Triathlon dans la Seine. L'investissement en valait-il le coup ?

  • il y a 3 mois
Les Vraies Voix avec Pascal Eouzan, Philippe Candeloro, Alex Darmon et Antoine Mazère

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##LE_GRAND_DEBAT_DES_VRAIES_VOIX-2024-07-31##

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Transcription
00:00La scène était baignable ce matin, on va y revenir dans un instant avec ces épreuves de triathlons, nos vrais voix du soir.
00:08Aujourd'hui, Philippe Candeloro, Pascale Housan, Alex Darmon, Antoine Mazer.
00:13Ces épreuves de triathlons, c'est vrai que beaucoup se demandent après cet investissement.
00:20Hier, l'eau n'était pas propre à la baignade, elle l'a été dans la soirée.
00:24Finalement, feu vert des autorités.
00:26Le chef de l'État, par exemple, a fait un petit message en disant qu'on l'a fait, on a réussi.
00:32C'était un investissement de tout le monde, de l'État, de la région, du département.
00:37C'est un investissement pour l'avenir, pour la baignabilité de la scène, les générations futures et les écosystèmes.
00:43Est-ce que l'enjeu, ça en valait le coup, cet investissement, pour en arriver là et peut-être pour rendre la scène baignable durablement ?
00:52Vous nous dites ce que vous en pensez aux 800 26 300 300.
01:00Qui a suivi de A à Z les épreuves de triathlons ce matin ?
01:04Pas de A à Z, mais de A à B.
01:06C'est déjà pas mal.
01:08Moi, de A à T.
01:10J'étais surpris déjà que le départ soit donné.
01:13C'est vrai qu'on s'est réveillés, on a entendu, elles sont parties.
01:15En fait, le problème, c'est que la scène n'était pas potable.
01:20Elle n'était pas nageable ou baignable.
01:23Hier soir, on s'est dit, il va pleuvoir cette nuit, puisqu'il y avait des orages annoncés.
01:27On s'est dit, ça va être pire finalement.
01:29On parlait même que ça allait devenir un duathlon.
01:32Et du coup, par chance, tout le monde est parti et a fait les trois épreuves.
01:36Alors, je voudrais qu'on mette une jolie musique parce qu'il y a quelqu'un qui doit être aux anges et sur un nuage.
01:42C'est le patron du triathlon français qui est avec nous, Benjamin Maze.
01:47Bonsoir, Benjamin.
01:49Bonsoir à vous.
01:51Comment ça va ?
01:53Bravo, bravo pour vos athlètes.
01:56Ça va très, très bien parce qu'on sort d'une journée pleine d'émotions.
02:02Vraiment très forte parce qu'on a enfin décroché ses médailles individuelles.
02:06Et puis, quelle médaille avec l'or olympique de Cassandre Beaugrand et le bronze pour Léo Berger avec des courses sur lesquelles les Français ont vraiment pesé du début à la fin.
02:15Avec, en plus, les superbes performances de Pierre Lecorre et Edema Lombardi qui termine quatrième de ces Jeux olympiques.
02:21Alors, racontez-nous cette folle journée, Benjamin.
02:25C'est quoi, un coup de fil ? Parce qu'on le disait avec Philippe Candeloro à l'instant parce qu'elle est osant les vraies voix des JO Alex Darmond dans cette émission.
02:33C'est que vous l'avez su au milieu de la nuit que la compétition allait avoir lieu.
02:37Est-ce que c'est comme ça que ça s'est passé ?
02:39Exactement. Un peu tôt le matin, tous ces derniers jours, c'est réveil vers 3h30 pour pouvoir recevoir le courriel officiel qui annonce ou pas le maintien soit des entraînements, soit des compétitions.
02:50Donc, que ce soit lundi, mardi, c'était plutôt de mauvaise nouvelle avec le report des falablerisations en natation ou alors de l'épreuve masculine.
03:01Et ce matin, c'était enfin la libération, la joie de pouvoir enfin avoir un triathlon.
