Zoom Extra ce jeudi, sur Top FM : coup de projecteur sur l’après 1er-Mai Post-mortem des meetings politiques du 1er-Mai et l’exercice du tirage au sort des questions adressées au Premier ministre, qui ne serait pas conforme à l’accord signé entre le gouvernement et l’opposition. Il en sera question lors de l’émission Zoom Extra ce jeudi, sur Top FM. Rendez-vous à partir de 17h30. Manisha Jooty reçoit Mahen Seerutun, Ministre de L'Agro industrie et Adil Ameer Meea, Deputy Leader MMM Whip du MMM au Parlement. Vos appels sur le 213 7777
Category
🗞
NewsTranscription
00:00:00de l'Ontario.
00:00:07coup de projecteur sur l'après
00:00:13premier mai c'était hier c'était
00:00:15un premier mai spécial, la
00:00:17banne euh qui ne fait pas banne
00:00:20politique donc euh des euh
00:00:23politiques euh donc l'alliance
00:00:25Mauritien, l'alliance
00:00:27d'Ottawa et le deuxième qui
00:00:30m'a mentionné l'annonce
00:00:33pour lui. Et que c'est la
00:00:36première fois qu'il fait un
00:00:37premier mai euh le
00:00:40syndicat
00:00:43donc euh c'est un coup d'envoi
00:00:46campagne électorale avec un
00:00:49échéance euh élection générale
00:00:52qui est publiée euh novembre
00:00:55dix-sept-huit euh
00:00:58ministre la grand-industrie et
00:01:00qui représente le gouvernement
00:01:02euh monsieur bonsoir. Bonsoir.
00:01:05Et Adil Mia euh député leader
00:01:08MMM équipe au parlement. Bonsoir.
00:01:12Donc euh je vous ai euh
00:01:15fini euh
00:01:17premier mai. Donc euh nous
00:01:19commencer hier premier mai la
00:01:22politique qui convient dans
00:01:25l'ensemble de l'Allemagne. Donc
00:01:27euh
00:01:30MSM
00:01:33donc euh
00:01:36donc une première réaction
00:01:39mobilisation parce qu'il euh
00:01:42il arrive un temps de cela
00:01:44gouvernement avec euh
00:01:47conférence de presse donc c'est
00:01:50un vrai succès
00:01:53Bonsoir Manisha et bonsoir
00:01:55d'autres qui suivent nous le
00:01:58moment différents plateformes
00:02:00digitales euh merci merci de
00:02:03me recevoir ici pour capable
00:02:07euh le meeting d'hier et
00:02:10qui euh au niveau euh du
00:02:13gouvernement nous extrêmement
00:02:15satisfaits de nos performances
00:02:17hier par rapport à
00:02:19rassemblement euh faire d'un
00:02:21parcours d'ailleurs nous
00:02:24euh
00:02:28nous
00:02:32et sauf euh bien sûr pendant
00:02:36trois ans, deux-mille-vingt,
00:02:37deux-mille-vingt-et-un,
00:02:38deux-mille-vingt-deux, pour des
00:02:40raisons sanitaires, nous
00:02:41battions organisé, l'indien
00:02:44seul euh très bon euh très
00:02:47bon euh rassemblement et
00:02:49cette année-ci bien sûr nous
00:02:52euh
00:02:56euh d'Avacoua pour sa grand
00:02:59premier mai parce qu'il
00:03:01connaît c'est le dernier
00:03:03premier mai avant élection
00:03:05générale hein donc tout connaît
00:03:07qui euh nous paye en termes
00:03:09de cinquième année de mandat
00:03:11donc automatiquement les pour
00:03:13dernier l'année cote euh bien
00:03:17sûr nous paye pour le premier
00:03:20pour euh rassembler nous euh
00:03:24d'abord dire que hein c'était
00:03:27aussi euh pas c'était aussi
00:03:29c'est c'est c'est la journée
00:03:31hein pour les travailleurs et
00:03:33d'ailleurs un hommage à tous
00:03:35les travailleurs euh de la
00:03:37république pour sa contribution
00:03:39euh tous les efforts qu'ils
00:03:40viennent faire pour le
00:03:41développement du pays et nous
00:03:42tous connaît qui manière nous
00:03:43au niveau du gouvernement euh
00:03:45nous fait faire beaucoup
00:03:46beaucoup pour un travailleur
00:03:48d'une certaine dignité et euh
00:03:50assure je te peux travailler
00:03:52dans l'environnement correct
00:03:54et euh convenable pour euh
00:03:56exercer son métier ça c'est
00:03:58euh un euh quelque chose qui
00:04:00euh en premier m'a bien fait
00:04:02ressortir nous pour nous c'est
00:04:04un l'occasion pour dire merci
00:04:06merci à toi de travailler de la
00:04:08république pour sa contribution
00:04:10et qui nous continue bien sûr
00:04:12euh oeuvrer pour le développement
00:04:14du pays et donc euh
00:04:16bon redis en même temps nous
00:04:18nous extrêmement euh satisfait
00:04:20de nos performances en
00:04:22termes de l'affluence et
00:04:24d'ailleurs me croire aussi vous
00:04:26qu'est-ce que
00:04:28vous trouvez hein
00:04:30la
00:04:32le nombre de personnes qui
00:04:34sont mobilisés euh hier
00:04:36euh avant quoi et
00:04:38aussi euh la diversité
00:04:40hein de la personne
00:04:42qui s'est bougé
00:04:44pour nous euh
00:04:46nous penser qui euh
00:04:48ça il y a déjà un
00:04:50pour montrer
00:04:52l'adhésion de la population dans
00:04:54l'ensemble euh au gouvernement
00:04:56et
00:04:58qui nous pour réussir parce
00:05:00qu'il euh d'ailleurs moi-même
00:05:02euh quand on fait mon
00:05:04travail de mobilisation dans mon
00:05:06circonscription et aussi
00:05:08par rapport à
00:05:10euh
00:05:12euh
00:05:14c'est qui
00:05:16très bon
00:05:18et
00:05:20ce qui
00:05:22et donc
00:05:24ça l'idée montre encore une fois
00:05:26c'est le
00:05:28l'enthousiasme
00:05:30euh et la
00:05:32la confiance qui
00:05:34la population fait
00:05:36et surtout au premier ministre
00:05:38qui finit tout le temps
00:05:40les travailleurs. Aux côtés des personnes les plus en besoin, des gens les plus vulnérables,
00:05:46et on le connaît aussi sur l'engagement, sur la position qu'il fait tout le temps
00:05:54à propos des femmes, les travailleurs. Donc, extrêmement satisfait, bien sûr, maintenant
00:06:01nous pouvons aller de l'avant pour un prochain rendez-vous dans les semaines et mois à venir.
00:06:09Donc, là, nous gardons les coursonnes, donc Adil Mian, l'agence pour les travailleurs
00:06:14MMM est qu'un détient pour lui. Donc, je te dis à lui, malgré qu'il peut le moigner,
00:06:19qu'il a une position, est-ce qu'il est satisfait de la mobilisation au capital?
00:06:24Oui, bonsoir Manisha et bonsoir tout le monde, bonsoir tout le monde qui nous écoute.
00:06:30Je dois dire que nous, nous trouvons que c'est la foule qui nous gagne pour lui là,
00:06:37les « above expectations ». Je dois dire franc, je dois dire honnêtement qu'il fait
00:06:42les « above expectations » parce que moi-même, personnellement, je suis extrêmement tracassé.
00:06:48Comme on dit en métro, pas pour rouler, juste dans l'air, nous ne pouvons pas tenir pour lui.
00:06:53Je suis extrêmement tracassé par le nombre restreint de bus qui nous peuvent gagner.
00:06:59200, 196, pour être plus précis, à pour lui comparativement à l'alliance gouvernementale qui gagne 600 bus.
00:07:06Comme je t'ai dit, pour lui, je trouve ça extrêmement ridicule, pas pour gagner un droit à se servir de rouleau,
00:07:12mais pour l'alliance gouvernementale, il ne gagne pas droit à se servir de rouleau.
00:07:15Donc, ce n'est pas toutes ces restrictions-là, ce n'est pas toutes ces petites maisons,
00:07:22toutes ces petites tracasseries-là, moi je suis tracassé pour nous.
00:07:26Mais seulement, quand on a la foule, quand on a les résultats, ce qui est arrivé,
00:07:32surtout quand on empêche les gens de venir à nos meetings à travers le métro,
00:07:36je veux dire, tous ces gens qui sont déplacés-là, un grand merci.
00:07:39Un grand merci à tous ces gens-là, les activistes du Parti travaillant,
00:07:44les militants et militantes qui sont venus par leur propre manière, par leur voiture, par leur motocycle.
00:07:51Surtout les gens qui ont fait ces circonscriptions pour lui-là, qui sont venus là-bas, qui sont venus,
00:07:57moi-même, ensemble avec mon camarade Chakil Mohamed, nous sommes venus depuis la rue Saint-François-Xavier,
00:08:04pour nous arrêter quand le docteur Ramgoulam est sur la case, la rue Defoge,
00:08:08et depuis la Defoge, nous sommes venus devant la municipalité pour lui.
00:08:14Je veux dire un grand bravo, un grand merci à tous ces gens qui sont venus à nos meetings-là.
00:08:20Pour nous, c'est vraiment un encouragement extraordinaire.
00:08:25Nous trouvons qu'il y a un réveil, nous trouvons que ces gens-là, aujourd'hui,
00:08:30de par leur présence à Pau-Louis, l'ont démontré qu'ils ont envie d'un changement pour ce pays-là.
00:08:37Et je veux dire aussi, ces meetings-là, ces gens qui sont venus, ils ont trouvé Pau-Louis qui a un grand soleil.
00:08:44Un grand soleil jusqu'à la fin.
00:08:46Jusqu'à la fin, j'étais là, je me disais, il y a un grand soleil, il peut tapoter, il peut briller avec ce soleil-là.
00:08:51Mais quand Ramgoulam peut causer, quand on a vu Ramgoulam peut causer, nous sommes arrivés à 10h30,
00:08:55on prépare à le terminer.
00:08:57Vous savez ce que ça veut dire, il ne faut pas bouger.
00:09:00Normalement, les gens qui sont là-bas, ils trouvent un petit mouvement dans la foule,
00:09:03ils disent qu'ils sont pressés pour aller à la case, pour rentrer à l'hôpital.
00:09:06Mais il ne faut pas bouger quand on a vu Ramgoulam, puis il annonce les 20 mesures.
00:09:10Donc, je veux dire encore une fois, merci tout le monde.
00:09:13Merci pour l'encouragement qu'ils nous donnent pour nos combats.
00:09:16Et là, maintenant, nous mettons en direction de la campagne électorale qui est en train de se dérouler.
00:09:22Et comme on le sait, l'élection est à la porte.
00:09:25Donc, ce meeting-là, c'est un point de vue.
00:09:28Donc, Maren, est-ce que c'est vrai que quand on dit, parce qu'il nous connaît,
00:09:36qu'un ministre de l'Intérieur n'est jamais trop enrôlé par mesures de sécurité,
00:09:40parce qu'il me connaît sa bastion d'Ovacois, c'est tout le temps MSM,
00:09:45c'est faire ce meeting là-bas.
00:09:47Donc, ce n'est pas une mesure de sécurité.
00:09:49Donc, aussi, comment l'opposition peut dire qu'ils utilisent des drones d'Ovacois,
00:09:55au niveau des transports.
00:09:59Donc, qu'est-ce qu'il y a pour répondre, M. le ministre ?
00:10:05Je pense que c'est un point qui a dû avancer.
00:10:10Le métro, c'est la raison qui fait qu'on a rassemblé une grande foule.
00:10:15Bon, le métro, pour moi, je pense que tout le monde le comprend.
00:10:21S'il y a quelque chose de bénéfique, c'est au MSM, au gouvernement d'Ovacois.
00:10:27C'est-à-dire qu'il faut dire que la plupart des gens de la région de Pau,
00:10:31ils ne bougent pas, ils ne viennent pas dans ce meeting.
00:10:33Alors, je pense qu'il faut faire le métro pour arriver dans le meeting.
00:10:36Nous, au contraire, il y a beaucoup de partisans de la ville,
00:10:40depuis Pau jusqu'à Ovacois, ou depuis Québec jusqu'à Ovacois,
00:10:43qui ont servi le métro, si le métro pouvait.
00:10:46Mais nous tous connaissons qu'il y a une raison de sécurité.
00:10:50Et il n'y a pas d'autre façon de penser sur cela.
00:10:52C'est ce qu'il faut évaluer, qu'il y a un risque.
00:10:57Et pour moi, c'était une très bonne décision pour, à ce moment-là,
00:11:02pendant ces heures-là, que le métro ne roule pas,
00:11:05pour éviter tout risque, où il suffit qu'il y ait un cas.
00:11:08Un cas. Et nous connaissons que c'est la démagogie
00:11:11que l'opposition ou l'adversaire du gouvernement peut faire
00:11:14si il y a une fatalité due à ça.
