• il y a 9 mois
Ces images sont disponibles à l'achat. Pour plus d'informations :
administration@agence-ligne-de-conduite.com

COPYRIGHT AGENCE LDC.NEWS ©2018. ATTENTION TOUTES LES UTILISATIONS COMMERCIALES OU NON COMMERCIALES SONT STRICTEMENT INTERDITES. AUCUNE REPRODUCTION PARTIELLE OU PLEINE DE VIDÉOS ET DE PHOTOGRAPHIE SONT LIBRE DE DROIT. POUR TOUTES ACQUISITIONS PARTIELLES OU TOTALES, VEUILLEZ NOUS CONTACTER SUR NOTRE SITE WEB DAILYMOTION.
AGENCE DE COPYRIGHT LDC.NOUVELLES ©2018. ATTENTION, TOUT USAGE COMMERCIAL OU NON COMMERCIAL EST STRICTEMENT INTERDIT. AUCUNES REPRODUCTIONS VIDÉOS ET PHOTOS PARTIELLES OU INTÉGRALES NE SONT LIBRES DE DROIT. POUR TOUTES ACQUISITIONS PARTIELLES OU INTÉGRALES, MERCI DE NOUS CONTACTER VIA NOTRE SITE DAILYMOTION.

Category

🗞
News
Transcription
00:00 [Musique]
00:16 Pour aller aux européennes, nous avons besoin d'un discours musclé,
00:20 c'est ce que je tente de fabriquer ces jours-ci,
00:23 et donc nous avons besoin de têtes d'affiches.
00:27 La langue dieudonnée, pour moi, sont des têtes d'affiches fabuleuses,
00:31 parce que 1) ils ont un niveau de notoriété important,
00:35 et au moins Dieudonné a une réputation de merde
00:39 auprès d'une partie de la population.
00:41 Donc c'est parfait !
00:43 On ne peut pas faire de têtes d'affiches
00:45 avec une parfaite réputation
00:47 et simplement un peu de notoriété.
00:49 Il nous faut aussi une mauvaise réputation.
00:52 Alors c'est parfait,
00:53 merci Dieudo d'avoir réussi à te faire une sale réputation
00:57 dans un certain nombre de milieux franco-français.
01:00 Par ailleurs, sa notoriété est suffisamment forte
01:05 pour précisément pouvoir être une véritable tête d'affiche.
01:08 Le travail que nous faisons avec Laurent,
01:11 et je vais en terminer là Pascal,
01:13 le travail que nous menons ces jours-ci, ces temps-ci,
01:16 c'est prise de contact pour aller chercher des têtes d'affiches
01:20 et faire un noyau dur de 4, 5, 6 têtes d'affiches
01:25 à forte notoriété et à mauvaise réputation
01:28 pour créer un schéma de rupture
01:31 dans le ronron des discours tenus
01:35 par les partis politiques traditionnels
01:37 et par l'ensemble des pittistes pour les prochaines européennes.
01:40 Juste un mot sur mon ami, mon frère Dieudonné.
01:49 Il n'a bien entendu mauvaise réputation
01:52 qu'auprès des gens que nous combattons.
01:54 Le reste de la population française aime Dieudonné
01:58 et a besoin de Dieudonné pour rire un peu.
02:01 On a tous besoin de rire un peu.
02:03 Moi, depuis que je le fréquente, je ris beaucoup
02:05 et ça fait du bien de rire.
02:07 Je pense que c'est ce qu'on va faire dans cette campagne.
02:10 Avec Dieudonné, on a décidé de mettre le rire
02:13 au-dessus de tous nos moyens de communication.
02:16 C'est une farce.
02:19 C'est une farce qu'on nous fait vivre.
02:21 Ce n'est pas drôle, puisqu'elle a des conséquences
02:24 terribles et froyables dans nos existences.
02:26 Mais c'est quand même une farce à laquelle nous assistons
02:29 tous les jours en regardant la télévision,
02:31 en écoutant la radio, en lisant les journaux.
02:33 C'est grotesque.
02:35 Et c'est vrai qu'on a envie de dire maintenant,
02:38 avec Dieudonné, aux électrices et aux électeurs
02:41 et surtout à ceux qui ne votent pas,
02:43 parce que c'est eux qui vont faire plancher la balance
02:46 et qui vont changer les choses.
02:48 Ce ne sont pas les gens qui votent, hélas.
02:51 Les gens qui votent, votent depuis des générations
02:54 et des générations toujours de la même manière
02:56 et continueront à le faire.
02:58 Le vote est un phénomène affectif pour ceux qui votent.
03:02 Les gens qui ne votent pas, en fait,
03:04 ce sont des gens qui ont une forte maturité politique
03:07 et qui ne fonctionnent pas par rapport à leur affect.
03:10 Ils réfléchissent.
03:12 Le vote est un acte émotionnel.
03:15 De père en fils, on vote de la même manière.
03:18 Si on est un père communiste, on va voter communiste.
03:21 Ou alors on va voter à droite
03:23 parce qu'on ne s'entend pas avec son père.
03:25 Pour moi, hélas, c'est devenu une mascarade.
03:29 Je comprends tous les gens qui ne veulent pas voter
03:32 parce qu'ils n'ont pas envie de faire partie d'une mascarade.
03:35 Mais le problème, c'est que c'est eux
03:37 qui détiennent la clé du changement.
03:39 C'est ceux qui ne votent pas.
03:41 C'est eux qu'on va s'adresser.
03:43 Parce qu'en ne votant pas, ils maintiennent en place le système.
03:46 Et c'est... la clé est là.
03:49 On sait très bien comment ça se passe.
03:51 Et on sait très bien que si on ne compte que sur les gens qui votent,
03:54 on n'a aucune chance d'y arriver.
03:56 Et je disais qu'il y avait des données.
03:59 On s'est fait cette réflexion.
04:01 Bon, on a envie de dire aux gens maintenant...
04:04 Arrêtez de voter pour des clowns amateurs.
04:09 Votez pour des clowns professionnels.
04:12 Et nous, on va se présenter comme des clowns professionnels.
04:15 Parce que si... je veux dire...
04:17 Non, non, parce que c'est... à un moment donné,
04:19 quitte à voter pour des clowns,
04:21 autant voter pour des professionnels et pas pour des clowns amateurs.
04:24 Parce que, je veux dire, le clown professionnel, le vrai clown,
04:27 le fou du roi, c'est celui qui dit la vérité.
04:29 C'est celui qui a toujours dit la vérité de tout temps.
04:31 Et nous, on a l'intention de dire la vérité.
04:34 Et on a l'intention de le dire en se marrant.
04:37 Parce que là, la sinistrose a envahi notre société.
