TOUCHE PAS À MON POSTE : 100% médias, 100% darka !
Du lundi au vendredi à 18h45 sur C8.
Tous les extraits et émissions de "Touche pas à mon poste" sont à retrouver sur MyCANAL : https://www.canalplus.com/c8/tpmp/touche-pas-a-mon-poste
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00:00 – Je voudrais votre avis, vous avez vu Pierre-Jean Chalençon,
00:03 votre ami Pierre-Jean Chalençon, il est dans la coiffure et dans l'antiquité.
00:09 [Rires]
00:11 Il est invité de Jordane Deluxe, qu'on adore bien entendu ici,
00:14 que j'ai la chance de… je peux demander ?
00:20 Je coproduis, hein ? Jordane Deluxe ?
00:23 Ah oui, oui, voilà, donc j'ai la chance de coproduire.
00:25 [Rires]
00:27 – Voilà, cette semaine il a été accusé de sexisme après avoir tenu des propos
00:30 sur les animatrices télé, regardez, c'est vrai.
00:32 – Ma soeur est tellement belle, je la trouve extraordinaire,
00:35 quand je vois les boudins qu'il y a maintenant à la télé…
00:37 – Oh non, vous ne pouvez pas dire des trucs comme ça !
00:39 Pierre-Jean, vous allez encore ruiner toutes vos chances de refaire de l'antenne.
00:43 Il n'y a aucun boudin aujourd'hui en télé, il n'y a que des femmes,
00:47 des fois différentes, mais voilà.
00:49 – On aurait besoin d'aller chez Wet Watchers.
00:50 – Vous aussi ?
00:51 – Moi aussi, moi j'ai pris du poids, mais je ne suis plus à la télé.
00:56 – On va en parler tout à l'heure.
00:57 Je suis obligée de vous attaquer, parce que je ne sais pas bien ce que vous faites.
01:00 – Alors, je rappelle que le public a des petits boîtiers,
01:02 je vous poserai des questions bien entendu les chéris,
01:04 pendant l'émission, vous avez des petits boîtiers,
01:05 oui, non, est-ce que vous êtes d'accord, etc.
01:07 Mais pour le moment, est-ce que vous êtes choqués
01:09 par les propos de Pierre-Jean Chalençon ?
01:10 Je crois que Juliette, elle est vent debout.
01:12 Juju, qu'est-ce qui se passe ?
01:13 – Oui, non mais je regrette qu'il ne soit pas venu Jean-Pierre Chalençon.
01:17 – Parce qu'il était malade.
01:18 – Oui, c'est ça, il est malade.
01:20 Alors, à part le défaut d'être une bonne personne,
01:22 il aurait pu éviter d'être aussi un pleutre et venir…
01:24 – Non mais là, il était vraiment malade le pauvre.
01:25 – Non, mais écoutez, de venir se confronter aux gens…
01:27 – Je te dis qu'il a un souci capillaire.
01:29 – De venir se confronter…
01:30 – Il avait un déprisage.
01:31 – Non, non, il n'était pas bien, il n'a pas dormi de la nuit et tout, je te jure.
01:33 – D'accord, mais moi je pense que s'il n'est pas venu,
01:34 c'est surtout qu'il a dit une grosse connerie,
01:37 et que la moindre des choses, c'était peut-être de venir s'excuser
01:42 auprès des femmes brillantes et magnifiques qui travaillent dans la télé
01:46 et qui n'ont pas envie d'être jugées physiquement
01:48 par un mec à qui elles ne donneraient pas l'heure dans la rue.
01:50 – Déjà, regardez-nous autour de la table, vous êtes toutes magnifiques.
01:52 – Non mais c'est…
01:53 – En plus, franchement, je le pense.
01:55 – C'est le genre de choses…
01:57 C'est pas quelqu'un de mauvais, j'en prie un chanmanson,
02:00 que j'ai personnellement rencontré et qui est quelqu'un d'agréable,
02:03 mais en fait, là, c'est la recherche du buzz total sur le dos
02:06 de femmes brillantes, en fait, de femmes brillantes qui travaillent
02:09 et qui n'ont pas envie d'être jugées physiquement,
02:11 sur leur physique, par Jean-Pierre Chalençon.
