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NewsTranscription
00:00 [Musique]
00:16 Pour aller aux européennes, nous avons besoin d'un discours musclé,
00:20 c'est ce que je tente de fabriquer ces jours-ci,
00:23 et donc nous avons besoin de têtes d'affiches.
00:27 La langue dieudonnée, pour moi, sont des têtes d'affiches fabuleuses,
00:31 parce que 1) ils ont un niveau de notoriété important,
00:35 et au moins Dieudonné a une réputation de merde
00:39 auprès d'une partie de la population.
00:41 Donc c'est parfait !
00:43 On ne peut pas faire de têtes d'affiches
00:45 avec une parfaite réputation
00:47 et simplement un peu de notoriété.
00:49 Il nous faut aussi une mauvaise réputation.
00:52 Alors c'est parfait,
00:53 merci Dieudo d'avoir réussi à te faire une sale réputation
00:57 dans un certain nombre de milieux franco-français.
01:00 Par ailleurs, sa notoriété est suffisamment forte
01:05 pour précisément pouvoir être une véritable tête d'affiche.
01:08 Le travail que nous faisons avec Laurent,
01:11 et je vais en terminer là Pascal,
01:13 le travail que nous menons ces jours-ci, ces temps-ci,
01:16 c'est prise de contact pour aller chercher des têtes d'affiches
01:20 et faire un noyau dur de 4, 5, 6 têtes d'affiches
01:25 à forte notoriété et à mauvaise réputation
01:28 pour créer un schéma de rupture
01:31 dans le ronron des discours tenus
01:35 par les partis politiques traditionnels
01:37 et par l'ensemble des pittistes pour les prochaines européennes.
01:40 Juste un mot sur mon ami, mon frère Dieudonné.
01:49 Il n'a bien entendu mauvaise réputation
01:52 qu'auprès des gens que nous combattons.
01:54 Le reste de la population française aime Dieudonné
01:58 et a besoin de Dieudonné pour rire un peu.
02:01 On a tous besoin de rire un peu.
02:03 Moi, depuis que je le fréquente, je ris beaucoup
02:05 et ça fait du bien de rire.
02:07 Je pense que c'est ce qu'on va faire dans cette campagne.
02:10 Avec Dieudonné, on a décidé de mettre le rire
02:13 au-dessus de tous nos moyens de communication.
02:16 C'est une farce.
02:19 C'est une farce qu'on nous fait vivre.
02:21 Ce n'est pas drôle, puisqu'elle a des conséquences
02:24 terribles et froyables dans nos existences.
02:26 Mais c'est quand même une farce à laquelle nous assistons
02:29 tous les jours en regardant la télévision,
02:31 en écoutant la radio, en lisant les journaux.
02:33 C'est grotesque.
02:35 Et c'est vrai qu'on a envie de dire maintenant,
02:38 avec Dieudonné, aux électrices et aux électeurs
02:41 et surtout à ceux qui ne votent pas,
02:43 parce que c'est eux qui vont faire plancher la balance
02:46 et qui vont changer les choses.
02:48 Ce ne sont pas les gens qui votent, hélas.
02:51 Les gens qui votent, votent depuis des générations
02:54 et des générations toujours de la même manière
02:56 et continueront à le faire.
02:58 Le vote est un phénomène affectif pour ceux qui votent.
03:02 Les gens qui ne votent pas, en fait,
03:04 ce sont des gens qui ont une forte maturité politique
03:07 et qui ne fonctionnent pas par rapport à leur affect.
03:10 Ils réfléchissent.
03:12 Le vote est un acte émotionnel.
03:15 De père en fils, on vote de la même manière.
03:18 Si on est un père communiste, on va voter communiste.
03:21 Ou alors on va voter à droite
03:23 parce qu'on ne s'entend pas avec son père.
03:25 Pour moi, hélas, c'est devenu une mascarade.
03:29 Je comprends tous les gens qui ne veulent pas voter
03:32 parce qu'ils n'ont pas envie de faire partie d'une mascarade.
03:35 Mais le problème, c'est que c'est eux
03:37 qui détiennent la clé du changement.
03:39 C'est ceux qui ne votent pas.
03:41 C'est eux qu'on va s'adresser.
03:43 Parce qu'en ne votant pas, ils maintiennent en place le système.
03:46 Et c'est... la clé est là.
03:49 On sait très bien comment ça se passe.
03:51 Et on sait très bien que si on ne compte que sur les gens qui votent,
03:54 on n'a aucune chance d'y arriver.
03:56 Et je disais qu'il y avait des données.
03:59 On s'est fait cette réflexion.
04:01 Bon, on a envie de dire aux gens maintenant...
04:04 Arrêtez de voter pour des clowns amateurs.
04:09 Votez pour des clowns professionnels.
04:12 Et nous, on va se présenter comme des clowns professionnels.
04:15 Parce que si... je veux dire...
04:17 Non, non, parce que c'est... à un moment donné,
04:19 quitte à voter pour des clowns,
04:21 autant voter pour des professionnels et pas pour des clowns amateurs.
04:24 Parce que, je veux dire, le clown professionnel, le vrai clown,
04:27 le fou du roi, c'est celui qui dit la vérité.
04:29 C'est celui qui a toujours dit la vérité de tout temps.