04:42 On nous a...
04:45 Voilà, on nous oblige à vivre dans l'angoisse.
04:47 On nous oblige à vivre par des mesures de rétorsion en permanence
04:51 qui sont commises à l'encontre du peuple français.
04:55 Voilà, la sinistrose s'est emparée de notre population.
04:59 Et on ne rigole plus, on ne se marre plus.
05:02 Il y a une peur qui s'installe dans chaque foyer, dans chaque conscience.
05:07 Et avec ça, on manipule les gens et on les transforme en moutons de panurge.
05:13 Et je pense qu'on s'est dit à un moment donné, avec Dieudonné,
05:17 on attendait, franchement, c'est une décision qu'on a prise il n'y a pas longtemps.
05:22 Moi, quand j'ai vu ce qui se passait au niveau des souverainistes,
05:28 que les souverainistes n'étaient pas capables de s'entendre entre eux
05:31 pour faire un seul mouvement souverainiste,
05:33 je me suis dit, si on n'y va pas, nous les citoyens, on n'y ira jamais.
05:37 C'est-à-dire que ces gens-là, les souverainistes,
05:40 j'allais dire les stars du souverainisme,
05:42 aujourd'hui sont incapables de s'entendre alors qu'ils sont d'accord
05:45 sur ce que nous voulons aussi, c'est-à-dire qu'on sorte de cette Europe mafieuse
05:50 qui nous conduit directement vers la destruction de notre pays.
05:56 Moi, j'ai été tellement choqué de voir que Filippo Asselineau
06:00 et Dupont-Aignan n'étaient pas capables de s'unir
06:02 que je me suis dit, bon, allez, on va dire que de toute façon,
06:06 c'est notre dernier combat, voyons les choses en face, mes amis,
06:10 si on n'a pas réagi avant le mois de juin, ils vont fédéraliser l'Europe,
06:15 notre pays sera définitivement détruit et on ne pourra plus rien faire.
06:19 Là, moi, je pense qu'on peut faire quelque chose.
06:22 Mais il va falloir qu'on se retrousse les manches et simplement,
06:26 et c'est dans cet esprit-là que je suis venu aujourd'hui,
06:29 je voudrais vous expliquer comment on voit les choses avec Dieu d'eau.
06:34 En fait, on s'en fout des Européens.
06:38 Cette Europe, elle est aux ordres de l'OTAN, des États-Unis,
06:45 tous les présidents qui sont élus en Europe sont des marionnettes et des pions
06:51 aux ordres des globalistes et des mondialistes.
06:54 Cette Assemblée européenne n'a aucun pouvoir, elle ne vote pas.
06:58 Là, on va lui donner des pouvoirs, mais pour voter là où on lui dit de voter.
07:02 On voit bien comment se conduisent déjà à l'Assemblée nationale
07:06 nos propres représentants nationaux, c'est-à-dire que ce sont tous les larbins
07:10 de l'actuel occupant grisé qui gouverne seul, puisqu'aujourd'hui,
07:16 on a cette aberration républicaine, puisque normalement,
07:22 la République doit garantir la séparation des pouvoirs et les droits,
07:27 donc elle ne garantit plus les droits et elle ne garantit plus la séparation du pouvoir,
07:31 donc on n'est plus en République, mais on a une personne aujourd'hui
07:34 qui se présente comme le chef de l'exécutif et qui fait les lois.
07:38 Donc l'Europe, ce n'est pas notre occupation, l'Europe, l'Europe,
07:41 on veut en sortir la France, on veut que la France sorte de l'Europe.
07:45 Et alors, le paradoxe, c'est de dire "mais pourquoi à ce moment-là
07:48 tu te présentes aux Européennes, puisque tu ne veux plus d'Europe ?"
07:52 Alors, on va vous expliquer le plan.
07:55 Bien évidemment, la bastille à prendre, c'est l'Assemblée Nationale.
08:00 Tant qu'on n'aura pas pris la bastille, c'est-à-dire tant qu'on n'aura pas pris l'Assemblée Nationale,
08:05 on ne pourra pas espérer changer grand-chose dans notre pays.
08:09 Donc le but, c'est d'arriver à créer et à constituer une masse critique citoyenne
08:17 qui soit opposable à la mafia politicienne qui, à l'heure actuelle,
08:21 s'est emparée de nos institutions et du système électoral.
08:25 On a, à l'heure actuelle, des sectes mafieuses qui, d'ailleurs,
08:29 sont toutes au service du même système qu'on a bien vu à l'Assemblée Nationale.
08:33 Et même ceux en qui on avait mis notre espoir, qui devaient être l'opposition réelle,
08:37 est en fait une opposition contrôlée.
08:40 Le Rassemblement National joue le jeu du système, c'est une opposition contrôlée.
08:44 C'est les futurs remplaçants des néolibéraux actuels,
08:47 qu'on va mettre pour faire croire aux gens que les choses ont changé.
08:50 Pareil pour El-Effi.
08:52 Ces gens-là avaient les moyens, à un moment donné, de constater la prévarication,
08:56 de constater que l'actuel occupant de l'Élysée qui a été élu par la fraude et pas par le peuple français,
09:02 ils avaient les moyens de se constituer en haut de cour,
09:06 ils avaient le nombre de députés suffisant pour le faire,
09:09 ils auraient dû invoquer l'article 68 et exiger la destitution de l'actuel occupant de l'Élysée,
09:15 dont je ne prononcerai pas le nom et dont je ne dirai pas qu'il est le président,
09:18 car pour moi il ne l'est pas.
09:20 Et donc, ils ne l'ont pas fait, ils n'ont rien fait.
09:23 Voilà des gens qui viennent de se faire augmenter de 700 euros par mois pour continuer à ne rien faire.
09:28 Combien de temps on va encore supporter une chose pareille ?
09:32 C'est clair et net, c'est le général de Gaulle qui a dit ça bien avant moi,
09:38 les partis politiques, c'est la catastrophe nationale.
09:42 Les partis politiques sont le poison de la République.
09:45 Et il faut arriver à constituer une assemblée nationale
09:49 qui sera constituée dans sa grande majorité de citoyens non-encartés pour abolir les partis politiques.
09:56 Et cette assemblée, on a la volonté qu'elle devienne constituante,
10:00 parce qu'il va falloir que nous, enfin, nous puissions, nous, le peuple français,
10:06 créer et constituer, proclamer une constitution
10:11 qui ne soit pas au service des intérêts, j'allais dire, financiers
10:16 qui gouvernent à l'heure actuelle les gouvernements de la France.
10:19 Donc en fait, là on a une élection à un tour, à la proportionnelle.
