Quels films sortent au cinéma cette semaine ? La rédaction vous fait découvrir les films qui font l'actualité
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00:16 Bonjour à tous, c'est par ici les sorties, votre magazine d'actualité qui vous dit tout sur les films à l'affiche.
00:20 Comédie dramatique, drame, documentaire, thriller, comédie et science-fiction sont au programme cette semaine.
00:26 Avec tout d'abord, le petit blond de la Casbah d'Alexandre Arcadi.
00:30 Nous irons à Marseille pour y retrouver Robert Guidi-Guirand avec "Et la fête continue".
00:35 Nous découvrirons le premier film de Médifique-Ri avant que les flammes ne s'éteignent.
00:39 Premier film également pour Stéphane Castan, "Vincent doit mourir".
00:42 Molly Manning-Walker viendra nous parler de son premier film, "How to have sex".
00:46 Nous retrouverons Kev Adams à l'affiche de "Comme par magie".
00:50 Et la science-fiction sera à l'honneur avec "Hunger Games", "La balade du serpent" et "De l'oiseau chanteur".
00:56 Avant d'explorer plus en détail les sorties de la semaine,
00:59 nous vous proposons de découvrir le classement des films en salles
01:02 établi par les étoiles des spectateurs sur le site Allociné.
01:07 En troisième position, la passion de Daudin Bouffant obtient 3,5/5.
01:12 Juste au-dessus, avec 3,8/5, on retrouve "Simple comme Sylvain".
01:19 Et cette semaine se place en première position, "L'abbé Pierre, une vie de combat" qui obtient 4/5.
01:27 Allez, retour aux sorties de la semaine.
01:29 "Le petit blond de la casbah" d'Alexandre Arcadi est l'adaptation du livre éponine du cinéaste
01:35 qui retrace son enfance en Algérie.
01:36 Entre rire et larmes, le film dresse une galerie de portraits haut en couleur.
01:41 - On était vraiment une drôle de tribu.
01:47 Mon père avec son crâne rasé.
01:49 - T'es capot, mon jacquard.
01:50 - Pas de bons enfants.
01:51 - Ma mère, c'était la plus belle.
01:53 - Il faut dire que c'est quand même assez vertigineux.
01:56 Mais ça, c'est un privilège absolument extraordinaire qui est donné aux cinéastes
02:01 et de pouvoir refaire, refabriquer ce qui n'existe plus.
02:06 - Mes frères, toujours habillés pareil.
02:08 Et mes copains.
02:09 - Rosalie, c'est le meilleur pour les créponnés.
02:11 - On était pauvres, mais on s'en rendait pas compte.
02:13 - Je ne vous cache pas que quand j'ai vu les 4 gamins qui jouaient,
02:16 mes frères et moi, habillés pareil à Paris pendant les essayages de costumes,
02:21 j'ai dû me réfugier derrière un portant pour me laisser aller à une émotion qui était...
02:27 - J'ai découvert le cinéma.
02:30 Mais la guerre allait tout bouleverser.
02:35 - C'est comme ça, le cinéma. C'est comme la vie.
02:37 Je crois que j'aime mieux le cinéma que la vie.
02:39 - Dans le film, j'ai 13 ans, mais dans la réalité, j'en avais 8.
02:42 Quand j'ai découvert Jeux interdits, et ça a été une révélation inimaginable.
02:49 - Ici aussi, c'est la France, monsieur.
02:50 - La France ? Avec les femmes voilées dans la rue, les mosquées ?
02:53 - On est comme ça ici, on s'entend bien.
02:55 - En faisant ce film, je voulais comprendre d'où je venais, qui j'étais vraiment.
03:00 - Ça a été un plaisir que je voulais faire à ceux qui ont connu,
03:05 à ceux à qui on a raconté, et puis à ceux qui ne connaissent pas du tout.
03:10 - Tu veux faire du cinéma ?
03:11 - Ouais.
03:12 - Des fois, il dit n'importe quoi.
03:13 - C'est pas n'importe quoi.