00:11:19Je veux dire, A, il faut prendre précaution,
00:11:21connaissant qu'il y a une grande foule d'Ovacois,
00:11:25et voilà, qui finit par arriver.
00:11:27Donc, pour moi, sans aucun oeil à penser,
00:11:30c'est juste pour le besoin d'assurer qu'il n'y ait aucun accident,
00:11:35alors qu'il peut y avoir une grande foule qui est immobilisée d'Ovacois.
00:11:38Je cherche mon camarade.
00:11:40Je ne dis pas ça pour dire qu'il n'y a pas une grande foule d'Ovacois.
00:11:44Je ne suis pas mal tendu.
00:11:46Moi, au contraire, je remercie tout le monde.
00:11:48Je ne suis pas venu pour parler d'eux-mêmes.
00:11:50Je ne suis pas venu pour pinailler l'eau.
00:11:52Mais, en tout cas, vous savez que,
00:11:54moi-même, je peux dire qu'il y a un problème de sécurité.
00:11:57Et quand il y a un problème de sécurité,
00:11:59vous mettez la police dans chaque station.
00:12:01Il y a un problème.
00:12:03La police a fait ce travail.
00:12:05C'est travail, la police, pour réguler le trafic.
00:12:07Pourquoi le camarade a-t-il dit qu'il n'y a pas une Ovacois?
00:12:10Laisse-moi terminer, laisse-moi terminer.
00:12:12Donc, pour moi,
00:12:14c'est un petit peu bénéfique à la foule d'Ovacois.
00:12:18Mais nous tous connaissons le premier métro,
00:12:20on sait comment c'est,
00:12:22à quelle distance,
00:12:24si quelqu'un est pénalisé
00:12:26par rapport au métro.
00:12:28Mais c'est pour lui.
00:12:30Si quelqu'un sort du métro,
00:12:32il passe pour l'Ovacois,
00:12:34pour le Cap Bonne, pour l'Ovacois,
00:12:36pour l'île de Réduit.
00:12:38C'est la dernière station pour lui.
00:12:40Il n'a pas arrêté le métro.
00:12:42Il n'a pas arrêté l'Ovacois.
00:12:44Il a fait la même chose pour lui,
00:12:46pour l'île d'Ovacois.
00:12:48Mais il y a des gens qui sont pénalisés
00:12:50dans les îles, dans le bassin,
00:12:52dans toute la région.
00:12:54Oui, mais ils ne peuvent pas aller au bus.
00:12:56Ils sont en bus.
00:12:58Ils sont assis en bus.
00:13:00Ecoutez, on comprend qu'Adil
00:13:02n'ait pas de bonne excuse
00:13:04pour expliquer qu'il faut
00:13:06rassembler autant la foule
00:13:08qu'on ne peut pas rassembler.
00:13:10Bon, OK, mais il n'y a pas de bonne manière
00:13:12pour qu'on explique qu'il faut aller.
00:13:14Est-ce qu'il y a des chiffres officiels
00:13:16en tête de la bande chiffre officiel?
00:13:18Comment il dit?
00:13:20Ecoutez, moi, mon base,
00:13:22c'est la mobilisation qu'ils doivent faire
00:13:24par la circonscription.
00:13:26Je suis un camarade de la circonscription.
00:13:28Et je peux dire que moi,
00:13:30moi-même, personnellement,
00:13:32dans ma circonscription,
00:13:34je peux dire que j'ai un chiffre
00:13:36qui montre
00:13:38que nous dépasse les 2600 personnes
00:13:40juste dans ma circonscription.
00:13:42Et je peux dire que
00:13:44nous sommes dans toute bonne circonscription
00:13:46dans une grande mobilisation.
00:13:48Et d'abord,
00:13:50c'est mon base, moi,
00:13:52nous sommes un rapport
00:13:54que tout bon camarade finit de donner.
00:13:56C'est un travail qui devient fait depuis
00:13:58quelques temps. Et ce n'est pas la première fois
00:14:00qu'il nous fait aller. Nous gagnons
00:14:02une optique à chaque occasion.
00:14:04Et nous dépassons
00:14:06les 34-35 000 personnes.
00:14:08C'est-à-dire, d'après mon calcul,
00:14:10c'est-à-dire que si nous gagnons
00:14:12une personne dans sa circonscription,
00:14:14ça veut dire plus que 40 000, 40 000.
00:14:16Adil Mia, est-ce qu'ils ont gagné
00:14:18un peu leur chiffre?
00:14:20Je pense que nous sommes dans la circonscription
00:14:22où nous dépassons les 2 000.
00:14:24En fait, moi,
00:14:26si je dois commenter,
00:14:28c'est la foule.
00:14:30Aujourd'hui, je ne suis pas bête.
00:14:32Aujourd'hui, il y a des photos
00:14:34qui parlent d'eux-mêmes. Et malgré cela,
00:14:36je ne pense pas répondre à cela.
00:14:38Nous ne gagnons pas nos droits de vie.
00:14:40Nous ne gagnons pas une raison valable,
00:14:42une raison plausible,
00:14:44qui fait qu'il n'est pas capable d'utiliser un drone,
00:14:46mais d'avoir ce qu'il est capable d'utiliser un drone.
00:14:48Est-ce qu'un drone, tu vois,
00:14:50il n'y a pas beaucoup de monde?
00:14:52Non, mais le drone, tu connais l'univers?
00:14:54Non, mais la raison,
00:14:56c'est parce qu'il n'a pas envie de garder sa photo
00:14:58de la foule pour lui-même.
00:15:00Parce que nous tous connaissons
00:15:02qu'une quantité de monde, il y en a là,
00:15:04qui se déplace.
00:15:06Depuis la municipalité,
00:15:08depuis la municipalité,
00:15:10jusqu'à l'église,
00:15:12c'est-à-dire l'église,
00:15:14la cathédrale plutôt.
00:15:16Donc, maintenant, d'un côté gauche,
00:15:18jusqu'à l'hôtel gouvernement.
00:15:20C'est un thé de côté de la rue
00:15:22et aussi la route principale.
00:15:24Sa photo d'un drone, c'est extrêmement important.
00:15:26Nous avons fait un meeting là-bas depuis 2010,
00:15:28mon député. Plusieurs fois, nous avons fait une photo.
00:15:30Pas seulement, nous ne sommes pas capables
00:15:32d'avoir une photo en hauteur,
00:15:34mais aussi sa structure,
00:15:36c'est-à-dire qu'il y a un escalier qui monte en haut.
00:15:38Ça, il suffit d'être barricadé
00:15:40pour qu'il y ait quelqu'un
00:15:42qui mette son pied comme ça,
00:15:44qui empêche le caméraman
00:15:46de monter sa structure,
00:15:48l'escalier-là, pour qu'il ne soit pas capable
00:15:50d'avoir une photo depuis là-haut.
00:15:52Donc, moi, pour moi-même,
00:15:54depuis
00:15:56quand c'était l'espace
00:15:58qui nous occupait,
00:16:00par contre, nous faisons démagogie,
00:16:02l'espace de chemin qui nous occupait,
00:16:04des fois, nous mobilisons
00:16:06pour qu'il y ait une photo,
00:16:08et des fois, il y a une photo qui nous prend
00:16:10depuis le haut de l'escalier,
00:16:12pour avoir l'impression qu'il y a une photo,
00:16:14surtout le plus haut, comme un leader peut le dire,
00:16:16nous estimons la photo à 40 000
00:16:18personnes pour lui.
00:16:20Si vous êtes capables,
00:16:22répondez-le à ce qu'Adil
00:16:24peut dire.
00:16:26Il ne faut pas croire aux drones qui promènent la photo
00:16:28pour lui.
00:16:30Je me rappelle, moi,
00:16:32je me rappelle qu'il faisait
00:16:34d'accord avec moi là-haut,
00:16:36nous avons fait un meeting pour lui, dans sa même place-là,
00:16:38ensemble, dans le remake,
00:16:40dans le passé,
00:16:42et nous nous sommes rassemblés dans la foule
00:16:44plus importante que ça,
00:16:46et à ce moment-là, nous, l'adversaire,
00:16:48c'était le Parti travailliste,
00:16:50je peux le dire, nous avons rassemblé plus de 5 000
00:16:52personnes pour lui, à ce moment-là,
00:16:54alors que la foule
00:16:56de cette époque-là, c'est beaucoup plus
00:16:58que la foule d'hier qui était là pour lui.
00:17:00Donc, je laisse lui-même
00:17:02j'ai sa propre conclusion, de toute manière,
00:17:04aujourd'hui, la foule moindre
00:17:06vise à rire à sa cible qui est
00:17:08avancée là, alors qu'il...
00:17:10Permettement,
00:17:12mais par contre, bon, la foule,
00:17:14bien sûr, nous,
00:17:16nous agrit, tous disent agrit,
00:17:18moi, je ne crois pas à la foule,
00:17:20nous, quand Adil, je vous le dis,
00:17:22mais pour moi,
00:17:24un item
00:17:26qui ça, au moins,
00:17:28Et ça a toujours été un autre capable de vérifier, à l'air, à l'air qu'il prend
00:17:36Ravindranath pour causer, live, l'opage MSM, pas au diastèle hein, à l'air, live,
00:17:44pour causer live, à l'air qu'il prend Ravindranath pour prendre la parole d'un meeting, d'un
00:17:48va quoi, l'opage MSM, mais aussi l'opage dans le groupe qu'il y a dans les autres
00:17:56médias. Le pétrole, il peut battre le 10.200 du monde. Alors quiconque Ravindranath peut
00:18:02causer à peau lui, il peut battre le 10.300 du monde. Et ça, c'est un fait vérifiable
00:18:09et pas capable de jouer, pas capable de badiner avec ça, live, il peut causer, il peut causer
00:18:13aussi.
00:18:14Non, en 2024.
00:18:15Mais bon, ça veut dire que tu vas voir quoi, tu peux dire ça live, tu peux écouter le
00:18:21Mais moi j'ai envie quand même de faire un point loin de l'affaire qui m'a trouvé
00:18:27si bien condamné. Hier, c'était la journée mondiale des travailleurs, la fête du travail.
00:18:35Un jour pareil, quand on reconnaît la contribution, les efforts, ce qu'un travailleur fait montre
00:18:48ça inacceptable et déplorable que le président du Parti Travailliste, l'Ouestrade, agresse
00:18:58verbalement et incite un travailleur qui veut faire son travail et dans l'exercice de
00:19:05son fonction, agressif verbalement et incite certainement des gens dans la foule pour agresser
00:19:12Ça dit, on a physiquement un journaliste de l'AMBC, on trouve ça inacceptable, un
00:19:17jour pareil, à ce qui ne peut pas aller comme ça, c'est condamnable, c'est pas acceptable.
00:19:26Non, ça dit condamnable, mais M. Sératan, ça c'est pas là, parce qu'en 2014, s'il
00:19:32me parle...
00:19:33Non, non, sinon on a besoin de répondre à ce qu'il m'a dit M. Sératan, tu peux causer
00:19:35parce qu'il m'a dit là-bas, il m'a dit là-bas, quand il arrive, ce qu'il m'a dit M. Sératan
00:19:41Tu peux décrire comme condamnable, comme, j'ai oublié le terme d'une série, M. Sératan,
00:19:46est-ce que vous trouvez ça normal, l'AMBC vient filmer un meeting, 8h30 le matin, la
00:19:53population, vous connaissez ça, nos meetings commencent officiellement à 10h, l'AMBC là-bas
00:20:00sur place, 8h30 le matin, mais 8h16 pour qu'on installe l'Ouestrade, mais 8h30 le matin
00:20:07Mais les salariés, l'AMBC viennent filmer, ils nous connaissent, ils travaillent, l'AMBC
00:20:12fait.
00:20:13Je vous dis hier, je n'avais pas l'habitude d'être à l'AMBC, mais c'est moi, hier 1er
00:20:17mai, mon métier, mon travail, ça, j'ai besoin d'être 1er mai, mais ça ne répond pas,
00:20:22je ne trouve pas l'autre mot à dire, disgraceful, ce travail que l'AMBC fait.
00:20:27Alors vous pouvez dire, vous pouvez dire que M. Assia Baden n'a pas insulté la personne.
00:20:31Comme ça, MBC depuis là-là, parce qu'il fait, ils ont permis de filmer une place,
00:20:40le meeting n'a pas encore commencé, non, il n'y a pas de personne dans l'exercice
00:20:46fonctionnel.
00:20:47Moi je dis que l'AMBC n'a pas venu là-bas, si l'AMBC vient là-bas, midi, midi et demi,
00:20:52et si Assia Baden, tu vraiment, les salariés pour clapper, malmène l'AMBC pour moi, euh,
00:20:57les salariés, les salariés, les salariés, les salariés, les salariés, les salariés,
00:21:02les salariés, les salariés, les salariés, les salariés, les salariés, les salariés,
00:21:06les salariés, les salariés, les salariés, les salariés, les salariés, les salariés,
00:21:10les salariés, les salariés, les salariés, les salariés, les salariés, les salariés,
00:21:13les salariés, les salariés, les salariés, les salariés, les salariés, les salariés,
00:21:16les salariés, les salariés, les salariés, les salariés, les salariés, les salariés,
00:21:19et physique, ça, on ne peut pas croire, on ne peut pas croire, on ne peut pas croire,
00:21:22on ne peut pas croire, et on ne peut pas croire que c'était le cas.
