Le meilleur d'ORLT avec Sandrine Quétier du samedi 16 mars 2024 !

  • il y a 6 mois
La raison pour laquelle elle a arrêté la télé, les restrictions imposées par TF1 quant à sa passion pour la musique, ses débuts au tirage du Keno ou encore ses pires interviews pour 50 min Inside, Sandrine Quétier a refait sa télé ce samedi 16 mars 2024 avec Eric Dussart et Jade !

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Transcript
00:00 On vous sent pleinement épanouie dans cette nouvelle carrière de chanteuse, Sandrine Kétié.
00:04 Vous n'avez jamais eu à regretter le choix que vous avez fait en 2017 d'arrêter la télé ?
00:08 Ah non, non, j'ai jamais regretté. C'est une décision que je n'ai pas prise du jour au lendemain non plus.
00:12 Ça faisait un moment que j'y réfléchissais, que je mettais des petits sous de côté, ce que j'ai pu faire,
00:16 ce qui est quand même une chance. Et je m'étais dit, si pendant deux ans tu n'as aucun revenu,
00:20 il ne faut pas que tu sois tentée de revenir vers la télévision, parce que ce n'est pas le bagne la télévision,
00:26 c'est un métier qui est très agréable aussi. Et très rapidement j'ai travaillé, donc c'est vrai que j'ai eu de la chance.
00:31 C'est ça, parce que vous avez divisé vos revenus par quatre en arrêtant la télé, ce n'est pas rien.
00:34 Non, ce n'est pas rien.
00:35 Ce qu'il en reste un peu, c'est que vous gagnez très bien la TF1.
00:37 Voilà, exactement. Je gagnais très très bien ma vie, oui, mais j'ai divisé. Mais tout ça, ça n'a pas été une surprise.
00:44 D'autres se seraient dit, moi je reste sur ce confort.
00:46 Oui, mais pour passer à côté de ses passions et de ses envies, je trouve ça dommage, vraiment, je trouve ça dommage.
00:50 J'ai fait 20 ans de télé, j'ai fait de très belles émissions, j'aimais encore mon métier.
00:55 Donc autant, voilà, je ne sais pas si aujourd'hui j'aimerais encore mon métier, parce que je commençais quand même à faire un peu...
01:00 J'avais des beaux programmes et je faisais souvent la même chose, donc il était temps de partir.
01:03 Vraiment, il était temps de partir.
01:05 Sur la fin, vous sentiez qu'il y avait une espèce de routine qui vous ankylosait un peu ?
01:08 En fait, il y avait 13 ans de 50 Minutes Inside, 8 saisons de Danse avec les Stars,
01:11 on partait sur la 3 ou 4ème saison de Ninja Warrior, ça ronronnait, quoi.
01:14 C'était super, alors c'est dur de dire ça ronronne, parce que c'était des beaux programmes.
01:18 Mais dans mon exercice d'animation, oui, ça ronronnait un petit peu, oui.
01:21 Quand vous l'annoncez à TF1, ils disent quoi ? "Bon, elle a pété un plomb, elle va revenir dans deux mois, ça ira très bien."
01:27 En fait, ils ont été au départ assez surpris, et puis je pense qu'ils ont imaginé que j'allais partir à la concurrence.
01:34 Et je leur ai dit non, et très rapidement, ils se sont rendu compte que, effectivement, non, je ne partais pas à la concurrence.
01:39 Et la preuve de leur compréhension, c'est qu'ils m'ont fait tourner pour TF1 dans des séries.
01:43 Rien ne pourra vous faire revenir à la télévision ?
01:46 Non.
01:46 Ça, c'est ferme et définitive ?
01:47 En fait, si, si, je vous dis une grosse bêtise, c'est que je vais coproduire des docs.
01:52 Mais à l'antenne ?
01:53 Ah non.
01:54 Ça, c'est un non, genre j'en veux plus.
01:56 Ah non, j'ai pas envie du tout d'être à l'antenne.
01:58 J'ai beaucoup de respect pour la télé, je ne crache pas du tout dans la soupe, mais je n'ai plus envie d'animer des émissions de télé, non.
02:05 Productrice, en revanche, réalisatrice ?
02:07 Alors, réelle, je ne pense pas en avoir les talents, en tout cas, il va falloir que je travaille un peu avant.
02:11 Mais oui, produire ou même co-écrire des docs ou des choses comme ça, c'est quelque chose qui me plairait.
