Bruno Retailleau, président du groupe Les Républicains au Sénat, était l’invité du Face à Face sur BFMTV - RMC.
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00:00 Attendez, je l'espère. Je vous dis que je tiens au texte du Sénat parce qu'il est ferme, parce qu'il faut réduire l'immigration.
00:07 Et je pense qu'aujourd'hui, l'inaction n'est pas une option. Ce texte, c'est le texte de la dernière chance.
00:13 Il n'y en aura pas d'autre avant 2027, avant la fin du quinquennat. Et on est dans le chaos migratoire.
00:19 Donc il faut savoir ce que l'on veut. Est-ce qu'on veut la politique du pire ? Ce serait le pire de la politique.
00:26 Ou est-ce qu'on veut faire quelque chose ? Est-ce qu'on dit aux Français « on ne fait rien, on campe sur nos positions » ?
00:32 Ou est-ce qu'on donne aux Français un certain nombre de certitudes ? Mes collaborateurs, j'ai demandé ces derniers jours
00:38 à mes collaborateurs de me lister tous les crimes, les violences dus à des étrangers sous au QTF ou qui auraient pu être expulsés
00:47 durant ces derniers jours, ces dernières semaines, ces derniers mois, durant toute cette année. C'est incroyable.
00:52 Les Français le savent bien. Vous le savez bien, vous qui êtes journaliste. Il y a quelques jours encore, un Algérien qui était
00:59 sous au QTF, qui était arrivé, je crois, à l'automne ou au mois d'octobre, il a violé une adolescente de 14 ans.
01:05 Il a tenté de violer une jeune femme de 23 ans. Est-ce qu'on reste là, les bras ballants ? Non. Moi, je veux un texte.