Quels films sortent au cinéma cette semaine ? La rédaction vous fait découvrir les films qui font l'actualité
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00:00 *Générique*
00:16 Bonjour à tous et par ici les sorties, votre magazine d'actualité qui vous dit tout sur les films à l'affiche.
00:20 Aventures, dessins animés, comédies dramatiques, drames et fantastiques sont au programme cette semaine
00:26 avec tout d'abord les trois mousquetaires millédies de Martin Bourboulon.
00:30 Nous irons à Central Park pour y retrouver Les Inséparables de Jérémy Degruyson.
00:35 Nous nous rendrons en Nouvelle-Angleterre en 1970 pour Winter Break d'Alexander Payne.
00:40 Nous découvrirons le premier film de Céline Song, Past Live, Nos vies d'avant.
00:44 L'armée sera au coeur de Sergent-Major S. Maier.
00:47 Le social sera à l'honneur avec Rue des Dames et Timothée Chalamet viendra nous parler de Wonka.
00:53 Avant d'explorer plus en détail les sorties de la semaine, nous vous proposons de découvrir le classement des films en salles
00:59 établi par les étoiles des spectateurs sur le site AlloCiné.
01:03 En troisième position, La Chimère obtient 3,5/5.
01:09 Juste au-dessus, avec 3,9/5, on retrouve Le Grand Magasin.
01:14 Et cette semaine se place en première position Migration qui obtient 4/5.
01:19 Allez, retour aux sorties de la semaine.
01:23 Martin Bourboulon clôt son diptyque avec les trois mousquetaires Milledy
01:29 en focalisant l'histoire sur Milledy de Winter incarné par Eva Green.
01:33 Le tout sur fond de guerre de religion et de menaces d'invasion par l'Angleterre.
01:46 On passe quand même du 1 où on expose un peu tout le monde, où on est dans la camaraderie,
01:49 où on va quand même chercher les ferrées de la Reine, même s'il faut sauver l'honneur de la Reine de France.
01:55 C'est un enjeu, mais dans le 2, c'est la guerre, c'est le siège de la Rochelle, c'est la mort aussi qui plane partout.
02:02 Donc ouais, ça s'est densifié un peu, je dirais.
02:11 Dans ce deuxième film, on creuse un petit peu plus, on découvre les traumas de certains des mousquetaires,
02:17 on découvre évidemment les traumas de Milledy, ce qui va créer un peu une action de son côté.
02:22 Et on poursuit l'empathie qu'on a eue, et je le trouve immense, avec le personnage de d'Artagnan,
02:26 qui est en quête de cette Constance Bonacieux, dont on va découvrir un sort un peu différent.
02:32 Il me dira où elle est ou je jure de le tuer.
02:36 Prends garde d'Artagnan, cette femme t'a envoûté.
02:39 Nous sommes des tueurs d'Artagnan, que cela vous plaise ou non.
02:42 C'est Milledy, Milledy, c'est une femme fatale, qui en effet séduit et piège des hommes.
02:51 Mais elle a un côté en effet assez complexe et un passé trouble,
02:59 donc des blessures qui expliquent pourquoi elle s'est endurcie.
03:03 Non !
03:08 C'est lui le traître !
03:09 Je ne dis pas l'homme que vous croyez.
03:11 Les Inséparables de Jérémie de Grusson nous emmène dans un vieux théâtre de Central Park,
03:22 où les marionnettes prennent vie la nuit tombée.
03:25 L'imagination est au cœur de ce film, où une marionnette cantonnée au rôle de bouffon,
03:29 rêve d'incarner un héros.
03:31 Lorsque le rideau se ferme, les marionnettes prennent vie.
03:34 Ça y est les amis, on est tranquille.
03:37 Et voici Don, le rêveur de la troupe, qui aimerait découvrir le monde.
03:41 Je ne voudrais rien qu'une fois être le héros.
