A suivre sur le Hardtalk ce mercredi sur Top FM. Turbulences à Air Mauritius…quels états des lieux ? La situation à Air Mauritius est au centre de plusieurs critiques. Des passagers cloués au sol, des vols annulés ou retardés sans compter la qualité du service qui sont remis en cause. Comment et pourquoi en sommes-nous arrivés là ? Quelles solutions pour sortir de cette impasse difficile ? Autant de questions qui méritent des éclaircissements Pour en débattre, Jimmy Jean-Louis accueille en studio : Atma Bhumma, Porte-Parole de la compagnie d’aviation nationale A suivre les interventions suivantes :- (i) Bissoon Mungroo, ancien membre du conseil d’administration d’Air Mauritius et hôtelier ; (ii) Raj Ramlugun, ancien cadre et ex-membre de l’Intersyndical d’Air Mauritius ; (iii) Et Ajay Jhurry, président de l’Association des Opérateurs Touristiques de Maurice. Vos questions sur le 213 7777. Emission à suivre également sur Facebook et nos plateformes TopFM Mauritius et TopTV Mauritius mais aussi sur TopFM Live TV TopFM Live TV Comment faire: Téléchargez notre application "Top Fm Radio " sur l'App Store ou TOPFM MAURITIUS sur Google Play Store
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00:00:00 On peut dire "qui est responsable de cette responsabilité ?"
00:00:04 On peut espérer que quelqu'un qui peut écrire, qui habite à écrire, peut écouter et me dire "c'est très très grave ça"
00:00:09 Il y a des gens que je connais, que nous connaissons, qui se retrouvent dans une situation de stress immense
00:00:15 et qui se disent "qu'est-ce que vous faites ?" parce qu'ils sont malades, parce qu'ils ne peuvent pas s'allier dans les médias.
00:00:21 Nous ne pouvons pas, malheureusement, faire le procès des médias ici, mais il y a quand même une petite chose à demander.
00:00:28 La démission par exemple de Ken Orian, la suspension d'Amba Manikau ou encore la suspension de Laurent Rékoura
00:00:36 n'arrangent pas les choses qui vous appartiennent à Diallo.
00:00:39 Non, pas mélange. Ken Orian, le CEO de EHL, les 6 membres d'un conseil d'administration représentent EHL
00:00:54 et EHL a un nouveau représentant dans Bode et Amorecious. Donc, pas mélange.
00:01:03 Nous ne pouvons pas comparer. Quant à Laurent Rékoura, qui était ancien chef commercial officer, qui était acting au RIC
00:01:17 et Amba Manikau, nous ne pouvons pas faire de procès aux médias. Ce qui applique à nous, Jimmy,
00:01:27 il applique aux médias aussi. Nous nous connaissons. Vous ne pouvez pas mentionner les noms.
00:01:32 Dans les médias, il y a beaucoup de monde qui se suspend, qui fait du bazar, qui fait du travail.
00:01:36 Est-ce que vous pouvez publier les autres lettres de suspension ou les autres lettres de révocation dans la radio ou la gazette ?
00:01:44 Nous ne pouvons pas le faire. Ce qui est vrai pour nous, c'est vrai pour tout le monde.
00:01:49 Dans la gazette, il y a beaucoup de monde qui se fait aller.
00:01:53 Comment je peux dire ? Nous ne pouvons pas faire le bazar.
00:01:55 Non, mais il ne faut pas nous servir.
00:01:59 Nous avons une certaine atmosphère qui se fait aller. Il y a des jours où il y a des gazettes, des EHL.
00:02:07 Il y a des jours où il y a des gazettes, des EHL.
00:02:14 Mais je ne peux pas dire que les EHL sont en train de se faire aller pour la mauvaise gouvernance,
00:02:19 la mauvaise pratique de gestion risquée, le mauvais choix, trop de nominés politiques, trop d'ingérences
00:02:24 ou trop de politisation de toutes les affaires qui permettent un climat défavorable.
00:02:27 Comment réagirons-nous à cela ?
