• il y a 5 mois

Aujourd'hui dans "Punchline", Laurence Ferrari et ses invités débattent de l'agression de Prisca Thevenot lors de ces législatives.
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Transcription
00:00ce soir et à leurs familles, nous demandons une fois de plus leur libération immédiate et sans condition.
00:04Il est 18h01 sur CNews et Europe 1, nous sommes avec Eric Nolou, bonsoir Eric, et Louis de Ragney.
00:10Bonsoir Laurence, comment allez-vous ?
00:11Ça va très très bien, en pleine forme.
00:13André Valigny, prêtre sur la soirée électorale de dimanche.
00:16André Valigny, bonsoir, ancien ministre.
00:18Nous sommes avec Denis Jacob du syndicat de police Alternatives.
00:20Bonsoir Laurence.
00:21Eugénie Bastier, bonsoir.
00:22Jean-Sébastien Ferjou du site Atlantico.
00:24On va s'intéresser, si vous le voulez bien d'abord, à cette violence qui monte dans la campagne
00:28avec l'agression de plusieurs candidats.
00:30Hier, c'était Priska Tevno qui est candidate qui a été agressée
00:34alors qu'elle collait des affiches de campagne.
00:37On va faire le point avec Félix Pérolaz et puis on entendra ensuite la réaction de Priska Tevno.
00:44La campagne des législatives, particulièrement touchée par la violence.
00:48À trois jours du scrutin, les prises à partie envers les candidats se multiplient.
00:52Ce mercredi, la porte-parole du gouvernement, Priska Tevno et son équipe
00:57ont été victimes d'une violente agression.
00:59Deux d'entre eux ont dû être hospitalisés.
01:01Dans Le Parisien, elle témoigne de la scène.
01:04Tout s'est passé très, très rapidement.
01:06Nous avions décidé avec ma suppléante Virginie Lanlot et deux militants
01:09d'aller faire le tour de la ville pour rafraîchir les affiches sur les panneaux électoraux officiels.
01:14Il n'était vraiment pas tard.
01:16L'équipe de Priska Tevno constate que certains jeunes sont en train de dégrader des affiches.
01:21On leur dit sans aucune agressivité que c'est interdit
01:24et ils s'en prennent immédiatement à l'un de mes militants,
01:27blessante au passage Virginie.
01:29Au sein de la classe politique, les condamnations sont unanimes.
01:32Jordan Bardel a s'est exprimé.
01:34Je pense que la violence, c'est le cancer de la démocratie.
01:37Je voudrais exprimer mon soutien entier à madame Tevno.
01:41Gabriel Attal a aussi réagi.
01:43La violence et les intimidations n'ont pas leur place dans notre démocratie.
01:47Elles n'ont pas leur place dans notre République.
01:48J'appelle au sursaut maintenant.
01:50En Savoie, c'est une candidate du Rassemblement national, Marie Dauchy,
01:55qui a été contrainte de suspendre sa candidature après une violente prise à partie.
01:58Elle l'annonce sur Facebook.
02:00Violemment agressée ce matin sur le marché de La Rochette,
02:02je suspends ma campagne.
02:04L'homme a été placé en garde à vue pour menaces de mort réitérées,
02:07injures et violences contraventionnelles.
02:09Marie Dauchy a présenté un certificat médical
02:12faisant état de huit jours d'incapacité totale de travail.
02:16Voilà pour cette violence qui monte.
02:18On va juste écouter Priska Tevno qui réagissait aujourd'hui après cette agression.
02:23Une grosse pensée pour un militant qui est encore hospitalisé à l'heure où on se parle,
02:27qui a des nouvelles rassurantes, mais pour lesquelles nous sommes toujours mobilisés.
02:32Je ne vais pas vous cacher qu'on est encore un peu choqués
02:34par la violence de ce qui s'est passé hier.
02:35On s'est fait agresser par un groupe ou un groupe de personnes.
02:39Et là, l'enquête est en cours.
