Commentaire du conseil municipal du 26 janvier 2024 :
- l'Orchestre de Douai (fin) ;
- la surfacturation des repas non consommés en cantine ;
- la fourrière ;
- les purges du Droit de Préemption ;
- la situation des femmes sans domicile en période de grand froid ;
- le local commercial à l'agence des rues de la Cloche & Saint Amé ;
- le coût de la carte de résident.
Quelques mots pour l'année nouvelle.
- l'Orchestre de Douai (fin) ;
- la surfacturation des repas non consommés en cantine ;
- la fourrière ;
- les purges du Droit de Préemption ;
- la situation des femmes sans domicile en période de grand froid ;
- le local commercial à l'agence des rues de la Cloche & Saint Amé ;
- le coût de la carte de résident.
Quelques mots pour l'année nouvelle.
Catégorie
🗞
NewsTranscription
00:00 Pourquoi pas ?
00:02 Tant qu'on n'a pas de privatisation d'un outil public.
00:06 Le risque c'est toujours que finalement à la fin ça devient des musiciens vous faites un chèque ils viennent jouer chez vous.
00:14 Si ça leur permet de faire d'autres représentations etc...
00:19 Il faut pas d'abus quoi.
00:23 La privatisation des services publics bon.
00:26 Mais pourquoi pas on jugera pas de pas de pas d'a priori on jugera.
00:33 Alors à propos du CCAS.
00:38 Mot extraordinaire.
00:42 Frédéric Chéron parlait de Mohamed Karaki qui est vice-président.
00:46 Il disait parce qu'il voulait montrer qu'il avait des lettres et du droit. C'est comme au conseil d'état
00:54 le vice-président fait quasiment le travail du président. Il faut savoir qu'effectivement
00:58 le président du conseil d'état c'est le premier ministre qui bien sûr n'y va jamais et donc
01:03 c'est le vice-président qui fait le travail.
01:05 Effectivement.
01:09 Mais
01:13 Et
01:15 Je pense que ce ne sera pas au compte rendu parce qu'on l'a entendu mais tout bas et on l'a bien entendu.
01:21 Quand il a dit "tenez vous bien"
01:23 c'est peut-être lié à
01:27 un sursaut de dignité mais sous forme de vacherie. C'est assez incertain.
01:31 Quand il a dit "c'est comme au conseil d'état le vice-président fait quasiment le travail du président"
01:35 François Diffard a répondu "tenez vous bien" c'est comme à Douazy et Glow.
01:40 Un coup à se faire virer à coup de pot-pau d'herche mais alors je n'en suis pas revenu.
01:51 Cricri ne va pas aimer.
01:53 Salut Cricri.
01:55 Alors
01:57 Exonération de taxes consciences sur les propriétés bâties des îles moques situées dans un bassin urbain a dynamisé.
02:04 Il a été demandé
02:09 par
02:11 Thibault de Bruxelles la liste des entreprises qui bénéficient d'une exonération.
02:16 Frédéric Chéon ne sait pas.
02:19 Bon il paraît que les services fiscaux n'ont pas pu lui dire.
02:22 Point 6.3
02:26 Modification des règlements intérieurs activités périscolaires extrascolaire. Alors il y a eu un point sur la laïcité bon d'accord
02:33 Mais il y a aussi le fait que au major de 3 euros le repas
02:45 Est facturé aux parents lorsque l'enfant ne vient pas
02:49 Et que la commune n'a pas été prévenue avant 8h30 du matin.
02:56 Alors ce qu'a dit Colline c'est que si vous êtes chez le médecin avec votre enfant qui est malade et que c'est pour ça qu'il ne
03:03 vient pas
03:05 Et donc
03:09 alors les parents payent leur repas mais le paye 3 euros de plus parce qu'il n'a pas été mangé.
03:15 Alors elle avait proposé ce qui était une bonne idée par exemple qu'il puisse venir le chercher
03:18 pour l'utiliser s'il le paye 3 euros de plus au moins qu'il puisse le...