00:02:32 Dans la limelight, je ne peux pas vous montrer les droits des nominés politiques.
00:02:41 Qui est l'institution ? Qui est le gouvernement ? Tout le gouvernement va réagir.
00:02:45 Il n'y a pas besoin de pin point.
00:02:48 Tout le temps, il y a l'institution qui finit par être l'objet de l'accusation des nominés politiques.
00:02:56 Et l'Hermes Rocheuse est une institution.
00:03:02 Donc, elle est l'objet de regard et de critique et de convoitise.
00:03:08 Tout le monde, comme on l'a dit, tout le monde a envie de travailler avec Hermes Rocheuse.
00:03:12 Parce qu'il n'y a pas de privilèges qui sont associés quand on travaille avec Hermes Rocheuse.
00:03:17 Tout le monde rêve de travailler avec Hermes Rocheuse.
00:03:19 On est dans une société décompagnée par un public qui est intéressé par Hermes Rocheuse et Hermes Rocheuse Télécom.
00:03:26 Tout le monde veut être ministre.
00:03:30 Moi, je ne suis pas un ministre.
00:03:33 Je vous donne un exemple.
00:03:36 Quand on parle de privilèges, qu'est-ce que ça représente ?
00:03:39 C'est un fleuron, c'est un mythe qui est associé à Hermes Rocheuse.
00:03:44 Parce qu'on est longtemps, on est un petit pays.
00:03:49 On est un petit pays.
00:03:50 Je suis d'accord avec vous.
00:03:51 Quand on a eu un avion, on a été dans nos enfances.
00:03:55 Quand on a trouvé un avion, on a dit bye bye.
00:03:58 Tout le monde a envie de travailler là-dedans.
00:04:00 Il est toujours qu'à rêver.
00:04:02 Il est toujours qu'à continuer à rêver.
00:04:03 On fait recrute une grande équipe de cabin crew, une grande équipe d'ingénieurs.
00:04:09 Oui, nous pouvons continuer à rêver.
00:04:12 Hermes Rocheuse continue à recruter du monde.
00:04:14 Donc, nous pouvons continuer à rêver.
00:04:15 Tout le monde peut continuer à rêver.
00:04:16 Il a le droit de rêver.
00:04:17 Il est important de continuer à rêver.
00:04:19 Non, quand je reviens là-dessus, ce que vous avez dit,
00:04:22 qu'il y a des clans, des cliques, des nominés politiques,
00:04:25 une situation d'instabilité.
00:04:28 Qu'est-ce qui fait qu'il est plus important ?
00:04:32 Moi, je crois qu'il faut retenir ce qui est fondamental.
00:04:37 Hermes Rocheuse est une compagnie nationale.
00:04:43 Elle a un rôle à jouer.
00:04:45 Et si c'est des gens, des employés, des salariés qui répondent à ce besoin,
00:04:51 je ne peux pas craindre rien.
00:04:53 Nous, ce qu'ils nous disent,
00:04:55 et ce que Charles Cotier a dit depuis le début,
00:04:57 c'est qu'ils ont envie de créer la sérénité au sein des employés.
00:05:00 C'est bien décoté, ça.
00:05:02 La direction peut y aller, le programme a têté,
00:05:04 on peut dire qu'il faut créer la sérénité.
00:05:06 Il y a les autres salariés qui mettent un bâton dans la roue,
00:05:12 tirent les pieds, mettent l'ac,
00:05:14 mais ça, on ne l'a pas du tout capable de tolérer.
00:05:16 Bien sûr, aucune direction dans aucune compagnie n'a pas fait ça.
00:05:20 Donc, vous êtes incapable de créer la sérénité,
00:05:22 vous êtes incapable de laisser la direction travailler,
00:05:26 de nous respecter la bonne gouvernance.
00:05:30 C'est un problème, là.
00:05:32 Charles Cotier a une longue expérience dans le secteur privé.
00:05:34 Il peut mettre en place un système de travail rigoureux
00:05:39 et nous avons envie qu'il y ait un bon résultat.