03:14 - Alors peut-être tu vas faire un film sur nous un jour ?
03:16 - Oui, un jour.
03:17 L'amour et la politique sont au cœur de Et la fête continue de Robert Yedidian.
03:25 Ariane Ascaride incarne une femme qui a dédié sa vie à la politique.
03:29 Elle est en bonne place pour incarner l'union de la gauche à la veille d'une échéance électorale,
03:33 jusqu'au jour où elle tombe amoureuse.
03:36 - Il faut affirmer sans cesse que rien n'est fini, que tout commence.
03:43 - C'est une femme mature, qui a des charges mentales,
03:46 c'est-à-dire qu'elle a des enfants, qu'elle a des petits-enfants, qu'elle travaille,
03:49 et qu'en même temps, elle se préoccupe de la cité,
03:52 c'est-à-dire de ce qui se passe dans la ville où elle habite.
03:55 - Je suis tarée.
03:56 - Ben quoi ?
03:57 - J'ai fait l'amour.
03:58 - Et tu trouves ça drôle ?
04:00 - Je sais pas, ça t'a plu ?
04:01 - Ben oui, ça m'a plu.
04:02 - Elle n'en est pas à imaginer qu'elle peut tomber amoureuse.
04:05 Donc ça lui tombe un peu sur la tête, c'est une cerise sur le gâteau.
04:10 - Prenez des rougets, qui contiennent toute la Méditerranée.
04:13 - Comme vous.
04:14 - Le titre précédé l'écriture du film. C'est une injonction.
04:17 - Avec la situation tragique des logements, des écoles, le fruit est mûr.
04:21 - Ce serait atroce de perdre, parce qu'on n'est pas arrivé à se mettre d'accord sur la tête de liste.
04:25 - Elle s'est dit "Je vais regarder ce qui se passe autour de moi,
04:28 sur les manières qu'ont les jeunes de s'engager,
04:32 mais surtout pour leur dire "Allez-y, engagez-vous".
04:34 - On ne peut pas gagner quand on fait tout pour perdre.
04:38 - La fête continuera, d'ailleurs, que si vous faites tous à votre niveau,
04:44 sous la forme que vous choisissez, quelque chose pour faire société.
04:48 - Je suis celle qu'ils attendent tous, ce soir.
04:53 - Avant que les flammes ne s'éteignent, Demédie Ficry met en scène Camélia Jordana,
05:05 dont le jeune frère est mort lors d'une interpellation de police.
05:08 Elle se lance dans un combat judiciaire,
05:10 mais sa quête de vérité met en péril l'équilibre de sa famille.
05:14 - De violentes émeutes la nuit dernière dans la banlieue de Strasbourg,
05:18 après la mort d'un jeune homme.
05:19 - J'ai voulu faire un film, un récit d'initiation politique,
05:23 où l'intime et notamment l'action du drame familial
05:27 marchent main dans la main avec la question politique.
05:29 - La police est hors de cause. Il faut créer un mouvement.
05:32 - Vous voulez faire de la politique avec la mort de notre frère ?
05:35 - Avant que les flammes ne s'éteignent, c'est un drame familial,
05:37 mais avec des éléments de thriller politico-judiciaire.
05:40 - Il ne faut pas enterrer Karim, demain.
05:41 Une fois rendu à la famille, un corps ne peut plus faire l'objet d'un examen juridique.
05:44 - Oui, on parle de violence policière, mais on passe par l'intime.
05:47 Et on raconte comment cette violence policière
05:50 va être une déflagration totale au sein de cette famille.
05:53 - On ne va pas se laisser faire.
05:55 - Pour chacun des membres, pour chacune des relations
05:59 qui s'y croisent et qui s'y mêlent et qui s'y démêlent.
06:01 - Tu n'es vraiment la patronne de toi.
06:03 - C'était énorme, mais pour toutes les raisons du monde,
06:06 pour le sujet, pour le fait de vivre ma première expérience de cinéma,
06:09 sachant que c'est mon rêve, que c'est ce que je veux faire dans ma vie.