03:08Et puis, mieux que ça, on a eu le droit à deux triathlons olympiques avec les épreuves femmes puis les épreuves hommes.
03:13Donc, il a fallu se remobiliser après le titre olympique de Cassandre puisqu'il y avait les garçons à accompagner et on a eu une course folle.
03:21Vous n'avez pas pu faire la teuf complètement après le titre de Cassandre. Du coup, vous avez dû attendre les garçons.
03:26Exactement. Et puis, même ce soir, c'est un petit peu frustrant. Là, on est au Club France actuellement avec les sportifs et on va vite rentrer pour pouvoir finir la récupération
03:35parce que dans quelques jours, lundi, on a tout simplement un nouveau titre à aller chercher avec les profs par équipe. Donc, il faut soigner la récupération.
03:41Alors moi, j'ai une question à vous poser. Comment vous avez géré cette situation un peu de crise parce que les sportifs, on est un peu compliqué avant les compétitions.
03:51On est pris par le stress, etc. Donc déjà, de prévoir un départ longtemps à l'avance, c'est quelque chose qu'on se fixe.
03:58Et quand on se lève à 5h30 pour être prêt à 7h, ce n'est pas tous les jours à 3h30 pour savoir si on va matcher ou pas.
04:04Donc, vous avez fait quoi ? Comment vous avez préparé ça psychologiquement avec les athlètes ?
04:08On n'a pas préparé ça directement en fait, mais d'une manière générale, on prépare la capacité du coup à pouvoir être agile, d'être flexible en matière d'attention
04:19et surtout se focaliser sur ce que l'on peut maîtriser. La météo, une organisation, les blessures, c'est tout un tas de choses qu'on ne peut pas gérer quand on est sportif.
04:29Ça nous arrive dans la carrière. Soit on s'apitoie sur son sort et on broie du noir pendant des heures, des jours ou des semaines.
04:36Soit on est résilient, on rebondit et on se reprojette sur ce qu'on peut maîtriser.
04:41Quand Dorian Koninckx a une fracture du scaphoïde sur l'épreuve de Yokohama, de suite il se projette vers les Jeux Olympiques.
04:47Comment je peux optimiser ma récupération ? Comment est-ce que je peux faire éventuellement de la visualisation mentale pour pouvoir faciliter ma reprise ?
04:55Donc là, les garçons, quand ils apprennent hier que leur épreuve est reportée au lendemain, pendant 8-9 minutes, ça râle un petit peu, ils sont un peu frustrés.
05:04De suite, ils comprennent que l'enjeu, il est surtout de préparer la compétition du lendemain et que ça peut donner un avantage stratégique sur les concurrents étrangers.
05:10Il y a une question de Philippe Candalereau.
05:14Oui, j'ai une question. Est-ce que vous pensez que les résultats du test de la scène de ce matin étaient aménués, diminués pour que la course puisse se passer ?
05:27Et au bout de combien de temps, combien d'heures, combien de jours, on pourrait savoir si les athlètes vont souffrir d'une quelconque maladie ou d'un problème ?
05:36Vous savez, Philippe, là, on est plutôt dans le mode positif d'avoir des épreuves de triathlon.
05:43On a toute confiance envers le comité, l'organisation et l'Association internationale pour bien préserver la santé et l'intégrité des sportifs.
05:50Ils n'ont pas hésité à reporter cette épreuve, donc ils sont capables d'assumer la responsabilité de protéger la santé des sportifs.
05:56Ensuite, nous, on prend aussi éventuellement des mesures de protection de nos sportifs avec des probiotiques, avec éventuellement l'utilisation d'eau chlorée à postériorité de la course
06:08pour pouvoir s'assurer qu'ils récupèrent bien, qu'ils n'aient pas chopé un petit virus ou autre.
06:13En tout cas, là, je suis juste à côté de Léo Berger et je peux vous dire qu'il est plein d'énergie et qu'il ne semble pas du tout affecté par cela.
