• il y a 4 mois
Alors que l’ultragauche est une piste privilégiée, Jules Torres dénonce : «Cette absence de réponse des politiques alimente une partie».

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00:00Il y a un enseignement dans ce sabotage, c'est que déjà le gouvernement est monté au créneau très rapidement.
00:05Madame Oudéa Castera, qui a bien du mal à condamner parfois certains agissements,
00:09je pense notamment aux incidents qui se sont produits à Saint-Etienne lors de l'Argentine-Maroc,
00:15là, à condamner directement, c'était ce matin sur France Info.
00:19Ensuite, évidemment, on a une partie de la gauche qui a bien du mal à qualifier ce qu'on vient de voir, mais pourquoi ?
00:25Alors évidemment, on ne sait pas qui a fait ça.
00:28Certes, les enquêteurs, pour l'instant, privilégient la piste de l'ultra-gauche, des éco-terroristes,
00:34mais Sandrine Rousseau, par exemple, c'est quelqu'un qui prend comme exemple Andréa Smalm,
00:40quelqu'un qui a théorisé le fait d'être violent, de mener un combat violent
00:46pour obtenir ensuite des résultats sur les questions environnementales, sur les questions écologiques.
00:53Et pour cela, ils misent sur la violence, alors que ça ne veut pas dire que c'est eux,
00:56mais en tout cas, cette absence de réponse des politiques, sans doute, alimente une partie.
01:01Et on en a parlé, vous savez, la semaine dernière, quand on a eu les manifestations contre les mégabassines,
01:06en 2023, à Saint-Soleil, il y avait des élus, certes, qui n'étaient pas dans des actions de violence,
01:14mais qui étaient là et qui légitimaient finalement ces 10% de bas blocs et ces 150 fichiers S.
01:19On se souvient de ces députés.

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