02:16 Ça sera sur la musique ?
02:17 Sur les changements de vie, je pense.
02:18 Quelque chose qui me parlait.
02:19 En fait, c'était, voilà, le principe, c'est que j'étais animatrice de télévision, j'étais animatrice de télévision.
02:25 C'était compliqué, je pense, de se dire que je pouvais échanter, faire de la comédie, en tout cas de manière assumée et ouverte.
02:33 Ça, vous l'entendez à l'époque, quand vous exprimiez votre souhait de faire de la comédie, de la chanson.
02:37 TF1 vous dit "attention" en termes d'image ?
02:39 Non, on ne veut pas, on ne préfère pas.
02:41 On ne préfère pas, si tu peux éviter, c'est quand même pas mal.
02:43 Ça a contribué aussi à nourrir votre choix de partie.
02:45 Complètement.
02:46 Si vous aviez pu cumuler ?
02:47 Non, je crois que même si j'avais pu cumuler, j'étais arrivée au bout de cette belle aventure télévisuelle.
02:52 J'avais moins d'émotion, j'avais moins d'envie.
02:55 Donc, il faut partir dans ces moments-là, comme dans un couple.
02:58 Voilà tous ces résultats, vous pourrez les retrouver sur votre Minitel 3615 Code Kéno.
03:03 Le Minitel ?
03:04 Oui, ça date, tout de suite ça affiche.
03:08 94, 95, vous avez 24 ans, première télé.
03:12 Comment vous vous retrouvez présentatrice du Kéno sur une KTL ?
03:15 Je réponds à une petite annonce dans l'Ebay en faisant une revue de presse dans mon métier,
03:20 dans mon ancien job où je m'occupais de la communication pour un groupement d'opticiens.
03:24 Et je réponds à tout hasard à La Française des Jeux, je cherche animatrice, même débutante.
03:29 Je faisais un petit peu de mannequinat à l'époque, je venais faire une séance photo,
03:32 je dis "tiens, je vais envoyer une photo".
03:33 J'envoie une photo, il m'appelle, il me convoque et je suis sur un salon professionnel à la porte de Versailles.
03:38 Et entre midi et deux, je vais passer mes essais à La Française des Jeux à Boulogne.
03:41 J'oublie et 15 jours après, un coup de téléphone, ils me disent "c'est vous qui avez été choisie".
03:44 - Vous êtes la gagnante du canot. - Et je raccroche en disant "c'est mes potes qui me font une blague".
03:47 Et on me rappelle en disant "non, non, non, c'est bien vous".
03:50 Donc on revenait faire des essais, très gentiment, moi je pensais que c'était bon,
03:53 mais ils m'ont quand même retesté pour être sûre et c'était parti.
03:56 Est-ce qu'on peut dire que contrairement à d'autres personnalités du monde de la télévision,
04:00 vous n'avez jamais rêvé de faire de la télé ?
04:02 Pas jamais. Non, non, c'était pas mon rêve d'enfant, moi je voulais être une rockstar.
04:07 - Et comédienne aussi. - Et de la comédie, du rock, voilà.
04:11 La dilettante vous est passée sous les yeux ce film.
04:13 Je crois que c'est parce que j'ai pas eu la dilettante que j'ai fait de la télé aussi.
04:16 La dilettante m'est passée sous le nez, c'est Barbara Schultz qui a eu le rôle.
04:20 Votre pire souvenir d'interview ?
04:22 Je crois que pour 50 minutes Inside j'ai fait Robert Downey Jr. à Rome.
04:27 Et moi j'ai arrivé toute guette, je suis super contente.
04:31 Je lui ai dit "alors vous êtes heureux d'être à Rome, c'est super et tout ?"
04:34 Il me dit "parce que vous croyez franchement que j'ai le temps d'aller visiter Rome ?
04:37 Je suis là pour faire la promo de mon film, donc si c'est ce genre de question c'est pas la peine".
04:41 Voilà, le temps était donné.
04:43 Et l'interview de Brad Pitt, on en parle ?
04:45 Ouais, l'interview de Brad Pitt où mon rédacteur en chef, Guillaume Lacroix, pour ne pas le citer que j'embrasse,
04:50 me dit "écoute, on va tenter un truc, tu vas le draguer, on a que 4 minutes de toute façon,
04:54 donc vas-y, drague-le".
04:55 Ce qu'il me prend, je lui dis "bon écoute, oui, voilà, on va y aller".