10:27 Donc ça déjà, c'est un moyen d'avoir des élus.
10:32 Je vous demande pourquoi c'est un moyen d'avoir des élus,
10:34 parce qu'il n'y a pas deux tours, il n'y a pas de compromission possible.
10:38 Si on se mobilise sur un tour, on peut arriver à faire un score,
10:41 et si on peut arriver à faire un score, on peut avoir des élus.
10:44 Pourquoi il faut avoir des élus ?
10:45 Parce que pour l'instant, nous les résistants, on part à l'extérieur du système.
10:49 Il faut qu'on rentre dans ce système pour pouvoir le détruire.
10:53 Vous savez, il y a des gens qui me demandent pourquoi je veux être élu,
10:58 ou pourquoi, qu'est-ce que, quelles sont mes ambitions ?
11:00 Moi, je ne suis pas, Aga même non, vous comprenez, moi je suis Ulysse.
11:06 Et ce que je voudrais construire, c'est le cheval de Troyes.
11:09 Pour moi, ces élections européennes, c'est un cheval de Troyes.
11:13 Si on s'y prend bien, on va être capable de générer le nombre de voix suffisante
11:18 pour avoir des élus.
11:19 Et c'est autour de ces élus qu'on va pouvoir organiser la véritable bataille
11:24 que nous devons gagner, c'est la bataille des législatives,
11:27 on s'en fout des présidentielles.
11:29 C'est l'Assemblée nationale, c'est la représentation nationale
11:32 qui exprime la voix et la nature même et l'existence même du peuple français.
11:37 C'est ça. Aujourd'hui, l'Assemblée nationale, ce n'est pas l'Assemblée nationale,
11:42 c'est une assemblée de mafieux corrompus au service d'un tyran.
11:48 Et ils sont tous des larbins de ce tyran.
11:51 Ils font semblant d'être opposés, ils font des gesticules,
11:56 mais ils n'agissent pas, ils ne font rien.
11:59 Ils sont payés une fortune pour ne rien faire.
12:02 Et cette situation ne peut plus durer.
12:05 Il faut abolir les partis politiques.
12:07 Il faut, si on veut un jour arriver à une première démocratie,
12:12 il va falloir qu'on arrête les principes représentatifs et tutélaires.
12:16 Le représentant du peuple, il a un mandat.
12:20 La notion de mandat est la notion de transfert de souveraineté.
12:24 C'est-à-dire qu'aujourd'hui, on présente finalement le mandataire
12:29 comme quelqu'un qui est dépositaire de la souveraineté populaire.
12:32 Or, la souveraineté populaire, elle ne s'exclut plus dans notre Constitution.
12:35 Elle ne peut pas être frappée de subsidiarité.
12:39 Elle ne peut pas être transférée à qui que ce soit.
12:42 Ni à une personne, comme c'est le cas en ce moment,
12:45 ni à un groupe de personnes. C'est l'article 3 de la Constitution.
12:48 En fait, aujourd'hui, tous ceux qui sont les gardiens de la Constitution
12:52 bafouent la Constitution sous le regard éperlué des Français qui n'agissent pas.
12:56 Moi, ce que je voudrais proposer, et ce que Dieu veut proposer avec moi,
13:00 c'est d'ouvrir un chemin, de créer un cheval de Troie
13:04 qui va rentrer dans la cité, duquel les soldats vont sortir,
13:09 vont ouvrir les portes au peuple. Parce que ce n'est pas la même chose,
13:12 aujourd'hui, Francis Lalanne, je parle devant vous, mes amis, on s'est battus,
13:15 on se connaît, on est dans la rue depuis combien de temps maintenant ?
13:19 Depuis l'avènement du Caligula qui nous gouverne.
13:23 Et qui vient d'élire, d'ailleurs, comme Caligula l'a fait,
13:26 en nommant un citatus son cheval président du Sénat,
13:30 lui, il a même mis son coulin, sa pouliche, comme vous voulez.
13:34 Bon, enfin, là, on a touché le fond, mes amis,
13:37 ce qui vient de se passer au niveau de l'article 4.
13:40 Comment est-ce qu'on peut considérer, à l'heure actuelle,
13:44 que les représentants des partis politiques représentent le peuple français ?
13:47 Alors qu'ils sont là, regardés, à longueur de journée,
13:50 un premier ministre doit faire le coup du 49-3,
13:53 et quand ce n'est pas suffisant, des petites magouilles comme celles
13:56 qui viennent de se passer sur la loi sur les dérives sectaires.
13:59 Il faut bien être conscient qu'il n'y a plus de salut, aujourd'hui,
14:04 dans les partis politiques. Et c'est vrai qu'on s'en prend beaucoup
14:07 à l'occupant de l'Élysée, qui est là aussi pour ça,
14:10 pour focaliser la haine et la contrariété des gens.
14:14 Mais on a un système, quand même, qui devrait garantir les droits
14:18 et ne pas séparer les pouvoirs, et ce système-là,
14:21 on accepte qu'il ne fonctionne pas comme il est écrit.
14:24 Alors, déjà, on va faire en sorte qu'il fonctionne comme il est écrit,
14:28 et ensuite, surtout, on va le créer le nôtre.
14:31 Et pour ça, il faut qu'on ait une Assemblée nationale composée
14:34 que par des citoyens indépendants, non-empartés,
14:37 qui ont reçu la confiance populaire, et qui, eux, vont débattre
14:41 et décider, à ce moment-là, de ce que deviendra notre France,
14:44 et ils le feront au nom du peuple français, vraiment et réellement,
14:47 et pas au nom des partis politiques. Alors, mes amis, c'est vrai que,
14:50 souvent, on se rencontre et on discute.
14:53 Mais moi, je pense que ce dont on discute est hors sujet.
14:56 C'est-à-dire que la vision de ce que doit être la France de demain,
14:59 moi, je me bats pour qu'elle soit démocratique.
15:02 Moi, je me bats pour l'avènement de la première démocratie.
15:05 Il y en a d'autres qui ont des visions plus républicaines,
15:08 qui sont en principe représentatif, collégial, etc.
15:11 Ces idées-là, elles doivent pouvoir s'affronter aujourd'hui
15:14 dans un collège, dans un prétoire, dans une Assemblée,
15:18 dans une agora, qui va permettre aux uns et aux autres
15:21 de débattre en vérité, et pas simplement pour servir des intérêts,
15:25 qui sont des intérêts financiers, qui utilisent le politique
15:29 pour arriver à leur fin. Et donc, aujourd'hui,
15:33 je pense que c'est le moment où jamais,
15:36 je pense que si on n'y arrive pas maintenant, on n'y arrivera plus jamais.