03:43 J'ai décidé de faire quelque chose de ma vie.
03:46 Tu donnes trois carners, Maxime.
03:47 La première fois qu'on a lu le script d'Alec Sokoloff et Joël Cohen,
03:51 qui sont les auteurs originels de Toy Story,
03:54 on a adoré l'histoire parce que ça parlait d'imaginaire,
03:57 ça parlait aussi d'une histoire d'amitié, c'est un buddy movie.
04:01 Non mais attends, je t'ai déjà vu !
04:03 T'es dans la pièce de théâtre ?
04:04 Moi je suis DJ Doggy Dog.
04:05 Je suis DJ Doggy, je suis pas un poti.
04:08 Mais mes amis m'appellent.
04:09 En fait j'ai pas vraiment d'amis.
04:11 Et si tu venais avec moi ?
04:12 Au départ, je n'allais, enfin, mon épouse et moi,
04:16 nous n'allions que faire la chorégraphie du film,
04:18 la chorégraphie de la scène finale.
04:20 Et donc ça c'était déjà un challenge qui m'a absolument enchanté.
04:24 Dès le départ je me suis dit, c'est marrant avec tous ces personnages
04:27 qui ont des morphologies différentes,
04:29 qui sont faits de matériaux différents.
04:32 Je me suis dit, le challenge était intéressant de voir
04:35 comment on pouvait les faire vivre à travers de la danse.
04:37 Et c'est ensuite qu'on m'a proposé également
04:40 de doubler l'une des voix du film.
04:42 On va enfin être témoin de mon héroïsme !
04:45 Yah ! Yah ! Yah ! Yah !
04:47 Le mec est complètement feu coué en fait.
04:49 On a un enfant intérieur, je pense,
04:51 et on doit essayer de le garder le plus possible,
04:53 parce que c'est quelque chose qui est vraiment salvateur
04:56 et qui nous fait avancer dans la vie.
04:58 Nous sommes des héros !
05:01 Que ce soit la plus belle performance de notre vie.
05:03 Oh ! Est-ce qu'on va mourir ?
05:05 Les légendes ne meurent jamais !
05:07 Les rêveurs font avancer le monde.
05:08 Aaaaaah !
05:10 Les Inséparables.
05:12 Winter Break d'Alexander Payne nous propulse en 1970,
05:18 période d'âge d'or du cinéma américain,
05:20 dans un prestigieux lycée pour garçons de la Nouvelle-Angleterre.
05:23 Un professeur d'histoire ancienne,
05:25 peu apprécié de ses élèves et de ses collègues,
05:27 est prié de rester sur le campus durant les vacances de Noël
05:30 pour surveiller des pensionnaires consignés sur place.
05:33 J'aime le cinéma américain des années 70.
05:59 J'étais adolescent à cette période.
06:01 Et même si je regardais des films de toute nationalité,
06:04 ce que je fais encore aujourd'hui,
06:06 ce cinéma-là a laissé sur moi une empreinte indélébile.
06:26 D'une certaine manière, j'ai perpétué cette tradition des années 70
06:29 dans tous mes films, avec la comédie,
06:31 mais surtout la comédie humaine.
06:33 J'ai dit à mes collaborateurs, on ne fait pas un film historique.
06:47 Nous réalisons un film contemporain qui se déroule en 1970,
06:50 et nous devons faire semblant de travailler à cette époque.
06:53 Je trouve le monde un endroit bitter et compliqué,
06:56 et ça me ressemble à moi.
06:58 Je pense que vous et moi, nous avons ça en commun.
07:01 Je ne crois pas avoir eu un vrai Noël familial comme celui-ci.
07:05 Merci, Mary.
07:06 De rien.
07:07 Je suis un grand fan du cinéma italien
07:09 des années 40 jusqu'aux années 70.
07:12 J'ai toujours aimé dans ces films
07:16 leur côté profondément humain
07:18 avec ce mélange de comédie et de drame.