04:31 Et nous, on a l'intention de dire la vérité.
04:34 Et on a l'intention de le dire en se marrant.
04:37 Parce que là, la sinistrose a envahi notre société.
04:42 On nous a...
04:45 Voilà, on nous oblige à vivre dans l'angoisse.
04:47 On nous oblige à vivre par des mesures de rétorsion en permanence
04:51 qui sont commises à l'encontre du peuple français.
04:55 Voilà, la sinistrose s'est emparée de notre population.
04:59 Et on ne rigole plus, on ne se marre plus.
05:02 Il y a une peur qui s'installe dans chaque foyer, dans chaque conscience.
05:07 Et avec ça, on manipule les gens et on les transforme en moutons de panurge.
05:13 Et je pense qu'on s'est dit à un moment donné, avec Dieudonné,
05:17 on attendait, franchement, c'est une décision qu'on a prise il n'y a pas longtemps.
05:22 Moi, quand j'ai vu ce qui se passait au niveau des souverainistes,
05:28 que les souverainistes n'étaient pas capables de s'entendre entre eux
05:31 pour faire un seul mouvement souverainiste,
05:33 je me suis dit, si on n'y va pas, nous les citoyens, on n'y ira jamais.
05:37 C'est-à-dire que ces gens-là, les souverainistes,
05:40 j'allais dire les stars du souverainisme,
05:42 aujourd'hui sont incapables de s'entendre alors qu'ils sont d'accord
05:45 sur ce que nous voulons aussi, c'est-à-dire qu'on sorte de cette Europe mafieuse
05:50 qui nous conduit directement vers la destruction de notre pays.
05:56 Moi, j'ai été tellement choqué de voir que Filippo Asselineau
06:00 et Dupont-Aignan n'étaient pas capables de s'unir
06:02 que je me suis dit, bon, allez, on va dire que de toute façon,
06:06 c'est notre dernier combat, voyons les choses en face, mes amis,
06:10 si on n'a pas réagi avant le mois de juin, ils vont fédéraliser l'Europe,
06:15 notre pays sera définitivement détruit et on ne pourra plus rien faire.
06:19 Là, moi, je pense qu'on peut faire quelque chose.
06:22 Mais il va falloir qu'on se retrousse les manches et simplement,
06:26 et c'est dans cet esprit-là que je suis venu aujourd'hui,
06:29 je voudrais vous expliquer comment on voit les choses avec Dieu d'eau.
06:34 En fait, on s'en fout des Européens.
06:38 Cette Europe, elle est aux ordres de l'OTAN, des États-Unis,
06:45 tous les présidents qui sont élus en Europe sont des marionnettes et des pions
06:51 aux ordres des globalistes et des mondialistes.
06:54 Cette Assemblée européenne n'a aucun pouvoir, elle ne vote pas.
06:58 Là, on va lui donner des pouvoirs, mais pour voter là où on lui dit de voter.
07:02 On voit bien comment se conduisent déjà à l'Assemblée nationale
07:06 nos propres représentants nationaux, c'est-à-dire que ce sont tous les larbins
07:10 de l'actuel occupant grisé qui gouverne seul, puisqu'aujourd'hui,
07:16 on a cette aberration républicaine, puisque normalement,
07:22 la République doit garantir la séparation des pouvoirs et les droits,
07:27 donc elle ne garantit plus les droits et elle ne garantit plus la séparation du pouvoir,
07:31 donc on n'est plus en République, mais on a une personne aujourd'hui
07:34 qui se présente comme le chef de l'exécutif et qui fait les lois.
07:38 Donc l'Europe, ce n'est pas notre occupation, l'Europe, l'Europe,
07:41 on veut en sortir la France, on veut que la France sorte de l'Europe.
07:45 Et alors, le paradoxe, c'est de dire "mais pourquoi à ce moment-là
07:48 tu te présentes aux Européennes, puisque tu ne veux plus d'Europe ?"
07:52 Alors, on va vous expliquer le plan.
07:55 Bien évidemment, la bastille à prendre, c'est l'Assemblée Nationale.
08:00 Tant qu'on n'aura pas pris la bastille, c'est-à-dire tant qu'on n'aura pas pris l'Assemblée Nationale,
08:05 on ne pourra pas espérer changer grand-chose dans notre pays.
08:09 Donc le but, c'est d'arriver à créer et à constituer une masse critique citoyenne
08:17 qui soit opposable à la mafia politicienne qui, à l'heure actuelle,
08:21 s'est emparée de nos institutions et du système électoral.
08:25 On a, à l'heure actuelle, des sectes mafieuses qui, d'ailleurs,
08:29 sont toutes au service du même système qu'on a bien vu à l'Assemblée Nationale.
08:33 Et même ceux en qui on avait mis notre espoir, qui devaient être l'opposition réelle,
08:37 est en fait une opposition contrôlée.
08:40 Le Rassemblement National joue le jeu du système, c'est une opposition contrôlée.
08:44 C'est les futurs remplaçants des néolibéraux actuels,
08:47 qu'on va mettre pour faire croire aux gens que les choses ont changé.
08:50 Pareil pour El-Effi.