03:24 Alors on lui a répondu non parce que
03:28 Alors on peut téléphoner je précise il y a aussi une application on peut le faire par internet mais jusqu'à 8h30 du matin seulement.
03:38 Mais
03:41 il semblerait que les places soient très chères
03:44 qu'il y a beaucoup de demandes et que
03:46 la première adjointe chargée des collines Agnès Dupuis ça pénalise ceux qui sont en liste d'attente en fait puisqu'il y aurait des parents
03:54 qui inscriraient à la cantine par sécurité mais sans forcément y aller quoi en gros. Donc c'est pour dissuader cela
04:01 et par ailleurs on aura le droit de donner le repas
04:05 aux parents.
04:07 A dit Agnès Dupuis
04:09 Là il y a peut-être des choses à faire
04:13 pas forcément aux parents mais au reste du coeur je sais pas.
04:16 Alors
04:21 Colline lui a demandé mais puisque vous nous dites que le nombre de repas non consommés
04:27 diminue quand on augmente de 3 euros est ce que vous pouvez nous dire avant après qu'on compare ?
04:32 Il ne sait pas mais il donnera la réponse bientôt.
04:36 6/4
04:39 Le jeudi 18 janvier, il y avait quasiment personne à la cantine parce qu'il neigeait.
04:44 Et mais il y avait tellement personne que en plus les repas ne sont pas arrivés.
04:50 Donc ils ont mangé, nous a dit Agnès Dupuis, une saladière.
04:55 Je ne sais pas ce qu'il y avait dans la saladière, je ne sais pas vraiment ce qu'est une saladière, on a pas dû manger grand chose.
05:00 Donc on a décidé que ce jour là c'était gratuit pour tout le monde même ceux qui ne venaient pas là ils payent zéro.
05:09 La 9/2
05:11 9/2
05:12 construction d'une salle polyvalente à Frémarès, c'est la maison de proximité.
05:15 Xavier Thierry a demandé pourquoi les
05:21 il y avait tant de variations de coûts
05:24 parce qu'effectivement les coûts annoncés selon les périodes varient d'une façon extravagante.
05:28 Frédéric Chiron ne sait pas.
05:31 10/1
05:36 Convention de délégation de services publics pour la fourrière.
05:38 173 véhicules en fourrière chaque année.
05:45 173 véhicules en fourrière chaque année. Vous savez qu'ils ne sont pas emmenés en fourrière, en fait ils sont déplacés.
05:51 Et on peut aller les récupérer mais il y a un PV plus les frais de déplacement.
05:57 Il y a le PV de stationnement plus les frais de déplacement.
06:04 Ensuite nous arrivons aux décisions directes. Alors c'est un peu technique, je suis intervenu sur des décisions directes parce que
06:12 Les purges de droits de premation.
06:18 50 renonciations aux droits de premation.
06:23 25 pour lesquelles la commune a répondu, 25 pour lesquelles elle n'a pas répondu.
06:32 Et on nous met dans la liste des décisions directes les non-réponses.
06:39 Comme si le fait de ne pas nous répondre était une décision.
06:45 Alors il se trouve que très gentiment le service urbanisme a proposé,
06:51 une fois où j'avais une urgence, de me faire un courrier me disant qu'il n'avait pas répondu.
06:58 Alors apparemment Frédéric Chauve en a été informé par répondu là-dessus, ce qui n'avait aucun rapport avec le reste.
07:02 Moi ce que je lui disais c'était qu'il n'y avait quand même pas de quoi se vanter de ne répondre qu'une fois sur deux.
07:06 Et que
07:10 Surtout,
07:12 si les services étaient prêts à faire un courrier en disant qu'il n'avait pas répondu, ils pouvaient aussi faire un courrier pour dire qu'ils n'achetaient pas.
07:17 Et que quand on sait qu'on n'achète pas, on peut le faire au bout d'une semaine.
07:22 Et pas au bout de deux mois, puisqu'il faut attendre deux mois quand on ne répond pas.
07:26 Parce que le vendeur et l'acheteur de la maison, ils attendent deux mois pendant ce temps là.