02:40Les forces de l'ordre sont très vite intervenues, les secours également.
02:43Et vraiment, je tiens à les saluer parce qu'on passe souvent notre temps à dire
02:46que ça ne va pas assez vite, qu'ils ne sont pas assez là.
02:48Et en fait, on voit que la police de proximité existe réellement
02:50parce qu'ils étaient là en quelques minutes à peine.
02:52Voilà pour Priska Tevno.
02:53Eugénie Bastier, ça vous étonne, ce niveau de violence qui monte ou pas ?
02:55Non, ça ne m'étonne pas du tout.
02:56Et en tout cas, je note que la violence...
02:58Et on le regrette ?
02:59Je le regrette évidemment.
03:00Et je note que la violence vient essentiellement de l'extrême gauche aujourd'hui
03:04ou dans le cas de Priska Tevno, de jeunes de cités, de voyous.
03:09Et je note d'ailleurs qu'avec raison,
03:14tout le monde a condamné l'agression de Priska Tevno de l'ensemble du spectre politique.
03:18Ça n'a pas été le cas à la connaissance des candidats RN qui ont été agressés.
03:21Je n'ai pas entendu particulièrement de mobilisation,
03:23en tout cas moins que pour Mme Priska Tevno.
03:25Alors que vous avez eu un candidat RN qui a eu un AVC suite à une agression sur un marché
03:30et que vous avez cette candidate qui s'est retirée de sa campagne.
03:32Je trouve que toutes les agressions politiques devraient être dénoncées
03:35avec la même hauteur de vue et la même compassion.
03:39Pas d'indignation sélective pour vous, Éric Nolot, non plus ?
03:42Non, mais il y a toujours eu des crépages de chignons entre couleurs d'affiches.
03:45Mais là, on parle de tout à fait autre chose.
03:47On parle d'une violence inédite.
03:48On parle d'une violence physique qui est la conséquence directe de la violence verbale
03:53que moi, je n'ai jamais entendue, alors que j'ai quand même suivi
03:55quelques campagnes électorales, et notamment l'importation sur le sol français
04:00du conflit israélo-palestinien.
04:02Il y a une violence verbale qui ne peut que se traduire sur le terrain
04:06par des actes tels que ceux qu'on a vus.
04:08Mais en effet, je constate et je déplore que selon l'identité de l'agresseur
04:13et de l'agressé, l'indignation est à géométrie variable.
04:15Ou la couleur politique, oui.
04:16Oui, mais franchement, il devrait y avoir là aussi un principe républicain,
04:20une condamnation automatique.
04:21On s'en fiche de l'identité de l'agressé et de l'agresseur.
04:24C'est simplement insupportable.
04:25Mais vous savez que pour certains, la violence est un instrument politique.
04:29Voilà, exactement. C'est ce que je vous dis.
04:30C'est malheureusement, ils ont intégré ça dans leur discours.
04:33Et il ne faut pas s'étonner que ça soit traduit en actes.
04:35François Ruffin a quand même dit, maintenant qu'il est dans le camp du bien
04:37et de la démocratie, mais il avait quand même dit à propos de Macron,
04:39il finira comme Kennedy.
04:42C'est aussi une forme de violence politique qui a été institutionalisée,
04:45y compris par des dirigeants politiques de plus haut niveau.
04:48Louis de Rignall, qu'est-ce que ça vous inspire, ces agressions ?
04:49Moi, je pense qu'il faut faire la part des choses entre
04:53ce qui existe depuis toujours, c'est-à-dire coller, décoller des affiches,
04:55des petites tensions à côté des panneaux électoraux.
04:58Ça a toujours existé, de la violence.
05:00Et là, pour le coup, c'est de la violence contre des personnalités publiques,
05:03contre des gens qui s'engagent et qui sont en campagne.
05:06Et je vous rejoins évidemment sur les condamnations
05:09qui sont vraiment à géométrie variable.
