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NewsTranscription
00:00Musique d'ambiance
00:16...
00:37La Commission européenne a fait un deal cet été avec Meta
00:40et Elon Musk l'a révélé.
00:42Ce qui s'est passé, c'est que Meta ne soumet pas aux règles européennes
00:48et ne donne pas les données personnelles à la Commission européenne.
00:52Ce qui a donné ce qu'on a vécu cet été.
00:55Mais le grand problème aujourd'hui de nos sociétés, pour nous journalistes,
00:59c'est la république de la censure,
01:01parce qu'il s'est quand même passé plusieurs ans qu'on a vécu un été de dingue.
01:05Je crois que le kirenmi des journalistes,
01:07c'est justement les journalistes dans l'underground des journalistes des médias mainstream.
01:12Moi je travaille dans les médias mainstream.
01:15C'est tous ces journalistes du Monde, de Libération, du Nouvel Obs, de Mediataf,
01:21même si t'en es, tous ces journalistes qui finalement mènent un combat
01:25contre la liberté d'expression.
01:27C'est des gens qui pensent détenir un blanc-seing et détenir la vérité absolue.
01:31Et pour eux, nous ne sommes que des complotistes, des fachos, des fascistes.
01:36Il faudrait nous tuer.
01:37Mais ça me fait penser à une chose, l'une des premières étapes,
01:42l'un des premiers signes du basculement dans les dictatures, dans les républiques qui censurent,
01:48c'est l'autodafé.
01:49L'autodafé, c'est lorsqu'on détruit, qu'on brûle les livres et les écrits.
01:53Fermez un média, c'est ni plus ni moins que de faire de l'autodafé.
01:56Et juste pour revenir sur l'Arkom, les amis,
02:01Je viens de parler de l'Arkom.
02:04Le président de l'Arkom est nommé par le président de la République.
02:08Mais l'Arkom, je crois que c'est neuf membres renouvelés tous les trois ans.
02:12Les autres membres de l'Arkom sont successivement nommés par le président de la République,
02:17le président du Sénat, la présidente de l'Assemblée nationale.
02:20Vous appelez ça comme vous voulez.
02:21J'appelle ça la République des copains et des coquins.
02:25Et encore une fois, le nerf de la guerre, c'est l'argent.
02:29Moi, sur C8, c'est d'ailleurs l'une des raisons, je pense,
02:33pour lesquelles je suis un peu également écarte en ce moment,
02:36j'ai eu le droit, C8 a eu à cause de moi, entre guillemets,
02:40une amende pour l'affaire de la Drénocroque
02:45qui me colle à la peau depuis des mois et des mois.
02:48Alors j'ai dit trois mots.
02:49Bon, peu importe, c'est pas grave, j'assume totalement.
02:53Mais pourquoi on n'aurait pas le droit de parler de ce genre de sujet ?
02:56Je suis désolée, c'est un sujet qui gagne.
02:59Que ça soit vrai ou pas, pourquoi on n'aurait pas le droit d'en parler ?
03:04Donc en fait, il faut faire quoi ?
03:06Ça ne dérange personne.
03:07Par exemple, Léa Salavé, alors que son mari est en pleine campagne électorale,
03:11continue d'avoir son émission sur France 2.
03:15C'était juste une honte.
03:17Anne Sinclair, qu'on l'aime ou pas, qu'on aime ou pas des SK,
03:20je suis désolée, elle avait au moins la fierté et le sens de se mettre en retrait.
03:29Non, là, l'ARCOM n'a pas du tout intervenu.
03:33Comment se fait-il que Léa Salavé soit au pouvoir ?
03:37En plus, elle est rédactrice en chef de son émission.
03:39Comment se fait-il qu'elle était là et que le contenu de son émission
03:43allait dans le sens de M. Glucksmann ?
03:47Je pose cette question à l'ARCOM.
03:50Par contre, aujourd'hui, vous avez ce qu'il faut dire et ce qu'il ne faut pas dire.
03:55Moi, je suis désolée, j'ai envie de dire ce qu'il ne faut pas dire.
04:04Pour faire un parallèle sur ce que disait Myriam,
04:06la dictature de la pensée, c'est deux étapes.