07:29 Et que surtout, si les services avaient le temps, au fond la différence c'était quoi ? C'est la signature de l'élu. Encore une fois c'est l'élu.
07:36 Les services font le boulot, c'est l'élu. Si ils sont prêts à faire un courrier pour dire qu'ils n'ont pas acheté,
07:42 ça prend le même temps que de faire un courrier pour dire qu'on n'achète pas, entre pendant et après, c'est à peu près la même chose.
07:48 Alors,
07:55 Il m'a dit, oui mais,
07:57 En fait, il y en a un sur deux où on ne demande rien.
08:03 En fait, vous écrivez à la mairie en recommandé, conformément au code du urbanisme.
08:07 Et vous dites, est-ce que vous voulez acheter la maison ? Pour lui, ça ne veut pas dire qu'on demande.
08:10 On fait coucou comme ça, puis on n'attend pas de réponse.
08:16 Donc si on demande, ils répondent. Ah ben, je dis, c'est pas grave, on va mettre un post-it.
08:20 Coucou, c'est gentil de répondre.
08:23 Ah oui, non mais là ça va pas, parce que si tout le monde met un post-it, il n'y aura pas assez de monde.
08:28 Je lui ai rappelé que le marché de l'immobilier s'était effondré.
08:31 Et donc, ça veut dire que si
08:34 actuellement, ils n'arrivent pas à répondre, à plus de la moitié,
08:38 ils ne répondront pas au quart, au dixième, quand le marché de l'immobilier démarrera un jour.
08:45 Et ça pénalise évidemment les vendeurs et les acquéreurs.
08:52 Et surtout, ce qui m'agace,
08:54 ça n'est pas tellement
08:57 qu'on ne nous réponde pas, c'est qu'on a la mauvaise foi
09:01 de faire passer une non-réponse pour une décision directe. C'est pas une décision du tout.
09:06 On reçoit un courrier, on en fait une cocotte.
09:09 Deux mois après, on n'a pas répondu.
09:14 Celui qui a attendu deux mois dit "j'ai pu attendre, bon ça y est, le
09:17 le journaliste me dit que je peux faire ma vente et hop, je vends".
09:21 Puis c'est tout. En fait, on n'a pas répondu.
09:23 Donc en fait, on a fait une cocotte du courrier qu'on a reçu.
09:26 Et avoir le culot d'aller mettre dans les décisions directes "ah ben j'ai fait 25 cocottes ce mois-ci",
09:32 c'est quand même se moquer sacrément du monde.
09:34 Donc voilà que maintenant,
09:37 les élus nous font des listes de ce qu'ils ne font pas, en nous disant que c'est la décision de ne pas faire.
09:44 Alors quand ils ne se lèvent pas le matin, ils vont nous dire "j'ai fait la décision directe de faire la grasse matinée".
09:51 Oui c'est bien.
09:52 Plutôt que d'aller
09:54 inaugurer je crois quoi, j'ai pas fait.
09:57 Ils vont nous faire la liste des... ils pourraient aussi
09:59 faire la liste... parce qu'en début de conseil municipal, ils nous font la liste des événements du mois.
10:04 Ils pourraient faire la liste des endroits où il n'est pas allé éventuellement.
10:07 C'est une décision.
10:10 Il a été quelque part, il n'est pas allé.
10:12 On va lui dire "bravo, vous avez décidé".
10:14 Par exemple,
10:19 il pourrait nous faire la liste des
10:21 actes
10:23 d'incivilité, de délinquance, de criminalité
10:25 qui n'ont pas été empêchés par sa police municipale parce que malheureusement ils ne sont pas équipés,
10:31 parce qu'il ne veut pas et qu'il ne veut pas leur confier des missions de sécurité. Il pourrait faire une liste aussi.
10:35 "J'ai décidé" à chaque fois qu'une brave dame se fait moquer, me voler son sac à main,
10:40 place d'armes devant la police municipale, "j'ai décidé de ne pas l'empêcher". Pourquoi pas ?