05:10Et je note simplement quand même une chose,
05:12c'est que ces gens qui viennent de l'ultra gauche,
05:15on ne peut pas déplorer le fait qu'ils soient là et en même temps,
05:18ne jamais les combattre.
05:19Vous ne pouvez pas envoyer le message que voter pour la France insoumise
05:23ou des gens qui sont fichés S,
05:25qui ont des problèmes, plus que des problèmes avec l'antisémitisme,
05:28qui ont été condamnés pour incitation à l'haine raciale,
05:30pour plein d'autres choses.
05:32Je pense même pour Philippe Poutou,
05:34qui est fait l'objet d'une enquête pour l'apologie de terrorisme.
05:38Il y a une confusion des genres.
05:39À un moment donné, il va falloir qu'il y ait une clarification
05:41aussi qui se fasse là-dessus.
05:42Parce qu'à l'extrême gauche,
05:46il y a des liens extrêmement étroits entre,
05:50je sais que la nuance peut paraître ténue,
05:51mais entre l'ultra gauche et l'extrême gauche,
05:54entre ceux qui veulent vraiment passer à l'action violente
05:57et ceux qui sont un peu les théoriciens
05:59qui, pour le coup, ont des représentants de l'Assemblée nationale.
06:01Et on ne peut pas d'un côté dire bon, certains LFI,
06:05on peut voter pour eux, mais pas tous.
06:07On va déplorer la violence de l'ultra gauche.
06:09Mais tout ça, c'est la même famille.
06:11Ils sont tous cousins germains.
06:12Non, mais réellement, et je pense qu'à un moment donné,
06:15on sera obligé quand même de dire les choses
06:18parce que ça ne peut pas continuer comme ça.
06:19André Vallini, je vous vois songeur.
06:21Cette violence-là, vous la connaissez, mais elle monte.
06:24Oui, je la condamne évidemment,
06:26quels que soient les auteurs et quelles que soient les victimes.
06:28C'est insupportable, c'est intolérable en démocratie.
06:30Les élections, c'est fait justement pour canaliser la violence
06:33que chacun, à un moment donné, peut ressentir.
06:35En revanche, Louis de Raguenel fait une espèce d'amalgame.
06:38Moi, je ne suis pas d'accord pour dire que l'ultra gauche,
06:40l'extrême gauche, la France insoumise, tout le monde dans le même sac.
06:43Non, la France insoumise...
06:45C'est qu'ils ont des liens entre eux.
06:46Comment? Il y a des passerelles.
06:48Oui, enfin, je ne pense pas que les candidats à la France insoumise,
06:51dans leur immense majorité, approuvent ce genre de comportement
06:54et ces agressions physiques.
06:55Je ne pense pas, je ne souhaite pas en tout cas, et j'en suis même sûr.
06:58Donc, il ne faut pas tout amalgamer.
07:00J'ajoute que pendant les campagnes électorales des années 70, 80,
07:04moi, je me souviens, ça allait plus loin que des crépages de chignons
07:06dont parlait Éric tout à l'heure.
07:08Il y a eu des coups de feu, il y a eu, je crois,
07:10un mort à Puto dans les années 70.
07:12Et c'était la droite qui était à l'origine de ces agressions à l'époque.
07:15Donc, voilà. Deuxièmement, ce que je voulais dire, c'est que dans la mesure
07:18où les extrêmes, la France insoumise d'un côté, le RN de l'autre,
07:22sont très en vogue, si j'ose dire, très en pointe dans le combat électoral,
07:28ça provoque effectivement ce genre de débordement inacceptable.
07:31Et le pays est à cran avec cette dissolution
07:34imposée au pays, brutalement imposée au pays.
07:36Ces élections anticipées, improvisées, bousculées,
07:40tout ça crée de la tension dans le pays, c'est évident.
07:42Bien sûr. Et sur les policiers qui sont en première ligne, Denis Jacob,
07:45toujours pour juguler ces pulsions-là.