00:05:42 Et le résultat est là pour finir.
00:05:44 Il finit comment ça arrive.
00:05:46 Mais seulement, nous ne sommes pas capables d'éviter aussi
00:05:50 que dans cette période de transition,
00:05:52 les employés soient-ils insécures.
00:05:54 Je vais finir par dire dans une déclaration,
00:05:56 on va dire que si les employés,
00:05:58 si les salariés,
00:06:00 ne respectent pas les normes de gestion, de management,
00:06:04 et qu'ils ont envie de continuer,
00:06:06 qu'ils croient être protégés par quelque chose,
00:06:10 ils ne sont pas capables de m'en occuper.
00:06:12 Aucun port n'est pas capable de m'en occuper.
00:06:14 Vous savez, même quand on nous dit un nominé politique,
00:06:16 vous croyez qu'un ministre l'a nommé Jimmun.
00:06:18 L'a nommé Jimmun parce qu'il n'est pas capable de le délivrer.
00:06:22 Le ministre, s'il l'a nommé Jimmun,
00:06:24 il a espéré et souhaité qu'il le délivre,
00:06:27 parce qu'il se l'a aussi mis en jeu.
00:06:29 Mais ça, qui est responsable ?
00:06:31 Le ministre ou Jimmun ?
00:06:33 Nous ne pouvons pas faire amalgame.
00:06:36 Donc, la cause, c'est que Jimmun a une responsabilité,
00:06:41 les salariés ont une responsabilité de délivrer.
00:06:43 Et délivrer pour tous Jimmun et pas pour tout.
00:06:47 Pour cette annonce, on rappelle le bon éditeur qui nous l'a invité aujourd'hui,
00:06:53 c'est Raj Ramlagan.
00:06:55 Raj peut téléphoner en même temps.
00:06:59 C'est Atma Bama qui est avec nous,
00:07:02 porte-parole de la compagnie d'aviation nationale.
00:07:04 Nous faisons toute la critique qu'il y a contre Mauritius.
00:07:09 Suivez-nous également en live sur Top FM Live TV
00:07:14 et bien sûr sur nos plateformes Top FM Mauritius et Top TV Mauritius.
00:07:19 Donc, je vous demande, la régie,
00:07:21 est-ce que c'est l'heure de manquer la pause ?
00:07:24 On manque une pause, la suite c'est juste après ceci.
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00:07:31 Hard talk, hard talk.
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00:33:08 Merci beaucoup à Bisson Mangro pour sa contribution pour l'intervention.
00:33:13 Une réaction à tout ce qui s'est passé.
00:33:18 Monsieur Mangro a dit beaucoup de choses.
00:33:23 La première chose qui est importante, je pense qu'il nous faut rapidement sortir de cette histoire
00:33:29 "bras d'avion, bras d'avion, bras d'avion" parce que c'est du passé là.
00:33:33 Personne ne peut en arriver, personne ne peut en monter.
00:33:38 Beaucoup de Mauritiens aujourd'hui, beaucoup de monde qui peut faire des commentaires là-haut,
00:33:43 nous avons déjà mal à l'air après ce qui est arrivé. Pour qui prie une vendée, nous ne le parvenons pas.
00:33:48 Et nous ne pouvons que faire des suppositions.
00:33:53 Le Covid a passé depuis combien d'années, il y a eu une reprise, la situation a récemment amélioré.
00:34:00 Le monde du voyage est en train de se révéler, il y a une sorte de revanche énorme devant les voyageurs.
00:34:09 Nous ne pouvons pas tourner la tête devant.
00:34:12 C'est une des choses, le "bras d'avion".
00:34:15 Il faut à un moment donné ne pas tourner, arrêter, parce que nous sommes dans une situation particulière dans l'époque Covid.
00:34:23 Tout le monde sait comment on peut vivre dans la Covid, on peut payer pour ça aussi.
00:34:27 On sait comment un Mauritieuse peut vivre, quand il peut aller en dehors,
00:34:34 il peut aller en dehors et rester en quarantaine pendant 15 jours, loin de sa famille, loin de ses enfants.