10:48 On se moque de nous.
10:51 On se moque de nous parce que ce ne sont pas les services qui sont en cause, ils font ce qu'on leur dit de faire.
10:57 Mais les élus, ils sont indemnisés
11:00 et ils ne font pas. Et puis quand ils ne font pas, ils disent "j'ai décidé de ne pas faire".
11:05 Bon, voilà. Donc j'ai
11:09 tenu à...
11:12 Le maire, lorsque j'ai demandé la parole, m'a dit qu'il n'avait pas entendu ma douce voix. Je lui ai dit que
11:17 ma douce voix, elle est bougonnée et j'ai bougonné.
11:19 Ensuite, questions diverses.
11:23 Alors j'en ai posé deux. La première, vraiment sérieuse,
11:28 je veux dire pas la grave, la question de l'accueil des SDF.
11:33 Il y avait un foyer qui était Joël Boiret qui a fermé
11:37 notamment parce que l'état a semblant-il supprimé des
11:41 subventions. Alors aussi probablement pour des raisons liées à l'état du bâtiment et qui serait actuellement utilisé pour
11:47 y entreposer
11:50 le matériel du service de nettoiement.
11:52 Ce qui existe aujourd'hui,
11:56 c'est un hébergement
11:58 dans le plan Grand Foie, en salle d'urgence.
12:03 Pour les cas d'urgence.
12:06 Et non plus dans un foyer spécialisé.
12:10 Seulement, ces 15 places
12:12 qui ont été décidées par l'état sont mixtes.
12:16 Et ça signifie que
12:19 et la sécurité apparemment n'est pas totalement assurée, à tout le moins c'est ce qu'on m'a dit.
12:24 Et du coup, et bien notamment les femmes
12:29 renonceraient à y aller parce qu'il n'y a pas de séparation et que parfois ça ne se passe pas bien parce que certains
12:39 malheureusement ont des dépendances, ont des comportements un peu erratiques.
12:44 On m'a dit que le gardien avait dormi dans sa voiture
12:47 et qu'il ne pouvait plus dormir dedans
12:51 parce qu'il n'y avait peut-être pas assez de gardiens.
12:53 Et
12:56 et que
12:58 il y avait autrefois trois places permanentes
13:01 pour les femmes qui ont été supprimées, qui étaient ailleurs.
13:06 Mais il n'y a plus que pour les hommes et donc du coup les femmes n'ont plus de place permanente et
13:12 en période de grand froid se retrouvent dans une institution mixte.
13:16 Et donc il y a un certain nombre de SDF dont des femmes préfèrent rester dehors plutôt que de prendre le risque
13:21 alors que c'est précisément en période de grand froid. J'ai alerté là-dessus.
13:25 Il m'a répondu que
13:30 c'était l'état qui décidait qu'on pouvait peut-être mettre un rideau.
13:35 Je ne lui ai pas demandé un rideau de douche pour séparer les femmes des hommes.
13:38 Et puis
13:42 je lui ai parlé aussi
13:45 du fait que
13:49 une dame qui s'appelle Florence Pannier,
13:53 l'atelier de l'immobilier d'Ouaisie, cherchait
14:02 pour des clients, c'est sur les réseaux,
14:04 absolument maintenant c'est en officiel, c'est sur Facebook,
14:07 pour des clients qui voudraient installer un couturier robe de soirée mariage,
14:13 cherchait à qui appartenait
14:16 l'immeuble qui se trouve à l'angle de la rue de la Cloche et de la rue Saint-Ammé qui appartient à la mairie depuis au moins 15 ans.
14:24 Dont elle ne fait rien.
14:27 J'en ai déjà parlé deux fois, c'est la troisième, à chaque fois il me dit qu'il y a des investisseurs qui sont sur le coup,
14:33 ils sont tellement sur le coup qu'elle se retrouve
14:35 à en avoir au bout de 15 ans, ça fait 10 ans qu'il est mère,
14:38 et à chercher sur les réseaux à qui ça appartient et quand on lui dit à la mairie
14:43 eh bien elle dit mais qu'est ce que je vais voir ?
