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Françoise Laborde, journaliste : «Dans toutes les institutions internationales, la radicalité s'impose. Il ne faut pas oublier que la Commission des droits de la femme est présidée par l'Arabie saoudite».

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Transcription
00:00Oui, oui, je comprends tout à fait ce que vous dites.
00:02Moi, je trouve très bien que Benhamin se soit mobilisé
00:06et mobilisé tous les sous-députés européens
00:08qui ne connaissent pas forcément, en effet,
00:09le parcours et les déclarations de Mme Rima Hassan.
00:13Moi, ce qui me frappe,
00:14c'est que dans toutes les institutions internationales,
00:17la radicalité s'impose.
00:19Il ne faut quand même pas oublier
00:20que la Commission des droits de la femme de l'ONU
00:24est présidée par, tenez-vous bien, l'Arabie saoudite,
00:28sous les acclamations,
00:30et que personne n'a trouvé un peu étrange
00:33que l'Arabie saoudite, qui, quand même,
00:35n'est pas le pays des droits de la femme le plus avancé,
00:37préside la Commission des droits de la femme.
00:39Donc, toutes les commissions de l'ONU sont complètement,
00:41alors, pardon l'image horrible,
00:43vérolées par un antrisme forcené.
00:46Et aujourd'hui, alors, rappelez-vous,
00:48on parlait de l'antrisme quand c'était
00:50les camarades communistes
00:51qui faisaient de l'antrisme dans toutes les institutions.
00:54Aujourd'hui, on a un antrisme forcené
00:57de la part de tous les mouvements
00:59qui essaient, en effet, de verrouiller tous les postes
01:01dans toutes les institutions internationales,
01:03Parlement européen, ONU, etc.
01:06Et je trouve ça très bien qu'enfin, on se réveille
01:08pour, de temps en temps, dire qui est qui
01:11et mettre le holà à des postes
01:13où des gens ne sont pas compétents pour l'être.

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