• il y a 3 mois
Depuis quelques jours, l'aggravation des tensions entre Israël et ses ennemis inquiète les Israéliens et tout particulièrement les familles d'otages. Celles-ci craignent que les négociations pour obtenir la libération de leurs proches soient mises à mal : Israël a tué plusieurs hauts cadres du Hamas, et est peut-être aussi derrière l'élimination d'Ismaïl Haniyeh. Hier, des dizaines de proches retenus à Gaza étaient réunis à Tel Aviv. 

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Transcription
00:00dans la terreur au-delà de l'inquiétude, mais je voudrais que nous cessions d'inverser, d'inverser les rôles et les problèmes.
00:08Si M. Agnier avait voulu survivre, il aurait pu, lui, de son côté, libérer depuis fort longtemps les otages français, franco-israéliens et tous les otages israéliens.
00:22Nous sommes dans une espèce de syndrome de Stockholm généralisé, où nous pensons que, parce que nous avons éliminé M. Agnier,
00:31nous diminuons les chances de libérer les otages, notamment les deux otages français, mon cousin, Ofer Calderon, et son ami, Oadi Halloumi.
00:40Il ne faut pas inverser les choses. Si les Palestiniens, si M. Yahya Sidouar veut dès demain signer une paix, il n'a qu'à libérer les otages.
00:52Malheureusement, aujourd'hui, nous ne sommes même plus des familles d'otages. Nous craignons d'être des familles de dépouilles d'otages,
01:01car jour après jour, nous découvrons que ces otages, pour la plupart, ont été assassinés dès le 7 octobre et que les mouvements palestiniens,
01:12notamment le Hamas, ont pris leurs dépouilles pour s'en servir de monnaie d'échange. Donc il ne faut pas inverter les choses.

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