00:21:26Dans tous les régimes, c'est comme ça, donc, c'est, enfin, je peux donner le bénéfice
00:21:33du doute, parce que, donc, ça, c'est, mais seulement, c'est mon ancien collègue, donc,
00:21:39mon sympathisant, mais seulement, côté aussi, tout, tout ce qui est dans le pouvoir, parce
00:21:46que j'ai fait comme ça. Donc, ma reine, c'est raté, dis-moi ce qui est raté, dis-moi
00:21:51ce qui est raté, parce que le Premier ministre annonce au moins quelques mesures, ou encore
00:21:57pour une élection, et que tout ça, nous ne finissons pas à la place, donc, c'est
00:22:02un livret qui est un discours qui a accès à l'organisation du gouvernement, et qui
00:22:07est beaucoup critique aussi. Donc, côté, côté, l'Alliance pour le Travail, c'est
00:22:11même, au fait, je l'annonce, 20 mesures. Donc, au fait, c'est comme une population,
00:22:16comme un citoyen, donc, il y a beaucoup de gens qui disent, bien, je m'expecte qu'ils
00:22:20deviennent au moins quelques mesures, parce qu'une élection, c'est à la porte.
00:22:25En tout cas, vous pressez, vous ne connaissez pas les mesures du gouvernement. Mais écoutez,
00:22:29les bons qui nous font ressentir aussi, qui nous font la réalisation, hein, c'est l'occasion,
00:22:35vous pensez, moi, comment, dans nos dernières années, nos mandats, donc, c'est tout à
00:22:41fait normal qu'ils prennent un rassemblement pareil, nous viennent avec, qui nous fait
00:22:46la réalisation, pour que les gens connaissent, les gens comprennent de quelle manière nous
00:22:51faisons le travail pour honorer nos engagements vis-à-vis de la population, parce que nous
00:22:57faisons un programme, et de quelle manière nous faisons réaliser ce programme-là. Donc,
00:23:02c'était l'occasion, bien sûr, pour qu'on puisse énumérer toutes les mesures qu'ils
00:23:07nous font implémenter depuis qu'ils nous l'ont, et c'est tout à fait juste qu'ils, bien sûr,
00:23:13avec le temps qu'ils nous ont donné pour les différentes interventions, qu'ils nous
00:23:18fassent ce programme-là. Nous entendons les lieux où vous trouvez, ou même de quelle
00:23:23manière nous pouvons venir avec les autres mesures, parce qu'il y a un programme qu'ils
00:23:30vont présenter pour le prochain mandat. Et ça, bien sûr, ne pas faire, comme je dis,
00:23:37à la légère, il y a une réflexion qu'il faut faire là-haut-là, et vous connaissez,
00:23:40il y a un travail qu'il faut faire pour que, quand nous sommes prêts pour annoncer les
00:23:47dates des élections, le programme soit déjà prêt, et nous puissions avoir l'occasion
00:23:53d'élaborer là-haut-là, et bien sûr, la population pour connaissance de ces mesures-là.
00:23:58Mais déjà, moi, je ne peux pas dire où, quand vous avez le bilan de chaque gouvernement-là
00:24:03par rapport à nos différentes mesures que nous devons réaliser, qui bien souvent, les
00:24:08autres gouvernements, avant d'annoncer, n'ont jamais réalisé, et nous, nous devons
00:24:13les mettre en pratique, et aujourd'hui, je crois, tout le monde dans le pays, il a raison
00:24:18pour laquelle il y a autant d'adhésion au gouvernement, c'est parce qu'il ne fait
00:24:24qu'une catégorie de monde. Tout le monde, aujourd'hui, vous trouvez, qui vous prend
00:24:28travailler, ou pour les pensionnés, ou pour les jeunes, pour les athlètes, pour les handicapés,
00:24:33pour les personnes qui, les entrepreneurs, les pêcheurs, les planteurs, toutes catégories,
00:24:39aujourd'hui, il y a des considérations qui pèsent, parce que c'est ça qui nous l'est,
00:24:43ce pays-là a avancé, ce pays-là a progressé, ce pays-là connaît le développement, et
00:24:49on peut faire toutes ces mesures, on peut donner l'occasion pour que tout le monde
00:24:56épanouisse encore plus, et c'est ça que nous trouvons aujourd'hui, qui fait nous
00:24:59réaliser autant de progrès, pour que ce pays-là continue à avancer.
00:25:04Sinon, jamais nous ne pourrions s'y faire.
00:25:06Donc Adil, il y a quand même 20 mesures,
00:25:10c'est 20 mesures, par exemple, une mesure qui saute aux yeux,
00:25:14c'est le transport gratuit pour tout le monde.
00:25:17Écoutez, moi j'ai envie de faire un contraste,
00:25:20et monsieur Ben Morissien finit par faire un contraste.
00:25:23A Pau, lui, nous avons le leader du Parti Travailliste,
00:25:28un ex-premier ministre, un futur premier ministre,
00:25:31l'année dernière, il a fait un discours d'un homme d'État.
00:25:35L'année dernière, il a fait un discours d'un homme d'État,
00:25:38quand il a annoncé 20 mesures fortes, 20 mesures qui étaient dans le noir-sueur-blanc.
00:25:46Et qu'est-ce que 20 mesures qu'il a annoncées?
00:25:48Il a annoncé 20 mesures qui, vraiment,
00:25:51nous ont montré comme l'alternance au gouvernement.
00:25:56Il a annoncé 20 mesures basées sur un projet de société.
00:26:01Il a annoncé 20 mesures basées sur le social.
00:26:04Il a annoncé surtout 20 mesures qui soulagent les Morissiens.
00:26:10Parmi 20 mesures, il a dit, bien sûr, il finira en public,
00:26:13et parmi 20 mesures, et ça, je trouve ça extrêmement important,
00:26:16c'est pour cela que je vais mettre l'emphase là-haut.
00:26:19Parmi 20 mesures qu'il a annoncées, c'est mettre fin à la dépréciation de l'ARUPI.
00:26:24Vous connaissez ce que ça veut dire, ça m'a dit ça.
00:26:26Nos problèmes, ils commencent, c'est dans ce pays-là,
00:26:29depuis 2015, avec la politique du gouvernement MSM,
00:26:33de déprécier l'ARUPI.
00:26:36Depuis qu'il commence à faire dépréciation de l'ARUPI,
00:26:40tous les affaires, les prix commencent à monter.
00:26:44Manger, boire, médicaments,
00:26:47où est-ce qu'on trouve tout ça?
00:26:48Où est-ce qu'on trouve la case?
00:26:49Un dollar qui coûte 29 roupies, ça veut dire un dollar 47 roupies.
00:26:52Ça veut dire que nos roupies perdent 60% de leur valeur.
00:26:56Sur 29 roupies, il y a 47 roupies.
00:26:59Et nous, nous prenons l'engagement pour arrêter de déprécier l'ARUPI moricaine.
00:27:05Et parmi les autres mesures, il a donné des affaires,
00:27:08il a baissé les prix des médicaments.
00:27:09Quand j'étais vieux, je souffrais de la pharmacie.
00:27:14Moi, j'achetais des médicaments pour ma mère.
00:27:16Et j'ai senti ce prix-là augmenter tous les mois.
00:27:21Et aussi, il y a des affaires qui me trouvent encore hallucinantes.
00:27:25Comment est-ce qu'on est capable de faire le masterplan de l'endrainage?
00:27:29Il y a des affaires qui, je ne vais pas faire partie politique,
00:27:32il y a un changement climatique.
00:27:34Le changement climatique a affecté tout le monde, tout le pays,
00:27:37il y a le Mauritius y compris.
00:27:39Il y a des affaires qui sont vraiment incontrôlables.
00:27:44Mais le gouvernement, comment dit-il le masterplan de l'endrainage?
00:27:49Ils ne le rendent pas public.
00:27:52Ils gardent sa confidentialité.
00:27:54Je trouve ça criminel.
00:27:56Et quel était le masterplan de l'endrainage?
00:28:01C'est-à-dire qu'il faut qu'il y ait une construction parfaite
00:28:06parce qu'il y a un risque d'inondation.
00:28:09Mais nous, nous ne prenons pas l'engagement pour rendre
00:28:11ce masterplan de l'endrainage public.
00:28:14Parce que justement, pour que les gens ne partent pas acheter un terrain
00:28:16ou ne rentrent pas dans la maison là-bas,
00:28:18il faut que les gens prennent un logement et achètent un terrain.
00:28:23Et ce terrain, c'est un terrain résidentiel.
00:28:26Il faut que les gens fassent leur développement sur ce terrain-là.
00:28:28C'est-à-dire qu'il faut que les gens achètent un PMI.
00:28:30Il faut que les gens achètent un CWACB.
00:28:32Il faut que les gens achètent une fin d'asphalter, une fin de métro,
00:28:34une fin d'infrastructure pour que les gens puissent acheter un PMI.
00:28:36Une municipalité, quand elle achète un PMI dans le district council,
00:28:39c'est-à-dire qu'elle est dans une zone inondable.
00:28:41Mais je trouve ça incroyable qu'un gouvernement agisse de la sorte
00:28:45pour ne pas rendre ce masterplan public.
00:28:48Et là, l'autre côté, ça c'est ce que nous, nous avons annoncé dans nos meetings.
00:28:52Mais qui nous trouve le premier ministre en février?
00:28:54En 30 minutes, c'est ce qu'il y a.
00:28:5630 minutes d'attaques personnelles.
00:28:5830 minutes de palables.
00:29:0030 minutes de bonnes palables depuis 9 ans.
00:29:03Qu'est-ce qu'il faut?
00:29:05Si pas des camarades qui sont en contact avec l'étranger.
00:29:07Si pas des choses comme ça.
00:29:09Pas d'annonce non née pour la population.
00:29:11Il existe même un attaque personnelle contre l'adversaire.
00:29:13Nous voulions ça.
00:29:15Moi je suis content.
00:29:17Parce que c'est quand même une allégation que je trouve correcte
00:29:20de la part du camarade Adil.
00:29:22Le premier ministre ne cause beaucoup plus que 30 minutes.
00:29:26Encore plus que 30 minutes, c'est beaucoup.
00:29:28Non, non. Il cause beaucoup plus que 30 minutes.
00:29:30Et il ne peut pas se faire comme si il y avait une cause dans le vide.
00:29:33Parce qu'il n'y a pas de cause.
00:29:35Je sais qu'il y a des gens qui se sentent comme ça.
00:29:37Je ne vais pas vous mettre ça.
00:29:39Mais quand même, je trouve que ce discours est un discours d'État.
00:29:43D'un chef d'État.
00:29:45Mais je prends un petit peu ce commentaire.
00:29:49Je prends le cas de M. Yvan Marshall.
00:29:53Ce commentaire.
00:29:55Ce commentaire où il y a des mesures qui sont annoncées par l'équipe dirigée par M. Ramgoolam.
00:30:03Il y a aussi de la suérenchère politique.
00:30:06Mesures qui risquent fort de ne jamais se concrétiser.
00:30:10Et là c'est qui ? Yvan Marshall.
00:30:12Il dit qu'il y a des mesures qui sont annoncées par l'Alliance du Parti Travailliste elle-même.
00:30:19Et il y a d'autres gens qui travaillent avec M. Ramgoolam dans le passé.
00:30:24Il y a des ministres dans le gouvernement de M. Ramgoolam.
00:30:27Il y a des gens comme ça, à cause de M. Ramgoolam.
00:30:31Il y a des gens qui valent la parole.
00:30:34C'est pour dire qu'il faut annoncer des mesures.
00:30:38Il faut faire une grande déclaration.
00:30:40Mais finalement, dans le concret, nous ne pouvons jamais réaliser ces mesures qu'il a annoncées.
00:30:47Et c'est ça que la population connaît.
00:30:49On dit qu'il y a des gens comme M. Ramgoolam qui n'ont pas de confiance.
00:30:54Parce que dans le passé, ils finissent par agir de la sorte.
00:30:58Ils finissent par faire des déclarations.
00:31:00Mais après, quand il y a l'occasion pour implémenter ça, il n'est pas réaliste.
00:31:04Nous proposons ça, mais nous ne sommes pas là pour faire un caractère d'assassinat.
00:31:10Non, nous proposons des mesures.
00:31:12Nous proposons des mesures, nous ne consulterons pas.
00:31:15Il y a, bien sûr, deux personnes qui viennent réagir hier par rapport à...
00:31:19Il ne va pas consulter.
00:31:21Il ne va pas consulter.
00:31:23Par exemple, Jean-Claude Délestrat qui dit...
00:31:25Je trouve M. Ratan une meilleure sélective qu'une choisie d'Yvan Martial.
00:31:30Mais moi aussi, j'aimerais dire que Jean-Claude Délestrat...