14:47 Je lui dis ça serait peut-être bien qu'on sache qui on va voir.
14:50 Parce que au fond
14:53 dans cette commune quand vous voulez
14:57 c'est ce que disait Xavier pour
14:59 les commerces éphémères, quand vous cherchez
15:03 un interlocuteur à la mairie pour un projet commercial
15:08 ben il faut
15:10 une baguette de sourcier
15:12 parce qu'il n'y a pas de communication
15:14 sur un interlocuteur qu'on peut aller voir, il y en a peut-être un, par exemple le développeur du centre-ville, mais encore faut-il
15:22 à dire qui ?
15:24 Et donc
15:26 alors il m'a fait le coup habituel
15:28 il m'a dit ah mais oui ça doit être madame Pagnier qui habite à côté
15:34 je la connais bien, elle a l'habitude de me demander des choses
15:39 Si vraiment elle avait l'habitude de lui demander des choses, elle lui aurait demandé des choses, vous voyez
15:48 Elle n'aurait pas dit
15:52 comme elle l'a fait, qu'elle ne savait pas à qui s'adresser
15:56 Alors
16:02 Parce qu'elle a posé la question
16:05 Alors pour dire la vérité
16:08 une fois qu'on lui a dit que c'était la mairie, que je lui ai conseillé de s'adresser aux affaires immobilières
16:16 Elle a dit
16:20 qu'elle allait rencontrer prochainement
16:23 La directrice de l'aménagement et le manager du commerce très prochainement
16:30 Je la crois et elle le croit
16:34 Je ne l'aimais pas en cause
16:38 Mais
16:41 Ouais ça dure depuis dix ans qu'il est élu, plus que dix ans mais dix ans qu'il est élu
16:50 Voilà et je suppose que dans un an on sera toujours là encore une fois
16:56 Parce que
17:00 Eh bien
17:02 Voilà il n'y a pas de gestion politique quoi, alors il dit mais
17:06 qu'elle vienne à la mairie, elle est la bienvenue, ce qui prouve au passage qu'il est absolument pas au courant
17:12 qu'elle est supposée rencontrer quelqu'un, c'est vous dire
17:16 c'est vous dire si et puis on sera heureux de le vendre
17:20 on parle oui on verra on verra je
17:25 c'est un sujet que je connais bien en l'occurrence c'est un immeuble que je connais bien donc
17:29 je m'en préoccuperai
17:32 François Guiffard, Bolivard, est ensuite intervenu, dernière intervenante sur les questions diverses
17:41 Pour rappeler que depuis le 1er janvier on payait la carte de résident 3 euros par mois alors l'explication qui avait été donnée je suis
17:47 intervenu à la demande de Douaisien sur ce sujet il y a quelques mois
17:52 l'explication qui avait été donnée
17:54 à l'automne, l'explication qui avait été donnée c'était qu'en fait les 3 euros c'était pour payer la fabrication de la carte de résident
18:01 on vous donne une carte de résident pour ne pas avoir à payer le stationnement mais comme ça coûte de vous la donner on vous la facture
18:11 Et il disait donc à juste titre que c'était une discrimination pour le centre-ville en disant que 70%
18:17 des personnes qui avaient un véhicule automobile en avait un parce qu'il ne peut pas faire autrement
18:22 effectivement c'est une forme de discrimination pour le centre-ville parce que c'est difficile de stationner dans le centre-ville et si vous devez payer
18:30 3 euros
18:32 alors que dans les quartiers on n'est pas obligé
18:34 il faut quand même savoir et dire la vérité que nous sommes une ville dans laquelle les habitants du centre-ville ne sont pas plus
18:38 riches que ceux des quartiers. Il y a des villes où le centre est gentrifié mais ça n'est certainement pas le cas de Douai
18:43 Frédéric Chirot a trouvé que 3 euros ça n'était pas cher
18:46 J'ai oublié de dire deux choses
18:51 la première