07:22 L'histoire n'est pas simplement l'étude du passé,
07:24 c'est une explication du présent.
07:26 Quand vous dites ça de cette façon,
07:28 et vous mettez de la pornographie,
07:30 c'est beaucoup plus facile à comprendre.
07:32 Quand vous réalisez un film historique
07:34 ou un bon film de science-fiction,
07:36 vous parlez du présent, mais d'une manière métaphorique.
07:39 Ne croisez pas le Rubicon.
07:43 Pas de Rubicon.
08:11 Il y a un mot en coréen,
08:13 "Inyeon".
08:15 Ça signifie "providence"
08:18 ou "faith".
08:19 Je me suis retrouvée dans un restaurant
08:21 en compagnie de mon amour d'enfance de Corée
08:23 qui me rendait visite,
08:24 et mon mari avec qui je vis à New York.
08:26 Il s'agit de la scène d'ouverture du film
08:28 et de celle qui clôt le film.
08:30 Hyesung !
08:32 Wa, t'es là.
08:38 Je me suis sentie tirée entre ces deux hommes.
08:41 Chacun d'eux voulait prendre soin de moi à leur manière.
08:44 Mais tous deux avaient une approche différente
08:46 et leur connaissance de ma personnalité
08:48 différait selon leur point de vue.
08:50 J'aime.
08:53 Quoi ?
08:55 Juste...
08:57 parler avec toi.
09:00 Une partie de moi restait un mystère pour chacun d'eux,
09:05 et j'ai pris conscience que quelque chose de spécial
09:07 se déroulait entre nous trois.
09:09 Et c'est à ce moment-là que je me suis dit
09:11 peut-être que je tiens un sujet
09:13 et que je devrais raconter cette histoire.
09:15 Il y a trois au revoir dans le film
09:23 pour compenser les adieux de l'enfance
09:25 qui n'étaient pas aboutis.
09:26 Pourquoi as-tu trouvé moi ?
09:28 J'ai voulu te voir une fois.
09:30 Le premier au revoir remonte à leur enfance,
09:34 et le deuxième s'est déroulé à une époque
09:37 où ils n'étaient pas assez mûrs
09:39 pour pouvoir se dire correctement au revoir.
09:41 Le au revoir final arrive à point nommé,
09:44 et tout le film tend vers ce moment,
09:47 afin de dire au revoir à cette part de vous-même
09:49 que vous laissez derrière vous.
09:51 Sergent-Major S. Maier de David Wagner
10:02 est inspiré d'une histoire vraie,
10:04 celle d'un instructeur dans une école d'officier en Autriche.
10:06 Il est réputé pour son autoritarisme et sa rigidité,
10:09 mais la confrontation avec une nouvelle recrue forte tête
10:12 va faire vaciller ses convictions.
10:14 En tant que type de tueur, je ne suis plus capable de faire du service.
10:18 Ceux qui se battent contre les règles n'ont rien à craindre.
10:21 Le lieutenant-recrute Fallak m'appelle, mon nom est Fallak.
10:25 J'ai appelé un jour S. Maier pour me présenter.
10:31 La première chose qu'il m'a demandé, c'est dans quelle arme avez-vous servi ?
10:34 J'ai répondu, désolé, mais je n'ai pas du tout fait l'armée.
10:37 Ça a été difficile pour lui d'entendre ça,
10:40 parce que c'est une légende de l'armée autrichienne.
10:45 Une légende dans l'école de formation des officiers.
10:50 Apprendre qu'il serait joué par un type
10:54 qui n'avait aucune formation militaire,
10:56 qui avait fait un service civil.
10:59 Ils veulent me faire du service.
11:01 Oui, le lieutenant-recrute.
11:03 Pourquoi ?
11:04 Parce que je suis en touche ou parce que je suis gay ?
11:06 Il y a eu un long silence au téléphone,
11:09 après que je lui ai répondu.