08:52 Ces gens-là avaient les moyens, à un moment donné, de constater la prévarication,
08:56 de constater que l'actuel occupant de l'Élysée qui a été élu par la fraude et pas par le peuple français,
09:02 ils avaient les moyens de se constituer en haut de cour,
09:06 ils avaient le nombre de députés suffisant pour le faire,
09:09 ils auraient dû invoquer l'article 68 et exiger la destitution de l'actuel occupant de l'Élysée,
09:15 dont je ne prononcerai pas le nom et dont je ne dirai pas qu'il est le président,
09:18 car pour moi il ne l'est pas.
09:20 Et donc, ils ne l'ont pas fait, ils n'ont rien fait.
09:23 Voilà des gens qui viennent de se faire augmenter de 700 euros par mois pour continuer à ne rien faire.
09:28 Combien de temps on va encore supporter une chose pareille ?
09:32 C'est clair et net, c'est le général de Gaulle qui a dit ça bien avant moi,
09:38 les partis politiques, c'est la catastrophe nationale.
09:42 Les partis politiques sont le poison de la République.
09:45 Et il faut arriver à constituer une assemblée nationale
09:49 qui sera constituée dans sa grande majorité de citoyens non-encartés pour abolir les partis politiques.
09:56 Et cette assemblée, on a la volonté qu'elle devienne constituante,
10:00 parce qu'il va falloir que nous, enfin, nous puissions, nous, le peuple français,
10:06 créer et constituer, proclamer une constitution
10:11 qui ne soit pas au service des intérêts, j'allais dire, financiers
10:16 qui gouvernent à l'heure actuelle les gouvernements de la France.
10:19 Donc en fait, là on a une élection à un tour, à la proportionnelle.
10:27 Donc ça déjà, c'est un moyen d'avoir des élus.
10:32 Je vous demande pourquoi c'est un moyen d'avoir des élus,
10:34 parce qu'il n'y a pas deux tours, il n'y a pas de compromission possible.
10:38 Si on se mobilise sur un tour, on peut arriver à faire un score,
10:41 et si on peut arriver à faire un score, on peut avoir des élus.
10:44 Pourquoi il faut avoir des élus ?
10:45 Parce que pour l'instant, nous les résistants, on part à l'extérieur du système.
10:49 Il faut qu'on rentre dans ce système pour pouvoir le détruire.
10:53 Vous savez, il y a des gens qui me demandent pourquoi je veux être élu,
10:58 ou pourquoi, qu'est-ce que, quelles sont mes ambitions ?
11:00 Moi, je ne suis pas, Aga même non, vous comprenez, moi je suis Ulysse.
11:06 Et ce que je voudrais construire, c'est le cheval de Troyes.
11:09 Pour moi, ces élections européennes, c'est un cheval de Troyes.
11:13 Si on s'y prend bien, on va être capable de générer le nombre de voix suffisante
11:18 pour avoir des élus.
11:19 Et c'est autour de ces élus qu'on va pouvoir organiser la véritable bataille
11:24 que nous devons gagner, c'est la bataille des législatives,
11:27 on s'en fout des présidentielles.
11:29 C'est l'Assemblée nationale, c'est la représentation nationale
11:32 qui exprime la voix et la nature même et l'existence même du peuple français.
11:37 C'est ça. Aujourd'hui, l'Assemblée nationale, ce n'est pas l'Assemblée nationale,
11:42 c'est une assemblée de mafieux corrompus au service d'un tyran.
11:48 Et ils sont tous des larbins de ce tyran.
11:51 Ils font semblant d'être opposés, ils font des gesticules,
11:56 mais ils n'agissent pas, ils ne font rien.
11:59 Ils sont payés une fortune pour ne rien faire.
12:02 Et cette situation ne peut plus durer.
12:05 Il faut abolir les partis politiques.
12:07 Il faut, si on veut un jour arriver à une première démocratie,
12:12 il va falloir qu'on arrête les principes représentatifs et tutélaires.
12:16 Le représentant du peuple, il a un mandat.
12:20 La notion de mandat est la notion de transfert de souveraineté.
12:24 C'est-à-dire qu'aujourd'hui, on présente finalement le mandataire
12:29 comme quelqu'un qui est dépositaire de la souveraineté populaire.
12:32 Or, la souveraineté populaire, elle ne s'exclut plus dans notre Constitution.
12:35 Elle ne peut pas être frappée de subsidiarité.
12:39 Elle ne peut pas être transférée à qui que ce soit.
12:42 Ni à une personne, comme c'est le cas en ce moment,
12:45 ni à un groupe de personnes. C'est l'article 3 de la Constitution.
12:48 En fait, aujourd'hui, tous ceux qui sont les gardiens de la Constitution
12:52 bafouent la Constitution sous le regard éperlué des Français qui n'agissent pas.
12:56 Moi, ce que je voudrais proposer, et ce que Dieu veut proposer avec moi,
13:00 c'est d'ouvrir un chemin, de créer un cheval de Troie
13:04 qui va rentrer dans la cité, duquel les soldats vont sortir,
13:09 vont ouvrir les portes au peuple. Parce que ce n'est pas la même chose,
13:12 aujourd'hui, Francis Lalanne, je parle devant vous, mes amis, on s'est battus,
13:15 on se connaît, on est dans la rue depuis combien de temps maintenant ?
13:19 Depuis l'avènement du Caligula qui nous gouverne.
