Florence Portelli, vice-présidente LR, est l'invité de BFMTV ce vendredi.
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00:00 Déjà c'est une trahison avec elle-même.
00:02 Si j'ai un conseil à Mika elle a lui donné, c'est de toileter son compte Twitter
00:05 où elle a vomi sur le gouvernement et sur Emmanuel Macron pendant des années.
00:09 Donc ce que je trouve dommage c'est que c'est quelqu'un qui passait pour franc, sincère,
00:13 et qui aujourd'hui rompt avec cette sincérité puisqu'elle se renie pour un poste.
00:18 Moi je vous dirais après à titre personnel,
00:20 il serait bon de balayer quand même enfin cette génération sarkoziste hyper cynique
00:27 qui est là depuis un certain temps, qui nous pollue la vie
00:30 parce qu'en fait il gère le testament politique de Nicolas Sarkozy
00:33 dont personnellement je n'ai rien à cirer.
00:35 Et j'aimerais bien qu'à droite on se remue, on se bouge,
00:39 et on retravaille sur les idées parce que c'est urgent,
00:41 qu'on nomme rapidement notre tête de liste aux européennes,
00:44 à savoir François-Xavier Bellamy parce qu'on va arrêter aussi de feuilletonner là-dessus,
00:48 qu'on se concentre sur les européennes, qu'on travaille sur des nouvelles idées
00:51 parce que je pense que les gens, les français qui nous regardent,
00:55 n'ont rien à cirer des tambouilles politiciennes.
00:58 On attendait les punchlines de Rachel Delatty,
00:59 on a les punchlines de Florence Portelli,
01:01 donc trahison, ronniement, la génération sarkoziste qui nous pollue la vie,
01:05 rien à cirer de cet héritage sarkoziste.
01:07 Excusez-moi, je vous dirais une dernière chose pour moi.
01:08 Non mais je vous dis ce que je pense sincèrement.
01:10 Le dicte de mon livre s'appelle "Franc-Paris" donc je ne vais pas vous...
01:13 Je trouve très regrettable en tant que maire, maire d'une commune,
01:16 et maire d'ailleurs maman,
01:18 que le problème du logement ne soit pas pris à bras-le-corps.
01:20 Il n'y a pas de ministère du logement.
01:22 Ce n'est pas la première fois,
01:23 alors que ça va être la bombe sociale et économique de ces prochaines années.
01:27 Hier, Éric Ciotti disait sa tristesse à voir Rachel Delatty.
01:30 Ce n'est pas de la tristesse que vous avez ce matin.
01:32 C'est quoi ? C'est de la colère ?
01:34 Non pas du tout.
01:36 Je ne suis pas étonnée parce que ça fait un certain temps
01:39 que la politique s'est devenue un jeu de débauchage.
01:42 Je vous dirais que ça ne m'intéresse pas.
01:44 C'est normal qu'on le commente.
01:46 Vous allez me dire c'est normal, c'est chez vous,
01:48 elle part ailleurs, etc.
01:49 Très bien, une de plus.
01:50 au moins ça fait du ménage.