11:11 Puis il m'a dit, plutôt te tuer.
11:13 C'était notre premier contact.
11:15 Tu peux le faire, viens maintenant.
11:23 Prince of Hallak !
11:26 Nous avons ensuite été invités chez Eismayer,
11:29 qui a une maison en Hongrie.
11:31 Gerhard et moi, ainsi que David, le réalisateur,
11:34 avons fait cette visite où nous avons parlé du script,
11:37 ce qui a été très profitable pour comprendre
11:39 la dynamique entre les protagonistes
11:41 et comment ils fonctionnaient ensemble.
11:43 La vie ne fonctionne pas comme je l'imaginais.
11:46 Tu ne veux pas voir ça ou tu es trop stupide pour voir ça ?
11:49 Quand tu es trop stupide, tu es trop stupide.
11:51 À l'affiche de rue des Dames,
11:59 Garence Marillier incarne une employée
12:01 dans un salon de manucure dans le 18ème à Paris.
12:03 Elle apprend qu'elle est enceinte
12:05 et doit trouver d'urgence un nouvel appartement,
12:07 alors que son copain, en liberté conditionnelle,
12:09 peine à joindre les deux bouts.
12:11 J'ai ma peine en split par mois.
12:13 S'il n'y a pas les soirées, j'ai 100 balles pour l'ouvre.
12:15 C'est grave ce que tu te permets de faire dans mon salon.
12:17 Pardon ?
12:19 Je veux 5 000 d'ici la fin du mois, en cash et sans accompte.
12:22 Je dirais que ça raconte le pari des invisibles.
12:25 Et le pari des gens qu'on croise,
12:31 mais qu'on ne rencontre pas, qu'on ne voit pas.
12:34 Et là, on rentre vraiment dans leurs histoires.
12:37 Et on les voit, on les écoute vraiment.
12:41 Putain !
12:42 C'est les flics ou la caisse ?
12:44 On a gros à perdre.
12:46 Il ne faut pas faire n'importe quoi.
12:48 Police, c'est le rapport classique de la nécessité.
12:54 Parce que d'habitude, dans les films, tu vois toujours des gens,
12:56 tu racontes des histoires,
12:58 et personne ne se pose la question de comment ils remplissent leur frigo.
13:00 Le mec a un appartement, ok, t'acceptes.
13:03 Et l'histoire se suit.
13:05 Eux, c'est des mecs qui se posent la question
13:07 de comment les gens bouffent, comment les gens s'en sortent.
13:10 Comment les petites gens, même si je n'aime pas beaucoup ce mot,
13:14 se démerdent, se débrouillent.
13:16 Comment ils agissent entre eux ?
13:18 Quel est leur rapport ?
13:21 Quelle est leur manière de s'en sortir ?
13:24 Comment les gens qui sont dans la démerde,
13:28 comment ils font pour vivre au quotidien ?
13:30 C'est toujours des plans bourbis,
13:32 mais en fait, moi, j'ai quelqu'un dans le ventre.
13:34 Je n'ai plus de taf, je crache à l'hôtel.
13:37 Dans une semaine, si je n'ai rien d'autre, je suis à la rue.
13:40 Les gens qui font du taf
13:44 Avec Wonka, Paul Keane nous propose de découvrir la jeunesse de Willy Wonka
13:49 avec le prequel de Charlie et la chocolaterie.
13:51 Timothée Chalamet incarne ce jeune inventeur
13:54 déterminé à changer le monde avec gourmandise.
13:57 Mesdames et Messieurs, salut à tous.
14:00 Je m'appelle Willy Wonka.
14:02 Je suis un magicien.
14:04 Préparez-vous à être étonné.
14:06 Tapeur.
14:07 Inventeur.
14:09 Je vous présente
14:10 Willy Wonka, le vrai et le vrai Wishiwashi Wonka Walker.
14:13 Ne me dites pas ça encore.