15:39 Je pense qu'il y a moyen, grâce à ces élections,
15:42 dont on n'a rien à foutre. Parce que personnellement,
15:45 je veux dire, voilà, qu'est-ce qu'on en a à foutre.
15:49 Ce qui est incroyable, c'est que vous allez avoir des gens
15:53 qui vont se présenter comme étant des gens
15:56 dignes de confiance, et ces gens-là,
15:59 ils vont vous présenter un programme. Non, mais c'est dingue !
16:03 Un programme ! Comment un aspirant député européen
16:09 peut vous présenter un programme, alors que le député européen
16:13 est juste un contractuel, qui est là pour tamponner
16:17 les décisions du Conseil, qui n'a même pas été élu ?
16:20 On est dans un principe complètement dictatorial,
16:23 où la vision supranationale prétend s'imposer
16:26 au Parlement nationaux, alors qu'en réalité,
16:29 elle n'en a même pas le pouvoir. Parce que le grand paradoxe
16:32 est qu'à l'heure actuelle, ça risque de changer,
16:35 si on n'agit pas, mais à l'heure actuelle,
16:38 l'Europe n'a aucun pouvoir. En réalité,
16:42 si on regarde la vérité du fonctionnement européen,
16:45 ce sont les dirigeants des États-nations qui nous disent
16:48 "Ah, on est obligés de faire ça parce que c'est l'Europe".
16:51 Et regardez le nombre de règlements et de directives européennes
16:54 qui ne sont pas respectés par les États-nations,
16:57 quand ça n'intéresse pas les chefs des régimes,
17:00 c'est plus qu'ils ne sont pas respectés,
17:03 que les directives qui sont respectées.
17:06 En fait, il n'y a aucun pouvoir de coercition de l'Assemblée européenne,
17:09 du principe européen, de l'Union européenne,
17:12 sur les États-nations. Regardez comment se conduisent
17:15 certains États-nations. La France est condamnée chaque année,
17:18 et elle ne paye même pas les amendes qu'on lui implique.
17:21 En fait, il n'y a pas de pouvoir réellement
17:24 de l'Union européenne sur les États-nations.
17:27 C'est une farce !
17:30 Et on nous fait croire que l'Europe, etc.,
17:33 et que c'est l'Europe. Non, l'Europe est un
17:36 territoire de
17:39 non-droits, où des
17:42 magouilleurs aux ordres
17:45 des lopis vont influencer des députés
17:48 qui sont tous des larbins, qui sont tous au service
17:51 du pouvoir financier, pour faire semblant
17:54 de débattre
17:57 de sujets dont ils sont juste là pour tamponner
18:00 la décision qui a été prise par douze personnes au service
18:03 des lopis. Donc, nous, si on arrive
18:06 à balancer des députés là-dedans
18:09 comme des chiens dans un jeu de pieds,
18:12 déjà on va pouvoir agir, même
18:15 et faire du lobilisme, nous, auprès des autres peuples,
18:18 pour que comme nous, ils considèrent qu'il est temps maintenant
18:21 d'en finir avec cette construction européenne
18:24 qui compromet l'avenir
18:27 et l'équilibre et le bien-être des États-nations en Europe.
18:30 Ça fonctionnait très bien quand on était un marché commun,
18:33 on nous a menti,
18:36 on nous a vendu quelque chose qui n'existe pas aujourd'hui.
18:39 Et si on laisse faire,
18:42 cette Europe va finir par obtenir ce qu'elle veut,
18:45 c'est-à-dire la destruction des États-nations au profit
18:48 des États-Unis d'Europe,
18:51 qui seront aux mains des lopis,
18:54 via quelques personnes qui sont là pour faire
18:57 ce qu'on leur dit de faire, et exécuter les ordres de BlackRock,
19:00 McKinsey, Davos et tous nos amis localistes
19:03 et le monde, la pédocrie,
19:06 fémininité triomphante. On part avec zéro programme,
19:09 on n'a pas de programme,
19:12 on a un but et un objectif. Et ce but
19:15 et cet objectif n'est pas, encore une fois,
19:18 d'essayer de changer les décisions
19:21 des uns ou des autres au niveau
19:24 de l'Union européenne, décision dont personnellement
19:27 je moque comme de l'an 40,
19:30 et dont devraient d'ailleurs se moquer comme de l'an 40
19:33 les dirigeants des nations s'ils n'étaient pas aux ordres, justement,
19:36 des lopis, qui font croire aux gens que l'Europe
19:39 est au-dessus des États-nations. Bref.
19:42 On part sans programme, d'accord ? On a zéro programme.
19:45 Zéro idéologie. Zéro idéologie.
19:48 Pour moi, tout débat
19:51 idéologique concernant l'avenir politique
19:54 de notre pays est prématuré.
19:57 C'est un débat qui devra avoir lieu au sein de l'Assemblée nationale
20:00 quand elle sera constituée de députés, élus, indépendants,
20:03 citoyens et honnêtes.
20:06 Non. On part sans programme,
20:09 d'accord ? On part sans programme.
20:12 Et là, on part sans programme.
20:15 Et là, on part sans programme.
20:18 Et là, on part sans programme.
20:21 Et là, on part sans programme.
20:24 Et là, on part sans programme.
20:27 Et là, on part sans programme.
20:30 Et là, on part sans programme.
20:33 Et là, on part sans programme.
20:36 Et là, on part sans programme.
20:39 Et là, on part sans programme.
20:42 Et là, on part sans programme.
20:45 Et là, on part sans programme.
20:48 Et là, on part sans programme.
20:51 Et là, on part sans programme.
20:54 Et là, on part sans programme.
20:57 Et là, on part sans programme.
21:00 Et là, on part sans programme.
21:03 Et là, on part sans programme.
21:06 Et là, on part sans programme.
21:09 Et là, on part sans programme.
21:12 Et là, on part sans programme.
21:15 Et là, on part sans programme.
21:18 Et là, on part sans programme.
21:21 Et là, on part sans programme.
21:24 Et là, on part sans programme.
21:27 Et là, on part sans programme.
21:30 Et là, on part sans programme.
21:33 Et là, on part sans programme.
21:36 Et là, on part sans programme.
21:39 Et là, on part sans programme.
21:42 Et là, on part sans programme.
21:45 Et là, on part sans programme.
21:48 Et là, on part sans programme.
21:51 Et là, on part sans programme.
21:54 Et là, on part sans programme.
21:57 Et là, on part sans programme.
22:00 Et là, on part sans programme.
22:03 Et là, on part sans programme.
22:06 Et là, on part sans programme.
22:09 Et là, on part sans programme.
22:12 Et là, on part sans programme.
22:15 Et là, on part sans programme.