13:23 Et qui vient d'élire, d'ailleurs, comme Caligula l'a fait,
13:26 en nommant un citatus son cheval président du Sénat,
13:30 lui, il a même mis son coulin, sa pouliche, comme vous voulez.
13:34 Bon, enfin, là, on a touché le fond, mes amis,
13:37 ce qui vient de se passer au niveau de l'article 4.
13:40 Comment est-ce qu'on peut considérer, à l'heure actuelle,
13:44 que les représentants des partis politiques représentent le peuple français ?
13:47 Alors qu'ils sont là, regardés, à longueur de journée,
13:50 un premier ministre doit faire le coup du 49-3,
13:53 et quand ce n'est pas suffisant, des petites magouilles comme celles
13:56 qui viennent de se passer sur la loi sur les dérives sectaires.
13:59 Il faut bien être conscient qu'il n'y a plus de salut, aujourd'hui,
14:04 dans les partis politiques. Et c'est vrai qu'on s'en prend beaucoup
14:07 à l'occupant de l'Élysée, qui est là aussi pour ça,
14:10 pour focaliser la haine et la contrariété des gens.
14:14 Mais on a un système, quand même, qui devrait garantir les droits
14:18 et ne pas séparer les pouvoirs, et ce système-là,
14:21 on accepte qu'il ne fonctionne pas comme il est écrit.
14:24 Alors, déjà, on va faire en sorte qu'il fonctionne comme il est écrit,
14:28 et ensuite, surtout, on va le créer le nôtre.
14:31 Et pour ça, il faut qu'on ait une Assemblée nationale composée
14:34 que par des citoyens indépendants, non-empartés,
14:37 qui ont reçu la confiance populaire, et qui, eux, vont débattre
14:41 et décider, à ce moment-là, de ce que deviendra notre France,
14:44 et ils le feront au nom du peuple français, vraiment et réellement,
14:47 et pas au nom des partis politiques. Alors, mes amis, c'est vrai que,
14:50 souvent, on se rencontre et on discute.
14:53 Mais moi, je pense que ce dont on discute est hors sujet.
14:56 C'est-à-dire que la vision de ce que doit être la France de demain,
14:59 moi, je me bats pour qu'elle soit démocratique.
15:02 Moi, je me bats pour l'avènement de la première démocratie.
15:05 Il y en a d'autres qui ont des visions plus républicaines,
15:08 qui sont en principe représentatif, collégial, etc.
15:11 Ces idées-là, elles doivent pouvoir s'affronter aujourd'hui
15:14 dans un collège, dans un prétoire, dans une Assemblée,
15:18 dans une agora, qui va permettre aux uns et aux autres
15:21 de débattre en vérité, et pas simplement pour servir des intérêts,
15:25 qui sont des intérêts financiers, qui utilisent le politique
15:29 pour arriver à leur fin. Et donc, aujourd'hui,
15:33 je pense que c'est le moment où jamais,
15:36 je pense que si on n'y arrive pas maintenant, on n'y arrivera plus jamais.
15:39 Je pense qu'il y a moyen, grâce à ces élections,
15:42 dont on n'a rien à foutre. Parce que personnellement,
15:45 je veux dire, voilà, qu'est-ce qu'on en a à foutre.
15:49 Ce qui est incroyable, c'est que vous allez avoir des gens
15:53 qui vont se présenter comme étant des gens
15:56 dignes de confiance, et ces gens-là,
15:59 ils vont vous présenter un programme. Non, mais c'est dingue !
16:03 Un programme ! Comment un aspirant député européen
16:09 peut vous présenter un programme, alors que le député européen
16:13 est juste un contractuel, qui est là pour tamponner
16:17 les décisions du Conseil, qui n'a même pas été élu ?
16:20 On est dans un principe complètement dictatorial,
16:23 où la vision supranationale prétend s'imposer
16:26 au Parlement nationaux, alors qu'en réalité,
16:29 elle n'en a même pas le pouvoir. Parce que le grand paradoxe
16:32 est qu'à l'heure actuelle, ça risque de changer,
16:35 si on n'agit pas, mais à l'heure actuelle,
16:38 l'Europe n'a aucun pouvoir. En réalité,
16:42 si on regarde la vérité du fonctionnement européen,
16:45 ce sont les dirigeants des États-nations qui nous disent
16:48 "Ah, on est obligés de faire ça parce que c'est l'Europe".
16:51 Et regardez le nombre de règlements et de directives européennes
16:54 qui ne sont pas respectés par les États-nations,
16:57 quand ça n'intéresse pas les chefs des régimes,
17:00 c'est plus qu'ils ne sont pas respectés,
17:03 que les directives qui sont respectées.
17:06 En fait, il n'y a aucun pouvoir de coercition de l'Assemblée européenne,
17:09 du principe européen, de l'Union européenne,
17:12 sur les États-nations. Regardez comment se conduisent
17:15 certains États-nations. La France est condamnée chaque année,
17:18 et elle ne paye même pas les amendes qu'on lui implique.
17:21 En fait, il n'y a pas de pouvoir réellement
17:24 de l'Union européenne sur les États-nations.
17:27 C'est une farce !
