• il y a 6 mois
PAF : Analyses, décryptages et investigations sur les émissions télé ! 




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Transcription
00:00 - Les chéries, étant donné que c'est la journée de la gentillesse, j'aimerais que chacun dise un mot gentil sur une personne autour de la table qu'il n'aime pas forcément.
00:07 - Oh bah... - Il n'aime pas forcément. C'est moi qui vais désigner.
00:10 - Vous désignez qui avec qui ? - Montiel, vous devez dire un mot très gentil, très gentil, quelque chose de très gentil à Gilles Verdet.
00:17 - Pourquoi moi ? Pourquoi moi ? - Ça va être tout le temps Gilles.
00:19 - Je pense que vous allez revenir souvent. - C'est ça.
00:21 - Montiel, c'est son métier. - C'est son métier. - C'est son métier à Montiel.
00:24 - J'ai beaucoup d'admiration pour le travail qu'il effectue dans cette émission. - C'est bon.
00:27 - On peut compter sur lui. - C'est vrai ? Bah merci. C'est beau. - C'est gentil. - Bravo.
00:31 - C'est vrai ?
00:33 - Benalim, pareil, Gilles Verdet.
00:41 - Gilles est un garçon absolument charmant dans l'émission, mais surtout en dehors de l'émission. - C'est un surtout.
00:48 - Oui, c'est un vrai gentil. Il a le cœur sur la main et c'est un garçon qui est extrêmement bosseur et qui est un pilier essentiel de cette émission.
00:55 - C'est vrai. - Trop.
00:57 - Eh, je t'ai régalé, Tolo.
01:06 - Combien d'intouchés, toi, pour dire ça ? - Parce qu'il vous prend, mais...
01:09 - Chut, tais-toi. Arrête les vannes. Tu sais pas... T'as fait une carrière sans vanne.
01:12 - Non, mais c'est vrai. - T'as fait une carrière, t'as jamais sorti une vanne de ta vie. Continue.
01:16 - Arrête un peu. Tu sais bien que c'est pas pour toi. - Oui, c'est vrai.
01:18 - Non, mais c'est en rigolant. Allez, retourne là-bas.
01:20 - Non, non, non. - Non, non, non.
01:24 - Non, non, je suis trop beau dans le décor.
01:26 - Non, mais c'est en rigolant. C'est vrai. - Non, c'est vrai.
01:28 - Arrête de vouloir faire des vannes. - Je sais pas faire des vannes.
01:30 - C'est pas ton truc. - Je n'ai aucune grâce, aucun humour.
01:32 - Jean-Michel Baird. - Oui.
01:34 - Daniel Moreau. - Ah, Daniel Moreau.
01:36 Alors, Daniel, je veux te dire que je te fais sourd des blagues un peu lourdingues, comme tout à l'heure, la gaie, des blagues qui sont lourdes,
01:43 mais qu'à côté de ça, je trouve que t'as toujours tes doigts dans tes bottes quand t'as des choses à dire et que tu les dis franchement.
01:49 - Mais j'ai mes bottes.
01:51 - Non, non, non, dans tes chaussons. Dans tes chaussons.
01:54 - J'ai mes gaits. - Et que voilà, tu as pas peur...
01:56 - Tu as tes doigts dans tes pantoufles. Dans tes pantoufles.
01:58 - Oui, et que t'as pas peur d'afficher tes convictions, mais que tu sais que ça va pas plaire aux autres, etc.
02:01 Et donc, rien que pour ça, je te respecte et je suis content que tu sois ici tous les jours.
02:04 - Merci. - C'est gentil.
02:06 (applaudissements)
02:13 - Kelly Vedovelli, je vais choisir Daniel Moreau parce que vous aimez tout le monde, vous, ouais.
02:17 Donc je vais choisir Daniel Moreau.
02:19 Alors, Dany, ça me manque, nos petits rendez-vous, quand on allait boire un Coca-Zéro ensemble.
02:24 Ça me manque. J'aimerais le refaire avec toi.
02:26 - Vous avez vraiment été boire des Coca-Zéro ensemble ?
02:28 - Oui. - Bah oui.
02:30 - Ouais ? - Ouais.