07:48Oui, on est là pour empêcher le désordre dans quelques circonstances que ce soit.
07:53Et là, c'est vrai que malheureusement, et je suis pas tout à fait d'accord
07:56avec vous sur la France insoumise, mais entre autres,
08:00c'est-à-dire que quand on a des politiques qui tiennent des discours
08:04d'agressivité, des insultes, d'invectives,
08:06ça ne peut qu'encourager ceux qui s'assimilent à tel ou tel camp
08:10de s'en prendre à l'autre camp politique sur le terrain
08:13et d'avoir des actes de violence comme on vient de le vivre.
08:15Je disais simplement qu'on ne pouvait pas ce genre de débordement.
08:18Alors, si on ne la prouve pas, on ne les entend pas beaucoup.
08:20Alors t'as déterminé, Denis Jacob.
08:22J'espère qu'il a déterminé.
08:23J'aimerais bien les entendre un peu plus souvent.
08:25Excusez-moi, mais j'ai l'impression quand même qu'on asseptise
08:27certains propos et pas d'autres.
08:29Quand on a des propos racistes de la part du rassemblement,
08:32de certains représentants du rassemblement national,
08:35et c'est normal qu'on les dénonce.
08:36Ce n'est pas acceptable qu'il y ait des propos racistes.
08:39Mais quand il y a des actes ou des propos antisémites,
08:42là, je prendrai l'exemple des huit membres jeunes de garde
08:46qui s'en sont pris à un gamin de 15 ans, juif,
08:50après la conférence de soutien à Gaza organisée par Rima Hassan.
08:54La première chose qu'elle dit, elle ne condamne pas.
08:56Elle dit, je n'étais pas au courant.
08:58Je ne les connais pas.
09:00Donc, à un moment donné, il ne s'agit pas de savoir...
09:03Le débat n'est pas de dire qu'elle est responsable ou pas responsable.
09:05Le débat, c'est que quand on a une personne à politique,
09:08une personnalité politique qui a connaissance de ces actes,
09:11elle doit les condamner immédiatement.
09:12Mais il y a quand même une grande différence
09:16entre justement la violence.
09:17Elle peut exister à l'extrême droite.
09:19Il y a des groupes, mais elle n'est pas théorisée.
09:21Il n'y a pas de responsable politique du rassemblement national
09:23qui théorise ça.
09:24Ils n'ont pas un think tank où ils invitent des théoriciens
09:28qui justifient l'usage de la violence.
09:30La France insoumise le fait.
09:31L'Institut Labo Essie a invité Andreas Malmö, ce penseur suédois
09:34qui est auteur de Comment faire sauter un pipeline,
09:37qui justifie le recours à la violence.
09:40Marc Brecht est un penseur influent dans les milieux antifascistes.
09:43Justement, lui, il a en plus étendu la définition d'antifascisme.
09:46Il dit que l'antifascisme, ce n'est pas que lutter contre le fascisme,
09:49c'est lutter contre tous les fascismes.
09:50Et parmi les fascismes, il inclut les discriminations de genre,
09:53les discriminations sexuelles, le racisme, etc.
09:55L'anticapitalisme, l'éco, l'éco pollution, etc.
09:59Donc, ça veut dire que c'est une définition qui est très, très large.
10:01Globalement, c'est-à-dire que vous pouvez transformer tout combat politique
10:05de gauche en un combat antifasciste et il justifie le recours
10:09à la violence là-dedans.
10:10Ça, ça existe quand même et ça, ça n'est pas dénoncé.
10:12Moi, je trouve quand même que le Parti socialiste,
10:14les écologistes, les communistes ont beaucoup d'estomac,
10:17beaucoup d'estomac pour accepter de s'allier.
10:20Mais oui, mais c'est quand même une réalité.
10:22Les invitations à l'Institut Labo Essie, le think tank de la France insoumise,
10:25c'est pas une réunion de fond de cave avec trois militants à Vinet.
