.
18:07Vous me direz, un tordu comme Macron acceptera volontiers de se faire tordre le bras et même les deux s'il s'agit de trahir le pays.
18:16Mais nous, nous ne l'acceptons pas.
18:21La souveraineté nous permettra de décider par nous-mêmes.
18:26Comme nous pourrons dire dans les cantines scolaires, désormais, on privilégie la nourriture française
18:32produite en France, de qualité, et on aura le droit de le faire.
18:37Comme nous pourrons donner priorité à nos petites entreprises, à nos artisans, à nos PME dans nos marchés publics,
18:43et on aura le droit de le faire.
18:45Comme nous pourrons décider de grands projets nationaux, nous rappelant que la France se déploie dans le monde entier,
18:51que son Outre-mer est formidable, qui nous a donné d'ailleurs ces dernières années des leçons de résistance extraordinaires.
19:02Qu'il est riche, humainement, riche de cœur, riche de potentialité,
19:09que nous avons à travers les mers et les océans 12 millions de kilomètres carrés d'espace maritime,
19:14une richesse formidable, encore largement à explorer.
19:18La France des grands projets dans les mers, dans l'espace, dans les océans, dans la terre et sur terre,
19:23c'est une France libérée de ses entraves, débarrassée de sa servitude,
19:28de ce sentiment qu'on nous a mis dans le crâne que notre pays serait forcément petit et voué à se fondre et à disparaître.
19:37Non, sortir de l'Union Européenne pour revenir dans le monde, pour revenir dans l'histoire, pour porter un projet national.
19:46Ça c'est beau, ça c'est la politique avec un P majuscule.
19:51Ce projet de maîtriser enfin nos frontières nationales, de décider souverainement qui peut entrer, qui doit partir,
20:02de rétablir sur chaque mètre carré du territoire national la sécurité, la tranquillité, la concorde, le bien-être, le bonheur, l'insouciance.
20:14La France a tellement rimé avec insouciance. Il faut que ce soit vrai à nouveau.
20:23La France doit retrouver sa gaieté, doit retrouver sa joie de vivre.
20:29C'est malheureux de voir notre pays, qui est pourtant si riche et si merveilleux, être aujourd'hui si triste.
20:36Nous n'avons pas mérité ça, personne n'a mérité ça.
20:39Et ici on prend l'engagement que cette tristesse on va la gommer et la remplacer par du bonheur et de la gaieté.
20:50Une France libre aura un grand projet pour l'école, chargé, je vais peut-être dire un gros mot, de la transmission.
21:02Et d'y apprendre à lire, écrire, compter, réfléchir, avoir un esprit critique, un esprit libre, aimer son pays, être un bon citoyen.
21:13Et non, par exemple, y apprendre dès la classe ECP la liste des pratiques sexuelles, comme certains esprits complètement déséquilibrés voudraient nous y projeter.
21:24Une France souveraine fera ses choix, stop aux milliards d'euros déboursés pour le budget de Mme von der Leyen, à qui nous ne réserverons plus que quelques oranges quand nous irons la visiter en prison.
21:4215 milliards par an gagnés grâce à notre liberté. Imaginez tout ce qu'on pourra faire avec.
21:56Choisir de faire pour l'hôpital, pour lutter contre les déserts médicaux, pour soutenir les jeunes médecins qui s'installent, revivifier nos services publics, bâtir de solides infrastructures.
22:10Fini aussi les milliards pour le régime de M. Zelensky, qui n'alimente que la guerre, la corruption et la désolation.
22:20On ne fait que pousser de jeunes malheureux ukrainiens à se faire trouer la peau pour rien, juste pour engraisser quelques milliardaires outre-Atlantique ou à Bruxelles.
22:45Et ça, c'est un crime. C'est un crime monumental. Et ces milliards seront bien plus profitables à un service de santé aujourd'hui volontairement effondré sur ordre de l'UE et de BlackRock, parce qu'ils veulent le dévorer, ils veulent le privatiser.
23:03Macron, Von der Leyen, nous ne mourrons pas pour l'Ukraine alors que nos malades meurent aux urgences faute de personnel pour les prendre en charge.
23:15Notre souveraineté nous permettra de remettre les choses à l'endroit. La souveraineté est un projet national. Elle est aussi un projet international pour la France.
23:29Celui de défendre partout dans le monde nos intérêts nationaux, de retrouver une voie qui nous soit propre d'équilibre et de paix au Moyen-Orient, de paix avec la Russie, de paix en Ukraine.
23:43Le monde des BRICS, ce nouveau monde, ne doit pas être vu comme une menace. Il ne l'est que pour les faucons de l'État profond et les corrompus de la guerre. Pour eux, oui, c'est une menace, parce que la paix est une menace pour eux.
23:59Libres, nous pourrons nous rappeler que notre première frontière terrestre, c'est avec le Brésil. Et nous retrouverons le chemin du dialogue et non celui de la confrontation systématique, de la haine agressive, belliqueuse, repliée sur le précaré washingtonien.
