l a choisi ce dimanche et les réseaux sociaux pour briser le silence. L’humoriste Seb Mellia, visé par des accusations de violences sexuelles par une vingtaine femmes depuis le mois de janvier, a pris la parole après plusieurs semaines de silence : "Je n’ai jamais vécu un truc aussi violent. J’ai mis du temps à parler parce que ce que j’ai vécu était traumatisant. J'ai fait une dépression. On me fait passer pour un monstre. Je vois des descriptions faites de moi mais ceux qui m’ont côtoyé savent que ce n’est pas vrai. Je vais laisser faire la justice parce que je ne sais pas qui m’attaque : ce sont des témoignages anonymes."
Florence Mendez avait pris la parole le 12 janvier dernier pour évoquer des témoignages reçus à l’encontre d’un confrère humoriste Seb Mellia. Dans ce message, effacé depuis, Florence Mendez précise qu’une des victimes présumées a été "plaquée contre un mur et embrassée de force" tandis que deux autres dénoncent "des rapports forcés, dont des sodomies, avec le retrait du préservatif pendant l’acte sans consentement".
Je ne peux plus me taire une seconde de plus, il y va de la sécurité des femmes qui fréquentent le milieu de l’humour", écrit alors Florence Mendez. Dans un deuxième post publié le lendemain, lui aussi effacé, elle révèle avoir reçu de nouveaux témoignages dénonçant des faits similaires, dont "quatre qui parlent d’agression sexuelle et cinq qui parlent de viol". "C’est à Seb Mellia d’avoir peur à présent. A lui d’avoir honte. A lui de se sentir sale", a-t-elle écrit.
Florence Mendez avait pris la parole le 12 janvier dernier pour évoquer des témoignages reçus à l’encontre d’un confrère humoriste Seb Mellia. Dans ce message, effacé depuis, Florence Mendez précise qu’une des victimes présumées a été "plaquée contre un mur et embrassée de force" tandis que deux autres dénoncent "des rapports forcés, dont des sodomies, avec le retrait du préservatif pendant l’acte sans consentement".
Je ne peux plus me taire une seconde de plus, il y va de la sécurité des femmes qui fréquentent le milieu de l’humour", écrit alors Florence Mendez. Dans un deuxième post publié le lendemain, lui aussi effacé, elle révèle avoir reçu de nouveaux témoignages dénonçant des faits similaires, dont "quatre qui parlent d’agression sexuelle et cinq qui parlent de viol". "C’est à Seb Mellia d’avoir peur à présent. A lui d’avoir honte. A lui de se sentir sale", a-t-elle écrit.
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