17:30 Et on nous fait croire que l'Europe, etc.,
17:33 et que c'est l'Europe. Non, l'Europe est un
17:36 territoire de
17:39 non-droits, où des
17:42 magouilleurs aux ordres
17:45 des lopis vont influencer des députés
17:48 qui sont tous des larbins, qui sont tous au service
17:51 du pouvoir financier, pour faire semblant
17:54 de débattre
17:57 de sujets dont ils sont juste là pour tamponner
18:00 la décision qui a été prise par douze personnes au service
18:03 des lopis. Donc, nous, si on arrive
18:06 à balancer des députés là-dedans
18:09 comme des chiens dans un jeu de pieds,
18:12 déjà on va pouvoir agir, même
18:15 et faire du lobilisme, nous, auprès des autres peuples,
18:18 pour que comme nous, ils considèrent qu'il est temps maintenant
18:21 d'en finir avec cette construction européenne
18:24 qui compromet l'avenir
18:27 et l'équilibre et le bien-être des États-nations en Europe.
18:30 Ça fonctionnait très bien quand on était un marché commun,
18:33 on nous a menti,
18:36 on nous a vendu quelque chose qui n'existe pas aujourd'hui.
18:39 Et si on laisse faire,
18:42 cette Europe va finir par obtenir ce qu'elle veut,
18:45 c'est-à-dire la destruction des États-nations au profit
18:48 des États-Unis d'Europe,
18:51 qui seront aux mains des lopis,
18:54 via quelques personnes qui sont là pour faire
18:57 ce qu'on leur dit de faire, et exécuter les ordres de BlackRock,
19:00 McKinsey, Davos et tous nos amis localistes
19:03 et le monde, la pédocrie,
19:06 fémininité triomphante. On part avec zéro programme,
19:09 on n'a pas de programme,
19:12 on a un but et un objectif. Et ce but
19:15 et cet objectif n'est pas, encore une fois,
19:18 d'essayer de changer les décisions
19:21 des uns ou des autres au niveau
19:24 de l'Union européenne, décision dont personnellement
19:27 je moque comme de l'an 40,
19:30 et dont devraient d'ailleurs se moquer comme de l'an 40
19:33 les dirigeants des nations s'ils n'étaient pas aux ordres, justement,
19:36 des lopis, qui font croire aux gens que l'Europe
19:39 est au-dessus des États-nations. Bref.
19:42 On part sans programme, d'accord ? On a zéro programme.
19:45 Zéro idéologie. Zéro idéologie.
19:48 Pour moi, tout débat
19:51 idéologique concernant l'avenir politique
19:54 de notre pays est prématuré.
19:57 C'est un débat qui devra avoir lieu au sein de l'Assemblée nationale
20:00 quand elle sera constituée de députés, élus, indépendants,
20:03 citoyens et honnêtes.
20:06 Non. On part sans programme,
20:09 d'accord ? On part sans programme.
20:12 Et là, on part sans programme.
20:15 Et là, on part sans programme.
20:18 Et là, on part sans programme.
20:21 Et là, on part sans programme.
20:24 Et là, on part sans programme.
20:27 Et là, on part sans programme.
20:30 Et là, on part sans programme.
20:33 Et là, on part sans programme.
20:36 Et là, on part sans programme.
20:39 Et là, on part sans programme.
20:42 Et là, on part sans programme.
20:45 Et là, on part sans programme.
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33:27 Et là, on part sans programme.
33:30 Et là, on part sans programme.
33:33 Et là, on part sans programme.
33:36 Et là, on part sans programme.
33:39 Bien sûr que non.
33:42 Mais ce que je veux dire, c'est que...
33:45 Si aujourd'hui, il n'y a pas d'action politique possible
33:48 Si aujourd'hui, il n'y a pas d'action politique possible
33:51 et visible et lisible au sein de l'électorat français,
33:54 c'est parce qu'il n'y a pas de force politique créée et constituée
33:57 qui offre aux électeurs et aux électrices français
34:00 une alternative à la mafia politicienne.
34:03 Cette alternative, il faut la créer.
34:06 Aujourd'hui, il y a beaucoup de gens dont le discours consiste à dire
34:09 "laissons tomber le système et construisons un système à côté du système".
34:12 "laissons tomber le système et construisons un système à côté du système".
34:15 Personnellement, je pense que c'est impossible.
34:18 Parce qu'à partir du moment où on n'a pas la gouverne,
34:21 demain, ces gens qui déjà abusent de leur pouvoir
34:24 et qui sont en train en ce moment de détruire l'intégralité
34:27 de tout notre patrimoine, de nos valeurs, de notre moral,
34:30 ces gens-là, demain, ils pourront écraser ce qu'ils veulent.
34:33 Et les concurrentes qui se créent à côté d'eux, ils la détruiront.
34:36 Non, ce qu'il faut, c'est s'emparer des commandes.
34:39 On ne peut pas piloter un véhicule si on n'a pas le volant.
34:42 Il faut prendre le volant. C'est ça qu'il faut faire.
34:45 Et pour ça, il faut qu'on soit suffisamment fort
34:48 dans notre tête, dans notre cœur,
34:51 qu'on ait la foi aussi.
34:54 Il faut qu'on retrouve la foi en nous, la foi en...
34:57 Moi, personnellement, j'ai la foi en Dieu, mais la foi en qui vous voulez.