02:31 - On a même mangé ensemble, on a été boire des verres.
02:33 Parce qu'il y a une certaine période où Daniel avait besoin de compagnie et de parler à quelqu'un.
02:36 Et du coup, bah... - Achète un chien.
02:38 - J'ai toujours un... - Achète un chien.
02:40 - Achète un chien. - Non, mais...
02:42 - Quoi, c'est vrai ? Vous avez fait beaucoup de verres avec Daniel Moreau ?
02:44 - Ouais, on a... - Non, c'est pas vrai. Genre, combien de fois ?
02:46 - On l'a fait 2 ou 3 fois. - Ouais.
02:49 - Ouais, c'est pas non plus... Ça va, sorti pas toutes les semaines.
02:51 - Bah 2 ou 3 fois, on compare à vous qui ne l'avez jamais fait.
02:54 - Moi, je ne l'ai jamais fait, je suis allé au restaurant.
02:56 - Il l'avait été chez lui. - C'est vrai.
02:58 - Je suis allé au restaurant avec Daniel. - On avait fait la promotion, moi, non.
03:00 - Bravo, toi. - On avait fait la promotion.
03:02 - Oh... - Tu crois qu'il y avait un code promo ?
03:04 "Bonjour, Daniel Moreau" ? Non, mais oh...
03:06 - Je suis quand même privilégié. - Gilles Vernez.
03:08 J'aimerais que tu dises du bien de Valérie Benaym.
03:11 - C'est pas facile.
03:13 (rires)
03:16 (applaudissements)
03:19 - C'est pas facile. - Elle a un rôle extrêmement difficile
03:22 parce qu'être l'ami du patron
03:24 et quand même garder une indépendance dans le jugement,
03:26 il n'y a que Benaym, avec son don pour sucer, qui peut faire ça.
03:30 (rires)
03:32 - Oh... - Là, il est fou.
03:35 Benaym, il est fou, tu as le droit de lui répondre.
03:37 - Non, parce que c'est la journée de la gentillesse.
03:39 - Excusez-moi, j'ai oublié.
03:41 Franchement, je l'adore. Je vais vous expliquer, Benaym.
03:43 En fait, ce que j'adore... - Explique-nous, Benaym.
03:45 - Non, mais sincèrement... - Je devrais faire un programme court.
03:47 - Non, mais sincèrement, quand on a des problèmes,
03:50 on se tourne vers certaines personnes.
03:52 Et j'ai eu certains problèmes récemment, je me suis tourné vers elle.
03:55 Elle a été là du matin au soir, mais tout le temps.
03:59 Vraiment, je suis ému en disant ça.
04:01 Vous êtes une personne sur laquelle je peux compter, je le sais.
04:03 Merci, Valérie. - C'est beau.
04:05 (applaudissements)
04:09 - Daniel Moreau.
04:12 Jean-Michel.
04:14 - Alors, Jean-Michel, malgré tout ce que tu peux penser,
04:17 j'adore tes blagues lourdingues.
04:19 Elles ne sont pas lourdingues.
04:21 Tu es un gentleman, mais tu te caches derrière une carapace.
04:24 Et j'aimerais un peu fendre cette carapace et mieux te connaître.
04:27 Parce que je suis sûre... (rires)
04:29 Non, mais je suis sûre que tu es plein de pudeur.
04:32 - Jean-Michel, t'as envie qu'elle fonde la carapace ?
04:34 (rires)
04:36 - Je suis sûre que c'est de la pudeur, toutes tes vannes et tout ça.
04:40 Et donc, voilà, j'aimerais mieux te connaître.
04:42 - Ouais, bah, l'année prochaine, parce qu'il est...
04:44 (rires)
04:46 - C'est la 16e année, là. - On a plus le temps, là.
04:48 - Allô, on arrive quand même au mois de septembre.
04:51 T'inquiète pas, t'as des vacances, toi, qui t'as moyen.
04:54 Puis l'année prochaine.
04:56 - C'est la journée de la séance, Jean-Michel.
04:58 - On fasse ça bien, quoi. - Ah oui, je suis d'accord.
05:00 Je suis d'accord. L'année prochaine, je pense que c'est la meilleure solution.