04:08La première étape, on censure, mais on ne censure pas pour rien, on remplace.
04:12Vous savez, C8, c'est une scène exemplaire.
04:15Sur C8, on ne nous a jamais donné de consigne avant une émission.
04:18On faisait, les chroniqueurs, les journalistes faisaient ce qu'ils veulent.
04:21Est-ce que vous savez quelle chaîne a obtenu l'agrément pour occuper le canal 8 de la TNT ?
04:26Cette chaîne, elle s'appelle Réel TV.
04:28C'est Printemps Républicain TV.
04:30C'est Frontier TV.
04:32C'est Caroline Fourest.
04:33C'est Raphaël Enthoven.
04:34C'est Christophe Barbier.
04:36C'est l'Intelligentsia.
04:37C'est l'extrême centre.
04:38C'est l'extrême centre.
04:39Et c'est mon ancien employeur.
04:41C'est vraiment la République des copains, parce que c'est Printemps Républicain TV.
04:46Mais Enthoven est lui-même le compagnon de la présidente de Radio France, Adèle Vingrette.
04:52De France Culture.
04:54De France Inter, pardon.
04:56J'aimerais rebondir sur ce qu'a dit tout à l'heure Nicolas, auquel je souscris complètement.
05:00Et d'ailleurs, encore une fois, je ne le fais pas pour faire du populisme, comme certains diraient.
05:05Mais vraiment, je tiens vraiment à vous remercier, vous tous, qui êtes derrière.
05:08Parce que c'est uniquement, et encore une fois, vous ne réalisez pas la force que ça nous donne.
05:12C'est que nous n'avons de comptes à rendre à personne.
05:15Moi, je viens des médias mainstream.
05:20Je l'ai un peu payé, mais je veux dire, il y a autrement plus grave que ce que j'ai eu la chance d'être virage.
05:27J'ai fait des médias mainstream, sans jamais avoir fait d'erreur professionnelle.
05:30Donc ça, c'est la petite particularité et le petit plus produit.
05:33Mais ce que je dis vraiment, c'est que moi, toutes ces tentatives d'un...
05:37Puisque j'entends parler de censure, j'entends parler de...
05:40Tu as raison, d'ailleurs, de le souligner, de fascisme, même.
05:44Parce que ce qu'on nous reproche, c'est ce qu'on nous applique.
05:47Donc moi, ces tentatives d'intimidation, ça ne marche pas.
05:50Ça me donne encore plus l'amiac, mais je vous jure, je suis énervé.
05:55Et d'ailleurs, quelqu'un que j'apprécie particulièrement, qui s'appelle André Bercov, qui était là l'année dernière,
06:01moi, tous ces coups de canine qu'on essaye de nous faire...
06:06Parce qu'évidemment, ce qu'on oublie aussi de dire, c'est que...
06:09Moi, c'est vrai que j'essuie de temps en temps beaucoup de critiques en disant que je mets de l'eau dans mon vin, que je suis en train de...
06:14À un moment donné, on n'est pas des économies comme...
06:17Excusez-moi, Myriam, mais comme CÉUI, qui pourront payer des millions d'euros.
06:20Moi, à chaque fois que j'ai des procès en confirmation, c'est des frais d'avocat.
06:24Ça demande un an, voire deux ans avant que le procès ait lieu.
06:28Donc malheureusement, on doit naviguer en permanence.
06:31Et c'est ça que j'aimerais aussi, le petit message que j'aimerais passer,
06:34c'est un petit peu parfois de subtilité et d'indulgence de la part de notre public,
06:38c'est que parfois, moi, je me fais volontairement l'avocat du diable quand je reçois des invités.
06:42Et ce que les gens ne savent pas, c'est que d'abord, si je reçois au hasard Zoé Sagan,
06:47ce qui m'est arrivé juste d'ailleurs quelques jours après avoir été convoqué par les flics,
06:50ça m'a amusé, je me suis dit, tiens, là, je vais leur faire un petit clin d'œil.
06:53J'ai reçu Zoé Sagan, dont le compte a été supprimé hier sur X. Pardon, Zoé Sagan.
06:58Je reçois demain, enfin bref, Didier Arnaud.