22:18 Et là, on part sans programme.
22:21 Et là, on part sans programme.
22:24 Et là, on part sans programme.
22:27 Et là, on part sans programme.
22:30 Et là, on part sans programme.
22:33 Et là, on part sans programme.
22:36 Et là, on part sans programme.
22:39 Et là, on part sans programme.
22:42 Et là, on part sans programme.
22:45 Et là, on part sans programme.
22:48 Et là, on part sans programme.
22:51 Et là, on part sans programme.
22:54 Et là, on part sans programme.
22:57 Et là, on part sans programme.
23:00 Et là, on part sans programme.
23:03 Et là, on part sans programme.
23:06 Et là, on part sans programme.
23:09 Et là, on part sans programme.
23:12 Et là, on part sans programme.
23:15 Et là, on part sans programme.
23:18 Et là, on part sans programme.
23:21 Et là, on part sans programme.
23:24 Et là, on part sans programme.
23:27 Et là, on part sans programme.
23:30 Et là, on part sans programme.
23:33 Et là, on part sans programme.
23:36 Et là, on part sans programme.
23:39 Et là, on part sans programme.
23:42 Et là, on part sans programme.
23:45 Et là, on part sans programme.
23:48 Et là, on part sans programme.
23:51 Et là, on part sans programme.
23:54 Et là, on part sans programme.
23:57 Et là, on part sans programme.
24:00 Et là, on part sans programme.
24:03 Et là, on part sans programme.
24:06 Et là, on part sans programme.
24:09 Et là, on part sans programme.
24:12 Et là, on part sans programme.
24:15 Et là, on part sans programme.
24:18 Et là, on part sans programme.
24:21 Et là, on part sans programme.
24:24 Et là, on part sans programme.
24:27 Et là, on part sans programme.
24:30 Et là, on part sans programme.
24:33 Et là, on part sans programme.
24:36 Et là, on part sans programme.
24:39 Et là, on part sans programme.
24:42 Et là, on part sans programme.
24:45 Et là, on part sans programme.
24:48 Et là, on part sans programme.
24:51 Et là, on part sans programme.
24:54 Et là, on part sans programme.
24:57 Et là, on part sans programme.
25:00 Et là, on part sans programme.
25:03 Et là, on part sans programme.
25:06 Et là, on part sans programme.
25:09 Et là, on part sans programme.
25:12 Et là, on part sans programme.
25:15 Et là, on part sans programme.
25:18 Et là, on part sans programme.
25:21 Et là, on part sans programme.
25:24 Et là, on part sans programme.
25:27 Et là, on part sans programme.
25:30 Et là, on part sans programme.
25:33 Et là, on part sans programme.
25:36 Et là, on part sans programme.
25:39 Et là, on part sans programme.
25:42 Et là, on part sans programme.
25:45 Et là, on part sans programme.
25:48 Et là, on part sans programme.
25:51 Et là, on part sans programme.
25:54 Et là, on part sans programme.
25:57 Et là, on part sans programme.
26:00 Et là, on part sans programme.
26:03 Et là, on part sans programme.
26:06 Et là, on part sans programme.
26:09 Et là, on part sans programme.
26:12 Et là, on part sans programme.
26:15 Et là, on part sans programme.
26:18 Et là, on part sans programme.
26:21 Et là, on part sans programme.
26:24 Et là, on part sans programme.
26:27 Et là, on part sans programme.
26:30 Et là, on part sans programme.
26:33 Et là, on part sans programme.
26:36 Et là, on part sans programme.
26:39 Et là, on part sans programme.
26:42 Et là, on part sans programme.
26:45 Et là, on part sans programme.
26:48 Et là, on part sans programme.
26:51 Et là, on part sans programme.
26:54 Et là, on part sans programme.
26:57 Et là, on part sans programme.
27:00 Et là, on part sans programme.
27:03 Et là, on part sans programme.
27:06 Et là, on part sans programme.
27:09 Et là, on part sans programme.
27:12 Et là, on part sans programme.
27:15 Et là, on part sans programme.
27:18 Et là, on part sans programme.
27:21 Et là, on part sans programme.
27:24 Et là, on part sans programme.
27:27 Et là, on part sans programme.
27:30 Et là, on part sans programme.
27:33 Et là, on part sans programme.
27:36 Et là, on part sans programme.
27:39 Et là, on part sans programme.
27:42 Et là, on part sans programme.
27:45 Et là, on part sans programme.
27:48 Et là, on part sans programme.
27:51 Et là, on part sans programme.
27:54 Et là, on part sans programme.
27:57 Et là, on part sans programme.
28:00 Et là, on part sans programme.
28:03 Et là, on part sans programme.
28:06 Et là, on part sans programme.
28:09 Et là, on part sans programme.
28:12 Et là, on part sans programme.
28:15 Et là, on part sans programme.
28:18 Et là, on part sans programme.
28:21 Et là, on part sans programme.
28:24 Et là, on part sans programme.
28:27 Et là, on part sans programme.
28:30 Et là, on part sans programme.
28:33 Et là, on part sans programme.
28:36 Et là, on part sans programme.
28:39 Et là, on part sans programme.
28:42 Et là, on part sans programme.
28:45 Et là, on part sans programme.
28:48 Et là, on part sans programme.
28:51 Et là, on part sans programme.
28:54 Et là, on part sans programme.
28:57 Et là, on part sans programme.
29:00 Et là, on part sans programme.
29:03 Et là, on part sans programme.
29:06 Et là, on part sans programme.
29:09 Et là, on part sans programme.
29:12 Et là, on part sans programme.
29:15 Et là, on part sans programme.
29:18 Et là, on part sans programme.
29:21 Et là, on part sans programme.
29:24 Et là, on part sans programme.
29:27 Et là, on part sans programme.
29:30 Et là, on part sans programme.
29:33 Et là, on part sans programme.
29:36 Et là, on part sans programme.
29:39 Et là, on part sans programme.
29:42 Et là, on part sans programme.
29:45 Et là, on part sans programme.
29:48 Et là, on part sans programme.
29:51 Et là, on part sans programme.
29:54 Et là, on part sans programme.
29:57 Et là, on part sans programme.
30:00 Et là, on part sans programme.
30:03 Et là, on part sans programme.
30:06 Et là, on part sans programme.
30:09 Et là, on part sans programme.
30:12 Et là, on part sans programme.
30:15 Et là, on part sans programme.
30:18 Et là, on part sans programme.
30:21 Et là, on part sans programme.
30:24 Et là, on part sans programme.
30:27 Et là, on part sans programme.
30:30 Et là, on part sans programme.
30:33 Et là, on part sans programme.