35:00 Il faut croire, il faut y croire.
35:03 Sinon, c'est vrai qu'on peut se dire "ouais, de toute façon, il n'y a rien à faire".
35:06 Moi, je fais partie des gens qui pensent qu'on peut encore le faire,
35:09 on peut agir, et je pense que c'est le moment où jamais.
35:12 Je pense qu'après, ça risque peut-être d'être trop tard,
35:15 mais ce n'est pas encore trop tard. On peut le faire, on peut y arriver.
35:18 Mais pour ça, il faut créer et constituer cette force politique
35:21 à l'intérieur du système, qui va présenter une alternative au système.
35:26 En ce moment, que ce soit l'opposition ou ceux qui nous gouvernent,
35:29 ce sont tous, ils font tous partie du même système
35:32 et ils défendent tous la même chose.
35:35 Et donc, ils ne feront rien les uns contre les autres.
35:38 C'est une comédie qui se joue devant nous, à nous,
35:41 de faire en sorte qu'il puisse y avoir dans la population française
35:44 un courant qui soit opposable à cette mafia,
35:47 et qui soit un courant citoyen,
35:50 et qui soit un courant composé par des citoyens, des citoyennes,
35:53 et pas par des membres d'une secte mafieuse.
35:56 C'est bon. On aura beau faire le tour,
35:59 si on ne s'organise pas politiquement,
36:03 politiquement, pas politiciennement, pardon pour le néologisme,
36:07 si on ne s'organise pas politiquement, si on ne crée pas les conditions
36:11 pour être et devenir une force politique à part entière,
36:15 opposable à l'intérieur du système, au système que nous combattons,
36:19 bien sûr qu'on n'y arrivera jamais.
36:22 Si je suis là aujourd'hui, c'est parce que je crois qu'on peut y arriver.
36:25 C'est une volonté et une décision individuelles, j'ai envie de dire,
36:33 et collectives. D'abord individuelles.
36:37 C'est un beau rêve que beaucoup partagent.
36:40 J'aimerais sortir de ce rêve, vraiment.
36:43 Il y a deux choses qui se posent.
36:46 Il y a des personnes comme Virginie Geron qui se trouvent à l'Europe,
36:49 il y a Mme Rivasi, on en a vu plein d'autres dénoncer un tas de choses.
36:53 Elles n'ont jamais réussi à ce jour.
36:55 Et d'ailleurs, Virginie Geron a bien dit que ces personnes-là avaient les mains liées,
37:01 qu'elles ne pouvaient rien faire.
37:03 Alors j'ose espérer qu'avec ce que vous allez monter.
37:07 Mais il y a une deuxième chose aussi qui m'inquiète.
37:10 Moi j'étais fervente admiratrice, on peut dire, de Dieudo,
37:14 de ses paroles qui sont vraies, qui sont empruntes vraiment de vérité.
37:19 La seule chose c'est qu'il a véhiculé quelque chose de négatif,
37:24 bien sûr avec la propagande qui a été faite sur lui, à son sujet,
37:28 mais pas seulement.
37:30 Parce que ça on sait très bien que ce qu'il sortait, ce qu'il disait,
37:33 ses paroles, c'était la vérité.
37:35 La seule chose c'est que derrière il y a eu des problèmes de fonctionnement,
37:39 de fonds, etc., avec l'assurance, tout ça.
37:42 Il faut dire les choses et il faut appeler un chat un chat,
37:45 parce qu'aujourd'hui on a tous envie de sortir de cette Europe,
37:48 on a tous envie que le peuple reprenne le pouvoir,
37:51 et on ne veut surtout pas louper cette occasion.
37:54 Donc il ne faudrait pas que demain on puisse nous opposer à quoi que ce soit,
37:58 et il faut vraiment être carré pour que demain, bien sûr,
38:01 les mainstreams et tous ces propagandistes
38:04 ne puissent pas nous opposer à un refus à accéder à ce pouvoir en fait.
38:10 Écoute, de toute façon, est-ce que tu crois qu'ils vont se laisser faire ?
38:15 Je veux dire, j'ai commencé mon intervention en disant
38:20 que mon frère Dieudonné n'avait mauvaise réputation auprès des gens que nous combattons.
38:26 Bien sûr qu'on va nous opposer, Dieudonné,
38:30 comme on va opposer d'ailleurs Francis Lalanne, moi aussi j'ai mauvaise réputation.
38:33 Je veux dire, moi aussi on m'a diabolisé,
38:36 moi aussi on a essayé de me faire passer pour un crétin,
38:39 moi aussi on a essayé de...
38:41 Il y a des gens qui répètent tout ce qu'on dit et qui disent sur moi "picupandre",
38:46 comme on dit "picupandre" de Dieudo.
38:48 Mais la vérité, c'est que partout où on va en France,
38:52 il y a des gens qui nous suivent et qui nous écoutent.
38:55 Et c'est avec eux qu'on va faire le boulot.
38:58 On n'aura pas l'intégralité des Françaises et des Français avec nous,
39:01 mais ce qui compte c'est d'en avoir simplement une bonne partie,
39:04 une partie suffisante pour avoir des élus.