00:31:32Parce qu'il me trouve Yvan Martial, un des gens qui finissent en neutre,
00:31:36qui finissent en objectif et qui finissent tout le temps...
00:31:39Ça, c'est M. Ratan, son appréciation.
00:31:41Oui, mon opinion.
00:31:43C'est un des gens qui connaissent le passé.
00:31:46Donc, il est 18h05, nous pourrions trouver nos auditeurs dans un petit moment.
00:32:12Sous-titrage Société Radio-Canada
00:32:42Sous-titrage Société Radio-Canada
00:33:12Sous-titrage Société Radio-Canada
00:33:42Sous-titrage Société Radio-Canada
00:34:12Sous-titrage Société Radio-Canada
00:34:42Sous-titrage Société Radio-Canada
00:35:12Sous-titrage Société Radio-Canada
00:35:42Sous-titrage Société Radio-Canada
00:36:12Sous-titrage Société Radio-Canada
00:36:43Sous-titrage Société Radio-Canada
00:36:45Sous-titrage Société Radio-Canada
00:36:55Donc, aujourd'hui, c'est Adil Mia, député leader MAMEC,
00:37:00huit peuples partis dans le Parlement et comme à un certain ministre de l'Agro-Industrie
00:37:03qui peut représenter le gouvernement en EPCOS post-premier mai
00:37:07et en coup de projecteur après premier mai.
00:37:11Donc,
00:37:13Marine Serrata n'a finirait-elle pas avec la présence
00:37:15d'une certaine bande d'immunités bien appréciées par le Mauritien hier
00:37:18durant le meeting de Barcois?
00:37:21Donc, est-ce que c'est une nouvelle stratégie
00:37:23qu'il y a des observateurs politiques
00:37:25pour dire qu'MSM peut redresser l'image?
00:37:29Par exemple, nous trouvons nos anciens collègues
00:37:31Jacques-Diche, Jaipol,
00:37:33nous trouvons Azar Gouda, M. Meteu.
00:37:36Donc, une réaction par rapport à ça.
00:37:39C'est-à-dire qu'ils ont fini en scoutant un peu
00:37:42leurs candidats potentiels.
00:37:45Je dirais encore une fois, Manisha,
00:37:47c'est que ce qu'on trouve,
00:37:50c'est que la population dans tout l'ensemble
00:37:53peut adhérer au gouvernement sur les politiques
00:37:57et peut venir, bien sûr,
00:37:59pour afficher avec le gouvernement.
00:38:02Cela a démontré qu'encore une fois,
00:38:05les gens ont apprécié le travail qui a été fait par le gouvernement.
00:38:09Apprécié les mesures concrètes
00:38:12qui ont été réalisées.
00:38:14On peut trouver qu'en la personne de M. Chagnotte,
00:38:17comme Premier ministre,
00:38:19c'est quelqu'un à qui on peut faire confiance.
00:38:22Quelqu'un à qui on peut compter.
00:38:24Quelqu'un avec qui on peut prendre l'engagement
00:38:27et aller au bout de ce l'engagement.
00:38:29Et c'est ça qui fait la différence pour moi.
00:38:31C'est ça qui fait la différence entre lui
00:38:33et les premiers ministres qui venaient dans le passé.
00:38:35Qui peuvent revenir aujourd'hui.
00:38:37Et quand on trouve qu'il y a quelques personnes
00:38:40qui étaient présentes hier,
00:38:42et ça les a démontré encore une fois.
00:38:44C'est des gens qui analysent
00:38:48les choses politiques dans le pays.
00:38:52Aujourd'hui, ils ont fait un choix.
00:38:55Et pareil, il y en a beaucoup encore
00:38:58qui peuvent venir, qui peuvent joindre le parti,
00:39:01qui ont envie de joindre le parti.
00:39:03Dans différentes manières.
00:39:05Ils peuvent venir joindre le parti
00:39:07comme un candidat au pays.
00:39:09Ils ont envie de donner un coup de main.
00:39:11Parce qu'ils savent qu'ils ont envie
00:39:13dans un pays qui continue à avancer,
00:39:15qui continue à progresser.
00:39:17Ils ont une vision de ce pays-là.
00:39:19Ils ont envie que ce pays-là,
00:39:21la vitesse de croisière qu'il prend là,
00:39:23ne s'arrête pas, qu'il continue.
00:39:25Au bénéfice de toute la génération
00:39:27qui est venu devant,
00:39:29pour qu'elle profite de l'île Maurice moderne.
00:39:31L'île Maurice pour faire bon vivre.
00:39:34L'île Maurice pour dire
00:39:36qu'il doit continuer à moderniser.
00:39:38C'est ça qu'ils ont envie.
00:39:40Et c'est ça que le premier ministre
00:39:42a voulu prôner.
00:39:44C'est ça qu'ils ont envie dans ce pays-là,
00:39:46pour la jeunesse de demain.
00:39:48Adil Amiamia, une réaction
00:39:50sur ce que vous avez dit
00:39:52sur votre candidat.
00:39:54Vous avez dit qu'il était apprécié
00:39:56et qu'un petit peu, ce coup-ci,
00:39:58il y a eu un petit peu
00:40:00d'anciens ministres,
00:40:02d'anciens députés,
00:40:04Vickery Modéal, depuis sa construction
00:40:06numéro 10, après démission
00:40:08le 13 février.
00:40:10Un coup de poil.
00:40:12Parce que la semaine dernière,
00:40:14il s'est affiché avec le premier ministre.
00:40:16Et hier, un coup de...
00:40:18Adil Amia, une réaction
00:40:20par rapport à...
00:40:22Par rapport à...
00:40:24à ce qu'on a dit.
00:40:26Je veux commencer par le commencement.
00:40:28Un petit peu comme
00:40:30Ivan Colin Davilou.
00:40:32Il a été révoqué
00:40:34par le premier ministre.
00:40:36Révoqué par un bout de papier
00:40:38qui zisse le premier ministre
00:40:40s'il le trouvait.
00:40:42Zisse le premier ministre s'il le trouvait.
00:40:44Après, personne ne m'a répondu à ce papier-là.
00:40:46Pas de rapports,
00:40:48ni d'affaires qu'il n'a signées, ni whatever.
00:40:50Il y a eu une mille allégations
00:40:52et il a été révoqué.
00:40:54Et hier, il y a eu un grand matin
00:40:56quand j'ai lu le journal, plus tôt,
00:40:59le premier ministre peut saluer sa présence
00:41:01et même peut saluer
00:41:03ce sens de sacrifice.
00:41:05Comme s'il dirait une coupe sur les couilles.
00:41:07Mais le sens de sacrifice
00:41:09a été décapité
00:41:11pour qu'il y ait une place pour David Duval
00:41:13pour qu'il prenne sa place.
00:41:15Et le premier ministre l'a révoqué.
00:41:17Je ne sais pas qui le premier ministre est.
00:41:19Contre sa boucle-là.
00:41:21Il l'a révoqué.
00:41:23Il a porté son bonnet orange
00:41:25avec son foulard en orange.
00:41:27Il a dit qu'il allait le faire mal
00:41:29et qu'il allait le révoquer.
00:41:31Là, il est démissionné comme député.
00:41:33Aujourd'hui, il est dans le meeting.
00:41:35Le premier ministre,
00:41:37c'est son droit, c'est la démocratie.
00:41:39Mais quand même,
00:41:41quand on voit l'exemple
00:41:43d'un homme comme Yogi Das
00:41:45qui est obligé de démissionner
00:41:47pour qu'il fasse sa raison,
00:41:49aujourd'hui,
00:41:51on le trouve dans le meeting
00:41:53malgré ce qui est arrivé.
00:41:56C'est vraiment incroyable.
00:41:58Je suis content
00:42:00parce que quand on écoute
00:42:02le camarade Adil
00:42:04par rapport à ce commentaire
00:42:06d'Ivan et Yogi Das,
00:42:08c'est un état de droit.
00:42:10C'est une enquête
00:42:12qu'il faut faire.
00:42:14Il n'est pas condamné
00:42:16à ce stade-là
00:42:18pour ne pas dire
00:42:20que c'est des gens
00:42:22qui sont de l'autre côté
00:42:24d'une allégation
00:42:26qu'il finit par trouver
00:42:28et le premier ministre
00:42:30prend la décision
00:42:32de le révoquer.
00:42:34Dans le cas de...
00:42:36Non, non, non.
00:42:38Non, non, parce que
00:42:40Ivan et Yogi Das
00:42:42n'ont pas fini
00:42:44d'acquiser
00:42:46et de condamner une personne
00:42:48qui n'est pas condamnée.
00:42:50Non, non.
00:42:52Il faut terminer.
00:42:54L'Ivan nous comprend
00:42:56que quand
00:42:58nous lui demandons
00:43:00d'aller un peu plus loin,
00:43:02il n'a pas fini
00:43:04d'aller.
00:43:06Il n'a pas fini
00:43:08d'accepter et il laisse
00:43:10les enquêtes suivre
00:43:12son cours et au moment
00:43:14où la conclusion de l'enquête
00:43:16est arrivée, on a connu qu'il pouvait y aller.
00:43:18Mais il n'y a aucune raison
00:43:21pour dire que le premier ministre
00:43:23ne va pas reconnaître
00:43:25la contribution
00:43:27d'Ivan au niveau
00:43:29de son gouvernement depuis 2014
00:43:31et qu'il manie de travailler ensemble.
00:43:33Je comprends qu'il a fait du mal
00:43:35à Adil et à lui-même
00:43:37parce qu'Ivan
00:43:39a fait une challenge solide
00:43:41et a même
00:43:43à un moment donné
00:43:45démantelé
00:43:47tout ça à l'électorat
00:43:49mais si nous
00:43:51guettons un petit peu
00:43:53le pourcentage
00:43:55de votes récueillis
00:43:57par le MME au fil de temps,
00:43:59au fil des années,
00:44:01nous trouvons l'année après l'année,
00:44:03élection après élection,
00:44:05le pourcentage de bannes
00:44:07de partisans finit de diminuer.
00:44:09Et ce n'est pas moi qui dis ça, c'est le chiffre
00:44:11qui confirme ça.
00:44:13Et nous avons trouvé qu'il maniait
00:44:15le MME qui, longtemps,
00:44:17il n'y avait pas d'alliance, il n'y avait pas de négociation
00:44:19et il exigeait 30-30
00:44:21ou même des fois plus
00:44:23mais ils l'ont accepté.
00:44:25Est-ce que je peux terminer?
00:44:27Est-ce que je peux terminer?
00:44:29C'est pour dire à quel point
00:44:31cet électorat
00:44:33finit d'effriter.
00:44:35Parce qu'existement, nous trouvons
00:44:37un militant finit de choisir
00:44:39pour aller avec Bandimoune
00:44:41qui inspire plus de confiance.
00:44:43Oui, oui.
00:44:46Moi, quand même, moi, je serais d'accord
00:44:48avec le collègue d'Avelou,
00:44:50le somminataire
00:44:52et les deux autres.
00:44:54C'est-à-dire qu'il y a une enquête
00:44:56qui peut être faite, etc.
00:44:58Pour les deux.
00:45:00Pour les deux et il y a une révolte.
00:45:02Mais le Maniche Gobine
00:45:04qui fait le premier ministre, il n'a pas fait de step-down.
00:45:06La police vient avec des dénonciations à l'écart.
00:45:08C'est un sacrilège
00:45:10qu'ils ont fait autour de Grand-Bassin là.
00:45:12Autour des stag parties.
00:45:14Nous tous connaissons ce qu'ils font.
00:45:16Je ne vais pas rentrer dans ces détails là.
00:45:18Parce qu'ils ne m'ont pas rencontré dans mes affaires.
00:45:20Surtout dans mes affaires religieuses.
00:45:22Mais dans le premier ministre, il n'a pas fait de step-down.
00:45:24Et pourtant, il y a des gens
00:45:26qui ont des manières.
00:45:28Qui ont des manières de dire.
00:45:30Qui s'enlève leur casque, quand leur casque,
00:45:32quand leur casque, qui les lève leur casque.
00:45:34Et nous ne trouvons pas les finits
00:45:36ni révoqués, ni le premier ministre
00:45:38qui a fait des step-down.
00:45:40C'est pour ça qu'il me dit qu'il n'y a pas de logique.
00:45:42Parce que quand même là,
00:45:44j'ai fait une accusation très forte
00:45:46contre l'avocat de Maniche Covine.
00:45:48Il m'a dit qu'il y avait des gens
00:45:50qui sont allés dans ces détails là.
00:45:52Je ne sais pas comment ils ont reçu cette information là.
00:45:54Mais c'est dans le journal ça.
00:45:56Où est-ce qu'il y a un journal?
00:45:58Je ne comprends pas.
00:46:00Est-ce que vous diriez comme ça,
00:46:02tout ce qu'il y a dans le journal, il l'a avéré?
00:46:04Il y a des gens qui ne sont pas responsables.
00:46:06Il y a des gens qui jouent à la fille David tout ça.
00:46:08Je ne peux pas dire qu'il y a des accusations légères.
00:46:11Vous trouvez la fille David là?
00:46:13Non, non, non.