18:53 c'est que pendant que je parlais
18:55 de madame Pannier et de l'immeuble de la rue de la cloche
19:00 J'entendais un bruit de fond
19:07 Quelque chose de
19:09 ricaneur, de dépréciateur, de soupireur etc
19:13 c'est la première fois que ça m'est arrivé à moi
19:16 ça arrive à chaque fois que Colline intervient c'est la première fois que ça m'est arrivé à moi
19:20 je suis
19:22 moins patient que Colline
19:24 On lui reproche d'être trop tranchante je le suis moins
19:30 mais je suis moins patient que Colline
19:33 j'aimerais bien, je l'ai dit et Colline a su rancherie parce qu'elle
19:37 elle y a droit régulièrement, elle y avait eu droit pendant le conseil, j'aimerais bien
19:42 j'aimerais bien
19:44 que maître Nadia Bonnier
19:46 d'où il m'est arrivé de dire du bien
19:49 que maître Nadia Bonnier
19:52 cesse de se croire
19:54 au camping
19:57 à l'heure de l'apéro à Nizet
20:01 Quand un élu de l'opposition s'exprime
20:03 j'aimerais bien que madame Nadia Bonnier, maître Nadia Bonnier cesse de jouer la bouffe
20:09 Quand un élu de l'opposition s'exprime
20:13 Quand et c'était le cas très fréquemment dans le mandat précédent
20:20 Elle enlève ses chaussures pendant le conseil municipal pour agiter ses petits petons avec élégance je ne dis rien
20:29 Mais quand elle éprouve le besoin de soupirer
20:31 Mais quand elle éprouve le besoin de soupirer
20:35 Mais quand elle éprouve le besoin de soupirer
20:37 Pendant qu'un élu d'opposition intervient là il ya quand même un moment il faudrait qu'elle comprenne qu'un peu d'éducation ça peut servir
20:46 Et que si elle souhaite
20:51 Monsieur le maire m'a dit que c'était pas gentil mais il n'entendait pas d'où il était
20:57 si elle souhaite vraiment
20:59 Soupirer à chaque fois que j'interviens là c'est la première fois que ça m'arrive à moi
21:05 Colline se défend très bien toute seule
21:08 Si elle souhaite vraiment s'amuser à soupirer à chaque fois que j'interviens je peux pas soupirer quand elle intervient elle n'intervient jamais
21:16 Effectivement ça je peux dire qu'en fait sa seule participation
21:21 Sonore à un conseil municipal c'est de soupirer de cancaner de jaspiner avec ses voisins
21:28 Seulement quand l'opposition intervient à quand c'est le maire non
21:32 non
21:34 c'est bien la peine d'avoir 50 ans de barreau
21:37 Pour se montrer aussi courtisane avec les puissants
21:43 faibles avec les forts et fortes avec les faibles
21:47 Mais que maître Nadia Bonny comprenne bien
21:51 que
21:53 Le beauf du bout de la table là ça va une fois mais pas deux
22:00 La machine à beignes on peut la sortir
22:04 Alors effectivement comme tous les avocats et là oui et puis comme tous les notaires je suis un peu plus poli sans doute
22:13 Mais elle a ses limites
22:19 Parce qu'il ya un moment où
22:21 La grossièreté trouve ses propres limites la vacuité trouve ses propres limites
22:27 Moi je n'ai pas pour
22:32 A chacun sa nature
22:34 Je suis plus policier sur la forme mais
22:37 voilà je tiens à mettre des émonis que
22:41 par exemple voilà
22:43 La qu'à faire comme moi j'ai pas retenu tout ce qu'on m'a appris
22:46 mais il m'arrive d'être bien élevé elle je ne suis pas ce qu'on je ne sais pas ce qu'on lui a appris
22:51 mais il lui arrive pas toujours d'être bien élevé et c'est infiniment regrettable pour une femme de cet âge
22:57 c'est bien parce que ça démontre qu'on peut
23:00 appartenir à un certain niveau et très mal se comporter ça rassure ça il n'y a pas de mépris social chez elle y a du mépris humain
23:08 Maintenant
