Des ossements appartenant à Émile ont été découverts samedi à proximité du hameau du Haut-Vernet par une randonneuse. Cette découverte n'a pas clos le dossier, mais ouvre un nouveau chapitre des investigations. Une centaine de gendarmes est actuellement sur place. Ils vont essayer de trouver de nouveaux indices dans cette zone qui avait déjà été fouillée après la disparition du petit garçon.
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00:00 Donc j'ai en charge de mettre en place un dispositif sécurisé qui va permettre aux enquêteurs de pouvoir travailler dans les meilleures conditions
00:08 et pouvoir mener tous les actes d'investigation qui sont nécessaires pour la révélation de la vérité et permettre aux juges d'instruction de pouvoir avoir tous les éléments nécessaires.
00:21 Et concrètement, ça consiste en quoi ces opérations ?
00:24 Moi, comme je l'ai expliqué, l'objectif c'est vraiment de permettre aux enquêteurs de travailler dans les meilleures conditions possibles.
00:31 C'est la raison pour laquelle un dispositif de contrôle de zone très élaboré a été mis en place pour éviter que des randonneurs ou des personnes qui n'ont pas à venir polluer le site, les sites, ne puissent pas venir.
00:51 Mais concrètement, comment se passent les recherches ?
00:54 Eh bien, là, le dispositif de sécurisation, d'interdiction pour permettre aux enquêteurs de travailler sereinement, en fait, il est constitué de postes fixes et d'éléments mobiles qui vont permettre d'interdire l'accès de manière assez large aux verneaux.
01:14 Alors, nous avons un escadron de gendarmerie mobile, donc fort de 54 militaires de la gendarmerie, renforcé par les effectifs du groupement de gendarmerie des Alpes-de-Haute-Provence, à hauteur d'environ une vingtaine de personnes et une soixantaine qui sont en réserve, qui sont capables de pouvoir, qui constituent en fait la réserve d'intervention pour pouvoir travailler si il était encore nécessaire d'engager des moyens.