00:46:15Maniche Covine, nous tous connait.
00:46:17Nous tous connait.
00:46:19Une relation insécure de Maniche Covine
00:46:21avec, qu'est-ce qu'on va l'appeler là?
00:46:23Une voyage de business class.
00:46:25Franklin.
00:46:27Adil, nous laissons la main.
00:46:29Nous laissons la main.
00:46:31Il n'y a pas d'accusation.
00:46:33Oui, nous laissons la main.
00:46:35Adil, nous laissons la main.
00:46:37C'est un stag party.
00:46:39Moi moi moi, moi,
00:46:41moi je crois toujours
00:46:43que quand on fait une enquête,
00:46:45on a une conclusion avant de faire une conclusion
00:46:47et de faire une commentaire
00:46:49Il est bon de le faire comme ça
00:46:51parce que l'on respecte l'institution
00:46:53et nous respectons l'institution
00:46:55et nous allons trouver après
00:46:57qui est-ce qui est-ce qui a raison
00:46:59qui s'en fout et qui s'en fout pas.
00:47:01Donc nous poursuivons ce point.
00:47:03Ma cheinte, comme on le sait,
00:47:05nous sont à la radio,
00:47:07euh, euh, population. Donc,
00:47:12est-ce qu'il y a pas quoi qui
00:47:16les treize euh, février, donc,
00:47:18euh, il il démissionnait et
00:47:19puis après il revoque mais
00:47:20c'est un cinéma est là, est-ce
00:47:22qu'il y a pas quoi qui était
00:47:23dans un un devoir envers
00:47:26population et que euh, sur
00:47:28électorat quand même il est
00:47:29sur l'électorat dans ses
00:47:31construction numéro dix. Quand
00:47:32il démissionnait comme député.
00:47:35euh, le premier ministre et
00:47:40jamais personne ne questionne
00:47:41ça dans le passé. Hum hum. Le
00:47:42premier ministre il y en a un
00:47:44prérogatif pour nom ce
00:47:47cabinet. Pour apprendre un
00:47:49ministre. Et il est pas tenu
00:47:53pour justifier qui fait le
00:47:55phénomène X, Y, Z de ce
00:47:57cabinet. Lui il y en a un
00:48:02exécuté parmi sous l'équipe
00:48:07choisir pour capable
00:48:09implémente ce programme. Si
00:48:12demain il trouvait qui X, Y,
00:48:15Z pour être remplacé par une
00:48:19note, il fait un lit. Hum hum.
00:48:22Lit dans ce sagesse pour nous
00:48:25dire, il prend sa décision là
00:48:27et la constitution de Nissa
00:48:32privilège là. Justifier qui
00:48:37fait une nomme X, qui fait une
00:48:39révoce Y, qui fait des films
00:48:41remplace X point Y. Mais non
00:48:43c'est pas pas pas pas pas pas
00:48:46pas pas pas pas pas les films
00:48:48révoque X, les oubliez pas
00:48:52explication. C'est pas la
00:48:54première fois, c'est pas la
00:48:55première fois, c'est pas la
00:48:56première fois qu'il n'est lui
00:48:57pas le peuple, OK? C'est à
00:49:00ce que
00:49:03député qui finit élu par le
00:49:06peuple dans l'équipe. Mais pas
00:49:09de tout cas une ministre, pas
00:49:11de tout cas un rôle de
00:49:12responsabilité. Lui, le
00:49:15premier ministre, il est dans
00:49:16sa pouvoir qui se fonctionne
00:49:20de lui pour qu'il est capable
00:49:22faire ce choix afin qu'il les
00:49:25réunissent autour de cette
00:49:27équipe-là, les meilleures
00:49:28personnes pour délivre par
00:49:31rapport à sa capacité. Mais là
00:49:33euh, vous êtes sûr qu'il vit
00:49:35comme euh, le le le le
00:49:38pardon? Le le le l'équipe
00:49:42soudée avec parce qu'il est
00:49:45revenu quand il finit d'une
00:49:46soeur d'émission. Comme
00:49:47député. Mais il n'est pas
00:49:49tchalé. Mais il fait la
00:49:51différence. Non. Non mais
00:49:53c'est bon, c'est bon, il est
00:49:56révoqué bien sûr, il fait une
00:49:58décidée pour comme député mais
00:50:02il reste toujours un membre du
00:50:04MSM. Il fait une touche, il
00:50:06est plus allons dire à l'aise
00:50:08dans le social. Il trouvait
00:50:10qu'il, son rôle, son
00:50:12responsabilité pour faire
00:50:14le c'est va, il est toujours
00:50:16là. Et il va faire, il est pas
00:50:18arrêté, hein? Il a envie et il
00:50:20croit dans le premier ministre.
00:50:21Ce travail qu'il va faire. Et
00:50:24c'est pour ça qu'il dit qu'il
00:50:26apporte une contribution à sa
00:50:28niveau-là pour le gouvernement,
00:50:30pour le parti, pour le pays et
00:50:32c'est la raison pour laquelle
00:50:34depuis ce premier jour,
00:50:36d'ailleurs, moi bien dire,
00:50:38c'est c'est c'est c'est c'est
00:50:39une vérité aussi. Quand il
00:50:41prend, quand il est démissionné,
00:50:43hein? Pour l'opposition.
00:50:47Là, l'opposition s'applaudit
00:50:52euh
00:50:56vraiment
00:51:01le fait qu'il le reste avec le
00:51:04parti, maintenant, c'est ça
00:51:07qu'il me trouve inacceptable
00:51:08quand on trouve sa sa manière
00:51:10qu'il le traite quand il est
00:51:12avec le gouvernement ou
00:51:15critique-lui
00:51:18d'Astérix
00:51:23donc
00:51:26ça veut dire les premiers
00:51:28ministres, il y en a le droit
00:51:30selon la constitution pour
00:51:31nommer le ministre, ça n'a pas
00:51:32de dispute. Mais les dire comme
00:51:34ça, les premiers ministres
00:51:36s'ils trouvaient un qui
00:51:38n'était pas performe, les cas
00:51:40remplacent-les. Ça n'appelle
00:51:42ça un remaniement ministériel,
00:51:44ne pas appeler ça une révocation
00:51:47un remaniement. Deuxièmement,
00:51:49ne pas oublier, ministre de
00:51:51Yal, qui ministre c'était avant?
00:51:53Ministre fonction publique.
00:51:55Fonction publique avant.
00:51:57Promotion d'une ministre
00:51:58agriculture. Ça veut dire dans
00:52:00l'espace six mois d'une sortie
00:52:02ministre fonction publique,
00:52:04une montée de hiérarchie d'une
00:52:06ministre agriculture qui est
00:52:07quand même un ministre, un
00:52:08ministère extrêmement important,
00:52:10subitement, le premier ministre
00:52:12trouvait qu'il s'agit d'une
00:52:14promotion-là, qu'il est pas apte
00:52:16d'un ministre d'agriculture, ne
00:52:18pas remplacer-le comme on a une
00:52:20période de fête, quoi. Le
00:52:22révoque-le. Écoutez, je vous
00:52:24dirais une chose, il est vrai
00:52:26quand il arrive ça. Et surtout
00:52:28quand il est démissionné comme
00:52:30ministre, on lui dit bravo parce
00:52:32qu'il a de la dignité. Mais c'est
00:52:34moi la vérité aujourd'hui. Nous
00:52:36causons-le en face. Et Mme
00:52:38Mauritier connaît. Si eux deux
00:52:40y'a le côté travail, c'est
00:52:42côté même-même. Hein? Un
00:52:44ministre d'agriculture.
00:52:46Aujourd'hui, on dit
00:52:48descendre, il pleurait
00:52:50derrière Pod. Nous tournons
00:52:52sa vidéo, la live. L'endemain
00:52:54il est démissionné. Après
00:52:56là, maman, je vais nous
00:52:58affaire. M'a pas envie perdre
00:53:00l'étang avec la population.
00:53:02Donc euh, donc là, le premier
00:53:04main derrière nous. Nous nous
00:53:06tournons par ce premier
00:53:08main derrière nous. Donc euh,
00:53:10une finie gagne euh, bataille
00:53:12euh, demain, Saint-Laurent pour
00:53:14une élection. Donc, mon pensée,
00:53:16prochain événement euh, c'est le
00:53:18budget. Adélaïa apparaît
00:53:20qui le premier ministre
00:53:22bon euh, bon euh, pas
00:53:24trop pressé pour donner l'élection entre-temps
00:53:26mais c'était trop longtemps
00:53:28que l'opposition qui était. Mais c'est moi
00:53:30fais ressentir qu'il y en a
00:53:32un poste de député
00:53:34qui est vacant dans
00:53:36l'Assemblée en ce moment. Et
00:53:38que d'après Constitution, le
00:53:40le
00:53:42pour
00:53:44pour
00:53:46pour
00:53:48élections.
00:53:50Donc, entre-temps Adélaïa
00:53:52le grand
00:53:54un dialogue
00:53:56avec
00:53:58avec
00:54:00avec
00:54:02des ministères
00:54:04avec budget. Donc Adélaïa
00:54:06entre-temps
00:54:08la
00:54:10la
00:54:12l'assemblée
00:54:14de la
00:54:16la
00:54:18le
00:54:20le
00:54:22le
00:54:24le
00:54:26le
00:54:28le
00:54:30le
00:54:32le
00:54:34le
00:54:364 circonscriptions de la capitale, 4 circonscriptions de Pau, lui, nous pêchons 12 députés, nous pêchons 200 000 habitants, nous pêchons 112 élus qui peuvent gagner potentiellement dans la capitale, 1 des 3, 4.
00:54:53Nous pêchons pas au mien un président du MSM, nous pêchons pas au mien, nous pêchons un vice-premier ministre en la personne d'honneur à nous.
00:55:00Et il n'y a personne pour lui qui gagne la parole, comme orateur, au meeting vacuoir pour le MSM, je trouve ça extrêmement choquant.
00:55:09Et ça, les tellings, ça, qui considération, ce gouvernement-là, il y en a pour la capitale, pour Pau, lui, en entier.
00:55:17Oui, oui, définitivement.
00:55:24Non, non, moi, je ne cause pas la capitale, pas dire quelque chose qui ne m'a pas entier, moi, je ne m'en écoute pas, je ne pêche pas.
00:55:28Non, non, moi, je comprends très bien.
00:55:34Adil, Adil, Adil, Adil, Adil, Adil, Adil.
00:55:37Ce qu'on veut dire, c'est que nous, au niveau du gouvernement, nous ne travaillons pas comme si, par comportement, le pays.
00:55:47Nous faisons ça, nous faisons ça, nous faisons ça, nous travaillons et nous gagnons le pays dans l'ensemble.
00:55:56Ce n'est pas pour choisir maintenant qui, parce qu'ils vont dans telle région, mais où ils gagneront la parole, ou pas dans la région-là, ou pas gagneront la parole.
00:56:04Nous faisons une donnée d'occasion à tous les leaders de nous, nos alliés, causés, bien sûr le ministre du Travail, qui fait le président de ça.
00:56:17Nous faisons une donnée aussi à la dame, pour qu'elle ait l'occasion de passer un message, et bien sûr le leader, le premier ministre.
00:56:26Donc, pour nous, nous disons un message important, dans le cadre de cette journée-là, nous faisons intervenir, nous disons à nos alliés que nous les respectons.
00:56:37Nous, aussi, nous avons le droit de respecter à tous les partisans qui viennent nous déplacer tous les matins, pour qu'ils aient l'occasion d'écouter ce message-là.
00:56:47Nous n'avons pas l'envie, comment dire, de faire vingt-dix personnes causées pour deux minutes, trois minutes, après l'allocation d'un message important.
00:56:55Oui, mais quand même, un peu bizarre, honnête. Un président parti pas causé d'un meeting national, jamais on ne trouve ça.
00:57:03Ça, c'est ben pire.
00:57:04Et, vous savez, le gouvernement, il fait un choix, et Maudit a dit, il fait un choix par rapport à ces circonstances, et on va aller plus en détail là.
00:57:15Mais, pour me redire encore une fois, nous ne nous inquiétons pas par rapport à ces conscriptions, nous inquiétons l'ensemble, parce que nous, nous travaillons pour le pays dans l'ensemble.
00:57:22Et nous ne nous inquiétons pas de sa manière, comme on dit, le micro, nous nous inquiétons de sa manière-là, et ça n'est pas correct, quand on commence à amener ça à un autre niveau.
00:57:32Donc, Adil Mian, l'opposition, là, pour le moment, entre budget et élection générale, donc, quel est votre rôle ? Là, vous continuez à faire votre campagne ?
00:57:48Et bien, nous, l'opposition, notre rôle dans la démocratie, c'est de critiquer le gouvernement.
00:57:55Mais aussi, l'opposition, c'est quoi, dans la démocratie ? C'est l'alternance au gouvernement.
00:57:59Et c'est pour cela que l'opposition, nous ne pouvons seulement critiquer, mais nous nous vinons aussi avec 20 mesures fortes, qui nous annonçaient au public, et qui nous pouvaient mettre en place pour le prochain gouvernement qui nous pouvait former.