30:36 Et là, on part sans programme.
30:39 Et là, on part sans programme.
30:42 Et là, on part sans programme.
30:45 Et là, on part sans programme.
30:48 Et là, on part sans programme.
30:51 Et là, on part sans programme.
30:54 Et là, on part sans programme.
30:57 Et là, on part sans programme.
31:00 Et là, on part sans programme.
31:03 Et là, on part sans programme.
31:06 Et là, on part sans programme.
31:09 Et là, on part sans programme.
31:12 Et là, on part sans programme.
31:15 Et là, on part sans programme.
31:18 Et là, on part sans programme.
31:21 Et là, on part sans programme.
31:24 Et là, on part sans programme.
31:27 Et là, on part sans programme.
31:30 Et là, on part sans programme.
31:33 Et là, on part sans programme.
31:36 Et là, on part sans programme.
31:39 Et là, on part sans programme.
31:42 Et là, on part sans programme.
31:45 Et là, on part sans programme.
31:48 Et là, on part sans programme.
31:51 Et là, on part sans programme.
31:54 Et là, on part sans programme.
31:57 Et là, on part sans programme.
32:00 Et là, on part sans programme.
32:03 Et là, on part sans programme.
32:06 Et là, on part sans programme.
32:09 Et là, on part sans programme.
32:12 Et là, on part sans programme.
32:15 Et là, on part sans programme.
32:18 Et là, on part sans programme.
32:21 Et là, on part sans programme.
32:24 Et là, on part sans programme.
32:27 Et là, on part sans programme.
32:30 Et là, on part sans programme.
32:33 Et là, on part sans programme.
32:36 Et là, on part sans programme.
32:39 Et là, on part sans programme.
32:42 Et là, on part sans programme.
32:45 Et là, on part sans programme.
32:48 Et là, on part sans programme.
32:51 Et là, on part sans programme.
32:54 Et là, on part sans programme.
32:57 Et là, on part sans programme.
33:00 Et là, on part sans programme.
33:03 Et là, on part sans programme.
33:06 Et là, on part sans programme.
33:09 Et là, on part sans programme.
33:12 Et là, on part sans programme.
33:15 Et là, on part sans programme.
33:18 Et là, on part sans programme.
33:21 Et là, on part sans programme.
33:24 Et là, on part sans programme.
33:27 Et là, on part sans programme.
33:30 Et là, on part sans programme.
33:33 Et là, on part sans programme.
33:36 Et là, on part sans programme.
33:39 Bien sûr que non.
33:42 Mais ce que je veux dire, c'est que...
33:45 Si aujourd'hui, il n'y a pas d'action politique possible
33:48 Si aujourd'hui, il n'y a pas d'action politique possible
33:51 et visible et lisible au sein de l'électorat français,
33:54 c'est parce qu'il n'y a pas de force politique créée et constituée
33:57 qui offre aux électeurs et aux électrices français
34:00 une alternative à la mafia politicienne.
34:03 Cette alternative, il faut la créer.
34:06 Aujourd'hui, il y a beaucoup de gens dont le discours consiste à dire
34:09 "laissons tomber le système et construisons un système à côté du système".
34:12 "laissons tomber le système et construisons un système à côté du système".
34:15 Personnellement, je pense que c'est impossible.
34:18 Parce qu'à partir du moment où on n'a pas la gouverne,
34:21 demain, ces gens qui déjà abusent de leur pouvoir
34:24 et qui sont en train en ce moment de détruire l'intégralité
34:27 de tout notre patrimoine, de nos valeurs, de notre moral,
34:30 ces gens-là, demain, ils pourront écraser ce qu'ils veulent.
34:33 Et les concurrentes qui se créent à côté d'eux, ils la détruiront.
34:36 Non, ce qu'il faut, c'est s'emparer des commandes.
34:39 On ne peut pas piloter un véhicule si on n'a pas le volant.
34:42 Il faut prendre le volant. C'est ça qu'il faut faire.
34:45 Et pour ça, il faut qu'on soit suffisamment fort
34:48 dans notre tête, dans notre cœur,
34:51 qu'on ait la foi aussi.
34:54 Il faut qu'on retrouve la foi en nous, la foi en...
34:57 Moi, personnellement, j'ai la foi en Dieu, mais la foi en qui vous voulez.
35:00 Il faut croire, il faut y croire.
35:03 Sinon, c'est vrai qu'on peut se dire "ouais, de toute façon, il n'y a rien à faire".
35:06 Moi, je fais partie des gens qui pensent qu'on peut encore le faire,
35:09 on peut agir, et je pense que c'est le moment où jamais.
35:12 Je pense qu'après, ça risque peut-être d'être trop tard,
35:15 mais ce n'est pas encore trop tard. On peut le faire, on peut y arriver.
35:18 Mais pour ça, il faut créer et constituer cette force politique
35:21 à l'intérieur du système, qui va présenter une alternative au système.
35:26 En ce moment, que ce soit l'opposition ou ceux qui nous gouvernent,
35:29 ce sont tous, ils font tous partie du même système
35:32 et ils défendent tous la même chose.
35:35 Et donc, ils ne feront rien les uns contre les autres.
35:38 C'est une comédie qui se joue devant nous, à nous,
35:41 de faire en sorte qu'il puisse y avoir dans la population française
35:44 un courant qui soit opposable à cette mafia,
35:47 et qui soit un courant citoyen,
35:50 et qui soit un courant composé par des citoyens, des citoyennes,
35:53 et pas par des membres d'une secte mafieuse.
35:56 C'est bon. On aura beau faire le tour,
35:59 si on ne s'organise pas politiquement,
36:03 politiquement, pas politiciennement, pardon pour le néologisme,
36:07 si on ne s'organise pas politiquement, si on ne crée pas les conditions
36:11 pour être et devenir une force politique à part entière,
36:15 opposable à l'intérieur du système, au système que nous combattons,
36:19 bien sûr qu'on n'y arrivera jamais.
36:22 Si je suis là aujourd'hui, c'est parce que je crois qu'on peut y arriver.
36:25 C'est une volonté et une décision individuelles, j'ai envie de dire,
36:33 et collectives. D'abord individuelles.
36:37 C'est un beau rêve que beaucoup partagent.
36:40 J'aimerais sortir de ce rêve, vraiment.
36:43 Il y a deux choses qui se posent.
36:46 Il y a des personnes comme Virginie Geron qui se trouvent à l'Europe,
36:49 il y a Mme Rivasi, on en a vu plein d'autres dénoncer un tas de choses.
36:53 Elles n'ont jamais réussi à ce jour.
36:55 Et d'ailleurs, Virginie Geron a bien dit que ces personnes-là avaient les mains liées,
37:01 qu'elles ne pouvaient rien faire.