04:57 Et on va y aller, on va pas y aller du tout, j'ai été ridicule.
05:00 Vous avez traversé un océan de solitude ?
05:01 Ah bah ça a été terrible.
05:03 Et j'essayais, 4 minutes, et il y avait toute son équipe d'ailleurs qui me regardait,
05:07 bien sûr personne n'était au courant, et donc je suis rentrée en me disant "je ne recommencerai plus jamais".
05:11 Il y a sa réaction évidemment qui a dû vous glacer, parce que lui il devait se dire "mais mon dieu,
05:16 qu'est-ce que c'est que cette fille ?"
05:18 Et puis l'équipe du film autour non ?
05:19 Ah bah c'est ça, l'équipe du film me regardait avec des gros yeux en se disant "ils vont me sortir Manu Militari,
05:24 comment ça va se passer ?" Non mais 4 minutes ça va vite.
05:27 J'ai posé une question sur le film, je lui ai demandé s'il était libre le soir, un truc comme ça,
05:31 et là je m'en pétrais, je m'en pétrais, je m'en pétrais, je devais être toute rouge certainement.
05:35 4 minutes c'est court, ça peut être très long dans le genre de question.
05:37 Oui c'est ce que j'allais dire, c'est la 4 minutes qui dure une heure.
05:39 Ressenti 2 heures.
05:40 C'est exactement ça.
05:42 Vous le trouvez comment Camille Combal à la présentation de "Dance avec les Stars" ?
05:45 Il est super, il amène son petit grain de folie, le côté très décalé, c'est une vraie contre-proposition
05:51 par rapport à ce que l'on pouvait faire.
05:52 Vous c'était très classique.
05:53 Mais bien sûr.
05:54 Vous n'auriez pas aimé une présentation un peu plus pop à la Camille Combal justement ?
05:57 Je ne sais pas, je ne sais pas si c'est moi.
05:59 Parce que vous c'était très Eurovision avec l'année 70 quoi, "Robes de soirée".
06:02 Oui c'était les grandes robes, bien sûr, mais c'était le brief de l'émission.
06:05 Le brief il était très précis, il s'agissait de respecter vraiment, comme on dit, la bible de l'émission sous concept à la lettre.
06:11 Ça vous laissait assez peu d'espace.
06:13 Surtout au début, après l'émission, surtout les premières saisons où effectivement c'était un programme qui était coproduit avec la BBC
06:20 qui avait donc des codes très très précis.
06:22 Donc oui on respectait exactement les codes de l'émission, de la danse de salon, des rideaux rouges, des grandes robes.
06:28 Voilà, c'était un côté très désuet qui était rigolo.
06:31 Un peu princesse.
06:32 Un petit peu, un petit peu.
06:33 Mais ça veut dire que si vous aviez tenté un pas de côté, une vanne qui pique un peu, ça aurait hurlé dans l'orient ?
06:38 Alors hurler non, mais ce n'était pas le propos.
06:40 Disons qu'on ne l'a même pas tenté.
06:42 On se marre, on n'était pas non plus avec un ballet, mais c'était un peu plus...
06:46 Amis donnés ?
06:47 Un peu là, c'est très joli comme terme, amis donnés c'est ça.
06:51 Imaginons que pour boucler la boucle, les femmes vous proposent de revenir dans "Danse avec les stars" mais comme candidate cette fois.
06:56 Jamais.
06:57 Non, non, non.
06:59 Je sais trop ce qu'ils en durent nos candidats.
07:02 Je les vois, je suis passée les voir en répète.
07:04 Ils souffrent.
07:05 Ils souffrent, ils ont leur vie entre parenthèses.
07:08 Vous dansez bien pourtant, on le voit sur scène, dans les clips.
07:11 Bien sûr, bien sûr, mais alors entre danser dans son salon ou dans un clip et danser avec les stars avec un programme qui est extrêmement exigeant.
07:18 C'est-à-dire la force de ce programme, c'est qu'il est très exigeant avec les participants qui répètent de longues heures, tous les jours.
07:24 Il y a une régularité, on met un peu sa vie à côté.
07:28 On ne fait pas grand chose d'autre.
07:30 Jamais je ne fais ça, jamais.
07:31 Je ne sais pas à quel âge vous avez, mais vous ne les faites pas.
07:33 C'est vrai, et je ne suis pas passée encore par la case chirurgie esthétique.