00:58:17Donc, nous ne pouvons seulement critiquer, nous ne pouvons pas faire des attaques personnelles, mais nous nous venons avec 20 mesures.
00:58:27Et moi, quand je suis là-bas, quand nous annonçons ces mesures-là, la foule, elle répond à ce qu'elle a gagné quand elle a vu l'ambulance.
00:58:33Vraiment extraordinaire, parce qu'elle annonce des mesures qui toussent tout le monde, qui toussent tous les Mauritiens.
00:58:41Deuxièmement, le travail continue au Parlement.
00:58:44Tout à l'heure, nous avons volé au Parlement, beaucoup de gens m'ont pensé que le Parlement était à tous les pics.
00:58:49Mais nous n'avons pas piqué, nous n'avons pas piqué le travail qui continue au Parlement.
00:58:53Nous continuons à accueillir le gouvernement.
00:58:55L'opposition a le droit de poser des questions, de poser des questions sur l'intérêt public, de poser des questions sur la taxe payeuse-monnaie, qu'elle peut faire avec nos casques.
00:59:04Et là, quand on parle de la taxe payeuse-monnaie, nous savons que le gouvernement a un peu plus de 50% d'actions dans les SBM.
00:59:13Je trouve ça dans le journal aujourd'hui.
00:59:15M. Maman, je n'ai pas trop écouté le journal, mais je vous ai demandé si ce n'est pas vrai ou bien faux.
00:59:20Apparemment, State Bank a financé ça pour qu'ils puissent faire un meeting MSMG.
00:59:26Pourquoi ça?
00:59:29Je trouve ça dans le journal Express aujourd'hui.
00:59:34Est-ce qu'il n'y a pas d'employé qui travaille dans State Bank?
00:59:36Non, il n'y en a pas un.
00:59:38Il y en a pas un, il y en a une photo avec plusieurs des gens qui ont des casques.
00:59:44Les clients SBM ont des casques de 9.000 grammes.
00:59:49Tu ne peux même pas dire qu'on est dans le journal et qu'on a des casques de 9.000.
00:59:53Dans le journal, il n'y en a pas un casque de 9.000.
00:59:57Je ne sais pas si c'est un casque de 9.000 ou pas.
01:00:03Je ne suis pas d'accord avec ça.
01:00:07C'est un grand événement.
01:00:10C'est un grand événement.
01:00:12La banque a offert des t-shirts et des casquettes.
01:00:17Je ne suis pas d'accord avec ça.
01:00:20En tout cas, State Bank n'en a pas un.
01:00:23En tout cas, State Bank n'en a pas un.
01:00:25Je ne peux pas dire qu'on est dans une grande manifestation religieuse.
01:00:31Je trouve qu'il n'y en a pas un.
01:00:33Religieuse, pas politique.
01:00:35Mais ces gens-là aussi, ils ne peuvent pas continuer à se servir de ces casquettes-là.
01:00:40C'est l'article 1,9.
01:00:42Pourquoi ça?
01:00:44En tout cas, je ne connais que 20 mesures qui sont annoncées.
01:00:49Comment dire ça?
01:00:51En tout cas, pour démontrer un petit peu de quelle manière...
01:00:54Surtout le docteur Ramboulam, quand il annonce des affaires,
01:00:57il nous apprend ça avec beaucoup de réserve.
01:01:01On va trouver dans ces 20 mesures-là des petites causes.
01:01:05Quelques-uns de ceux-là, ils peuvent faire un grand immune,
01:01:08un billet d'avion pour aller à La Réunion.
01:01:10On va trouver ça là-dedans.
01:01:12Mais qu'est-ce qui est arrivé?
01:01:14Ces mesures-là ne font plus partie des priorités.
01:01:18Ce qu'il faut dire, c'est qu'il annonce des affaires,
01:01:21mais pas nécessairement qu'il croit là-dedans ou qu'il les implémente.
01:01:26C'est ça qui fait la différence.
01:01:28La population connaît qu'elle ne peut pas croire au docteur Ramboulam
01:01:33quand il dit quelque chose.
01:01:35On ne peut pas dire qu'il y a un ancien ministre du gouvernement Ramboulam
01:01:40qui va lui donner sa parole.
01:01:44On disait répondre à ceux qui me disaient qu'on trouvait ces 20 mesures-là
01:01:51une fatigue terrible, parce qu'il y a des périls de l'eau là à chaque fois.
01:01:54Non, mais on fait une cause de l'eau là.
01:01:57Deuxièmement, ces 20 mesures-là, priorité,
01:02:02ce n'est pas le programme gouvernemental de l'Agence Travail.
01:02:07Et pourtant, il s'annonce ça.
01:02:09Mais il n'est pas prioritaire.
01:02:13D'accord.
01:02:18Bien sûr, nous pouvons travailler.
01:02:21Et quand il paraît, on peut avoir une copie de sa programme.
01:02:24Dans un autre volet de l'émission, Adil Nia ne échappe à ça la veille 1er mai.
01:02:32Donc, le lundi dernier, Adil Nia, au WIP MMM,
01:02:35et que selon OU, WIP l'opposition Patrick Assavadang et Echanjumon,
01:02:40si je peux le mettre comme ça,
01:02:42parce qu'il n'y a jamais eu de fonctionnaire
01:02:45qui a été tiré au sort d'une question parlementaire.
01:02:48Est-ce qu'il faut dire que durant l'exercice...
01:02:51Non, non, il ne faut pas pousser.
01:02:53Il n'y a jamais eu de fonctionnaire.
01:02:55Nous, là-bas, c'est-à-dire moi, en tant que WIP MMM,
01:02:58et bien sûr Patrick Assavadang, le WIP officiel de l'opposition,
01:03:03et camarades Echanjumon, nous dans l'ensemble.
01:03:05Il faut dire qu'il y en a un là-bas.
01:03:07Depuis quelques temps, surtout depuis que le Parlement est rentré là,
01:03:10après les vacances de décembre,
01:03:13nous pouvons trouver de bonnes questions aux premiers ministres.
01:03:17Pourtant, il y en a 25, 10 personnes de l'opposition
01:03:21qui sont capables de poser des questions.
01:03:23Il y en a eu beaucoup de questions aux premiers ministres.
01:03:25Alors qu'il y a un gouvernement, je ne vais pas citer deux mais moi,
01:03:28qui n'a pas à me faire rire, bien un ou bien deux,
01:03:30il y en a 3, 4, bien 5 à la rigueur de députés
01:03:34qui sont capables de poser des questions.
01:03:36Sinon, les restes, ils n'ont pas une fonction officielle,
01:03:38ministre, PPS, etc., qui n'ont pas le droit à poser des questions.
01:03:41Donc, nous devons trouver régulièrement,
01:03:44je ne sais pas jouer un tour sur la question numéro un,
01:03:47je ne sais pas, l'honorable doublable sur la question,
01:03:51pour le premier ministre, le numéro un,
01:03:53puis aller même comme ça.
01:03:55Et moi, je me dis, Franck, quand je trouve ça,
01:03:57je me dis, il y a un petit ras-de-sauce,
01:03:59il n'est pas capable qu'il y ait, entre guillemets, un tricage.
01:04:04C'est pour ça que j'ai trouvé qu'il n'y en a pas sur place.
01:04:08Mais quand il n'y en a pas sur place,
01:04:10mais je ne parlais quoi en mollisier ?
01:04:12Pourquoi je ne parlais quoi en mollisier ?
01:04:14Parce que nous sommes d'accord,
01:04:17et ça, peut-être, le speaker aussi, l'acting clerk,
01:04:20va-t-il réaliser que nous sommes d'accord,
01:04:23et qu'il y a un accord qui est signé,
01:04:26le 18 mars 2020,
01:04:28et c'est le tableau de l'Assemblée nationale,
01:04:30le 29 mars 2020.
01:04:33« Does agreement lack enun ? »
01:04:35Paragraphe 3.
01:04:37« Each individual question will be allocated a specific number. »
01:04:42Ça veut dire, chaque question, l'hypoéna est numéro.
01:04:46Après, il y a la paragraphe 4.
01:04:48« The shuffling will be conducted and questions ranking will be set
01:04:51as per the drawing of lot results.
01:04:55Example, the first number coming out of the shuffle
01:04:58will be ranked at first PQ in order. »
01:05:01Comme si on allait sans question,
01:05:04on prend ça, on le met dans la boîte,
01:05:06après on tire, tel numéro qui sort,
01:05:08c'est par numéro 20, et il y a un numéro.
01:05:10Deuxième numéro, numéro 40, il y a un numéro.
01:05:12Il y a un lime comme ça.
01:05:13C'est une affaire faite, c'est une affaire juste,
01:05:15c'est une affaire qui peut marcher.
01:05:17Mais quand on y va, on dit,
01:05:19et on trouve, comme si on mettait une sans Z,
01:05:23sans nous l'accorder,
01:05:25sans nous mettre au courant,
01:05:27on trouve qu'il y a un code qui apparaît.
01:05:30Là, on dit, ok,
01:05:32si il y a un code qui apparaît,
01:05:34on peut dire qu'il y a un code ou un numéro,
01:05:36mais si ce code-là correspond à une question,
01:05:38fair enough, là, c'est bon.
01:05:40Mais à nos grands étonnements,
01:05:42ce code-là, juste le speaker qui en a ça,
01:05:45il est tout seul capable de décoder ça.
01:05:47Je dis que c'est l'acting clock,
01:05:49mais finalement, qui s'en a décidé,
01:05:51qui code pour telle question, c'est le speaker.
01:05:53Là, on dit qu'il n'est pas d'accord.
01:05:55Là, on dit que c'est incroyable.
01:05:57Je dis que ce n'est pas un drawing of the lot.
01:06:00Et là, on proteste d'une sorte,
01:06:02jusqu'à ce qu'on tire de ces questions,
01:06:05qu'on les laisse là-bas,
01:06:07qu'on les mette là-bas,
01:06:09jusqu'à ce que le speaker,
01:06:11l'ingénieur là-dedans,
01:06:13peut faire ça d'une façon antidémocratique,
01:06:15et qu'on n'accepte pas ça.
01:06:17Je dis que c'est une affaire qui est déraisonnable.
01:06:20Ces affaires-là,
01:06:22je le disais au départ,
01:06:24c'est impossible de tirer de ça.
01:06:26Mais quand on est là-bas,
01:06:28il n'y a pas de tirage de ça.
01:06:30Il n'y a pas de tirage de ça aujourd'hui.
01:06:32C'est le speaker qui décide tout.
01:06:34Jamais auparavant,
01:06:36fin d'arriver dans le Parlement,
01:06:38le speaker n'a pas décidé
01:06:40qui s'en a posé la question,
01:06:42le premier, le second, le troisième, le quatrième.
01:06:44Il n'y a pas de stand-in.
01:06:46C'est bon que moi,
01:06:48je me sente record right,
01:06:50parce que ce qu'il a dit,
01:06:52il peut le dire,
01:06:54et je trouve ça aussi un petit peu déplacé.
01:06:56Enfin, pas dit,
01:06:58mais ce bon collègue
01:07:00fait une attaque
01:07:02aux fonctionnaires de l'Assemblée.
01:07:04Et ça, il n'est pas correct, encore une fois.
01:07:06Les bons comprennent
01:07:08que cette affaire de tirage de ça
01:07:10finit d'arriver,
01:07:12parce qu'il y a un moment donné,
01:07:14un député qui envoie la question,
01:07:16on l'envoie en avance,
01:07:18il a dit le contrat très bien,
01:07:20et à un moment donné,
01:07:22un député, il a quatre questions,
01:07:24un à la file, et il monopolise
01:07:26un petit peu la session, la séance.
01:07:28Un moment donné, j'avais ça,
01:07:30Ragu Bar Time, on rappelle,
01:07:32et à un moment donné,
01:07:34Ousmane m'a remis dessus, il dit, si tu peux faire ça,
01:07:36on avance, si on reçoit une question,
01:07:38c'est une question de first come, first serve.
01:07:40Après, il y a un moment
01:07:42où tu peux envoyer une question
01:07:44par mail,
01:07:46et bien sûr, tu as un député
01:07:48qui est capable d'envoyer une question,
01:07:50tu lui envoies une question
01:07:52à l'heure qui vise, et tu peux essayer
01:07:54de faire en sorte que la question arrive
01:07:56en premier, à l'heure
01:07:58où ça a ouvert.
01:08:00Et ça,
01:08:02à un moment donné, cause un problème,
01:08:04et ce que tu comprends,
01:08:06c'est un peu bugging,
01:08:08il n'est pas capable d'arriver
01:08:10dans l'espace de seconde,
01:08:12alors,
01:08:14c'est une contestation
01:08:16de la part du député qui
01:08:18demande une question.
01:08:20Et c'est comme ça qu'après,
01:08:22il y a
01:08:24une discussion,
01:08:26et ça débouche
01:08:28sa formule de tirage au sort.
01:08:30Il y a une période
01:08:32où
01:08:34tu supposes qu'il y a une question,
01:08:36pour la séance suivante,
01:08:38et à partir de là,
01:08:40la question est régroupée.