05:03 - OK. Si je suis encore là. - Bien sûr.
05:05 (rires)
05:07 - Raymond, j'aimerais que tu dises du bien de...
05:12 de Bernard Montiel, c'est pas facile.
05:16 (rires)
05:18 - Je vais pas que je vous parle plutôt du gruyère et de l'essence.
05:20 (rires)
05:23 - Non, non, en vrai, dis du bien de Daniel Moreau,
05:25 parce que je sais que tu peux pas la blairer.
05:27 - Qui t'a dit que je pouvais pas la blairer ?
05:29 - Bah, toi. - On m'a dit qu'elle t'a touchée
05:31 toujours sur la gueule, que c'était un peu...
05:33 - Ah oui. - Et j'assumptionne d'être malade
05:35 à cause de... - Mais non, mais y a de la clim.
05:37 - Y a de la clim. - Je suis allergique.
05:39 - Non, Daniel, elle joue le jeu. On peut faire des vannes sur elle.
05:41 Elle est tout le temps en train de sourire. Elle est contente d'être là.
05:43 - Ça va, toi, sinon ? - Non, mais ce soir-là,
05:45 ça va pas du tout. - Non.
05:47 - Je me fais pas la confidence. - Je te dis la vérité, t'es pas bien.
05:49 - Je pense que c'est un TPMP comme ça, ça...
05:51 Franchement, des fois, faut pas venir.
05:53 - C'est quoi, son problème ? - Il est malade.
05:55 - Je suis fatigué, je suis malade, je m'émarre pas possible.
05:57 Je me sens brûler avec 2 mains 40 de manière sur la route.
05:59 - Ah, merde. - C'est un cauchemar.
06:01 En vrai, là, à l'intérieur, je suis énervé.
06:03 - Non, mais t'as besoin de... - Je souris.
06:05 - Même à l'intérieur, ça se voit.
06:07 - Je souris, mais... - Excuse-moi.
06:09 Tu crois que... - C'est une émission de télé,
06:11 c'est pas une séance de psy.
06:13 - Vous pouvez pas faire du psy une minute ? J'ai besoin.
06:15 Je vous jure que j'ai besoin. - Non, mais je veux dire,
06:17 on te passe. - Sérieux ? - Ouais, ouais, merci.
06:19 - Géraldine, tu viens de Kelly.
06:21 - De Kelly ? - Kelly, va-y, donne-nous ton style.
06:23 - OK, c'est hyper facile. Alors, Kelly...
06:25 Kelly, je la trouve incroyable.
06:27 Je me souviens de Kelly quand t'es arrivée dans cette émission,
06:29 anonyme, discrète, muette,
06:31 sorte de star du muet,
06:33 et petit à petit, en fait, la chaîne est devenue un papillon
06:35 et le plus beau des papillons,
06:37 je te trouve pertinente, courageuse,
06:39 belle, impétueuse,
06:41 euh...
06:43 surprenante, à fleurs de peau,
06:45 et je te trouve...
06:47 Et je te trouve...
06:49 Non, je la lèche pas, Jean-Luc.
06:51 Et surtout, je te trouve
06:53 de plus en plus belle. Voilà. - Ah.
06:55 - Donc, voilà.
06:57 - C'est pas mal. C'est pas mal.
06:59 C'est pas mal.
07:01 C'est gentil, hein. - Non, mais franchement,
07:03 sauf que là, pardonnez-moi, Cyril, mais je n'ai pas besoin de la journée
07:05 de la gentillesse pour dire ça. - Merci. - Ce serait été
07:07 plus compliqué pour moi, par exemple, de dire un truc sympa sur Guillaume.
07:09 (rires)
07:11 - Je le comprends. Guillaume, j'aimerais
07:13 que tu dises un truc sympa sur Raymond. - Raymond ?
07:15 (rires) - Je vous laisse.
07:17 - L'abominable homme d'Orangis.
07:19 - Je suis pas d'humeur. Je suis pas d'humeur.
07:21 - Fracasse-le, va. - Ah, oui, oui.