24:22Nous dialoguerons avec l'Amérique latine, avec l'Inde, avec la Chine, avec la Russie, avec tous les pays, avec le monde arabe, avec les pays du Moyen-Orient. Nous dialoguerons et redialoguerons avec tout le monde, avec une boussole en tête. Où est l'intérêt de la France ? Où est la paix ? C'est tout ce qui nous intéresse.
24:52Vous voyez bien que tout cela n'est pas possible si nous ne sortons pas de l'OTAN. L'OTAN n'est pas la garantie de la paix. L'OTAN est la certitude de la guerre. Notre voix propre, c'est notre bouclier et c'est la paix.
25:17Une France libre prendra ses distances avec tous les fauteurs de guerre qui veulent aujourd'hui, et l'affaire est sérieuse, au moment même où on se parle, l'heure est grave. Je sais que dans l'excellente table ronde ce matin sur la sortie de l'OTAN, vous en avez parlé notamment, l'heure est grave où certains veulent rendre la marche à la Troisième Guerre mondiale irréversible,
25:43notamment avant la possible élection de Donald Trump en novembre prochain. Ces faucons de guerre ne doivent plus dicter la politique de la France. Je vous le dis et je vous le redis, une seule boussole. Où est l'intérêt de la France ? Où est la paix ? C'est tout.
25:59Applaudissements.
26:29Sortir de l'OMS, c'est remettre la santé au-dessus du fric. C'est remettre l'humain au-dessus du fric. C'est remettre le cœur là et non pas portefeuille ou coffre-fort à la place de ce qui doit nous faire vibrer.
26:47Nous ne sommes pas des êtres destinés à nous enrichir cupidement sur la souffrance et le malheur des autres, à entasser, à nous engraisser, quitte à voir mourir des gens. Nous sommes là pour essayer de nous sauver nous-mêmes et de sauver un maximum de gens et de les aider, nous entraider.
27:07Il faut remettre ces principes de base au cœur parce qu'ils ont complètement disparu des radars. Partout c'est le fric, la cupidité et la corruption. Stop au fric, à la cupidité, à la corruption. Stop au règne du fric, oui au règne du cœur et de l'intérêt supérieur de notre pays.
27:27Applaudissements.
27:31C'est remettre l'humain au-dessus de leur magouille. C'est dire stop à M. Gates, Bill Gates, qui croit pouvoir acheter le monde entier avec ses milliards jusqu'à nos consciences. C'est mettre à la poubelle le funestre traité mondial sur les pandémies de l'OMS.
27:49C'est le plus jamais ça, plus jamais de passe sanitaire, plus jamais de passe vaccinale, plus jamais d'infirmières, de médecins, d'administratifs, de pompiers suspendus, jetés à la rue sans un euro, sans salaire. Plus jamais ça. Applaudissements.
28:11Plus jamais la gestion par la peur. C'est au contraire investir dans l'avenir. Les traitements, la prévention, que de mots interdits depuis des années, la réaffectation des anciennes molécules, même si ça ne rapporte rien, surtout d'ailleurs si ça ne rapporte rien.
28:35C'est-à-dire qu'on a un peu plus confiance dans les médecins qui soignent et les chercheurs qui trouvent. Je pense par exemple à Alexandre Haryonco, le professeur Perrone ou le professeur Raoult, entre autres. Applaudissements.
28:51Plutôt que dans des actionnaires qui nous détroussent et de pseudo-milliardaires philanthropes qui veulent tellement, et nous aiment, nous injecter de l'amour de force dans les veines. On n'en veut pas de votre amour injecté de force, M. Gates. On n'en veut pas. On n'en veut pas.
29:13On veut choisir nous-mêmes, librement. Applaudissements. En bref, retrouver notre souveraineté, c'est en soi un combat. C'est déblayer le terrain, aujourd'hui occupé par les imposteurs. Et une fois déblayé, y bâtir un projet national, économique, industriel, monétaire, agricole, culturel, éducatif, de santé,
29:42pour notre sécurité, pour notre identité, pour de vrais salaires, pour l'avenir et celui des générations qui vont nous suivre, et pour la paix. C'est dans la liberté et la liberté d'expression que ce projet pourra sortir de terre.
30:01La liberté est la condition de tout. De la réflexion, de l'échange, du débat, de la scène controverse, des échecs et des succès. La condition reine du débat démocratique qui retrouve un sens.
30:23J'ai vu que M. Trump voulait prendre une loi, s'il est élu, qui garantira la liberté d'expression, qui normalement l'est déjà dans leur pays par le 1er amendement, mais bon, mais surtout qui punira très sévèrement tous les censeurs publics et privés. Je veux la même loi en France. Applaudissements.
30:51Covidisme, wokisme, mondialisme, européisme, climatisme, macronisme, on n'en peut plus de ces étouffoirs de la pensée, de ces baillons qu'on veut nous coller sur la bouche. On veut l'intelligence de la pensée libre. Applaudissements.
31:14Et vous comprenez bien qu'en étant dans l'UE, l'OTAN, l'OMS, cette liberté n'est qu'illusion. Plus le pays est enchaîné, plus les censeurs ont le pouvoir. L'indépendance, la souveraineté, c'est le souffle de la liberté. Le mondialisme, c'est l'enfermement dans l'idéologie.