01:08:42C'est un livre, c'est un livre factuel.
01:08:44Mais parce que,
01:08:46à partir de là,
01:08:48pour donner l'occasion,
01:08:50justement,
01:08:52qu'il y ait tous les députés
01:08:54qui ont le droit de poser des questions,
01:08:56qu'il y ait un jeu de sens pour les questions passées,
01:08:58donc, il faut faire comme si,
01:09:00une fois qu'ils ont eu une solution
01:09:02en premier,
01:09:04il faudrait qu'il y ait tous les camarades
01:09:06qui ont posé des questions passées,
01:09:08et qu'ils reviennent.
01:09:10Après comme ça, il n'y a pas de rotation.
01:09:12Alors là,
01:09:14le camarade Adil,
01:09:16il peut dire comme ça, mais,
01:09:18il se fait étonner,
01:09:20c'est d'un temps, il se trouve,
01:09:22qu'il y a un membre du gouvernement
01:09:24qui a choisi la première question.
01:09:26Ce n'est pas vrai du tout.
01:09:28Il y a des trois dernières sessions
01:09:30où il a dit non.
01:09:32La semaine dernière, c'est Ritesh Ramphol,
01:09:34c'est la semaine où il est né précédemment.
01:09:36Ritesh Ramphol,
01:09:38qui a choisi la première question
01:09:40pour lui poser.
01:09:42Il y a,
01:09:44je crois,
01:09:46il y a deux mois aussi,
01:09:48qu'il y a eu un premier
01:09:50qui a posé une question.
01:09:52Ça c'est au niveau
01:09:54de la question adressée au premier ministre.
01:09:56Mais quand vous avez une question adressée
01:09:58au ministre, pareil encore une fois,
01:10:00vous trouvez un camarade de l'opposition,
01:10:02votre premier.
01:10:04Donc ce n'est pas vrai de dire comme ça.
01:10:06D'ailleurs,
01:10:08il y a des tirages qui nous permettent,
01:10:10il n'y a pas d'autre sens,
01:10:12de poser la question.
01:10:14Mais tirage au sort,
01:10:16c'est un tirage au sort.
01:10:18Ça m'arrive à ce qu'il me peut dire.
01:10:20Maintenant,
01:10:22on peut dire comme ça,
01:10:24ça faume une lapin de marassé.
01:10:26C'est...
01:10:28Non, pas dire faume une lapin de marassé.
01:10:30Là, tu peux me marasser.
01:10:32Tirage au sort, là, tu peux me marasser.
01:10:34On peut dire comme ça,
01:10:36maintenant,
01:10:38c'est le
01:10:40acting clerk
01:10:42qui peut manipuler ma question
01:10:44et qui, maintenant,
01:10:46c'est ça qui peut faire
01:10:48qu'un membre du gouvernement
01:10:50qui peut gagner un premier choix
01:10:52propose une question.
01:10:54Mais nous, nous avons les faits.
01:10:56Oui, le système a un sens.
01:10:58Si c'était le cas,
01:11:00Adil, si c'était le cas...
01:11:02Non, mais il y a quelque chose qui fait une venue.
01:11:04Parce qu'il n'y a pas une question controversée.
01:11:06Parce qu'il y a quelque chose qui fait...
01:11:08Attends, attends.
01:11:10Le fait, nous n'avons pas
01:11:12enseigné. Nous n'avons pas enseigné
01:11:14à dire comme ça.
01:11:16C'est-à-dire, maintenant, ce qu'il va me dire,
01:11:18c'est qu'il va expliquer la code,
01:11:20l'icône de la question.
01:11:22Exactement, c'est ce qui nous fait déplorer.
01:11:24Aujourd'hui, maintenant, ça va faire que sa question
01:11:26ne peut pas tenir l'autre.
01:11:28Aujourd'hui, il tire un numéro,
01:11:30il explique, tu sais, il a une code pour sa numéro.
01:11:32Là, ça veut dire qu'on nous parle
01:11:34avant que
01:11:36en place,
01:11:38on peut dire
01:11:40qu'on ne connaît pas.
01:11:42On peut dire ça à l'enseignement.
01:11:44C'est-à-dire qu'aujourd'hui,
01:11:46les gens qui nous parlent connaissent ce numéro,
01:11:48ils tirent un numéro qui fait
01:11:50un sens à ce système-là.
01:11:52Peut-être qu'on ne connaît pas.
01:11:54À l'enseignement, c'est ce qu'il m'avait dit.
01:11:56Je suis à la place. Ce système-là
01:11:58est insensé.
01:12:00Est-ce qu'ils...
01:12:02Est-ce qu'ils restent là-bas parce qu'il y a
01:12:04un gimmick? Il y a un joke?
01:12:06Il y a plein de tirages aussi.
01:12:08Avant, on libérait les questions.
01:12:10C'est pas tout.
01:12:12C'est le premier ministre.
01:12:14Là, ça libérait les questions. Là, c'est un numéro.
01:12:16Tu peux pleurer tout ça dans un petit papier
01:12:18dans une boîte. Comment?
01:12:20Mettre la main dans la boîte, n'importe qui s'en a.
01:12:22Parfois, oui. Parfois, oui, le gouvernement, n'importe qui s'en a.
01:12:24Mettre la main dans la boîte.
01:12:26Et le papier-là, tu pleurais bien
01:12:28parce qu'il trouvait le numéro. Pareil comme un vrai tirage aussi.
01:12:30Et t'es le numéro, tu peux ça aussi.
01:12:32Et t'es arrivé, enfin, avec un camarade gouverneur.
01:12:34Tu peux être le premier, un camarade de l'opposition.
01:12:36Mais qu'au moins, ils tiennent un vrai tirage aussi.
01:12:38Ils ont dit qu'ils libéraient les questions.
01:12:40On va redire encore une fois,
01:12:42Adil.
01:12:44Si c'était le cas, c'est le cas.
01:12:46N'oubliez pas que si vous trouvez un camarade de l'opposition,
01:12:48c'est la première fois.
01:12:50Je vous lance une invitation.
01:12:52Je vous lance une invitation.
01:12:54Il peut y avoir une question bassine.
01:12:56Écoute-moi.
01:12:58Tu peux mettre l'emphase là.
01:13:00Je suis le premier.
01:13:02Moi, mon pédiateur, comme ça,
01:13:04vienne là-bas. Vienne là-bas,
01:13:06m'accrédite, vienne assister sa dévisite
01:13:08pour voir si tu n'as pas menti.
01:13:10De tout temps, on me reconnaît aussi.
01:13:12À chaque fois
01:13:14qu'il y a un réchauffement là,
01:13:16les députés
01:13:18de l'opposition, comme les députés
01:13:20du gouvernement, sont appelés
01:13:22pour venir, allons dire,
01:13:24assister à ce tirage-là.
01:13:26Tout d'un coup, j'ai trouvé
01:13:28que j'obéissais comme ça.
01:13:30L'exercice-là est une faussie.
01:13:32Il ne fait que changer.
01:13:34Il ne fait que changer l'exercice-là.
01:13:36C'est à la rentrée.
01:13:38Tu peux dire comme ça, il ne fait que changer.
01:13:40Tu peux mettre l'emphase.
01:13:42Il n'y a pas une question.
01:13:44Mais moi, mon pédiateur,
01:13:46factuellement, c'est l'agreement
01:13:48qui nous est là. Il n'est plus tenu à la route.
01:13:50Mais vous êtes comme parlementaire.
01:13:52Vous êtes comme parlementaire.
01:13:54Qu'est-ce qu'il y a d'autre?
01:13:56Qu'est-ce qu'il y a d'autre?
01:13:58Nous avons un homme de loi
01:14:00qui nous peut demander.
01:14:02Tout le monde a une chance pareille.
01:14:04Remettre ça là en place,
01:14:06il y a 100 questions.
01:14:08Mettre tous les 100 questions dans une boîte,
01:14:10c'est qu'il tire.
01:14:12Il n'est pas capable.
01:14:14Il peut tirer un code.
01:14:16Et ce code-là, il n'est pas capable
01:14:18d'établir-le pour que les questions n'y soient pas posées.
01:14:20Remettre en question, ça formula.
01:14:22Donc,
01:14:26Moi, j'ai pensé les deux bonnes fois
01:14:28parce qu'il est parti de là, il n'est pas assisté,
01:14:30il n'est pas connu.
01:14:32Si on lance une invitation,
01:14:34un membre du gouvernement,
01:14:36il n'est pas assisté, il ne sait pas connaître
01:14:38sa zone. Quand il tire son numéro,
01:14:40il demande
01:14:42mais son numéro ne le fait que tirer là.
01:14:44Son code ne le fait que tirer là.
01:14:46Mais quelles questions étaient-ce?
01:14:48On va faire une réunion
01:14:50dans 3 minutes.
01:15:18Sous-titrage ST' 501
01:15:48Sous-titrage ST' 501
01:16:18Sous-titrage ST' 501
01:16:48Sous-titrage ST' 501
01:17:18Sous-titrage ST' 501
01:17:48Donc, qu'est-ce qui se passe ensuite?
01:17:50Est-ce que je peux continuer, par exemple,
01:17:52la semaine prochaine?
01:17:54Je peux faire des affaires?
01:17:56Moi, je ne peux rien insister.
01:17:58Nous avons un accord.
01:18:00Un accord qui définit
01:18:02comment faire tirage aussi.
01:18:04C'est un accord qui est cadu
01:18:06parce que le Speaker
01:18:08décide de négliger ce système-là.
01:18:10Mais comment est-ce qu'on peut
01:18:12accepter ça?
01:18:14Est-ce que le Speaker a le droit
01:18:16de prendre une décision
01:18:18sans consulter
01:18:20les parlementaires?
01:18:22Que ce soit au gouvernement,
01:18:24que ce soit au parlement.
01:18:26Par exemple, un exercice comme ça.
01:18:28Ce qui peut avancer par
01:18:30camarades Adil,
01:18:32ce qui me connaît, moi,
01:18:34c'est un exercice là
01:18:36d'y faire d'une manière
01:18:38très transparente.
01:18:40Le fait d'avoir accusé
01:18:42un officier, un fonctionnaire
01:18:44de l'Assemblée,
01:18:46il paraît injuste.
01:18:48Non, il n'est pas l'accusé.
01:18:50Non, Adil, pas ici.
01:18:52Non, il n'est pas l'accusé.
01:18:54C'est le Speaker qui fidèle avec ça.
01:18:56Ou même, vous savez un mot
01:18:58vis-à-vis de l'Acting Clerk.
01:19:00Je me rappelle le mot-là.
01:19:02C'est un mot assez fort.
01:19:04Assez fort.
01:19:06C'est pas correct ou injustement.
01:19:08Quand on n'a pas connu les faits
01:19:10comment ils étaient, on est capable
01:19:12de faire un commentaire pareil.
01:19:14Mais les faits sont là.
01:19:16Pour accuser, Adil,
01:19:18nous sommes dans le Parlement
01:19:20pendant de longues années.
01:19:22Nous faisons tout de la manière
01:19:24que l'Acting Clerk travaille.
01:19:26C'est des gens qui travaillent
01:19:28en toute honnêteté.
01:19:30C'est des gens qui font le travail
01:19:32avec une neutralité.
01:19:34Nous, nos problèmes, c'est le Speaker.
01:19:36C'est pas le Clerk.
01:19:38Vous n'avez pas fait ça et rien.
01:19:40C'est le Speaker, non?
01:19:46Adil, il ne dit pas ça.
01:19:48Adil, il rectifie.
01:19:52C'est bien.
01:19:54C'est pas lui.
01:19:56Non, je ne dis pas ça.
01:19:58C'est pour ça qu'il me dit
01:20:00que je fais le travail
01:20:02en toute intégrité.
01:20:04Il y a énormément de corrections
01:20:06à faire.
01:20:08C'est pour ça qu'il me dit
01:20:10que je fais le travail
01:20:12en toute intégrité.
01:20:14C'est bien.
01:20:16C'est bien.
01:20:18C'est bien.
01:20:20C'est bien.
01:20:22C'est bien.
01:20:24C'est bien.
01:20:26C'est bien.
01:20:28C'est bien.
01:20:30C'est bien.
01:20:32C'est bien.
01:20:34C'est bien.
01:20:36C'est bien.
01:20:38C'est bien.
01:20:40C'est bien.
01:20:42C'est bien.
01:20:44C'est bien.
01:20:46C'est bien.
01:20:48C'est bien.
01:20:50C'est bien.
01:20:52C'est bien.
01:20:54C'est bien.
01:20:56C'est bien.
01:20:58C'est bien.
01:21:00C'est bien.
01:21:02C'est bien.
01:21:04C'est bien.
01:21:06C'est bien.
01:21:08C'est bien.
01:21:10C'est bien.
01:21:12C'est bien.
01:21:14C'est bien.
01:21:16C'est bien.
01:21:18C'est bien.
01:21:20C'est bien.
01:21:22C'est bien.
01:21:24C'est bien.
01:21:26C'est bien.
01:21:28C'est bien.