07:23 - Raymond, pour moi, c'est un ami. C'est aussi une icône
07:25 de TPMP. Chaque année,
07:27 de nouvelles expressions. Là, on est parti sur...
07:29 "Vous allez me prendre pour un con. Je suis peut-être
07:31 débile, moi." C'est ça, cette année ?
07:33 Mais aussi le grouillard à 4,95.
07:35 Raymond, l'abominable
07:37 homme d'Orangis.
07:39 C'est mon ami. Non, mais en vrai, c'est mon ami. Je trouve qu'il est très bon dans l'émission.
07:41 Il a un style incomparable.
07:43 Il a un style vrai qu'on voit pas en télévision.
07:45 C'est un vrai personnage. Et je pense qu'il apporte
07:47 beaucoup à cette émission et qu'il est indispensable.
07:49 Donc voilà. - Oui.
07:51 (applaudissements)
07:53 - Pas mieux.
07:55 (applaudissements)
07:57 - Vous voyez ? - Oui.
07:59 - Puisque c'est la journée de la gentillesse,
08:01 on a tous fait, est-ce que vous pourriez dire
08:03 un petit mot gentil à chacun
08:05 de vos coéquipiers ? - Ah oui, ça nous ferait du bien.
08:07 - Bien sûr. - Ça nous ferait du bien.
08:09 (rires)
08:11 (rires)
08:13 - C'est un défi.
08:15 - Je vais commencer par Daniel. - Oui, c'est ça.
08:17 Elle a dit que ça lui ferait du bien. - Daniel, vraiment, tu es...
08:19 Je te trouve extraordinaire. Parce que tu es vraiment...
08:21 On ne le voit pas comme ça, mais tu es vraiment des...
08:23 des cojones. Non, c'est vrai.
08:25 Et je vais te dire, tu es pour moi
08:27 la meilleure chroniqueuse décédée du Parc.
08:29 (rires)
08:31 - C'est vrai.
08:33 - Vous ne savez pas le dire. - Tu es chroniqueur mort.
08:35 Tu es la meilleure. - C'est déjà bien.
08:37 - Et voilà. Et donc, je suis très heureux
08:39 que tu sois avec nous. Et c'est vrai que...
08:41 tu ne changes pas.
08:43 C'est fou parce que... - Dommage.
08:45 - Quand on est vieille, jeune, on reste vieille, vieille.
08:47 - On s'en fout. - C'est vrai.
08:49 - C'est un compliment, ça. - Un compliment, exactement.
08:51 Il vaut mieux faire toujours vieux parce qu'à un moment,
08:53 toi, tu ne prendras jamais de coup de vieux parce que tu l'as pris à 19 ans.
08:55 - Oui, oui. - Donc voilà. Donc merci.
08:57 Donc merci à toi. Bravo. Voilà.
08:59 - Donc là, c'est la gentillesse. - Oui.
09:01 Gilles Vernez. Gilles Vernez,
09:03 pour moi, il mérite
09:05 son appartement à 12 000 du mètre.
09:07 (rires)
09:09 Parce que c'est quelqu'un vraiment... Non, mais sans rigoler.
09:11 Gilles Vernez, c'est un petit mot pour chacun, très rapide.
09:13 Gilles Vernez, c'est quand même
09:15 la personne qui peut
09:17 le plus m'énerver dans l'émission, mais que j'aime
09:19 le plus dans la vie. Enfin, que j'aime
09:21 beaucoup dans la vie, pas le plus, parce que quand même, il ne faut pas abuser.
09:23 (rires) J'aime énormément dans la vie.
09:25 Et c'est vrai qu'il y a plein de gens qui me disent
09:27 "Ouais, c'est vrai que c'était dur avec Gilles Vernez", etc.
09:29 Mais vraiment, il sait que je l'adore et que
09:31 même si on n'est d'accord sur rien,
09:33 il sait que je serai toujours là pour lui
09:35 parce que c'est un type exceptionnel. Vraiment.
09:37 - Merci beaucoup Cyril. - Et je comprends Fatou. Elle t'ai choisie.
09:39 - Elle va être contente.
09:41 - Elle va être contente. - Ça va la rassurer.
09:43 (rires)
09:45 - Elle sera contente quand il la retrouvera.