07:01Moi, au contraire, tous ces gens qui sont en permanence attaqués,
07:04d'abord, ce qu'il faut souligner, que ce soit Nicolas ou d'autres médias alternatifs,
07:10déjà, il faudrait peut-être, avant de nous critiquer, saluer qu'on leur donne la parole,
07:14parce que ces gens-là n'ont plus accès pour la plupart aux médias mainstream.
07:18Donc j'aimerais quand même que les gens laissent ça.
07:21Je demandais des mots à Florian, et je ne dis même pas ça pour les siffler,
07:26mais je trouve ça absolument dingue.
07:29Je lui dis, est-ce que tu as eu des accréditations de la part de médias mainstream ?
07:32Et non, c'est incroyable, vous êtes aujourd'hui archi nombreux,
07:36plus nombreux que peut-être certains mouvements politiques
07:39qui ont droit à une couverture médiatique importante,
07:42et il n'y a pas de journalistes mainstream.
07:44Moi, j'ai envie de vous dire, ce n'est pas grave,
07:46parce que votre voix sur les réseaux sociaux, elle a autant, si ce n'est plus, d'impact.
07:51Donc voilà, au final, ce que j'ai juste envie de dire, c'est qu'on leur fait peur.
07:55Moi, je vois ça comme des lettres de noblesse et comme des décorations.
07:58Que j'ai des convocations génétiques, parce que vous êtes plus étienne que moi,
08:05je ne sais pas, mais mon intuition me dit que si jamais on essaie de me trouver des lois,
08:11c'est peut-être quelque part, un petit peu, parce qu'on leur fait peur,
08:14ou en tout cas, que nos camions de diffusion commencent un petit peu.
08:17Au début, on était très maltraités.
08:19Je ne vous compte pas ce que je disais déjà l'année dernière, malheureusement c'est encore le cas,
08:22mais là, bizarrement, ils me le disent moins.
08:24C'était, oh là là, mais tu es sorti des médias mainstream, tu ne réalises pas,
08:28tu as pris des billets, allez, non, retour.
08:30Mais d'abord, je n'ai pas envie, nécessairement, de revenir dans les médias mainstream.
08:33Et ce qu'ils ne sont pas compris, c'est qu'encore une fois, je le redis,
08:36les médias mainstream de demain, c'est nous, c'est vous, et on a de quoi parler à personne.
08:43...
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10:21Ah, ça, ça serait super, ça. Oui, ça, je veux bien.
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11:18Merci pour ce mot d'espoir. Aldo, je te laisse donner ta conclusion.
11:23Oui, alors, vous savez, pour ceux qui me suivent depuis longtemps,
11:27moi, j'ai parié sur le fait que Trump ne reviendra pas, parce qu'ils ne laisseront pas revenir.
11:31Je souhaite qu'il revienne, mais je ne pense pas qu'ils le laisseront.
11:34D'ailleurs, j'étais à 5 millimètres de gagner mon pal, récemment.
11:40Donc, je pense qu'ils ont beaucoup d'outils dans leur sac pour empêcher son retour.
11:44Moi, j'aimerais bien qu'il revienne. Maintenant, s'il ne revient pas et qu'il y a Kamala Harris,
11:47je dirais que je trouverais un espoir dans sa présidence en me disant
11:51qu'elle coulera les États-Unis tellement rapidement qu'il n'aura pas le temps de faire d'autres guerres
11:55ou déclencher d'autres problèmes.
11:57...
12:00Donc, c'est une note, c'est une note.
12:03...
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12:37Bonjour, Léo. Comment vas-tu ?
12:40Alors, pourquoi je suis là aujourd'hui ?
12:42Déjà, tu sais très bien que je suis une adepte des patriotes depuis déjà pas mal d'années.
12:47Je me bats pour mon pays, pour la France qu'on est en train de détruire.
12:52Et je ne me voyais pas passer à côté des assises d'été, bien sûr,
12:57puisque c'est là qu'on se retrouve tous et qu'on a besoin justement d'être ensemble
13:02pour mettre en pratique et en place des choses pour un avenir plus rose, on va dire.
13:09Parce que ce n'est pas ce que nous donne notre cher gouvernement actuellement
13:13qu'on va réussir à faire évoluer la France et à la remonter.