02:13 – Non, Pierre Chalençon.
02:14 – Pierre Jean, excusez-moi, Pierre Jean Chalençon.
02:16 – C'est là où vous l'avez tout sauté en berlant.
02:17 – Donc, j'estime que M. Chalençon doit s'excuser, voilà, auprès de ces…
02:23 – Baya, Carla, Baya.
02:24 – Oui, Carla.
02:25 Oui, moi, je rejoins Juliette, je pense qu'il est à la recherche
02:29 de la petite phrase.
02:30 S'il y a ?
02:31 – Rien.
02:32 – Mais elle est folle, elle.
02:33 – Mais non, mais vous voyez, il y a ma phrase.
02:36 Non, mais je disais que je rejoins absolument Juliette sur ses propos.
02:40 En fait, il est à la recherche de la petite phrase
02:42 et moi, je trouve ça assez dérangeant et surtout que ce n'est pas non plus un playboy,
02:46 donc il ferait mieux de se calmer.
02:47 – Je ne trouve pas, moi, je trouve qu'il est un playboy.
02:48 – Il ferait mieux de se calmer et de s'excuser, voilà.
02:51 – Alors, c'est subjectif, mais moi, je trouve qu'il a son plus.
02:54 – Mais non, mais il vise qui ? Il peut donner des noms, sinon.
02:56 Il peut donner des noms, qu'il ait jusqu'au bout de son truc.
02:58 – Non, mais c'est honteux pour les femmes.
02:59 – Donnez des noms.
03:00 – Pour M. Chalençon, c'est qui les boudins ?
03:01 On veut des noms, s'il vous plaît.
03:02 – Non, mais il est qui, pour juger les femmes ?
03:05 – On peut le juger quand même.
03:06 Vous savez, moi, je ne conduis pas, c'est pas pour ça que je ne regarde pas les voitures.
03:09 – Non, mais en fait, on n'a pas besoin de son avis sur le physique.
03:13 – Non, mais c'est une sortie un peu grotesque et ridicule, comme il a l'habitude.
03:17 En fait, Chalençon, il devient une caricature de lui-même.
03:19 – Mais en plus, comme elle l'a dit, il est marrant dans la vie, tu sais.
03:22 Parfois, je pense qu'il dérape.
03:23 – Mais oui, il est marrant.
03:24 – Mais c'est qui, en fait ?
03:25 – C'est un antithéorie.
03:26 – Oui, d'accord, on sait, c'est un grand spécialiste, justement,
03:29 mais qui parle de son travail, qui ne parle pas du physique des femmes.
03:32 – Il est déjà un spécialiste, pas des femmes.
03:34 – Il est là, cette injonction à dire "toi, t'es bien, toi, t'es pas bien" et tout ça.
03:37 Franchement, c'est le camembert qui dit "oui, qui pue",
03:39 parce qu'il a déjà pensé à lui-même avant de se juger les femmes.
03:41 – Il y a que des fromagines en ce télévision, il y a toutes les semaines où il dit ça.
03:44 Non, mais c'est en déconne, vous travaillez tous dans des crèmeries ou quoi ?
03:47 Tiens, un bel déchant, alors, qu'est-ce qu'elle veut ?
03:49 – Non, mais dès qu'il a quitté Affaires conclues,
03:51 on a le sentiment qu'il est aigri, qu'il veut exister.
03:53 – Non, pas du tout.
03:54 – Comment on existe ? C'est par le clash.
03:56 – Vous êtes dure.
03:57 – Il a clashé Julia Vignali, il a clashé Caroline Margueridon,
04:01 il clashe tout le monde pour exister, pour essayer de vivre.
04:04 Moi, je lui dis "mais existe par toi-même, existe par qui tu es".
04:06 – C'est fou parce que je vais vous conseiller un truc,
04:08 Caroline s'appelle Margueridon et elle vend des meubles.
04:12 – Et elle vend des meubles.
04:13 [Rires]
04:16 Alors que Marie-George Buffet, elle faisait de la politique,
04:18 elle n'était pas du tout dans le… Non mais sans l'aimer, c'est un truc de fou.