07:36 Imaginez après.
07:37 Vous n'en avez jamais fait ?
07:38 Jamais, mais je ne suis pas contre.
07:40 Je ne suis pas contre du tout.
07:41 Si c'est bien fait, il faut vivre avec son époque.
07:43 Si c'est bien fait, pourquoi pas.
07:45 Pas de tabou en tout cas avec ça, si un jour vous devez faire la chirurgie esthétique, vous le ferez et vous le direz.
07:48 Je n'ai pas.
07:49 Il y en a tellement qui en font, qui ont des têtes de toile cirée.
07:51 J'espère que je n'aurai pas une tête de toile cirée.
07:54 Et en deux, si je n'ai pas une tête de toile, de toute façon, si on a une tête de toile cirée, ça se voit.
07:58 C'est que c'est raté en plus.
07:59 Et si ça ne se voit pas, je n'aurai aucun problème à dire que j'ai eu recours à la chirurgie esthétique.
08:04 Il y a une injonction dans ce métier.
08:05 Même vous l'avez quitté pour ce qui est de la télé, mais vous faites encore un métier d'image en étant comédienne et chanteuse.
08:09 Il y a une injonction quand même plus fort pour les femmes que pour les hommes.
08:12 Je ne sais pas si c'est une injonction.
08:14 Ce n'est pas une injonction. Il y a aussi ce qu'on nous a collé dans la tête depuis 30 ans.
08:19 C'est plutôt ça dont il faut essayer de se débarrasser.
08:22 Parce que je trouve qu'au contraire, on s'ouvre à des physiques qui sont un peu différentes, à assumer ses rondeurs, à assumer son âge.
08:28 Et je trouve ça formidable.
08:29 Après, ce n'est pas parce qu'on assume son âge que si on peut faire un petit truc, on fait quand même un petit truc, même si on assume son âge.
08:36 11h30, 12h30, on refait la télé sur RTL.
08:40 Les improbables d'Eva Kruiver.
08:43 Bonjour Eva Kruiver.
08:44 Bonjour tout le monde. Bonjour Sandrine.
08:46 Bonjour Eva.
08:47 Alors comme ça, on a fouiné dans les dossiers compromettants de Sandrine Kétié.
08:51 Oui, tout à fait. Et croyez-moi Sandrine, vous n'êtes pas venue pour rien.
08:54 Aïe, aïe, aïe.
08:55 Elle a peur.
08:56 A vous de me dire, Eric et Jade, si vous croyez ou non à ce que je vous raconte.
09:00 Ok, Sandrine, vous avez le droit d'intervenir parfois pour votre défense, naturellement.
09:03 Ok.
09:04 Allons-y.
09:05 Alors si je vous dis que Sandrine Kétié a aussi été une star de la télé en Chine, vous me croyez ou pas ?
09:10 Bon, ça peut arriver ça.
09:13 Elle a la poker face.
09:15 C'est peu probable. La comédienne est là.
09:17 Elle doit être très forte dans les jeux, c'est terrible.
09:19 Ou elle fait une micro-slip, je ne sais pas.
09:21 Là, il n'y a aucune réaction.
09:22 Moi, ça me paraît peu probable quand même. Jade dirait plutôt oui.
09:24 Oui, plutôt oui.
09:25 C'est faux Eric, vous avez raison.
09:26 Mais vous auriez pu, grâce à Mesmer, l'hypnotiseur, vous vous étiez mise à parler en chinois ?
09:31 Alors, ce n'était pas du... Non, je suis désolée, pardon.
09:34 Ce n'était pas du chinois.
09:35 Les amis chinois, non, c'est n'importe quoi. Ce n'était pas du tout du chinois.
09:37 Et c'était pendant le tournage de 50 minutes Inside.
09:40 Voici maintenant le document d'Inside.
09:43 Maintenant, vous allez parler chinois.
09:45 La mer des Caraïbes.
09:46 Vous allez dire guacamole avec un toc.
09:52 Voici maintenant le document 50 minutes Inside.
09:55 Bélize entre le Guatemala et la mer des Caraïbes.
09:58 Guacamole !
10:01 On va faire une pause, je crois, sérieusement.
10:03 Oh la dingue !
10:06 Il a eu peur.
10:07 Vous nous promettez que ce n'était pas du chinois ?
10:09 En fait, ce qui se passe, c'est qu'avec Mesmer, vous avez conscience de ce que vous faites,
10:12 mais c'est plus compliqué de lutter que de vous laisser aller.