39:07 Et lorsqu'on aura des élus, autour de ces élus,
39:10 qui seront dans le système et qu'on ne pourra plus contester,
39:13 on ne pourra plus dire qu'ils sont des crétins, ou qu'ils sont des terroristes,
39:16 des anti-Vax, des antisémites,
39:18 toutes les conneries qu'on raconte sur Dieudo et moi,
39:21 puisqu'ils font partie du système.
39:23 Donc on dira des choses comme les choses se disent à l'intérieur du système.
39:27 Mais on sera dans le système, donc on pourra créer une force politique légitime aux yeux du système,
39:33 et c'est parce qu'elle sera légitime aux yeux du système
39:35 qu'elle pourra prendre le pouvoir sur le système.
39:38 Et le jour où elle prendra le pouvoir sur le système, elle détruira le système.
39:41 Parce qu'elle sera composée de gens qui seront allés aux responsabilités pour ça,
39:45 pour établir un nouveau système.
39:47 C'est l'actuel occupant de l'ISA qui l'a dit.
39:51 Lui il a dit "Oui, on veut imposer un nouveau système,
39:56 donc pour ça il faut détruire l'ancien".
39:59 Sauf qu'il ne détruit rien du tout.
40:01 C'est nous qui détruit.
40:03 Il nous détruit nous.
40:05 Donc ce qu'on va faire nous, on va faire comme il dit.
40:07 On va détruire l'ancien système, le sien, et on va établir le nôtre.
40:11 Mais bien évidemment que ça sera difficile.
40:13 Bien évidemment qu'on va s'en prendre plein la gueule.
40:16 Tu sais, je veux dire, moi j'ai pris ma retraite.
40:20 J'ai pris ma retraite pour m'occuper de ma fille.
40:23 J'ai une fille dont je ne pourrais pas être...
40:25 Voilà, une fille, il se trouve que je suis son père,
40:28 mais je pourrais être son grand-père et même son arrière-grand-père.
40:31 Donc j'ai pris ma retraite pour m'occuper d'elle.
40:34 Et c'est pour elle que je me bats, aujourd'hui.
40:37 C'est pour elle que je me bats.
40:39 Et là je pourrais être au soleil, hein, avec ma fille.
40:44 Mais je veux dire, oui, je pourrais.
40:46 Je pourrais ne rien faire et regarder le monde s'effondrer.
40:50 Je n'ai pas envie de ça.
40:52 J'ai envie de me battre jusqu'au bout.
40:54 Et je me battrai jusqu'au bout.
40:56 Et même si je dois encore mordre la poussière, je mordrai la poussière.
40:58 Et je me serai battu jusqu'au bout de ma pelle.
41:01 Je me serai battu jusqu'au bout.
41:03 Je suis très heureux d'être avec vous et surtout...
41:07 d'être face à Francis, que je connais depuis trop longtemps.
41:12 Avant, je fais un hommage à Laurent.
41:14 En fait, on était... je l'ai suivi depuis le début.
41:17 On était 3, 4 au départ.
41:20 On est descendu à Vignon, on était 10.
41:22 Et puis je dis, moi j'ai la foi,
41:24 même si on n'a pas voté l'Europe, bien sûr,
41:27 qu'on s'inscrive dans quelque chose.
41:30 Et ce qu'il faut, c'est qu'on se rassemble.
41:32 Et je suis très heureux que tu sois là aujourd'hui.
41:35 Dans les années 1983, j'étais à l'école de graphiste.
41:41 Je t'écoutais, j'écoutais tes chansons.
41:43 Années 90, après mon graphisme, je fais des pochettes de disques,
41:46 je fais des colonnes Maurice, on se croisait.
41:49 J'ai connu le show business comme toi.
41:51 Et j'ai su que tu avais fait, pendant la guerre du Golfe,
41:55 tu avais dépensé des deniers pour faire un super spectacle.
41:59 Et la guerre du Golfe, personne n'est sorti.
42:02 Ça a été une catastrophe.
42:04 Et on a un ami commun qui s'appelle Jean-Luc Servélo,
42:06 qui t'a aidé, etc.
42:08 Donc je veux venir à ça, parce que la fraternité qui existe
42:11 dans le show business, je dis aux gilets jaunes,
42:13 il ne faut rien changer, il faut juste récupérer ce qui est là,
42:16 c'est-à-dire être fraternel entre nous.
42:18 La fraternité, elle est juste dans les mairies,
42:20 elle est gravée, liberté, égalité, fraternité, comme je dis,
42:23 mais elle n'est pas appliquée pour le peuple,
42:25 elle est appliquée dans cette mafia que tu connais bien.
42:28 Et tu as beaucoup d'amis là-dedans, et à la fois,
42:31 il y a des violents malsains qui gouvernent.
42:34 Donc déjà, je voudrais savoir qui sont pour toi
42:36 ces escrocs qui gouvernent, si c'est le gouvernement
42:39 ou si c'est tout ce show business, tout ce truc
42:42 qui tient le système depuis des années
42:45 et qui nous impose, disons, d'acheter quoi que ce soit, etc.
42:50 Aussi, un hommage à ton ami Dieudonné,
42:55 j'ai été le voir pendant... j'avais un petit spectacle
42:59 et tu es passé à Avignon, et on a été le voir dans son bus,
43:03 il était exclu du palais d'Avignon, mais à côté...