31:36Les souverainistes n'auraient donc pas de projet ? Non, mes chers amis, les souverainistes sont les seuls à avoir un projet. Les autres ne font que recopier leur maître, recopier McKinsey. Et la copie, la soumission n'a jamais fait un projet.
31:56Ce projet, nous irons le porter aux quatre coins de France. Nous le détaillerons point par point dans les universités d'éducation populaire et la première aura lieu dans quelques jours, début octobre, en Moselle. On y parlera politique étrangère et de défense.
32:11Puis on ira parler école en Loire-Atlantique, puis on ira parler agriculture, environnement, protection animale, sécurité, etc. Qui portera ce projet ? Qui, pour redresser la France, sauver la paix et nos libertés ?
32:27Mais n'y a-t-il pas ici réunies toutes les compétences pour le faire ? N'y a-t-il pas ici des gens qui géreront l'économie, l'industrie, l'agriculture, nos entreprises et les finances publiques dix fois mieux que M. Le Maire ? N'y a-t-il pas ici des gens qui s'occuperont de notre santé cent fois mieux que M. Véran ?
32:54N'y a-t-il pas ici des gens qui aiment la France mille fois plus que M. Macron ?
33:09Bien sûr que si. À l'heure des soumissions et des compromissions, nous, souverainistes, nous sommes la vraie, la seule, la belle alternative pour sauver notre pays.
33:36Et nous avons un devoir sacré que cette journée a placé au centre de tout être unis et rassemblés. Nous avons passé la journée à le dire, les mois derniers à le faire et à tenter de le faire encore et toujours mieux.
33:56Nous avons eu sous nos yeux toute la journée, ici, dans toutes les salles, cet engagement, cet appel à travailler ensemble, à jeter les égaux aux égouts, à dire un non à la division, à chasser le sectarisme.
34:15Tous, nous avons pu signer cet engagement à travailler ensemble pour le bien commun. Et je suis sûr, ici, que vous êtes très nombreux, d'ailleurs, à l'avoir signé. Qui l'a signé ? Ceux qui ne l'ont pas fait, vous pouvez le faire avant de partir. On vous laissera partir ensuite. Promis.
34:37Non, l'engagement est libre, mais il est beau. Nous nous engageons à adopter un réflexe systématique d'unité et de rassemblement dans les luttes, dans les combats, chaque mois, chaque semaine, chaque jour, chaque minute, chaque instant rassemblés, à toutes les élections rassemblées.
35:00Comment imaginer, si jamais, par hasard, nous devions retourner aux urnes l'an prochain suite à une dissolution de l'Assemblée nationale ou, qui sait, une démission de M. Macron ? Comment imaginer de ne pas être sur la ligne de départ et de partir en ordre dispersé ? Je me refuse à imaginer pareil scénario.
35:31Nous sommes plus nombreux que jamais ici rassemblés. Nous avons invité tout le monde et beaucoup sont venus. Merci et bravo à eux.
35:44Quant aux autres, vous savez ce qu'on dit, les absents ont toujours tort. Et si, mes chers amis, nous décidions que le bloc souverainiste, c'était nous, si nous prenions l'engagement que rien ne pourra jamais nous diviser, qu'aucune querelle, toute légitime qu'elle soit, il peut y avoir des querelles légitimes,
36:14mais qu'aucune querelle n'arrivera jamais à la cheville des exigences légitimes du peuple de France à ce que nous servions le bien commun et à ce que nous sauvions, oui, je dis bien sauvions, la France, ce qui est et ce qui sera toujours le plus beau et le plus grand pays du monde, le nôtre.
36:36Applaudissements.
37:06Courage, son présent avec espoir, son avenir. Vous savez, c'est Albert Camus qui disait là où il n'y a pas d'espoir, nous devons l'inventer. L'impuissance est une illusion. La force du cœur, l'intelligence, le courage suffisent pour faire échec au destin et le renverser parfois.
37:36Il faut seulement vouloir, non pas aveuglément, mais d'une volonté ferme et réfléchie. Albert Camus. Tous ces mots, je les signe avec vous aujourd'hui.
37:50Applaudissements.
37:55C'est dans l'intelligence, dans le cœur et le courage que nous serons rassemblés pour toujours, rassemblés pour sauver notre pays, rassemblés pour donner un avenir à ceux qui vont venir après nous, rassemblés pour sauver la paix, pour sauver nos libertés, pour crier à la face du monde.
38:16Nous sommes là, nous sommes vivants, nous sommes debout ! Vive la liberté, vive la résistance, vive la paix et vive la France libre ! Applaudissements.
38:33Et nous allons, évidemment, puisque vous êtes debout, profitons-en, nous allons chanter notre hymne national. Allons enfants de la Patrie, Dieu nous protège !
38:52Applaudissements.
38:55Mesdames et messieurs, merci, bravo, ces assises de la souveraineté ont été une grande réussite en termes d'affluence, en termes de contenu, merci à tous les intervenants qu'on peut applaudir très fort !
39:08Bon retour pour ceux qui viennent de loin, merci à tous et je vous dis à très bientôt, merci à tous !

Recommandée