13:18Au contraire, il est là pour la détruire.
13:20Oui, alors, j'ai passé ma matinée effectivement dans la grande salle
13:24où j'ai vu des gens extraordinaires, Vidal, Eric Morillo.
13:29J'ai l'habitude d'aller sur ces plateaux puisque je suis souvent dans le public.
13:33Et puis d'autres, Marc Doyer, etc.
13:37Que de belles personnes.
13:39Et alors, ce qui m'a beaucoup plu aussi, c'est la conférence d'Idriss, Idriss Aberkane,
13:44que je n'ai pas encore eu l'occasion de croiser,
13:46mais que j'espère bien pouvoir prendre une petite photo avec pour ajouter à ma collection.
13:51C'est vraiment super, extraordinaire.
13:54Je pense que la France n'est pas perdue.
13:58Quand on voit le monde qu'on a aujourd'hui.
14:00L'année dernière, on était 1200.
14:02Aujourd'hui, on est 2400.
14:04Donc, on a fait un super bond.
14:06Il y a beaucoup de monde aujourd'hui.
14:09Et je pense qu'on va réussir à sortir de ce marasme
14:13et à faire s'écrouler cette société qui n'a plus aucun sens.
14:17Ça fait 3 ans et demi, 4 ans peut-être.
14:21Je ne sais plus exactement.
14:22Mais depuis le début, où je suis tombée par hasard sur la première manifestation
14:28qui avait lieu Place Pierre Larocque,
14:30où j'ai vu un petit monsieur que je ne connaissais pas du tout
14:33parce que je ne faisais pas du tout de politique.
14:35Et j'ai été séduite par son discours.
14:38Et j'ai décidé que tous les samedis, j'allais être là avec eux.
14:42Et depuis, je ne les ai pas lâchés.
14:44Donc, je fais aussi du bénévolat.
14:46Et c'est moi qui mets en place, pas toute seule évidemment,
14:50mais je mets régulièrement les cartes d'abonnement sous enveloppe.
14:54Et puis, je suis dans tous les coups qu'on peut faire,
14:56les coups surprise, etc.
14:59Natacha, oui, j'ai suivi toute son histoire depuis le début.
15:03Je pense qu'elle a tout à fait raison.
15:05On ne va pas lui enlever ça.
15:07Mais la justice, elle est à deux vitesses.
15:10Et qu'ils ne lui ont pas donné raison, ça, c'est normal.
15:15Mais un jour, la vérité, elle sortira.
15:17Et tout ça, ce sera montré au grand jour.
15:20Parce que les gens ont besoin de savoir qui est au gouvernement,
15:24qui est cette personne qui se fait passer pour madame la première dame.
15:28Nous venons de Metz.
15:29Nous avons fait le voyage en train pour écouter un peu.
15:33On connaît ces gens-là, Idrissa Berkane, Florian Philippot.
15:37Et puis voilà les autres.
15:38Et on adore leur discours.
15:40Et on est très intéressé par tout ce qui se dit.
15:44Alors, on voulait les voir en direct.
15:45Là, pour une fois, on les voit en direct.
15:47On les suit beaucoup sur Internet.
15:50Mais là, maintenant, avec le direct, c'est encore beaucoup mieux.
15:53Oui, on a assisté à celle d'Idrissa Berkane.
15:56Celle d'autres, je ne sais plus maintenant.
15:59Comment ?
16:00Oui, Eric Moriot, etc.
16:03Myriam Palomba.
16:05Et puis, on voudrait écouter encore Florian Philippot
16:07parce qu'on est du coin de Florian Philippot.
16:09On est de sa région.
16:12Voilà, donc on aimerait bien cet après-midi un petit peu le voir.
16:15Ah, monsieur Philippot, déjà, il est de notre coin.
16:18Donc, on a l'occasion de le voir plus souvent qu'ici.
16:23Voilà, il était au conseil municipal d'Allenges.
16:25Et puis, on l'aime beaucoup parce qu'il dit des choses très justes, très vraies.
16:31Tout ça nous plaît bien.
16:32Tout ce qu'il peut générer comme idée, c'est très, très, très bien.