14:14 Et le chocolatier.
14:16 Le meilleur chocolatier du monde.
14:19 J'aime ce mélange de comédie et de personnages déjantés qui ont du cœur.
14:24 C'était beaucoup trop tentant pour ne pas résister.
14:28 Il est bon.
14:29 Trop bon.
14:30 Et tout le monde peut l'en supporter, même les pauvres.
14:35 Il n'aime pas quand les gens disent pauvre.
14:38 J'aime bien Paul, avec qui j'avais travaillé sur Pallington.
14:41 Il s'est éfié avec moi, parce que je ne suis pas très facile à gérer.
14:45 Donc c'était un plaisir de retravailler avec lui.
14:48 Vous devriez vous enlever.
14:50 Donnez-moi un, deux.
14:52 J'ai une idée.
14:54 Où commençons-nous ?
14:55 Au chocolat, bien sûr.
14:56 C'est un univers de rêve où, même s'il y a des personnages cyniques
15:02 et un attitude un peu négative des personnages au milieu de l'histoire,
15:06 dans le cœur de l'histoire, c'est vraiment d'être rêveur,
15:11 de ne pas accepter non comme réponse à tes rêves.
15:14 Dans Charlie et la chocolaterie, le personnage de Charlie est le cœur émotionnel du film.
15:31 Willy Wonka s'apparente à un sorcier.
15:33 Il n'apparaît qu'à la moitié du roman.
15:36 Dans Wonka, Timothée doit être drôle, charmant, excentrique.
15:46 Et il doit véhiculer l'émotion du film.
15:48 Et en toute honnêteté, il s'en sort brillamment.
15:52 Et tout de suite, le reste de l'actualité en bref et en images.
16:00 C'est pas sûr.
16:01 C'est un monstre.
16:02 Je sais que tu es là !
16:04 J'ai le courage !
16:06 J'ai le pouvoir !
16:08 Lena, peut-être que ton père a fait cette photo.
16:15 Bain fermée.
16:16 L'aventure, c'est comme le vélo.
16:23 Ça ne s'oublie jamais.
16:26 Mais on va où, là ?
16:27 Nous allons chercher la seule personne du royaume capable de vous aider à rentrer chez vous.
16:31 Tous les mots murmurés dans le creux des oreilles finissent ici, à la limite du monde.
16:36 Écoutez.
16:37 Tata ?
16:44 Je suis venu pour te chercher.
16:47 Tu sais, je suis venu pour te chercher.
16:52 Tu sais, je suis venu pour te chercher.
16:56 Je ne veux pas te chercher, Tata.
16:59 Je suis en plein brevet.
17:01 Et comment est-ce que tu te sens ?
17:04 Je ne veux pas te chercher.
17:32 Je ne peux pas croire que tu es là.
17:35 Je suis venue pour te chercher.
17:37 Je suis venu pour te chercher.
17:39 Je ne peux pas croire que tu es là.
17:41 Je suis venu pour te chercher.
17:43 Je suis venu pour te chercher.
17:45 Je suis venu pour te chercher.
17:47 Je suis venu pour te chercher.
17:49 Je suis venu pour te chercher.
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17:55 Je suis venu pour te chercher.
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18:05 Je suis venu pour te chercher.
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18:25 Je suis venu pour te chercher.
18:27 Je suis venu pour te chercher.
18:29 Je suis venu pour te chercher.
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18:33 Je suis venu pour te chercher.
18:35 Je suis venu pour te chercher.
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18:39 Je suis venu pour te chercher.
18:41 Je suis venu pour te chercher.
18:43 Je suis venu pour te chercher.
18:45 Je suis venu pour te chercher.
18:47 Je suis venu pour te chercher.
18:49 Je suis venu pour te chercher.
18:51 Je suis venu pour te chercher.
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18:55 Je suis venu pour te chercher.
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19:03 Je suis venu pour te chercher.
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