04:21 – Je viens de penser à ça.
04:22 – Non mais c'est dommage.
04:23 – Incroyable.
04:24 – Non mais quand vous connaissez le personnage, franchement,
04:27 vous ne pouvez pas le prendre au sérieux.
04:28 – Voilà, il a raison, voilà, c'est ça.
04:29 – Moi, je vis souvent avec lui chez une amie
04:31 et c'est quelqu'un qui est très drôle et qui passe son temps…
04:34 – Mais pourquoi tu as mis "oui" alors ?
04:36 – Mais parce que je pense qu'aujourd'hui,
04:39 on n'a plus le droit de dire ce genre de choses.
04:41 – Non mais c'est bon, on s'en fout.
04:42 – Laissez finir Ross parce que je trouve qu'il a raison sur ce qu'il dit.
04:45 – Le respect, il est élémentaire.
04:47 En plus, on est dans une période assez spéciale
04:49 où on se bat tous pour qu'il y ait l'égalité,
04:53 pour que les femmes aient les mêmes droits,
04:55 pour qu'à travail égal, salaire égal.
04:58 Et on ne peut pas.
05:00 Et le combat féministe, comme je le dis souvent d'ailleurs,
05:03 il ne se conjugue pas qu'au féminin, c'est un combat de tous.
05:06 Et je trouve dommage qu'il aille là-dessus,
05:08 mais c'est quelqu'un qui est son filtre en permanence.
05:11 – C'est ça.
05:12 – Dans le privé comme dans le public.
05:13 – Il est comme ça, c'est ça.
05:15 – On s'en prend assez plein la gueule sur les réseaux sociaux.
05:18 – Non mais je suis d'accord avec vous.
05:21 – Pierre-Jean Jolenchon qui…
05:22 – Il faut le prendre avec la distance qu'il faut.
05:24 Il faut le prendre avec la distance qu'il faut.
05:26 – Yénad, c'est de quelle origine Yénad, j'adore ?
05:29 – Le prénom ou… ?
05:30 – Non, le prénom.
05:31 – Le prénom, c'est Comorien.
05:32 – Comorien, j'adore.
05:33 – Comorien, tout à fait.
05:34 Mon père est Comorien.
05:35 – Ça veut dire quoi Yénad ?
05:36 – Ça veut dire… bonne question.
05:39 Ça veut dire plein de choses.
05:40 – J'adore, franchement c'est très beau.
05:41 – Non mais t'arrives, tu l'as au téléphone celui-là.
05:44 – Ça veut dire plein de choses.
05:45 – Ouais, salut c'est Yénad.
05:46 Franchement, le prénom, ce truc, il arrive, beau gosse, très bien.
05:49 – Alors, est-ce que tu as vu que la voix française de Stallone est morse ?
05:52 – Ouais, alors ça franchement…
05:53 – Alors moi ça m'a brisé le cœur.
05:55 – J'ai pensé pour Aurore Berger parce que c'est ton père.
05:57 – Exactement, tout à fait.
05:58 J'ai beaucoup réfléchi et du coup je me suis dit il faut que je fasse de la radio.
06:01 – Mais non mais sans rigoler.
06:02 – Ouais, j'aime beaucoup sa voix, Stallone, j'aimais beaucoup la voix française.
06:04 – Tu cherches un producteur ?
06:05 – Non, je vais te laisser ma carte.
06:07 [Rires]
06:08 – Je vais te laisser ma carte.
06:09 – Ça m'a vraiment rendu très triste.
06:10 – Bah oui, bien sûr, bien sûr.
06:11 T'en es où toi, t'es célibataire ?
06:13 – Je suis en couple.
06:14 – Non, pas vrai ?
06:15 – Tout à fait, je te jure.
06:16 – Mais c'est pas ce qu'on m'a dit, on m'a dit que t'étais célib'.
06:18 – Ah non, je suis en couple.
06:19 – C'est pas ce que tu dis aux filles dans les couloirs.
06:21 [Rires]
06:22 – C'est normal, c'est normal.