23:12 Ah elle va pas nous parler de l'ébaïsse de bougival elle non pas sociologique c'est juste personnel
23:18 Bah pourquoi pas
23:22 Mais les beaufs ça va un moment
23:24 voilà alors qu'elle agite ses petits petons sans chaussures
23:29 Mais
23:33 Qu'elle nous fasse grâce
23:35 De ses soupirs théâtraux
23:40 Parce que pas toujours à me laisser intimider et
23:43 Voilà dernière chose
23:48 Trois policiers municipaux à l'entrée du conseil trois pas armés parce que
23:56 Et bien on m'a volé
23:59 sur le radiateur derrière moi la pochette de ma tablette
24:03 alors la tablette c'est de la cochonnerie
24:07 c'est la tablette de la mairie ça il a fait des économies mais c'est vrai parce que la pochette il y avait rien dedans pas
24:12 grave mais la pochette ça
24:14 c'est pratique pour porter la tablette on m'a chourré
24:17 pendant le conseil ma tablette qui était posée sur le radiateur derrière moi
24:22 et on a pensé qu'elle était tombée
24:25 radiateur non j'ai la police municipale s'est engagé à mener une enquête
24:29 je ne sais pas s'ils vont me retrouver le malandrin qui m'a chourré ma tablette je ne l'accuse pas maître Nadia Bonny
24:37 Mais là c'est quand même un mystère
24:39 Voilà ce que je pouvais vous dire cher David Louisien
24:43 malgré ma grande fatigue et l'heure tardive car il est quand même 3 heures du matin sur notre conseil municipal
24:50 qui fut tout fut
24:52 Mais qui ma foi a permis d'aborder un certain nombre de sujets
25:00 importants intéressants et
25:03 j'espère avoir pu en mettre quelques-uns
25:06 en évidence avec les moyens du bord et
25:10 dans un état de fatigue est quand même je dois dire assez avancé
25:15 demain je serai aux obsèques de Stéphane Ribac bien sûr
25:20 et j'incite toutes celles et tous ceux qui l'ont connu et qui pourraient peut-être pas y participer
25:25 à avoir une pensée pour Stéphane Ribac
25:30 pour les obsèques qui débuteront à 10 heures
25:33 Et puis pour le reste et bien nous nous croiserons sans doute en ville il y a quelques activités
25:40 pendant la journée
25:43 d'endroits il y en a un certain nombre d'ailleurs
25:45 Et puis pour celles et ceux qui veulent voir les marcheurs pour le cesser le feu et bien
25:52 c'est l'occasion d'aller faire votre marché à Lille
25:56 vous ne nuirez pas aux commerçants louisiens puisque les commerçants louisiens font leur marché
26:00 tiennent le marché le samedi à Lille c'est le dimanche donc il n'y a pas de concurrence au marché louisien
26:06 A Lille dimanche 11h
26:11 C'est la joie de Bresson qui je crois est
26:14 communiste me semble-t-il qui va les accueillir et on annonce sans doute la visite de Martine Aubry
26:22 voilà l'occasion de voir Martine Aubry alors
26:27 Ça n'est pas tout à fait Frédéric Chéan je dois dire que là pour le coup c'est peut-être plutôt Nadia Bonny
26:35 en pire
26:38 c'est dire
26:39 voilà chers amis louisiens
26:41 Je vous souhaite à toutes et tous
26:45 un heureux week-end et avec tout cela j'ai oublié de vous présenter mes vœux je voulais le faire en propos liminaire
26:52 et j'ai oublié parce que j'ai rendu hommage à Stéphane Ribac dans le cadre
26:57 de
27:00 de son décès malheureusement et puis aussi
27:03 j'ai parlé des marcheurs pour cesser le feu
27:07 je n'ai pas présenté mes vœux cette année je manquais un petit peu de forme et d'enthousiasme
27:13 J'étais un peu sec parce que
27:17 Les temps sont durs pour beaucoup
27:22 Sur le plan professionnel
27:24 Je fais partie des professions qui sont
27:28 très concernées par les difficultés économiques actuelles
