L'avocat, Gilles-William Goldnadel, revient sur le comportement d'Aurélien Saintoul au sein de la commission d'Aurélien Saintoul : «Aurélien Saintoul est bien parti pour être humoriste sur France Inter».
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00:00 - C'est possible. - Yohann a raison.
00:02 - C'est possible. - On dirait qu'ils ont deux obsessions,
00:05 le Hamas et M. Bolloré. - Absolument.
00:07 - On dirait que c'est des obsessions.
00:09 Mais franchement, M. Lecomte, il est bien parti pour être humoriste à France Inter.
00:14 Ah non, il a toutes les qualités.
00:16 Je voudrais quand même faire une remarque respectueuse à M. Rock-Olivier Mestre.
00:22 - On écoutera la deuxième fois tout à l'heure.
00:24 - Sur quoi ? Ça dépend sur quoi ça va être. Quel est l'exprès ensuite ?
00:27 - On ne peut pas forcer les uns et les autres à venir sur un plateau.
00:31 - Non, parce que la remarque que je lui ferai avec respect, c'est que si j'ai bien compris,
00:36 ils ne vont pas ficher les journalistes.
00:39 Mais par contre, ils vont ficher les politiques.
00:41 Ce qui me gêne en tant qu'avocat de M. Philippe Devilliers,
00:46 c'est que l'Arkham s'est permis récemment, alors même qu'il n'a plus de mandat politique,
00:52 de le ficher d'hiver droite, avec toutes les conséquences que ça pourrait avoir.
00:56 C'est-à-dire que dans ce système-là, on ne va pas ficher l'ancien responsable de Libération,
01:05 qui est maintenant à France Inter,
01:07 mais on va ficher quelqu'un qui n'est plus membre de quoi que ce soit.
01:12 Je trouve que c'est un peu injuste.
01:14 Et d'ailleurs, c'est pour ça que je vais recourir au Conseil des tas dans ce cadre-là.
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