37:03 Alors j'ose espérer qu'avec ce que vous allez monter.
37:07 Mais il y a une deuxième chose aussi qui m'inquiète.
37:10 Moi j'étais fervente admiratrice, on peut dire, de Dieudo,
37:14 de ses paroles qui sont vraies, qui sont empruntes vraiment de vérité.
37:19 La seule chose c'est qu'il a véhiculé quelque chose de négatif,
37:24 bien sûr avec la propagande qui a été faite sur lui, à son sujet,
37:28 mais pas seulement.
37:30 Parce que ça on sait très bien que ce qu'il sortait, ce qu'il disait,
37:33 ses paroles, c'était la vérité.
37:35 La seule chose c'est que derrière il y a eu des problèmes de fonctionnement,
37:39 de fonds, etc., avec l'assurance, tout ça.
37:42 Il faut dire les choses et il faut appeler un chat un chat,
37:45 parce qu'aujourd'hui on a tous envie de sortir de cette Europe,
37:48 on a tous envie que le peuple reprenne le pouvoir,
37:51 et on ne veut surtout pas louper cette occasion.
37:54 Donc il ne faudrait pas que demain on puisse nous opposer à quoi que ce soit,
37:58 et il faut vraiment être carré pour que demain, bien sûr,
38:01 les mainstreams et tous ces propagandistes
38:04 ne puissent pas nous opposer à un refus à accéder à ce pouvoir en fait.
38:10 Écoute, de toute façon, est-ce que tu crois qu'ils vont se laisser faire ?
38:15 Je veux dire, j'ai commencé mon intervention en disant
38:20 que mon frère Dieudonné n'avait mauvaise réputation auprès des gens que nous combattons.
38:26 Bien sûr qu'on va nous opposer, Dieudonné,
38:30 comme on va opposer d'ailleurs Francis Lalanne, moi aussi j'ai mauvaise réputation.
38:33 Je veux dire, moi aussi on m'a diabolisé,
38:36 moi aussi on a essayé de me faire passer pour un crétin,
38:39 moi aussi on a essayé de...
38:41 Il y a des gens qui répètent tout ce qu'on dit et qui disent sur moi "picupandre",
38:46 comme on dit "picupandre" de Dieudo.
38:48 Mais la vérité, c'est que partout où on va en France,
38:52 il y a des gens qui nous suivent et qui nous écoutent.
38:55 Et c'est avec eux qu'on va faire le boulot.
38:58 On n'aura pas l'intégralité des Françaises et des Français avec nous,
39:01 mais ce qui compte c'est d'en avoir simplement une bonne partie,
39:04 une partie suffisante pour avoir des élus.
39:07 Et lorsqu'on aura des élus, autour de ces élus,
39:10 qui seront dans le système et qu'on ne pourra plus contester,
39:13 on ne pourra plus dire qu'ils sont des crétins, ou qu'ils sont des terroristes,
39:16 des anti-Vax, des antisémites,
39:18 toutes les conneries qu'on raconte sur Dieudo et moi,
39:21 puisqu'ils font partie du système.
39:23 Donc on dira des choses comme les choses se disent à l'intérieur du système.
39:27 Mais on sera dans le système, donc on pourra créer une force politique légitime aux yeux du système,
39:33 et c'est parce qu'elle sera légitime aux yeux du système
39:35 qu'elle pourra prendre le pouvoir sur le système.
39:38 Et le jour où elle prendra le pouvoir sur le système, elle détruira le système.
39:41 Parce qu'elle sera composée de gens qui seront allés aux responsabilités pour ça,
39:45 pour établir un nouveau système.
39:47 C'est l'actuel occupant de l'ISA qui l'a dit.
39:51 Lui il a dit "Oui, on veut imposer un nouveau système,
39:56 donc pour ça il faut détruire l'ancien".
39:59 Sauf qu'il ne détruit rien du tout.
40:01 C'est nous qui détruit.
40:03 Il nous détruit nous.
40:05 Donc ce qu'on va faire nous, on va faire comme il dit.
40:07 On va détruire l'ancien système, le sien, et on va établir le nôtre.
40:11 Mais bien évidemment que ça sera difficile.
40:13 Bien évidemment qu'on va s'en prendre plein la gueule.
40:16 Tu sais, je veux dire, moi j'ai pris ma retraite.
40:20 J'ai pris ma retraite pour m'occuper de ma fille.
40:23 J'ai une fille dont je ne pourrais pas être...
40:25 Voilà, une fille, il se trouve que je suis son père,
40:28 mais je pourrais être son grand-père et même son arrière-grand-père.
40:31 Donc j'ai pris ma retraite pour m'occuper d'elle.
40:34 Et c'est pour elle que je me bats, aujourd'hui.
40:37 C'est pour elle que je me bats.
40:39 Et là je pourrais être au soleil, hein, avec ma fille.
40:44 Mais je veux dire, oui, je pourrais.
40:46 Je pourrais ne rien faire et regarder le monde s'effondrer.
40:50 Je n'ai pas envie de ça.
40:52 J'ai envie de me battre jusqu'au bout.
40:54 Et je me battrai jusqu'au bout.
40:56 Et même si je dois encore mordre la poussière, je mordrai la poussière.
40:58 Et je me serai battu jusqu'au bout de ma pelle.
41:01 Je me serai battu jusqu'au bout.
41:03 Je suis très heureux d'être avec vous et surtout...
41:07 d'être face à Francis, que je connais depuis trop longtemps.
41:12 Avant, je fais un hommage à Laurent.
41:14 En fait, on était... je l'ai suivi depuis le début.
41:17 On était 3, 4 au départ.
41:20 On est descendu à Vignon, on était 10.
41:22 Et puis je dis, moi j'ai la foi,
41:24 même si on n'a pas voté l'Europe, bien sûr,
41:27 qu'on s'inscrive dans quelque chose.
41:30 Et ce qu'il faut, c'est qu'on se rassemble.
41:32 Et je suis très heureux que tu sois là aujourd'hui.
41:35 Dans les années 1983, j'étais à l'école de graphiste.
41:41 Je t'écoutais, j'écoutais tes chansons.
41:43 Années 90, après mon graphisme, je fais des pochettes de disques,
41:46 je fais des colonnes Maurice, on se croisait.
41:49 J'ai connu le show business comme toi.
41:51 Et j'ai su que tu avais fait, pendant la guerre du Golfe,
41:55 tu avais dépensé des deniers pour faire un super spectacle.
41:59 Et la guerre du Golfe, personne n'est sorti.
42:02 Ça a été une catastrophe.