06:21Il n'a pas placé le plaque sur le corps.
06:23On va peut-être le déclarer dopé, peut-être, à force.
06:28Avec l'eau de la Seine. Elle est comment, l'eau de la Seine ? Ils vous ont dit quoi ? Elle est bonne ? Elle est fraîche ? Les courants, ils sont surpris ou pas ?
06:35Alors, c'est des courants qui sont relativement forts, mais ça, c'est plutôt pour leur donner le sourire parce que ce sont d'excellents majeurs
06:42et c'est une partie du triathlon sur laquelle ils peuvent vraiment peser et mettre en difficulté éventuellement certains de leurs concurrents.
06:48Alors, ça n'aura pas suffi sur la partie masculine puisque, du coup, Alexis et Aydan Wild ont pu revenir sur l'avant de la course.
06:56Mais, chez les filles, ça a aussi permis un petit peu de faire du tri.
06:59Et du coup, ils ont partagé entre eux, entre les courses femmes et les courses hommes, pour pouvoir dire quelle était la meilleure trajectoire à suivre.
07:06Et puis là, on va capitaliser tout ça pour qu'on vous offre le plus beau des spectacles lundi sur le triathlon olympique.
07:11Alors, Benjamin Amas, vous nous avez dit que Léo Berger était à côté de vous et qu'il allait bien.
07:14Vous ne pouvez pas nous le passer au téléphone, là ? Qu'on lui fasse un petit coucou ? Non, il est parti en courant.
07:19Non, mais il est en pleine discussion avec le président de la fédération.
07:25Il négocie une prime. Il négocie une prime. Il a raison, on ne sait maintenant jamais.
07:30C'est déjà 20 000 la prime de la médaille d'honneur.
07:32En tout cas, c'était une très très belle image de voir ces nageurs nager dans la Seine, franchement.
07:37Et ces nageurs et cette course à l'intérieur de Paris, est-ce que vous avez été surpris qu'à 8h du matin,
07:42autant de monde, même avant, puisque beaucoup de gens étaient déjà massés pour le premier plongeon des filles,
07:48il était quelque part 8h du matin, cet engouement, est-ce que ça vous a surpris ?
07:53Ou c'est maintenant habituel, puisque le triathlon vraiment monte en notoriété, en discipline,
07:59ça s'ouvre à toutes les catégories, à toutes les pratiques, j'allais dire ?
08:03On n'est pas vraiment étonnés. Pourquoi ? Pour plusieurs raisons.
08:06Un, l'année dernière, sur le Test Event, il y avait déjà énormément de public.
08:09Deux, le site, il est sublime, il est incroyable.
08:13Trois, c'est un des rares sports qui est gratuit sur les Jeux Olympiques.
08:17Et puis quatre, vous avez, parmi les six sélectionnés, le champion du monde 2023, Dorian Connax,
08:22le champion du monde 2022, Léo Berger, le cinquième des championnats du monde 2023, Pierre Lecor,
08:27la cinquième des Jeux Olympiques, la vice-championnate du monde, la médaille de bronze des championnats du monde,
08:31vous n'avez que des favoris sur ces Jeux Olympiques.
08:33Je crois que les Français, il leur faut pas beaucoup plus pour pouvoir se dire,
08:37là, il peut se passer quelque chose de fort.
08:39Et je pense que le teasing qu'on a fait depuis un peu plus d'un an,
08:42et puis même ces derniers jours, avec cette annulation de la scène,
08:45et puis les différentes interviews qu'on a pu faire, voilà ce suspense.
08:48Je crois qu'il y a une vraie serveur populaire quand vous voyez le monde
08:52qu'il y a pour soutenir Victor Koreski ou Pauline Ferrand-Prévot,
08:55qu'on a au niveau de la piscine avec Léon Marchand.
08:59Quand on sait qu'il y a la possibilité d'aller supporter les cris à tête et que c'est gratuit,
09:03je crois qu'il n'y a pas de raison de s'en priver.