10:29C'est le cœur du parti.
10:30Attendez, c'est comme les...
10:31Eugénie Bassié ?
10:31Excusez-moi, ce sont les mêmes qui nous expliquent que les mots tuent,
10:34qu'il y a des microagressions, qu'il faut faire très attention aux mots
10:37qu'on utilise, d'utiliser des périphrases et qui relativise la violence des mots.
10:41Quand elle est issue de rappeurs qui appellent explicitement
10:45au meurtre, à la violence envers des personnalités politiques.
10:47Alors là, il faut remettre dans son contexte.
10:48Il ne faut surtout pas prendre au premier degré, etc.
10:51Et de la même façon, vous n'entendrez jamais un responsable d'extrême gauche
10:55condamner la violence d'ultra gauche. Ça n'existe pas.
10:57Jean-Luc Mélenchon, à chaque 1er mai, il y a des casseurs
11:00et à chaque fois, il dit c'est la fausse de la police.
11:01C'est la police qui les a provoqués.
11:03Il n'y a jamais...
11:05Explicitement, parce qu'ils ne peuvent pas mentalement...
11:07La gauche, en particulier la gauche française, est toujours soumise
11:10à son extrême gauche et à la pureté idéologique.
11:14Ce sont eux qui imposent les critères de moraux.
11:19Mais...
11:20Alors André Vallée, il se rebelle.
11:22Oui, il n'y a pas de...
11:23Mais toute la gauche...
11:23Jean-Luc Mélenchon ne condamne jamais les casseurs.
11:25Mais Mélenchon, ce n'est pas le Parti socialiste.
11:27J'ai dit l'extrême gauche, je n'ai pas dit...
11:28Non, vous avez dit toute la gauche.
11:29Vous avez dit toute la gauche.
11:30J'ai dit, vous ne verrez jamais un responsable d'extrême gauche,
11:33hors Parti socialiste, de condamner la violence d'ultra gauche.
11:36Alors que vous voyez des responsables d'extrême droite,
11:39Marine Le Pen et compagnie, condamner la violence d'ultra droite.
11:42On écoute juste Gabriel Attal à propos de ces agressions
11:45et de l'unité du pays avant de clôturer le chapitre.
11:48Moi, j'ai toujours appelé à l'apaisement, à l'unité.
11:53On peut être en désaccord sur des lignes politiques.
11:56C'est ça aussi, la démocratie.
11:57On peut s'opposer démocratiquement,
11:59mais on ne peut pas s'agresser verbalement ou physiquement,
12:03comme malheureusement, ça a été le cas pendant cette campagne.
12:05Donc, moi, vous me trouverez toujours du côté de ceux
12:07qui cherchent à apaiser et à réunir,
12:09plutôt qu'à diviser et à alimenter la haine.
12:12Il y a des tensions dans le pays, c'est une évidence.
12:14Et vous avez face à ça des personnes qui, parfois,
12:16soufflent sur les braises, cherchent à attiser les tensions.
12:18Moi, je fais partie de ceux qui chercheront
12:20toujours l'apaisement et à prôner l'apaisement.
12:23André Valény, évidemment, personne ne peut être contre
12:25ce que dit le Premier ministre sur l'unité du pays.
12:28Bien sûr, et toute la gauche devrait condamner, évidemment,
12:31ces agressions, d'où qu'elles viennent, d'ailleurs,
12:33et être solidaire de toutes les victimes,
12:35que ce soit un candidat du Front national
12:37ou de la France insoumise ou du PS ou peu importe.
12:39Il faut évidemment condamner la violence, sans réserve.
12:43Denis Jacob, c'est très bien.
12:45Allez, petite pause.
12:46On est d'accord. Petite pause.
12:48On se retrouve dans un instant dans Punchline sur CNews.
12:50On parlera un peu de football.
12:52On écoutera Kylian Mbappé, qui est à nouveau préparti
12:54dans ce second tour de législative à Toulon.

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