09:47 (rires)
09:49 (applaudissements)
09:51 (applaudissements)
09:53 (applaudissements)
09:55 - Raymond, c'est mon
09:57 ami, comme Guillaume d'ailleurs.
09:59 Voilà, c'est mon ami.
10:01 Voilà, il est
10:03 incroyable. Il peut dire énormément
10:05 de conneries mais il y a toujours un truc vrai
10:07 dans les conneries qu'il dit.
10:09 C'est vrai que c'est un vrai personnage et
10:11 il n'était pas destiné à faire de la télé.
10:13 Je pense que c'est top. C'est fou, c'est qu'il continue
10:15 à livrer et
10:17 à venir dans l'émission et je pense que ça lui fait beaucoup de bien.
10:19 Même si parfois il est fatigué.
10:21 Comme aujourd'hui.
10:23 Mais vraiment, il est
10:25 incroyable parce qu'on ne sait jamais ce qu'il va dire.
10:27 Je suis toujours étonné par ce que va dire
10:29 Raymond. Donc c'est important que les chroniqueurs
10:31 m'étonnent encore. Géraldine Maillet,
10:33 c'est...
10:35 Une merveille.
10:37 Une merveille parmi les merveilles.
10:39 Il n'y a qu'une seule chose
10:41 contre laquelle je ne me ferai jamais vacciner.
10:43 C'est mon
10:45 amitié pour toi.
10:47 - C'est beau. - C'est bien.
10:49 - Tu vois, franchement, elle est incroyable.
10:51 Guillaume Janton, même s'il s'habitait
10:53 mal,
10:55 vraiment c'est quelqu'un qui a une vie de merde
10:57 mais qui a un amour
10:59 que j'adore. - C'est vrai.
11:01 - C'est le fils du couple. - Il sait que je suis
11:03 toujours là pour lui. C'est mon frère d'amour.
11:05 C'est mon frère d'amour, Guillaume Janton.
11:07 Il sait que vraiment, je l'aime vraiment.
11:09 - Merci beaucoup. Je suis très touché par la vie de merde.
11:11 - Merci.
11:13 - Ça me va droit au cœur, merci.
11:15 - Bernard Montiel, parfois, c'est vraiment celui que je ne peux
11:17 pas supporter dans l'émission.
11:19 Vraiment, parfois, j'ai vraiment envie
11:21 de lui dire "mais tu ne reviens pas".
11:23 Mais, mine de rien,
11:25 il est très important dans l'émission parce que c'est important quelqu'un
11:27 qui sourit tout le temps et qui ne dit rien.
11:29 [Rires]
11:31 Vous verrez dans toutes les émissions, c'est toujours important.
11:33 Non, non, il est très bon, Bernard Montiel.
11:35 Et les gens l'adorent. Et moi, je l'adore.
11:37 C'est vraiment... C'est un mec, il n'est jamais énervé.
11:39 Toujours d'humeur égale.
11:41 C'est un amour. Et je suis très... Il a fait une très bonne saison.
11:43 Très, très belle saison. Il est très important
11:45 dans l'émission. Et je trouve que vraiment, c'est un
11:47 type que, au départ,
11:49 je ne l'aimais pas. Et maintenant,
11:51 je l'adore. Non mais vraiment, je l'adore.
11:53 Quand je ne le connaissais que de la télé,
11:55 j'avais un truc. Et maintenant que je le connais,
11:57 en vrai, je l'aime vraiment beaucoup.
11:59 Non mais c'est vrai. - C'est très touchant.
12:01 - Ah oui, vraiment. Valérie Benahim.
12:03 Mon amie Valérie Benahim,
12:05 elle m'étonne de saison en saison parce que
12:07 elle devient de plus en plus rebelle.
12:09 [Rires]
12:11 Elle devient de plus en plus rebelle, Benahim, et je trouve que c'est pas mal.
12:13 Franchement, ça vous va bien.
12:15 Benahim, c'est... Elle sait que je l'adore.
12:17 Elle sait vraiment que c'est...
12:19 Voilà, c'est...
12:21 Je l'apprends partout avec moi, dans toutes les émissions.