09:05Moi, j'ai surtout envie de donner rendez-vous à tous vos auditeurs le 5 août,
09:09mais aussi le 1er et le 2 septembre sur les Jeux Paralympiques,
09:11parce que là, on en a aussi d'autres très grandes chances de médailles.
09:14Et le porte-drapeau Alexis Enquinquant.
09:15Absolument.
09:16Et en tout cas, c'est vraiment un très très beau sport.
09:18Je veux dire, c'est un sport de ouf.
09:20Oui, justement, c'est ma question qui porte là-dessus.
09:23Je voudrais savoir jusqu'à quel âge on peut faire du triathlon,
09:27et quelles sont les personnes les plus âgées qui font la compétition,
09:30hommes et femmes, aujourd'hui ?
09:32On peut commencer le triathlon à partir de 6 ans,
09:35et même 4 ans dans certains clubs.
09:36Et puis après, il n'y a pas de limite, Philippe.
09:39On a des triathlètes de 80 ans qui vont boucler des triathlons,
09:43que ce soit distance sprint, 750 mètres de natation,
09:4620 km à vélo, 5 km course à pied,
09:48ou des distances un petit peu plus longues.
09:50Et voilà, c'est vraiment la joie de réaliser cet espoir un petit peu particulier.
09:56Et sur les Jeux, la doyenne et le doyen, c'est quoi ?
09:59Sur les Jeux, on est plutôt autour de 35 ans,
10:03et l'âge moyen est en train de se rajeunir de plus en plus.
10:06Mais on est entre 26 et 28 ans pour faire partie des meilleurs mondiaux.
10:11Est-ce que, comme le dit le Président de la République,
10:14les investissements pour dépolluer la Seine,
10:16la rendre baignable pour vous,
10:18qui pratiquez ces épreuves en eau vive, quelque part et très souvent,
10:23est-ce que l'investissement en valait la chandelle ?
10:26Est-ce que demain, on peut espérer, selon vous,
10:28un carré de piscine dans la Seine sur la durée ?
10:31Mais bien sûr !
10:33C'est formidable en fait à Libye,
10:35et c'est une grande fierté pour les triathlètes,
10:37que les Jeux Olympiques soient aussi le support de ces investissements colossaux,
10:411,4 milliard d'euros pour pouvoir améliorer structurellement la qualité de l'eau,
10:45et surtout avoir un plan baignable derrière
10:47pour pouvoir rendre la Seine aux Parisiens et aux Parisiens,
10:50et un petit peu plus largement d'ailleurs,
10:52parce qu'avec les affluents que sont la Marne, l'Oise, Lyon,
10:55on va pouvoir profiter d'une eau d'une meilleure qualité,
10:59et voilà, ça c'est vraiment fantastique,
11:01par le passé, moi je sais que j'ai un bon grand-père
11:03qui a appris à nager dans la Marne,
11:06je suis très heureux de me dire que dans quelques années,
11:08certains auront appris dans des lignes d'eau tirées sur la Seine ou sur la Marne.
11:12On a toujours un rapport un peu particulier avec la Seine,
11:14à la fois on l'admire, on la trouve géniale, belle,
11:17mais d'un autre côté, elle inspire un petit peu la peur et la crainte,
11:19parce que je crois que surtout,
11:21on n'appréhende pas un petit peu ces éléments de qualité de l'eau,
11:24et je crois qu'il va falloir un petit peu de temps aussi pour changer cette culture.
11:26Alors moi je ne suis pas votre grand-père,
11:28mais j'ai nagé sur la Marne, à Champigny, sur la Champigny-Plage,
11:31mais j'ai du mal à me dire que demain,
11:36les gens nageront dans la Seine, parce qu'il y a quand même
11:38vachement de trafic entre les péniches, les bateaux, etc.
11:40Alors on sera peut-être encadrés, parce qu'ils ne vont pas traverser la Seine.