06:14 - Au moment où les experts confirment les mensonges du parquet, on ne cèdera pas.
06:30 - "Little girl blue" de Mona Hachache revient sur la disparition de sa mère.
06:33 Après le décès de celle-ci, la cinéaste a découvert des milliers de photos,
06:37 de lettres et d'enregistrements, mais ses secrets résistent
06:40 à l'énigme de sa disparition.
06:42 Grâce à Marion Cotillard, Mona Hachache décide de ressusciter sa mère
06:46 pour rejouer sa vie et la comprendre.
06:48 - Au départ de ce film, qui est comme un fantasme impossible,
06:58 de faire revivre ma mère pour qu'elle m'explique son geste,
07:02 il y a un fantasme de vie impossible.
07:04 Ce désir, je l'ai vécu, j'ai ouvert ces caisses.
07:07 La matière était à la fois effrayante, les secrets qui en jaillissaient,
07:12 mais les milliers et les milliers de photos,
07:15 j'étais ensevelie par toute cette masse d'archives familiales
07:19 et à la fois j'y voyais quelque chose de beau.
07:22 Et il y avait la matière, la possibilité, l'envie de faire du beau avec ce lait.
07:29 - J'ai jamais vu ce projet, ce film et cette incarnation
07:40 avec ce poids, quelque part, de ressusciter quelqu'un.
07:43 Mais de lui redonner un moment de vie,
07:47 parce que c'est quelqu'un qui a souffert de ne pas être entendu
07:50 et de ne pas être regardé.
07:52 C'est se plonger à l'intérieur de quelqu'un
07:55 pour lui donner ce qu'elle n'a pas eu à l'époque
08:00 et ce qui l'a tué, en fait.
08:02 - C'est quand même un personnage incroyable, ma mère.
08:07 - À l'affiche de Vincent doit mourir, de Stéphane Castan,
08:17 Karim Leclou et Vincent,
08:19 comme agressé à plusieurs reprises et sans raison
08:21 par des gens qui tentent de le tuer.
08:23 Il n'a d'autre choix que de fuir et de changer son mode de vie.
08:27 - J'ai vu le scénario d'un névrosé,
08:35 ce qui m'intéressait, moi-même étant bien névrosé.
08:37 J'ai l'impression qu'il y a un délire autour de moi.
08:41 Je pense qu'on est tous et toutes bien névrosés
08:44 et qu'il convient justement de ne pas être aveugle là-dessus.
08:47 Et c'est pour ça que pour moi c'est important de rire de ces choses-là.
08:51 - Je pense que vous cherchez l'attention des gens qui vous agressent quelque part.
08:55 Vous n'êtes pas d'accord avec moi ?
08:59 - Il y a quelque chose de l'ordre de deux films qui se rencontrent.
09:02 - Tu t'appelles comment ?
09:05 - Vincent.
09:06 - Quand je tombe sur le personnage de Margot,
09:07 j'ai l'impression qu'elle aussi elle est dans son propre film.
09:09 C'est deux... Ouais, deux solitudes qui se rencontrent.
09:12 - Tu m'as agressé hier soir.
09:15 - Ce film-là, il raconte quelque chose comme ça,
09:17 où ils se recréent des mondes, un monde ensemble.
09:20 Ils se le fabriquent, ils se réinventent ensemble
09:23 pour lutter contre cette violence.
09:25 Et c'est là où ils tombent amoureux.
09:27 C'est un film extrêmement tendre pour que la violence soit encore plus violente
09:30 et que la tendresse soit encore plus tendre.
09:33 - Tu n'as pas l'impression, toi, des fois, que le monde entier est en rue ?
09:37 - Ah ouais, ça m'arrive, ouais.
09:39 - C'est pas un film qui est très tendre.
09:41 - Ah ouais, ça m'arrive, ouais.
09:43 - Pour moi, le film raconte aussi que c'est toujours miraculeux
09:46 de ne pas tous se taper dessus.
09:48 - Putain, mais t'es qui ?