12:23 Toutes les émissions que je fais,
12:25 il y a Benahim avec moi. C'est un peu...
12:27 - Ça me rend très heureuse.
12:29 - Tu es le Moine Golo-Canté.
12:31 Tu ne trouves pas ? Le Didier Deschamps. - Un honneur.
12:33 - Non, non. Vraiment, je l'adore. Et Benahim, elle est toujours...
12:35 Et puis même quand on s'embrouille dans l'émission,
12:37 vraiment, ça ne... ça n'altère pas du tout
12:39 notre amitié puisque c'est ma...
12:41 C'est quelqu'un que j'aime énormément.
12:43 Ah, Jean-Michel Maire. - Présent.
12:45 [Rires]
12:47 - L'enfant turbulent.
12:49 Jean-Michel Maire, c'est vraiment l'enfant turbulent, c'est vrai.
12:51 Il fait... Franchement,
12:53 même si tu fais une bonne vanne sur 10,
12:55 la bonne vanne que tu fais
12:57 est tellement drôle qu'on passe
12:59 les 9 autres. Voilà.
13:01 Et puis, tu connais tellement bien l'émission.
13:03 Jean-Michel, c'est vraiment devenu un ami.
13:05 C'est vraiment quelqu'un... J'adore discuter avec lui.
13:07 Quand il vient me voir dans ma loge, voilà,
13:09 j'adore passer des moments avec lui parce que c'est quelqu'un...
13:11 C'est vraiment... C'est un mec... J'aimerais être comme lui à son âge
13:13 parce que c'est un mec exceptionnel.
13:15 Il ne se prend pas la tête. Il est heureux.
13:17 Il est heureux de tout. Voilà.
13:19 Franchement, j'aime ton état d'esprit.
13:21 Voilà, je te le dis. - C'est gentil.
13:23 - Vraiment ton état d'esprit. C'est pour ça que je t'aime fort.
13:25 Tu le sais. Vraiment. - Je suis ravi d'être là.
13:27 Je suis ravi d'être là depuis la première et j'espère être là aussi
13:29 à la dernière. - T'es le seul pistonné, en plus.
13:31 - En plus.
13:33 - Non, mais c'est vrai. T'es le seul pistonné.
13:35 Vous savez que c'est le seul pistonné de l'émission.
13:37 - Un bol de ouf. - T'as eu un bol de ouf.
13:39 - C'était quoi, son piston ? - Je peux pas le dire.
13:41 Je peux pas le dire, mais il a eu un piston.
13:43 - C'est vrai ? - C'est pour de vrai ?
13:45 - Un grand patron qui a appelé.
13:47 - C'est le seul pistonné de l'émission.
13:49 - Il a trompé en B-lissé. - Ouais, voilà.
13:51 - Sinon, t'aurais pas trouvé.
13:53 - Il aurait fait 2 jours. - Il a passé un casting.
13:55 - Oui, il y avait un casting.
13:57 - Eh oui, à l'époque, il y avait des castings.
13:59 - Ah oui, voilà. - Alors, Kelly Vedoveli.
14:01 C'est vrai que Kelly, elle a démarré derrière.
14:03 C'est vrai que tout de suite, j'ai vu qu'elle avait un...
14:05 - Potentiel énorme. - Elle avait un truc.
14:07 Elle est très, très intelligente.
14:09 C'est vrai que quand on voit Kelly, on se dit
14:11 "Elle est incroyable, elle est magnifique", etc.
14:13 Mais Kelly, en fait, elle a une intelligence
14:15 franchement qui est exceptionnelle.
14:17 Et c'est ça qui fait qu'elle a toujours la bonne analyse.
14:19 Dans les émissions, tout le monde le dit,
14:21 elle a toujours la bonne analyse.
14:23 Elle arrive à mettre des mots simples
14:25 sur des choses compliquées.
14:27 C'est pour ça que c'est quelqu'un que j'aime dans l'émission,
14:29 bien entendu, et que j'aime dans la vie,
14:31 comme vous, bien entendu, mais Kelly,
14:33 un petit peu plus que vous, quand même.
14:35 - Ah !
14:37 (applaudissements)
14:39 [Musique entraînante diminuant jusqu'au silence]

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