01:21:30C'est bien.
01:21:32C'est bien.
01:21:34C'est bien.
01:21:36C'est bien.
01:21:38C'est bien.
01:21:40C'est bien.
01:21:42C'est bien.
01:21:44C'est bien.
01:21:46C'est bien.
01:21:48C'est bien.
01:21:50C'est bien.
01:21:52C'est bien.
01:21:54C'est bien.
01:21:56C'est bien.
01:21:58C'est bien.
01:22:00C'est bien.
01:22:02C'est bien.
01:22:04C'est bien.
01:22:06C'est bien.
01:22:08C'est bien.
01:22:10C'est bien.
01:22:12C'est bien.
01:22:14C'est bien.
01:22:16C'est bien.
01:22:18C'est bien.
01:22:20C'est bien.
01:22:22C'est bien.
01:22:24C'est bien.
01:22:26C'est bien.
01:22:28C'est bien.
01:22:30C'est bien.
01:22:32C'est bien.
01:22:34C'est bien.
01:22:36C'est bien.
01:22:38C'est bien.
01:22:40C'est bien.
01:22:42C'est bien.
01:22:44C'est bien.
01:22:46C'est bien.
01:22:48C'est bien.
01:22:50C'est bien.
01:22:52C'est bien.
01:22:54C'est bien.
01:22:56C'est bien.
01:22:58C'est bien.
01:23:00C'est bien.
01:23:02C'est bien.
01:23:04C'est bien.
01:23:06C'est bien.
01:23:08C'est bien.
01:23:10C'est bien.
01:23:12C'est bien.
01:23:14C'est bien.
01:23:16C'est bien.
01:23:18C'est bien.
01:23:20C'est bien.
01:23:22C'est bien.
01:23:24C'est bien.
01:23:26C'est bien.
01:23:28C'est bien.
01:23:30C'est bien.
01:23:32C'est bien.
01:23:34C'est bien.
01:23:36C'est bien.
01:23:38C'est bien.
01:23:40C'est bien.
01:23:42C'est bien.
01:23:44C'est bien.
01:23:46C'est bien.
01:23:48C'est bien.
01:23:50C'est bien.
01:23:52C'est bien.
01:23:54C'est bien.
01:23:56C'est bien.
01:23:58C'est bien.
01:24:00C'est bien.
01:24:02C'est bien.
01:24:04C'est bien.
01:24:06C'est bien.
01:24:08C'est bien.
01:24:10C'est bien.
01:24:12C'est bien.
01:24:14C'est bien.
01:24:16C'est bien.
01:24:18C'est bien.
01:24:20C'est bien.
01:24:22C'est bien.
01:24:24C'est bien.
01:24:26C'est bien.
01:24:28C'est bien.
01:24:30C'est bien.
01:24:32C'est bien.
01:24:34C'est bien.
01:24:36C'est bien.
01:24:38C'est bien.
01:24:40C'est bien.
01:24:42C'est bien.
01:24:44C'est bien.
01:24:46C'est bien.
01:24:48C'est bien.
01:24:50C'est bien.
01:24:52C'est bien.
01:24:54C'est bien.
01:24:56C'est bien.
01:24:58C'est bien.
01:25:00C'est bien.
01:25:02C'est bien.
01:25:04C'est bien.
01:25:06C'est bien.
01:25:08C'est bien.
01:25:10C'est bien.
01:25:12C'est bien.
01:25:14C'est bien.
01:25:16C'est bien.
01:25:18C'est bien.
01:25:20C'est bien.
01:25:22C'est bien.
01:25:24C'est bien.
01:25:26C'est bien.
01:25:28C'est bien.
01:25:30C'est bien.
01:25:32C'est bien.
01:25:34C'est bien.
01:25:36C'est bien.
01:25:38C'est bien.
01:25:40C'est bien.
01:25:42C'est bien.
01:25:44C'est bien.
01:25:46C'est bien.
01:25:48C'est bien.
01:25:50C'est bien.
01:25:52C'est bien.
01:25:54C'est bien.
01:25:56C'est bien.
01:25:58C'est bien.
01:26:00C'est bien.
01:26:02C'est bien.
01:26:04C'est bien.
01:26:06C'est bien.
01:26:08C'est bien.
01:26:10C'est bien.
01:26:12Donc, il y a des exportations qui continuent ou ça, il y a des problèmes avec la production locale à cause des conditions météorologiques.
01:26:19Donc, il y a des importations.
01:26:20Oui, des importations.
01:26:21Bon, nous tous connaissons depuis l'année dernière, d'ailleurs depuis novembre l'année dernière, nous avons eu des temps qui n'étaient pas favorables pour l'agriculture.
01:26:32Nous avons eu des cyclones en février, janvier-février, nous avons eu de mauvaises températures, une grosse pluie.
01:26:38Et bien sûr, ça cause beaucoup de dégâts pour nous, l'agriculture.
01:26:43Et ce n'est pas un phénomène qui est nouveau.
01:26:45A chaque fois qu'il y a un cyclone, à chaque fois qu'il y a un mauvais temps qui affecte la production, il y a une répercussion sur le prix des légumes.
01:26:53Et raison pour laquelle, cette fois-ci, quand la production est affectée,
01:27:00nous avons demandé à l'AMB d'importer un certain nombre de légumes, qui sont en grande consommation pour les consommateurs, et qui nous mettent un prix subventionné.
01:27:10Et c'est comme ça que nous avons eu l'occasion d'essayer d'alléger un peu ce problème pour les consommateurs, pour que ces légumes aient un prix abordable.
01:27:22Et nous avons fait ça, et nous avons aussi dit qu'il nous faut un peu d'aide aussi, avant de planter, pour qu'on puisse rapidement retourner vers notre plantation,
01:27:32recommencer à produire, pour recommencer à supplier le marché avec nos produits agricoles.
01:27:39Et nous avons dit, bien sûr, qu'il y a des produits qui peuvent arriver très vite, ça dépend du cycle.
01:27:44Il y a des produits qui prennent une semaine, des produits qui prennent deux semaines, et d'autres trois mois aussi, pour les tarifs sur le marché,
01:27:50et pour une normalisation de la production, et bien sûr, pour réfléter le prix.
01:27:56Et nous avons trouvé une situation qui est normalisée pour la plupart des produits, et c'est pour ça que nous avons trouvé une baisse dans le prix des légumes.
01:28:06Et c'est pour ça que nous, nous avons tout le temps encouragé les gens à aller vers ce qu'on appelle le shelter farming.
01:28:13C'est une manière de protéger une culture qui est incroyable.
01:28:18Par contre, il y a un cyclone malheureusement, nous avons trouvé aussi qu'il y a des infrastructures qui sont endommagées.
01:28:23Mais il y a aussi d'autres infrastructures qui sont disponibles, qui résistaient à la brise qui affectait les infrastructures qui nous étaient normales dans le pays.
01:28:38Donc tout ça, c'est quelque chose qui nous permet maintenant d'adapter avec ces nouvelles conditions.
01:28:44Pourquoi nous tout réaliser que le climat n'est pas changé ?
01:28:49C'est parce que Camorice, c'est le monde entier qui peut faire face, il y a un jour qui passait.
01:28:54Il y a un jour qui passait, dans ce monde-là, que toi, toi, un pays, tu étais affecté par une catastrophe naturelle liée au climat.
01:29:03Donc personne n'est pas épargné.
01:29:05Et c'est un secteur qui a de gros risques, et c'est la raison pour laquelle le gouvernement,
01:29:09nous devons tout le temps soutenir ce secteur-là pour pouvoir permettre de continuer de produire.
01:29:15Parce que nous devons nourrir nos populations, et nous le savons tous, nous vivons une période de Covid,
01:29:21de toute façon, quand le mouvement de trafic aérien ou maritime l'a affecté, de toute façon, nous pouvons exposer,
01:29:28mais il y a un gros risque de manque de produits alimentaires.
01:29:33Mais heureusement qu'il y a un secteur agricole qui, fin récit,
01:29:38permet de s'équilibrer suffisamment pour pouvoir nourrir la population,
01:29:44et nous devons continuer à améliorer.
01:29:47Aujourd'hui, il y a beaucoup de nouvelles techniques qu'il faut mettre en place pour pouvoir
01:29:53revoir nos manières d'agriculture.
01:29:57Il y a des produits qui nous servent pour pouvoir protéger la culture.
01:30:05Et il y a des nouvelles infrastructures qui ont un prix beaucoup plus abordable,
01:30:10c'est-à-dire qu'on peut permettre aux plantations de rentrer là-dedans.
01:30:14Donc il y a une série d'incentives sur lesquelles nous travaillons.
01:30:18Et j'espère que dans le cadre de mes mesures budgétaires, nous pourrons avoir l'occasion,
01:30:23moi aussi, pour en faire mention là, d'avoir une consultation avec le ministre actuellement.
01:30:27Et moi aussi, je pourrai avoir l'occasion de discuter avec le ministre pour faire certaines propositions
01:30:32dont le but, justement, est d'assurer une certaine sécurité alimentaire pour la population de notre République.
01:30:38Donc, le budget Pévini a grand pas aussi pour les élections du 13 mai.
01:30:43Deadline, le site de vacances.
01:30:46Adil Amiamia, le mot de la fin.
01:30:49Donc après le 1er mai, là, le gros travail commençait pour MSM,
01:30:54Poches Travaillistes, MMM et tous les autres partis politiques.
01:30:57Le mot de la fin pour moi, vivement l'élection générale.
01:31:01Comme on dit, le pays pleure pour l'élection générale,
01:31:05surtout après le renvoi des élections municipales,
01:31:08qui aurait été dit en 2020.
01:31:11Mais je vous le dis, non, en 2024, sous prétexte réforme électorale,
01:31:15pas de fait d'élection municipale.
01:31:17Maintenant, je vais vous dire, quand il arrive, le pays a besoin d'une élection générale
01:31:22et qu'il y a une démocratie primée.
01:31:25Pas de mot de la fin, alors?
01:31:27Non, vous pouvez dire.
01:31:29Ah, d'accord.
01:31:31Merci d'abord, Rufine, d'accueillir nous au plateau
01:31:34pour qu'il soit aujourd'hui capable de commenter la situation.
01:31:38Bon, post-1er mai, mais aussi un petit peu économique de l'avenir.
01:31:41Pour moi, il est clair que la population a besoin d'un gouvernement qui est stable,
01:31:48d'un gouvernement qui inspire confiance,
01:31:50d'un gouvernement qui fait sa preuve aussi.
01:31:53Et pour moi, la seule solution aujourd'hui, c'est la continuité,
01:31:59avec une équipe dirigée par Pravin Jagnath,
01:32:01parce que, pour moi, c'est un gouvernement qui a une parole,
01:32:04un gouvernement qui est intègre,
01:32:06qui respecte toute catégorie de la population,
01:32:11jamais pour insulter qui que ce soit,
01:32:14et qui finit tout le temps en nous reçoit de l'engagement.
01:32:17C'est ça que la population voulait,
01:32:19et ce n'est pas seulement pour le bien de la population,
01:32:22mais aussi si on veut attirer l'investissement de l'étranger ou local,
01:32:26où il y a une certaine stabilité.
01:32:29Et il est malheureux que, de l'autre côté,
01:32:31quand on trouve une équipe qui finit tout le temps instable,
01:32:35une équipe qui finit tout le temps montrant qu'elle n'inspire pas confiance.
01:32:39Et d'ailleurs, je me réjouis encore, je me disais dans le passé,
01:32:43quand vous avez, comme je l'ai dit, le seul leader, le MMM,
01:32:47depuis 2019, après l'élection,
01:32:50vous avez eu ce formulage, c'est le MMM, pas tout seul,
01:32:56à un moment donné, vous lui parlez avec un travailleur sans ramboulam.
01:32:59Non, c'était le MMM.
01:33:02Non, mon Poudiaou, parce qu'à chaque fois, il y a une formule là,
01:33:08et Poudiaou, ça n'inspire pas de confiance.
01:33:12Et nous, ce pays-là, libéraux, instable, stabilité,
01:33:16et je vous le dis, la stabilité se trouve avec Pravin Jaghnath,
01:33:19comme un seul leader, un seul capitaine,
01:33:23avec une équipe qui parle de l'avant pour qu'on continue,
01:33:26implémente.
01:33:33Quand est-ce qu'ils ramassent le PMSD?
01:33:38Encore une fois,
01:33:44à dos le PMSD.
01:33:48Tu peux dire, meilleur leader de position, c'est les amis du BAC,
01:33:54Zorodi, tu peux pas le ramasser.
01:33:57Tu peux pas le ramasser.
01:33:59Réponds-lui la question.
01:34:01Réponds-lui la question.
01:34:03Réponds-lui la question.
01:34:05Pourquoi pas, ne fais pas de patience.
01:34:07Non, nous devons être honnêtes, nous devons être clairs.
01:34:10Donc, madame, monsieur,
01:34:15Monsieur Zorodi, il faut qu'il explique honnêtement.
01:34:21Donc, madame, monsieur, bonsoir,
01:34:24on se retrouve la semaine prochaine.