• il y a 6 mois
Les familles des otages réclament sans relâche le retour de leurs proches et accusent le gouvernement israélien de faire primer l'offensive militaire dans la bande de Gaza. Six mois après le 7 octobre, la colère gronde.

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Transcription
00:00 Yoram est venu dès le début du rassemblement bien décidé à montrer aux familles d'otages
00:05 son opposition à un échange avec des prisonniers palestiniens.
00:09 Ici, contre la libération des terroristes, peut-on lire sur sa pancarte, qui fait vite réagir.
00:16 Mais les enfants otages, c'est pas des citoyens israéliens pour toi ?
00:20 Oui, mais les terroristes que l'on va libérer, ils vont tuer d'autres citoyens israéliens.
00:25 Mais comment tu peux savoir ça toi ?
00:28 Impossible d'en écouter plus pour cet ami d'otage sans intervenir.
00:34 Tu ne parles qu'en ton nom.
00:37 Moi je parle au nom de tous les citoyens israéliens, alors que toi tu ne parles qu'au nom des familles d'otages.
00:45 Scène régulière d'une société israélienne fracturée, 6 mois après les attaques du 7 octobre, et une libération d'otages qui ne vient pas.
00:54 J'espère qu'après la conversation de Netanyahou avec Biden, peut-être quelque chose dans sa tête s'ouvrira,
01:03 qu'il comprenne qu'il n'y a pas le choix et qu'il ramène tout le monde à la maison.
01:09 Ça suffit maintenant.
01:13 Car une chose met bien encore tout le monde d'accord, c'est Benjamin Netanyahou.
01:18 Sifflement nourri à l'évocation du Premier ministre, accusé de ne pas en faire assez.
01:26 Parmi les trois français toujours otages, Oa Diallomi devrait fêter ses 50 ans cette semaine.
01:33 On n'a même pas besoin de faire un accord. Ils doivent être libérés immédiatement sans signer rien du tout. Pas normal.
01:42 50 000 Israéliens, selon les organisateurs, réunis ce dimanche soir. Point d'orgue de 4 jours de mobilisation à travers le pays.

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