10:16 Donc, au bout d'un moment, on se laisse aller complètement.
10:18 On est comment après quand on revient à un état normal un peu vaseux ?
10:21 Alors, Mesmer me disait toujours "tu vas avoir la pêche", moi je suis claquée après.
10:24 Je suis vraiment fatiguée, fatiguée.
10:25 Il me dit "mais non, tu verras, de l'énergie".
10:27 Non, j'avais zéro énergie, après j'étais mais vidée.
10:29 Et bien, vous avez une autre info improbable sur Sandrine Cattier.
10:32 Oui, elle a eu un fan complètement dingue qui lui demandait des photos de ses avant-bras.
10:36 Jad, Eric, vous me croyez ?
10:38 Ah ben ça c'est beau.
10:39 Avant-bras, ça me paraît suffisamment tordu pour exister.
10:41 C'est vrai ? Un fan vous a demandé des photos d'avant-bras ?
10:43 Oui, des photos de mes avant-bras.
10:45 De lui envoyer des photos de mes avant-bras.
10:47 C'était quand même très très ciblé.
10:48 C'est une niche, j'ai envie de vous le dire.
10:50 Écoutez, tant mieux.
10:51 Vous avez des fans genoux également ?
10:54 Non, non, non.
10:56 Des avant-bras, après des choses plus classiques.
10:59 Des photos de nu, des photos des pieds.
11:03 Beaucoup.
11:04 Vous envoyez ça, vous ne vous demandez pas des photos de nu ?
11:06 Non, on me demandait des photos des pieds.
11:08 Des petites captures d'écran avec mes pieds.
11:10 Je suis dans plein de sites de pieds.
11:12 Ah, très bien.
11:13 C'est-à-dire que si on tape "Kétier pieds", on va trouver des photos intéressantes ?
11:15 Ah ben là, c'est une forêt.
11:17 Une forêt de pieds.
11:19 On l'appelle le millepad sur Internet.
11:21 Il y en avait un autre qui vous envoyait des photos de lui, je crois, dans son salon.
11:23 Oui, avec des lunettes de soleil en slip.
11:26 Et avec son chat, toujours dans l'angle.
11:29 Parfois, il était les pieds au sol.
11:32 Et parfois, il sautait.
11:34 Il prenait en photo le moment où il décollait.
11:36 Et vous aviez très bien reconnu Nico Savigas.
11:38 Exactement.
11:39 Photographe.
11:40 C'est ça.
11:41 Et bien, vous avez une info maintenant qui concerne sa participation à un célèbre jeu télé.
11:45 Oui, Sandrine Kétier n'a pas du tout eu peur dans le train Fantöm de Fort Boyard.
11:50 Vrai ou faux ?
11:51 Non, ça, j'y crois pas du tout.
11:52 Moi non plus.
11:53 Non, c'est complètement faux.
11:54 Vous étiez dans un état de panique, Papel Sipsandre.
11:56 Limite cantatrice sur ce coup-là.
12:13 Oui, j'ai chauffé la voix.
12:15 Fort Boyard, c'était en 2020. Est-ce que vous y retournez en arrière ?
12:18 Jamais de la vie.
12:19 J'ai détesté.
12:20 Ah, vraiment ?
12:21 Ah oui.
12:22 Déjà, je l'ai fait pour faire plaisir à un de mes...
12:24 À Julia Arnault, c'était pour son assaut.
12:26 Je trouvais le truc chouette.
12:27 J'ai passé...
12:28 Ça a été un calvaire.
12:29 Je peux pas vous dire mieux, ça.
12:30 Alors, je suis désolée.
12:31 Je sais que l'émission est populaire, tout le monde aime et tout.
12:34 Mais inviter les autres, ne m'inviter plus, ça a été...
12:37 Mais un calvaire.
12:38 Aucun plaisir dans l'espoir.
12:40 Rien, rien, la trouille de tout.
12:41 Mais moi, je ne suis pas une aventureuse sur ce genre de choses-là.
12:44 Tout me faisait peur.
12:45 J'étais nulle.
12:46 J'avais peur de me blesser.
12:47 Nulle.
12:48 J'étais nulle et je n'ai pris aucun plaisir.
12:49 C'est assez courageux de le dire parce qu'il y en a certains qui pensent exactement la
12:52 même chose que vous, mais qui disent "Bon, bah non, je ne vais pas l'avouer que j'ai vécu
12:55 un enfer".