27:33 et donc évidemment on est entre la guerre entre
27:38 Les difficultés
27:42 On est toujours un petit peu
27:44 Hésitant à se présenter des vœux lénifiants
27:51 Mais l'an dernier je vous avais dit soyez vous même
27:55 Soyez vous même
27:58 vivez entouré de vos proches
28:00 pour puiser de l'énergie de la force etc
28:04 pour affronter les soucis les tracas les difficultés de la vie je peux vous redire la même chose
28:09 Parce que
28:13 Effectivement le plus difficile dans les temps qui sont les nôtres
28:20 C'est de
28:22 De rester soi-même avec un peu d'allant
28:24 Et d'affronter
28:29 L'ensemble de ces difficultés sociales politiques économiques
28:35 D'ambiance aussi cette ambiance si délétère
28:41 Ce temps où les français ne s'aimaient pas a écrit un écrivain maudit
28:49 Et il y a effectivement des temps où les français ne s'aiment pas
28:54 Entre eux
28:59 Parfois dénigre leur propre pays ce sont des temps de tensions de dépressions
29:06 De mélancolie
29:10 Essayons de protéger ce
29:17 Quand même cette ambiance particulière adoué qui fait que
29:21 il y a toujours des exceptions il y a même bonnie qui être bonnie qui
29:25 Qui soupire
29:29 Il ya bolivar qui courtise y a thibaut de bruxelles qui saute d'un train
29:34 Bon d'accord mais il ya quand même dans notre ville une forme
29:42 De
29:44 Communauté d'esprit de communauté de vie de de respect mutuel de
29:50 Bienveillance enfin voilà chacun selon sa nature mais qui fait que c'est plutôt agréable d'être douésien
30:00 essayons de le
30:04 préserver parce que
30:05 On peut pas toujours vivre caché avec les siens
30:07 Faut bien sortir de temps en temps et quand on peut voir lorsqu'on sort des visages bienveillants
30:14 Pas trop désagréable
30:16 Lorsqu'on peut s'exprimer sans entendre trop soupirer
30:19 c'est plutôt agréable
30:22 et
30:24 Peut-être pourrait on conseiller lorsqu'on doute un peu
30:27 regarder les gens désagréables
30:30 écouter soupirer les gens impolis
30:33 et puis vous vous direz finalement
30:36 J'ai de la chance d'avoir autour de moi
30:42 des gens
30:44 De meilleure facture
30:46 D'être mieux entouré de d'avoir un peu plus d'espoir
30:51 au plus talent voilà
30:54 c'est comme quand on note des étudiants on les note toujours de façon relative
30:59 En tant qu'on du niveau général c'est sans doute ce qu'a un peu trop fait l'éducation nationale d'ailleurs
31:06 puisque finalement aujourd'hui
31:09 un grand nombre d'entre eux malheureusement
31:12 font de l'analphabétisme
31:14 à un âge où les générations précédentes savaient lire et écrire sans doute peut-être un peu trop à force de notre relative mais
31:22 Essayons de de préserver tout cela pour l'année qui vient
31:29 et de nous retrouver avec plaisir demain notamment le marché du livre ancien
31:39 C'est l'occasion de se promener de croiser des figures amis de partager un moment et c'est fort agréable et lorsque
31:46 Vous avez face à vous comme j'avais tout à l'heure un jeune palestinien
31:52 Amputé suite à des
31:57 Conflits et qui me montrait avec joie
32:01 ses prothèses lui permettant de se tenir debout
32:08 C'est à la fois tellement touchant
32:10 tellement émouvant tellement respectable ce qui était prothèse qu'il venait d'avoir
32:15 encore deux trois jours en béquille
32:18 et ça permet aussi tellement de quand on voit le ses sourires là et bien
32:25 Et ses sourires lumineux
32:30 Et bien
32:32 profitons de ce que nous avons ensemble et préservons
32:37 ce qui fait ce bonheur d'être louisien
32:40 chers amis bon week-end et encore bonne année