00:34:42 Il est "stranded", il ne peut pas faire ses efforts là.
00:34:46 Il travaille, mais c'est une période particulière.
00:34:50 Tout le monde est dans la contrainte.
00:34:53 Il y a une décision qu'il prend, aujourd'hui nous ne pouvons pas aller devant pendant deux ans et demi,
00:34:59 les paysages souffrent de la Covid.
00:35:01 Nous pouvons à un moment donné bouger.
00:35:04 C'est par rapport à l'avion qui s'est arrêté, qui a dit "je ne veux pas prendre aucune position là, pas mon rôle".
00:35:11 C'est par rapport à l'avion.
00:35:17 Il y a une deuxième cause, c'est la compétence.
00:35:20 Il y a des gens qui ne font que le CEO.
00:35:25 Le CEO lui-même est un professionnel qui a 30 ans d'expérience.
00:35:29 Charles Cotier a 30 ans d'expérience dans le secteur privé.
00:35:33 Il y a des gens respectés pour leurs compétences.
00:35:37 Il travaille dans les grandes entreprises et même dans le secteur de l'aéronautique.
00:35:42 Mais maintenant, il y a un deuxième qui est rentré, qui est nommé CEO, Samir Betou.
00:35:49 Il a 25 ans d'expérience. Il y a un pilote, un commandant.
00:35:54 Il est nommé comme CEO.
00:35:58 Nous comptons dire, dans Mauritius, qu'il ne faut pas encourager nos propres compétences.
00:36:04 Nous comptons dire ça. Nous comptons dire qu'il y a un "brain drain".
00:36:08 Nous laissons les gens aller.
00:36:10 Mais quand nous encouragons les Mauritiens ici, tout le monde peut dire "est-ce qu'ils ont la compétence pour travailler là?"
00:36:15 Nous ne partons pas dans l'autre sens. Nous ne partons pas dans l'autre opportunité.
00:36:18 Nous partons dans l'autre possibilité pour qu'ils puissent performer et travailler.
00:36:21 C'est ma critique. Comment je te le nomme?
00:36:23 Là où Kasse Moral travaille, il est sur le côté.
00:36:28 Il est rentré et là il se fait massacrer. Qui verra?
00:36:31 Qui verra? Samir Betou a aussi fait un commentaire.
00:36:37 Il a aussi fait une petite phrase assassine.
00:36:40 Ce n'est pas correct. Pareil.
00:36:42 Donc, si nous voulons encourager nos compétences locales,
00:36:44 nous devons créer l'espace pour qu'ils émergent dans le monde.
00:36:47 Maintenant, je vais te dire quelque chose.
00:36:51 La situation est changée.
00:36:55 Je dis que la situation est changée.
00:36:57 La cause s'appelle "Rationalise la gestion des Mauritius".
00:37:01 Nous ne sommes pas dans la même situation qu'il y a 10 ou 15 ans.
00:37:04 Je suis dans le même groupe qu'on était dans 2015 ou avant.
00:37:10 Les collègues sont dans une meilleure position pour dire comment ils étaient dans 15 ou 10 ans.
00:37:16 Je ne vais pas répondre à eux.
00:37:18 Ils vont dire ce qu'ils veulent dire.
00:37:21 Moi, par rapport au rôle des Mauritius,
00:37:25 je vais répondre à ça.
00:37:27 Quand tous les stakeholders de Mauritius,
00:37:33 tout le monde, tous les Mauritiens,
00:37:35 tous les parties concernées,
00:37:37 nous sommes d'accord sur le rôle des Mauritius.
00:37:39 Personne n'est plus capable de Mauritius,
00:37:42 de l'éliminer des Mauritius.
00:37:44 Personne n'arrête de rêver de ça.
00:37:46 Personne ne va pas le faire.
00:37:48 Nous sommes d'accord que personne ne va pas l'éliminer.
00:37:51 Deuxième chose, nous sommes d'accord sur la vision de la compagnie nationale.