16:39Ça nous semble très, très bon.
16:41Je lui dirais n'hésitez pas.
16:43C'est quelqu'un de très bien.
16:45Il parle vrai.
16:46Il dit les choses justes comme elles sont.
16:49Il n'y a pas de chichi, pas de...
16:52Oui, vraiment, il est pour la liberté.
16:55Et puis, vraiment, on se sent vraiment en sécurité avec quelqu'un comme lui.
17:01Moi, je m'appelle Karina.
17:02Je suis venue aujourd'hui, pour la deuxième fois d'ailleurs,
17:06pour rencontrer des acteurs politiques, en particulier Philippot,
17:13qui m'a sauvée, je pense, pendant le confinement.
17:17J'ai découvert Philippot pendant le confinement.
17:19Ses manifestations m'ont permis de sortir de chez moi,
17:22de se retrouver avec des gens.
17:24Voilà, ça nous a sauvé la santé mentale.
17:26Et aujourd'hui, je viens pour rencontrer des acteurs, on va dire, politiques
17:32qui souhaitent le Brexit.
17:36Généralement.
17:37Et puis, qui sont souverainistes aussi.
17:39Enfin, qui ont une autre image de la France que celle que nous propose l'Europe,
17:44à savoir l'immigration, la mondialisation des entreprises.
17:50Voilà.
17:51Il y a encore de la résistance ici, avec une envie de développer la culture
17:59et l'économie française, internationale évidemment.
18:03Tout ça est lié.
18:04Mais en tous les cas, une préférence pour tout ce qui est français.
18:08Voilà pourquoi je suis là aujourd'hui.
18:10Et pour soutenir Philippot aussi.
18:12Ce qu'il a de plus, c'est le côté, on va dire, concret.
18:16Moi, je l'ai rencontré, Philippot, je l'ai découvert en réalité
18:19pendant le confinement.
18:21Et il a organisé des manifestations.
18:25Et le fait d'avoir agi concrètement, c'est-à-dire de permettre à des gens
18:29de se rassembler en plein confinement,
18:31de se permettre de se rassembler, de sortir,
18:34d'aller contre la politique d'emprisonnement.
18:39Moi, je n'ai tué personne, je n'ai pas me retrouvé enfermée chez moi
18:42ou je n'ai pas de bracelet électronique.
18:45Donc, il m'a donné le courage de passer à l'acte et de sortir
18:48pendant le confinement et d'aller faire des manifestations.
18:52La différence avec les autres, c'est son côté pratique,
18:56son côté concret en réalité.
18:58J'ai assisté à une seule, malheureusement, parce que j'arrivais en fin de matinée.
19:02C'est des gens que je suis, Morio par exemple, Pouche Médias,
19:06c'est des gens que je suis déjà et qui souffrent,
19:10qui sont attaqués régulièrement pour leur opinion de pensée.
19:13Ce qui est grave en France, c'est vraiment le délit d'opinion.
19:18En réalité, on y est.
19:19C'est-à-dire que vous ne pensez pas correctement, on vous emprisonne.
19:22Avant l'emprisonnement, bien sûr, il y a tout ce qui est attentat.
19:26C'est-à-dire qu'on vous empêche économiquement de vivre.
19:29Enfin, il y a une vraie répression qui est en réalité insupportable,
19:32qui est en plus dictée par un président qu'on n'a pas élu,
19:35qui devrait être parti en réalité.
19:38Macron, il devrait avoir démissionné.
19:40Il a perdu deux fois les élections et ce type est encore là.
19:43Il se permet de harceler des journalistes.
19:45Il se permet de détruire la vie de certains journalistes,
19:48surtout au niveau économique, de façon à ce que ces gens-là
19:51ne soient pas dépendants, peut-être comme vous d'ailleurs.
19:53Enfin, indépendants, je veux dire.
19:55Non, c'est honteux.
19:56Puis d'ailleurs, on devrait pouvoir dire ce qu'on veut.
19:59Il ne devrait pas y avoir d'interdiction de liberté d'expression.
20:02On devrait pouvoir dire ce qu'on pense,
20:04ce qui nous passe par la tête, ce qu'on a envie de défendre.
