Les propos de Sandrine Rousseau à propos de Gerard Miller, son ancien soutien accusé de viols !

  • il y a 7 mois
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Transcript
00:00 -Est-ce que vous avez vu ce qu'a dit Sandrine Rousseau à propos de Gérard Miller ?
00:04 -Oui.
00:04 -Son ancien soutien accusé de viol. On rappelle que c'était son amie.
00:09 Quand t'as des amis comme ça...
00:11 -Pas besoin d'ennemis.
00:12 -Ah merde, t'as vraiment pas besoin d'ennemis. Elle est incroyable.
00:15 Elle s'est excusée auprès des victimes d'avoir été l'amie de Gérard Miller.
00:19 -Elle s'est excusée après que cette photo soit sortie quand même.
00:21 Parce qu'elle avait fait un premier tweet qui était vraiment le minimum syndical.
00:24 Et ensuite, quand la photo est sortie, là, elle nous a sorti mon jeu.
00:27 -Elle a dit "on peut faire confiance à aucun homme".
00:30 -Oui, c'est ça. On peut plus s'appuyer sur aucun homme.
00:33 -Non mais elle, c'est pas possible. C'est votre amie, Gilles Verdet ?
00:37 -Non, c'est pas mon amie. Mais elle a dit qu'elle ne savait rien, qu'elle est en sidération.
00:41 -Elle dit que des conneries. Regardez.
00:42 -On ne peut compter sur elle.
00:43 -Regardez-la. C'est mieux de retourner avec le douanier.
00:45 -Elle dit que des banalités.
00:47 -Elle le condamne. Il n'y a pas de présomption d'innocence pour elle.
00:50 Elle le condamne d'office alors que c'est son amie. C'est quand même pas ouf.
00:53 -Elle a une amie comme elle.
00:55 -Elle fait systématiquement des généralités.
00:56 -Après, si elle était condamnée et que tout était avéré, je ne dis pas que ça ne l'est pas,
00:58 mais je trouve que venant de son amie, ce n'est pas très classe de faire ça.
01:01 -Elle fait systématiquement des généralités.
01:03 -Elle tape sur tous les hommes, systématiquement.
01:04 -Ce qui est problématique, c'est qu'on ne peut compter sur aucun homme.
01:07 C'est-à-dire que là, elle met tous les hommes dans le même panier.
01:10 -C'est pour Polska.
01:13 -Je dis qu'elle met tous les hommes dans le même panier.
01:17 En gros, elle nous dit potentiellement que tous les hommes sont des prédateurs.
01:21 -Ca, c'est terrible.
01:23 -Elle dit n'importe quoi.
01:25 Excuse-moi, tu penses toujours qu'elle dit n'importe quoi ?
01:27 -Non, non.
01:28 -Tous les hommes sont des prédateurs.
01:30 -C'est ce qu'elle a dit. C'était la phrase que je voulais.
01:32 Pourquoi ils n'ont pas pris cette phrase-là ?
01:33 -Si, on ne peut compter sur aucun homme.
01:35 -Ils ont bien fait de prendre cette phrase-là.
01:37 -Non, mais là, elle est acculée. Elle s'en sort comme elle peut.
01:40 C'était son amie. Elle est allée trois fois chez elle.
01:42 Elle est amie avec des gens de sa famille.
01:44 Elle tente de réagir et donc, elle surjoue. C'est normal.
01:47 -Elle aurait très bien pu dire "je me sens fondamentalement trahi.
01:50 Effectivement, c'était un ami. Je suis extrêmement déçue. Point barre."
01:53 Pourquoi tu as besoin d'essentialiser les hommes
01:55 en disant que les hommes, potentiellement, sont tous dangereux ?
01:57 -Aucun homme, c'est lui, là.
01:59 -Excuse-moi, cette phrase, elle est claire.
02:01 -Parce que lui-même a instrumentalisé la cause de la libération de la parole.
02:04 Et c'est vrai que lui, du coup, il est passé pour le porte-parole de la lutte.
02:08 -Il s'est senti trahi.
02:10 -C'est pas la première. Ce ne sera pas la dernière.
02:12 la dernière.

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