00:37:57 Quel rôle la compagnie a pour elle.
00:37:59 Quelle manière elle peut renforcer sa compagnie nationale.
00:38:03 Nous avons de la fierté, comme le dit M. Mangroui,
00:38:07 avec raison,
00:38:09 que nos compagnies d'aviation sont de la fierté.
00:38:13 Quand elles sont dans l'aéroport,
00:38:15 ou l'avion fait un pas,
00:38:20 ou le drapeau national est là,
00:38:22 c'est un instant de fierté terrible.
00:38:26 On connaît un Mauritieuse,
00:38:29 qui a un rôle économique.
00:38:31 Il a un rôle économique de première classe.
00:38:34 45% des gens qui voyagent au Mauritius,
00:38:39 c'est un Mauritieuse qui fait ça.
00:38:41 Zordie, 45% des gens sont transportés par Air Mauritius.
00:38:47 Nous avons un rôle dans le secteur du tourisme.
00:38:53 Beaucoup de touristes, soit ils viennent d'Europe, soit ils viennent d'Inde,
00:38:57 voyagent par Air Mauritius.
00:38:59 Soit ils viennent d'Afrique du Sud, voyagent par Air Mauritius.
00:39:01 Soit ils viennent de La Réunion, voyagent par Air Mauritius.
00:39:03 Donc là également, Air Mauritius a un rôle important dans ce secteur.
00:39:08 Personne, encore, ne peut dire que personne n'a pas pu prendre ce rôle.
00:39:12 Au contraire, il faut réfléchir à quelle manière on peut renforcer ce rôle.
00:39:15 Donc il n'y a pas besoin de faire de la démagogie, de faire de la politique.
00:39:21 L'autre chose importante encore, Air Mauritius,
00:39:25 nos compagnies d'aviation nationale,
00:39:29 nous permettent aux Mauritius,
00:39:32 nous protègent les Mauritius de l'isolement.
00:39:35 Nous ne trouvons pas la COVID.
00:39:37 C'est nos compagnies nationales d'aviation qui nous tiennent en place.
00:39:41 Elles ont le vaccin,
00:39:43 elles prennent les passagers, les Mauritiens qui sont en train d'être dans les autres villes,
00:39:49 dans les autres aéroports, dans les autres pays.
00:39:51 C'est nos compagnies d'aviation qui les amènent.
00:39:54 Quand on a des difficultés dans la région,
00:39:57 on doit amener, même des produits alimentaires,
00:40:02 nos compagnies nationales qui les amènent.
00:40:04 Le secteur privé, il n'y a pas pour amener ça, il y a un raisonnement économique.
00:40:11 S'il est rentable, il est pour faire.
00:40:13 S'il n'est pas rentable, il n'est pas pour faire. Il est pour arrêter de faire.
00:40:15 Il y a des compagnies d'aviation qui sont venues,
00:40:18 c'est une cause ouverte au ciel.
00:40:20 Il y a beaucoup de compagnies d'aviation qui sont venues,
00:40:22 qui n'étaient pas rentables, qui arrêtaient de rouler.
00:40:24 Elles arrêtaient de venir.
00:40:25 Mais personne ne va dire non.
00:40:27 Nous avons un débat ouvert au ciel, continué.
00:40:30 Donc, il faut être raisonnable sur la vision que nous avons pour les herbes rochesuses.
00:40:34 Mais une vision claire.
00:40:35 Il ne faut pas compliquer la vie.
00:40:38 La vision est claire.
00:40:39 Ce qu'il faut faire, c'est qu'il faut savoir comment.
00:40:41 Nous avons les bonnes compétences,
00:40:43 les bonnes ressources,
00:40:46 et tous les moyens pour renforcer nos herbes rochesuses.
00:40:51 Nous continuons le débat avec Adma Abama dans un petit moment.
00:40:55 Nous manquons de pause pub. La suite, c'est juste après ceci.
00:40:59 Hard Talk. Hard Talk.
00:41:02 Hard Talk. Hard Talk.
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