43:08 il était juste à l'entrée, il avait son bus,
43:12 il a fait 100 personnes par jour, et il est fabuleux,
43:16 il a un humour vraiment merveilleux,
43:18 il ne dit rien d'antisémite, et quoi que ce soit,
43:20 on l'a sali volontairement, parce qu'il dit des vérités, tout simplement.
43:24 Je suis très heureux que tu fasses ce spectacle avec lui,
43:26 il faut le faire, Bigard, il a tout lâché,
43:30 il a eu peur, parce qu'il a peur pour sa carrière,
43:33 en fin de carrière, il a peur de quoi ?
43:36 C'est très bien que tu prennes le rôle,
43:38 il y a quelque chose de puissant qui va se faire,
43:40 et c'est maintenant, on se suit depuis les années 80,
43:44 et puis on est toujours ensemble.
43:47 Il y a quelque chose, c'est dans l'invisible.
43:49 Je vais souvent à Bruxelles, on n'est pas loin,
43:53 on a des amis communs, et c'est assez intéressant.
43:56 Maintenant, on connaît le...
43:59 pour pouvoir critiquer le monde, on a la chance de connaître le monde qui gouverne.
44:03 Le truc qui nous manque à beaucoup, c'est de savoir
44:06 qui ils sont, et ce qu'ils font, et en fait,
44:09 tout ce système politique, c'est le show-biz,
44:13 c'est Macron qui connaît tout le monde,
44:16 et qui nous pique toutes les idées,
44:18 parce qu'aujourd'hui, il veut récupérer,
44:20 il serait comme le Christ qui arrive.
44:23 Donc, ils n'ont aucune idée, ils nous veulent tout.
44:27 Donc faites attention, il faut savoir garder nos idées.
44:30 Et la question qu'il y a, c'est...
44:33 c'est pas de question, je suis très heureux,
44:35 on a commencé à semer une graine,
44:37 et je suis très heureux que tu sois là,
44:39 et faisons ce nouveau monde, justement.
44:42 Depuis le départ avec les Gilets jaunes,
44:44 j'avais l'intuition de dire,
44:46 il ne faut pas le faire dans la violence,
44:48 il faut juste transformer ce monde.
44:50 Il est là, il y a juste à changer le casting,
44:53 et faire un monde sain.
44:55 Pourquoi je mets ce costume ?
44:56 Parce qu'il n'y a plus de personnes de sain dans ce monde.
44:58 Donc, le seul qui est représenté, à peu près,
45:01 c'est le prophète qu'on attend.
45:03 Je ne dis pas que je suis prophète, mais il faut un exemple.
45:05 Et Francis peut être un exemple,
45:08 Pierre Diodon est un exemple, vous êtes tous des exemples,
45:10 et je vous aime, et on va y arriver.
45:12 Merci pour tes paroles, juste un mot.
45:16 Tu parlais du Seigneur,
45:18 que c'est le Seigneur qui m'inspire.
45:20 Et tu as dit des choses sur Jean-Marie,
45:23 Jean-Marie qui, à un moment donné, s'est effondrée.
45:27 Il a quitté la lutte parce qu'il s'est effondré.
45:29 Mais simplement, je te répondrai par une parole du Seigneur
45:33 qui dit "Ne juge pas, et tu ne seras pas jugé".
45:36 Et je peux te jurer, moi-même,
45:40 je sais les pressions qu'on peut subir.
45:42 Et il a été menacé de choses
45:50 au sein de sa famille.
45:53 Et voilà.
45:56 Et à un moment donné, moi, quelqu'un qui s'est battu,
45:59 il a essayé, quelqu'un qui s'est battu et qui tombe,
46:03 je ne le reprocherai jamais d'être tombé.
46:05 Et voilà.
46:07 Mais je comprends que ça puisse faire mal
46:09 quand on voit quelqu'un, mais comme le dit le Seigneur,
46:12 "Ne juge pas, et tu ne seras pas jugé".
46:14 Il est avec nous, il reste avec nous.
46:16 Il reste avec nous.
46:17 Que Dieu te bénisse.
46:19 Dernière chose, on est deux, pour l'instant.
46:22 Dieu Do et moi.
46:24 Tous ceux qui veulent nous rejoindre sur la liste,
46:26 vous êtes bienvenus.
46:27 On va s'organiser, vous saurez tout.
46:30 Tout sera public, y compris les financements.
46:33 Tout sera... Voilà.
46:35 On est en train de démarrer.
46:36 On a démarré cette histoire à l'arrache.
46:38 On n'a rien.
46:39 Pour l'instant, on n'a pas un rond.
46:41 Et on va s'organiser, on trouvera des sous,
46:44 on trouvera tout ce qu'il faut.
46:45 Et surtout, on sera prêts, le moment venu, le jour J.
46:48 Alors, hache, on sera prêts pour que les gens
46:50 qui veulent voter pour nous puissent voter pour nous.
46:52 Et ça, je vous le promets.
46:54 Pardonnez-moi de citer à nouveau le Seigneur Jésus-Christ,
46:56 c'est lui qui m'inspire.
46:58 Soyons comme il nous le conseille,
47:00 soyons forts comme des lions
47:02 et prudents comme des serpents.
47:04 (Applaudissements)
47:06 (...)
47:22 (Générique)
47:27 [SILENCE]