12:56 Ah si, si.
12:57 Autant le dire.
12:58 Ce n'est pas grave.
12:59 Ça n'enlève pas les qualités.
13:00 Pour éviter qu'ils vous rappellent.
13:01 Les qualités du jeu et le fait que, voilà, Olivier, c'est un mec super.
13:03 La prod, on a bien été reçus.
13:04 Ce n'était pas un enfer.
13:05 Mais du moment où ça a commencé à tourner, je suis là "Mais quand est-ce que ça se
13:09 termine ?"
13:10 Dès la première cellule, que ça allait être très long.
13:12 Déjà, Julia a dû insister.
13:14 Parce que si j'avais dit non toutes ces années, je me dis "Il y a une raison".
13:17 Il insista, il insista.
13:18 J'ai dit "Ok, je le fais".
13:19 Voilà, ça a été le début de la fin.
13:20 Beaucoup de mal aussi, je crois, avec le fait qu'on utilise des animaux pour le show.
13:24 Ah oui, énormément.
13:25 Ça, y compris toutes formes d'animaux d'ailleurs.
13:28 Oui, parce qu'on a parlé des tigres, ils ne sont plus là.
13:30 Non, non, mais les insectes et tout.
13:31 Moi, j'ai beaucoup, beaucoup, beaucoup de mal avec ça.
13:33 Beaucoup, voilà.
13:34 Donc, j'espère qu'il y en a plus.
13:35 Je vous avouerai que je ne regarde pas, mais même les punaises, les insectes, ce n'est
13:39 pas une raison.
13:40 Ce n'est pas parce que ce sont des insectes qu'on peut les maltraiter.
13:43 Donc, s'il vous plaît, plus d'animaux du tout, du tout, du tout dans aucun jeu de télé.
13:48 Plus d'animaux en captivité globalement pour l'amusement des uns et des autres, s'il vous plaît.
13:52 Bon, Olivier Mine qui est un ami et qu'on embrasse.
13:54 Il est super.
13:55 Inutile de rappeler Sandrine.
13:56 Non, non, non.
13:57 Il faudra trouver des victimes.
13:58 Je lui fais un gros baiser.
13:59 Eva, vous n'auriez pas une petite dernière info vite fait ?
14:01 Alors, pas un vrai faux, mais vraiment une info ?
14:03 Un beau moment direct pour vous, Sandrine Ketier.
14:06 Un jour, vous vous êtes retrouvée complètement trempée à l'antenne à cause d'un arrosage
14:10 automatique.
14:11 Ça vous dit quelque chose ?
14:12 Ah oui, ça me dit quelque chose.
14:13 On a envie d'en savoir plus.
14:14 C'était une finale de Coupe du Monde.
14:17 TF1 organisait toujours des plateaux.
14:20 Et là, c'était au Dr Publicis, je crois, sur la terrasse du Drugstore.
14:24 Donc déjà, moi qui n'aime pas le foot, je m'étais cognée de regarder le match, tout ça.
14:28 Comme tout le monde, on est corporate.
14:30 Et puis ensuite, on nous dit "on va vous installer sur la terrasse, puis on va venir
14:34 faire un peu des...
14:35 On va venir vous solliciter".
14:37 Et ça prend des plombes, des plombes, des plombes.
14:39 Et je suis installée.
14:40 Et je pense qu'ils n'avaient pas arrêté l'arrosage automatique.
14:43 Et donc, le truc se met en marche.
14:45 Je me prends de l'eau.
14:47 Toutes les cinq secondes, parfois.
14:49 Je n'avais pas encore parlé.
14:50 Et ça faisait des plombes que j'étais sur ce toit terrasse.
14:53 Ça n'en terminait pas.
14:54 Et voilà.
14:55 Donc, c'est un bon souvenir.
14:56 On s'est bien marré.
14:57 Il n'y avait qu'une place pourrie, elle a été pour vous.
14:59 Par hasard, la spécialiste du foot.
15:01 Merci beaucoup Eva Crouvert.
15:03 À la semaine prochaine.
15:04 Merci Eva.
15:05 Bon, Sandrine Kéti, après toutes ces émotions, vous avez bien besoin de reprendre des forces.
15:08 Voici donc notre séquence "fromage au dessert".
15:12 Eric Dussard et Jeanne, on refait la télé sur RCL.
15:16 [Musique]

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