20:07Peu importe, la liberté d'expression est essentielle.
20:12Elle est essentielle pour le débat.
20:14Elle est essentielle pour des relations saines en réalité.
20:16On peut ne pas être d'accord, on peut ne pas se comprendre,
20:18mais tant qu'on peut s'exprimer, on peut au moins apprendre des autres.
20:22Non, c'est un scandale. C'est honteux.
20:24Alors, si c'est des gens qui sont de notre côté,
20:27leur dire que c'est l'occasion de rencontrer un tas de patriotes,
20:31ça fait du bien de se sentir en famille, si on peut dire.
20:34Je ne sais pas si c'est la famille, mais en tous les cas, voilà.
20:37En tous les cas, d'être entourée des gens qui ont une ouverture d'esprit,
20:39qui sont ouverts sur tout un tas de sujets.
20:42Et puis, pour ceux qui n'ont pas encore soulevé le voile
20:45de la pensée unique, d'aller voir de l'autre côté du miroir,
20:52en réalité, tous ces médias ou personnes qu'on considère comme complotistes,
21:01qui en réalité ont beaucoup de bon sens,
21:04et qui réagissent en réalité sainement à tout un tas de choses
21:11qu'on nous oblige à faire, ou à dire, ou à penser,
21:14et qui sont contre nature en réalité.
21:17Donc, lever le voile du mystère.
21:22Bonjour, Nicolas Vidal, fondateur de Pooch Media,
21:25j'anime la chaîne YouTube Pooch Live.
21:27Je suis là parce que je suis venu à la demande des patriotes
21:29pour m'exprimer sur la liberté de la presse, sur la censure,
21:31sur ce qui fait que notre travail devient de plus en plus compliqué.
21:34Je vais au moins vite, parce que je trouve intéressant
21:38de pouvoir rencontrer des gens, de pouvoir échanger surtout.
21:40On est beaucoup sur YouTube, on est beaucoup sur les réseaux,
21:43et ils font un peu plus d'humanité aussi,
21:46c'est bien de discuter avec eux et d'avoir des ressentis.
21:48Donc ici, je viens simplement chez les patriotes
21:51pour parler de la censure, de la liberté de la presse,
21:54et surtout de l'information, la réinformation des citoyens
21:57qui veulent s'informer.
21:59J'ai été beaucoup censuré sur YouTube,
22:01j'ai été beaucoup censuré sur X, sur Twitter,
22:03anciennement Twitter, avant que Musk récupère Twitter.
22:05On m'a supprimé 50 Twitters, on m'a supprimé des vidéos,
22:08on m'a supprimé beaucoup de choses.
22:10Ça a été le cas aussi avec les Gilets jaunes.
22:12On avait une grosse page YouTube,
22:14et pendant les Gilets jaunes, on a commencé à faire des lives,
22:17et on a été beaucoup censurés très rapidement.
22:19Et c'est très compliqué, parce qu'après,
22:22il faut être extrêmement flexible.
22:24Un terme qui plairait bien à Emmanuel Macron,
22:26c'est la flexibilité.
22:27C'est-à-dire qu'il faut être extrêmement réactif
22:29et pouvoir se mettre rapidement sur d'autres réseaux,
22:31rapidement sur d'autres choses.
22:33Et ça permet, bien entendu, d'être toujours visible
22:35par les gens qui nous suivent et qui ont besoin
22:37d'une autre information, que ce soit moi ou celle des autres.
22:39C'est extrêmement important.
22:41C'est le fondement même de la démocratie,
22:43de la liberté d'expression et de la capacité
22:45d'un individu à devenir un citoyen.
22:47J'en parlais il y a quelques instants,
22:49c'était les Gilets jaunes.
22:50Après, bien sûr, ça a été la crise du Covid.
22:51Mais plus profondément, c'est notamment
22:53les questions sur l'Union européenne,
22:55où manifestement, là, quand on part de l'Union européenne,
22:57qu'on essaye d'expliquer en quoi l'Union européenne
22:59est tout à fait non démocratique.
23:00Elle ne l'est pas par nature.
23:01Elle n'en a jamais été.
23:02Elle n'a jamais été faite pour être démocratique.