06:24 – Non, non, tu fais ce que tu veux, t'inquiète pas.
06:26 – Je ne veux pas gâcher de suspense.
06:27 – Ça fait combien de temps que t'es en couple ?
06:28 – Ça fait 9 mois.
06:29 – Non, ça va.
06:30 – Ça veut dire que ça va.
06:31 – Un enfant, quoi.
06:32 – Oui, oui, c'est un bébé.
06:33 – Ah, c'est un bébé, c'est un bébé.
06:34 – Une petite gestation.
06:35 – Une petite gestation, comme tu dirais.
06:36 – Tu t'es reconnu où ?
06:37 – On s'est connu sur Bumble, c'est une application de rencontre,
06:42 où les femmes décident de parler aux hommes.
06:44 – Ah ouais, c'est pas mal.
06:45 – C'est elle qui décide de mettre le premier message.
06:47 – Fort, c'est bien.
06:48 – En tant que féministe.
06:49 – Fort, bah, gilet dessus, jamais personne ne le parlait.
06:51 Bizarrement, tu vois, c'est fou, c'est incroyable.
06:57 Eh bien, écoute, bravo.
06:58 Tu vois, je croyais parce que je pensais que j'avais une copine à te présenter.
07:01 – Ah oui ?
07:02 – Ouais.
07:03 – On discutera après.
07:04 – Ok.
07:05 – Ah ouais.
07:06 – Non, je rigole, je suis extrêmement sérieux.
07:07 – Non, je rigole.
07:08 – Dans les couloirs, il bouge pas une oreille.
07:09 – Ah ouais ?
07:10 – Par contre, il remue la queue.
07:11 – Ah, c'est pas l'oreille, ouais.
07:12 [Rires]
07:13 – Non, je rigole, je rigole, je rigole, je l'ai entendu.
07:17 Oui, vas-y, mon Yannad.
07:19 – Non, mais il a une responsabilité.
07:21 – On ne peut plus comparer.
07:22 – Il a le réalisé, là.
07:23 – Non, mais moi, je ne le connaissais pas particulièrement.
07:25 Il a une responsabilité, vu qu'il passe à la télé.
07:27 Il y a beaucoup de jeunes qui regardent l'émission de Jordan Deluxe.
07:30 Alors, on connaît, sous part, il n'a pas à dire des choses comme ça directement.
07:33 – C'est dur, mais moi, je pense que Rost, il a fait la meilleure analyse qu'on le connaît.
07:37 Il est fou.
07:38 – Oui, mais une petite excuse.
07:39 – Oui, il va la faire, l'excuse.
07:41 Il va la faire, vous verrez qu'il a fait.
07:43 – Il a fait l'excuse et derrière.
07:44 – Il a fait l'excuse et derrière.
07:45 – Il dit aux femmes si elles sont bien ou pas bien.
07:47 Excusez-moi, c'est une féminité.
07:48 – Non, mais alors, ça ne veut rien dire.
07:49 Moi, je trouve qu'il plaît beaucoup.
07:50 Là, il n'est pas à son avantage, sur cette photo.
07:52 – Cyril, Cyril, je peux vous dire.
07:54 – Là, il est magnifique.
07:55 – Oui.
07:56 – Je suis désolé, les gars.
07:57 Là, il est magnifique.
07:58 Je suis désolé.
07:59 – Alors, moi, j'adore.
08:00 Là, sur cette photo-là, il est magnifique.
08:03 – Il sort du pressing, là.
08:04 – C'est mon délire.
08:05 Voilà, je ne mange pas de ce pain-là, mais voilà.
08:07 – Cyril, passer à la télé quand on est une femme,
08:09 c'est la garantie d'avoir des commentaires sur son physique
08:14 à longueur de journée.
08:15 C'est que ça.
08:16 Sur notre poids, sur nos cheveux, surtout sur nos rides.
08:19 – C'est que moi, j'ai failli devenir une femme.
08:22 [Rires]
08:23 – Ah bon ?
08:24 – Oui, pendant un jour, vous devriez voir ce que ça fait.
08:26 – Non, mais vous savez ce que j'ai voulu faire ?