11:44Moi simplement, je suis ravi, je suis vraiment ravi
11:47que ce triathlon puisse tenir dans la Seine,
11:50pour plein de raisons, d'abord parce que ça va fermer la gueule de beaucoup de monde
11:53qui voulait que ces JO soient gâchés par ça.
11:56Donc je suis ravi, en revanche, 1 milliard 400 millions d'euros,
12:00c'est quand même colossal, colossal en termes d'argent.
12:03Beaucoup de monde vous dit que ça aurait pu,
12:05on parle de politique deux secondes,
12:07que c'était le budget qu'il fallait pour régler le mal-logement en France par exemple,
12:10et qu'on l'a mis que pour les JO.
12:12Donc heureusement que ça a fonctionné pour les JO,
12:14mais ce qu'il faut dire, c'est que le plan il est très clair,
12:16c'est 2025 la Seine baignable pour le grand public,
12:192024 c'était une petite parcelle pour les Jeux Olympiques.
12:22Donc on n'est pas encore au bout du projet,
12:24c'est pas en 3 ans qu'on a mis 1 milliard 400 millions d'euros,
12:26c'est sur 10 ans que ça a été mis pour arriver à faire en sorte
12:29qu'en 2025 la Seine soit complètement baignable.
12:31Et ça veut dire aussi que si la Seine est baignable, l'écosystème va mieux,
12:35donc c'est plutôt une bonne nouvelle quelque part.
12:38Quand on regarde tous les bradsets de la Seine,
12:40il y a des endroits qui sont déjà, moi je vois des gens,
12:43ils font du ski nautique, pas loin de chez moi, à côté de carrière sur Seine,
12:46et ils n'ont pas de problème.
12:48Mais on peut comprendre, pour le grand public,
12:50quand on annonce ces sommes-là, de dire 1 milliard 400 millions d'euros
12:53pour faire et rendre la Seine baignable,
12:55que ça puisse tendre certaines personnes.
12:57Mais il faut bien se rendre compte de ce qu'on gagne avec cela aussi,
13:01c'est quand même exceptionnel d'avoir pu voir cette épreuve ce matin à Paris.
13:04Pascal, 1 milliard 4, c'est aussi une partie de l'enveloppe
13:09qui permettrait de payer les retraites des anciens sportifs.
13:14C'est la moitié, c'est ça ?
13:16C'est la moitié.
13:18Benjamin Hamas, avant de vous libérer,
13:20j'imagine que la soirée s'annonce longue
13:22pour les triathlètes français,
13:24toute l'équipe de France et vos médaillés.
13:26Oui et non,
13:28parce qu'il va vite falloir récupérer,
13:30encore une fois, on a une autre compétition lundi,
13:33et puis ils sont extrêmement concernés par ça.
13:35On a été médaillé de bronze pour les premiers Jeux Olympiques
13:38sur lesquels il y avait le triathlon Rolémix,
13:40et là je ne vous cache pas quelles sont leurs ambitions.
13:42Alors on est focalisé sur autre chose que sur le résultat,
13:44on est vraiment focalisé sur le process,
13:46mettre en place pour pouvoir éliminer les autres équipes,
13:48et surtout pouvoir monter sur les toits de l'IMP.
13:52Je vous invite à venir si vous avez la possibilité,
13:55Pascal, Philippe, je vous accueille avec grand plaisir
13:58sur le site olympique.alexandre3
14:00et on est sûr à des centaines de milliers de téléspectateurs.
14:03A quelle heure il faut se poster ?
14:058h du matin.
14:07Donc il faut venir un petit peu plus tôt, 6h.
14:09On viendra en footing avec le collectif.
14:11Avec des croissants.
14:13On viendra avec des croissants.
14:14Désolé, s'il y a un problème avec le vélo, je vais bien changer la roue.
14:16Il n'y a pas de problème, je vous aide.
14:18En tout cas, bravo et félicitations à cette équipe.
14:20Bravo à Benjamin Mas et l'équipe de France de triathlon
14:23qui ramènent deux médailles dont un titre olympique,
14:25un titre pour les femmes.

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