23:04Effectivement, c'est des sujets qui, aujourd'hui,
23:05vont à l'encontre, s'affrontent frontalement
23:07à la doxa européiste de ce pays.
23:11Et ça, c'est très compliqué,
23:13parce que vous avez la censure,
23:15mais vous avez aussi, c'est plus vicieux,
23:17la délégitimisation de l'argumentation.
23:20C'est-à-dire qu'on ne vous reconnaît pas
23:21la légitimité d'en parler.
23:23Et bien entendu, on vous jette l'anathème en permanence
23:25pour vous faire penser pour un sombre abruti,
23:28parce que c'est un peu le but, en fait.
23:29Voilà.
23:30Je pense qu'il y a une forme de censure.
23:33Mais comme je le disais à la conférence ce matin,
23:35c'est qu'il y a une forme aussi de censurer les médias
23:37qui apportent un autre point de vue,
23:38une autre grille de lecture,
23:39pour la bonne et simple raison qu'en fait,
23:41ils ne supportent pas,
23:43ce que j'appelle la doxa, si vous préférez,
23:44ne supportent pas que des citoyens,
23:46des Français, à un moment donné,
23:47veuillent s'intéresser et veuillent comprendre
23:49et veuillent avoir une autre grille de lecture,
23:50un autre regard sur l'actualité,
23:51et deviennent des citoyens libres de choisir
23:53ou pas choisir, libres de voter pour qui ils veulent.
23:55Voilà.
23:56Donc c'est une forme de censure,
23:57de délégitimation également.
23:59Alors je suis là parce que j'avais rien d'autre à faire aujourd'hui,
24:01pour être très honnête.
24:02Rien d'autre à faire de mieux, pour être précis.
24:04Je suis là parce que je me sens l'âme patriote,
24:07que je ne peux pas être sur un autre événement
24:09que ceux de Florian,
24:11puisque je crois que c'est encore un des rares à faire le travail
24:13et qu'on a besoin de personnes comme ça aujourd'hui
24:15pour revendiquer notre envie de souveraineté,
24:18de quitter ces instances supranationales
24:20qui nous font mal, qui nous font souffrir.
24:21On a tous envie de retrouver notre vieille France,
24:23peu importe d'où on vient et où on va surtout.
24:26C'est ça le plus important.
24:27Je suis là pour des raisons évidentes de patriotisme.
24:30Il a ce que les autres n'osent plus faire aujourd'hui.
24:32Est-ce que je peux le dire un peu crûment ?
24:33Des couilles.
24:34Et je pense que chez les politiques aujourd'hui,
24:36on n'en voit plus beaucoup.
24:37Je le soutiens exclusivement pour ça.
24:40Il n'y a pas plus d'affinité parce que le personnage est sympa.
24:42Je l'aime beaucoup dans ses idées.
24:44Et c'est certainement les idées qu'aurait pu avoir mon père
24:46quand il était encore de ce monde.
24:47Donc je me sens beaucoup plus proche
24:48de la grande famille des patriotes
24:50que n'importe quel parti politique aujourd'hui
24:52qui ne joue que sur les clivages, la division
24:54et tirer la France vers le bas.
24:56Mon père.
24:57Parce que mon papa n'est plus de ce monde
24:59et c'était un patriote confirmé
25:00qui avait son pays à cœur.
25:02Je crois qu'il m'a transmis ça dans les gènes.
25:04J'ai une envie incompressible d'être avec les miens,
25:07les Français qui sont nostalgiques de cette vieille France
25:09qui nous manque tous.
25:10Je suis arrivé tard.
25:11Moi j'arrive de Lyon.
25:12Donc il y a à peu près huit heures de voiture.
25:13Je ne pouvais pas arriver là ce matin.
25:15Je n'ai pas pu.
25:16Moi je suis arrivé il y a deux heures.
25:17Je suis arrivé il y a deux heures.
25:18J'ai raté Idriss Abercan.
25:20Ça fait mal.
25:21Mais ce n'est pas grave.
25:23Je ne vais pas rater le reste en tout cas.
25:26Je ne vais pas rater le reste en tout cas.
25:27Je ne vais pas rater le reste en tout cas.
25:28Je ne vais pas rater le reste en tout cas.
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