08:28 Non, sans chahut.
08:29 Je vais vous dire la vérité, mais j'ai honte.
08:30 Mais j'étais vraiment à deux doigts de le faire.
08:32 J'ai une sœur.
08:33 – Oui.
08:34 – Elle s'appelle Yaël.
08:35 – Oui.
08:36 – Et donc, je voulais inscrire ma sœur,
08:41 avoir une licence de padeule pour ma sœur,
08:44 me raser complètement, me raser.
08:46 Non, mais je vous jure que c'est vrai.
08:47 – Mettre une perruque.
08:48 – Mettre vraiment une vraie perruque, mais bien faite, etc.
08:50 – Bien faite, oui, bien sûr.
08:51 – Et faire les tournois féminins de padeule.
08:53 [Rires]
08:56 Je vous jure que c'est vrai.
08:58 Et devenir une top 5 française de padeule.
09:01 – Tout de suite, quoi.
09:02 Ce qui est dramatique, c'est que ça existe, en fait.
09:04 Les transgenres, les femmes transgenres.
09:07 – Ça existe.
09:08 – Elles volent les premières places.
09:09 – Non, mais calmez-vous.
09:10 – Elle est toujours dans la polémique.
09:12 Elle est toujours dans la polémique.
09:13 – Calme-toi, lâche ta faim.
09:15 – Elles se font voler tout leur travail de toujours.
09:18 – C'est faux.
09:19 – Elles ont des autres 30 fois plus développés que nous.
09:21 – Non, mais on peut parler de rien.
09:23 – N'importe quoi.
09:24 – Tu lui dis, j'ai changé de poignée de porc.
09:26 Alors, justement, les poignées de porc.
09:28 [Rires]
09:30 Qu'est-ce qui s'est passé ?
09:31 Vous savez, les poignées de porc, taboule.
09:33 Elles ont été discriminées.
09:35 Au détriment des poignées de porc, à barre.
09:38 [Rires]
09:39 Voilà ce qui se passe tous les jours, M. Hanouna.
09:41 Et personne n'en parle.
09:43 – Ce n'est pas parce qu'on décide de devenir une femme
09:45 et qu'on est une féminine, qu'on l'envoie.
09:46 – Calme-toi.
09:47 Donnez-lui un cachet, là, un témestin, un truc.
09:48 – Ce n'est pas le sujet.
09:49 – Mais sans déconner, ce n'est pas possible.
09:51 On ne va pas répondre à ça.
09:52 – Il voulait faire une toutie.
09:54 – Bien sûr.
09:55 On voulait rigoler, toi.
09:57 Ne prends pas tout au pied de la lettre.
09:58 Ça va, hé.
09:59 On va rigoler.
10:00 – Dans quel monde de fou on vit,
10:02 que vous deviez croire que du jour au lendemain,
10:04 vous décidez d'être une femme, vous mettez une perruque,
10:06 vous pouvez aller en la même direction.
10:08 – J'ai paniqué.
10:09 J'ai paniqué, je ne mettais qu'une perruque.
10:10 – Mais qu'est-ce qui passe dans l'ombre ?
10:11 – Vous dites n'importe quoi.
10:12 – Hé, les mecs, moi, si c'est comme ça, je ne rigole plus.
10:14 [Rires]
10:16 Si vous me prenez comme ça, moi, je n'y pleure rien.
10:18 – Ça existe, ça existe.
10:20 On ne va pas aller chez ta fille.
10:21 – Ce sont des femmes qui font le double de la taille.
10:24 – C'est bidon, c'est bidon, bidon, bidon, bidon.
10:27 C'est faux, ça n'a jamais été prouvé.
10:29 Calme-toi.
10:30 – En quoi c'est bidon ?
10:31 – Elle va retourner sur BFM, elle, ça va la calmer, tu vois.
10:33 [Rires]
10:34 – Ce n'est pas bidon.
10:35 – Tournez chez Maxime Switek,
10:36 et on va voir ce que c'est de faire 200 000 téléspectateurs.
10:37 – Non, ce n'est pas bidon.
10:38 – Allez, merci.
10:39 [Musique]