42:04 Et on a un ami commun qui s'appelle Jean-Luc Servélo,
42:06 qui t'a aidé, etc.
42:08 Donc je veux venir à ça, parce que la fraternité qui existe
42:11 dans le show business, je dis aux gilets jaunes,
42:13 il ne faut rien changer, il faut juste récupérer ce qui est là,
42:16 c'est-à-dire être fraternel entre nous.
42:18 La fraternité, elle est juste dans les mairies,
42:20 elle est gravée, liberté, égalité, fraternité, comme je dis,
42:23 mais elle n'est pas appliquée pour le peuple,
42:25 elle est appliquée dans cette mafia que tu connais bien.
42:28 Et tu as beaucoup d'amis là-dedans, et à la fois,
42:31 il y a des violents malsains qui gouvernent.
42:34 Donc déjà, je voudrais savoir qui sont pour toi
42:36 ces escrocs qui gouvernent, si c'est le gouvernement
42:39 ou si c'est tout ce show business, tout ce truc
42:42 qui tient le système depuis des années
42:45 et qui nous impose, disons, d'acheter quoi que ce soit, etc.
42:50 Aussi, un hommage à ton ami Dieudonné,
42:55 j'ai été le voir pendant... j'avais un petit spectacle
42:59 et tu es passé à Avignon, et on a été le voir dans son bus,
43:03 il était exclu du palais d'Avignon, mais à côté...
43:08 il était juste à l'entrée, il avait son bus,
43:12 il a fait 100 personnes par jour, et il est fabuleux,
43:16 il a un humour vraiment merveilleux,
43:18 il ne dit rien d'antisémite, et quoi que ce soit,
43:20 on l'a sali volontairement, parce qu'il dit des vérités, tout simplement.
43:24 Je suis très heureux que tu fasses ce spectacle avec lui,
43:26 il faut le faire, Bigard, il a tout lâché,
43:30 il a eu peur, parce qu'il a peur pour sa carrière,
43:33 en fin de carrière, il a peur de quoi ?
43:36 C'est très bien que tu prennes le rôle,
43:38 il y a quelque chose de puissant qui va se faire,
43:40 et c'est maintenant, on se suit depuis les années 80,
43:44 et puis on est toujours ensemble.
43:47 Il y a quelque chose, c'est dans l'invisible.
43:49 Je vais souvent à Bruxelles, on n'est pas loin,
43:53 on a des amis communs, et c'est assez intéressant.
43:56 Maintenant, on connaît le...
43:59 pour pouvoir critiquer le monde, on a la chance de connaître le monde qui gouverne.
44:03 Le truc qui nous manque à beaucoup, c'est de savoir
44:06 qui ils sont, et ce qu'ils font, et en fait,
44:09 tout ce système politique, c'est le show-biz,
44:13 c'est Macron qui connaît tout le monde,
44:16 et qui nous pique toutes les idées,
44:18 parce qu'aujourd'hui, il veut récupérer,
44:20 il serait comme le Christ qui arrive.
44:23 Donc, ils n'ont aucune idée, ils nous veulent tout.
44:27 Donc faites attention, il faut savoir garder nos idées.
44:30 Et la question qu'il y a, c'est...
44:33 c'est pas de question, je suis très heureux,
44:35 on a commencé à semer une graine,
44:37 et je suis très heureux que tu sois là,
44:39 et faisons ce nouveau monde, justement.
44:42 Depuis le départ avec les Gilets jaunes,
44:44 j'avais l'intuition de dire,
44:46 il ne faut pas le faire dans la violence,
44:48 il faut juste transformer ce monde.
44:50 Il est là, il y a juste à changer le casting,
44:53 et faire un monde sain.
44:55 Pourquoi je mets ce costume ?
44:56 Parce qu'il n'y a plus de personnes de sain dans ce monde.
44:58 Donc, le seul qui est représenté, à peu près,
45:01 c'est le prophète qu'on attend.
45:03 Je ne dis pas que je suis prophète, mais il faut un exemple.
45:05 Et Francis peut être un exemple,
45:08 Pierre Diodon est un exemple, vous êtes tous des exemples,
45:10 et je vous aime, et on va y arriver.
45:12 Merci pour tes paroles, juste un mot.
45:16 Tu parlais du Seigneur,
45:18 que c'est le Seigneur qui m'inspire.
45:20 Et tu as dit des choses sur Jean-Marie,
45:23 Jean-Marie qui, à un moment donné, s'est effondrée.
45:27 Il a quitté la lutte parce qu'il s'est effondré.
45:29 Mais simplement, je te répondrai par une parole du Seigneur
45:33 qui dit "Ne juge pas, et tu ne seras pas jugé".
45:36 Et je peux te jurer, moi-même,
45:40 je sais les pressions qu'on peut subir.
45:42 Et il a été menacé de choses
45:50 au sein de sa famille.
45:53 Et voilà.
45:56 Et à un moment donné, moi, quelqu'un qui s'est battu,
45:59 il a essayé, quelqu'un qui s'est battu et qui tombe,
46:03 je ne le reprocherai jamais d'être tombé.
46:05 Et voilà.
46:07 Mais je comprends que ça puisse faire mal
46:09 quand on voit quelqu'un, mais comme le dit le Seigneur,
46:12 "Ne juge pas, et tu ne seras pas jugé".
46:14 Il est avec nous, il reste avec nous.
46:16 Il reste avec nous.
46:17 Que Dieu te bénisse.
46:19 Dernière chose, on est deux, pour l'instant.
46:22 Dieu Do et moi.
46:24 Tous ceux qui veulent nous rejoindre sur la liste,
46:26 vous êtes bienvenus.
46:27 On va s'organiser, vous saurez tout.
46:30 Tout sera public, y compris les financements.
46:33 Tout sera... Voilà.
46:35 On est en train de démarrer.
46:36 On a démarré cette histoire à l'arrache.
46:38 On n'a rien.
46:39 Pour l'instant, on n'a pas un rond.
46:41 Et on va s'organiser, on trouvera des sous,
46:44 on trouvera tout ce qu'il faut.
46:45 Et surtout, on sera prêts, le moment venu, le jour J.
46:48 Alors, hache, on sera prêts pour que les gens
46:50 qui veulent voter pour nous puissent voter pour nous.
46:52 Et ça, je vous le promets.
46:54 Pardonnez-moi de citer à nouveau le Seigneur Jésus-Christ,
46:56 c'est lui qui m'inspire.
46:58 Soyons comme il nous le conseille,
47:00 soyons forts comme des lions
47:02 et prudents comme des serpents.
47:04 (Applaudissements)
47:06 (...)
47:22 (Générique)
47:27 [SILENCE]

Recommandations