09:52 - Tu crois qu'on va y arriver ?
09:54 - How to have sex, de Molly Manning Walker,
10:00 a obtenu le prix Un certain regard à Cannes cette année.
10:03 La cinéaste souhaitait mettre en lumière
10:05 la violence ritualisée de la sexualité adolescente,
10:08 ainsi que les relations intimes et solidaires des amitiés féminines.
10:12 - Il y a quelques années, j'ai repensé aux expériences
10:24 que j'avais vécues en vacances quand j'étais adolescente,
10:27 et l'idée du film m'est venue de là.
10:29 Quel a été l'impact de ces vacances sur ma perception du sexe ?
10:34 - Oh my God, you look insane !
10:37 - If you don't get laid on this holiday, then you never will.
10:40 - I can't die of anger !
10:42 - We did these mad workshops when we were in the film center.
10:46 - On a fait des ateliers de discussion pour préparer le film.
10:48 - And the kids...
10:49 - On parlait de consentement et de la perception des adolescents
10:52 sur le sexe en général.
10:54 - We're about to get you lost so fucking haughty !
10:57 - Ça a vraiment démontré que les mentalités
10:59 n'ont pas tant évolué que ça.
11:02 - C'est comme ça.
11:04 - Elle est avec toi, non ?
11:06 - Elle n'est pas avec toi ?
11:08 - Je n'aime pas ça.
11:10 - Lors de ces discussions, on leur a par exemple demandé
11:13 de réagir à certaines scènes problématiques,
11:16 et personne n'a su voir que c'était une agression.
11:19 - Qu'est-ce qui te prend ?
11:21 - Je suis juste fatiguée.
11:23 - Ne t'inquiète pas pour le moment.
11:27 On en parlera quand tu seras à la maison, d'accord ?
11:29 - Je pense que c'est un vrai problème de société.
11:32 Si nos amis, notre famille et le système éducatif
11:35 commençaient à parler sérieusement de ces sujets,
11:37 la situation serait bien meilleure.
11:39 - Laura !
11:40 - Qu'est-ce qui s'est passé ?
11:41 - La dernière nuit.
11:42 - Dis-le !
11:43 - Je pense que c'est vraiment important
11:46 que les jeunes hommes voient ce film,
11:48 parce que c'est avant tout par eux que le changement adviendra.
11:51 - Non, ce n'est pas...
11:54 - C'est pas possible !
11:57 [Musique]
12:04 - A l'affiche du 7e film de Christophe Baratier,
12:06 comme bar magie,
12:07 Kev Adams incarne un jeune magicien en pleine ascension
12:10 qui élève seule sa fille depuis le décès de sa femme.
12:14 Il est secondé par son beau-père et son ami d'enfance.
12:17 [Musique]
12:23 - Alors, elle propose une grande tournée en province.
12:25 - C'est quoi ton idée pour l'isot ?
12:26 - Est-ce qu'elle reste ici, avec son grand-père ?
12:28 [Musique]
12:30 - Je dirais que c'est un film qui dépeint des gens de la vraie vie,
12:33 et c'est des gens qui font de leur mieux.
12:34 - Qu'est-ce qui se passe ?
12:35 - Sa couche est encore débordée.
12:37 - Attention Jacques, là, c'est quoi ça ?
12:38 - Arrête, arrête ton nez.
12:39 [Cri de bébé]
12:41 - T'aimes pas le chocolat ?
12:42 - Non !
12:43 - On a bien eu ton papa !
12:44 - Ça parle de la monoparentalité,
12:46 ça parle de gens qui élèvent des enfants seuls,
12:48 qui n'ont pas forcément les clés.
12:49 - Si tu veux, je peux rester ici.
12:51 - Ouais, ça vient !
12:52 - On m'a cru de la petite.
12:53 - Wouah !
12:54 [Cri de bébé]
12:55 - Donc, ça parle forcément d'éducation, de transmission,
12:58 à tous les niveaux, d'un père à un fils,
13:00 d'un grand-père à une petite fille.
13:02 Et si je devais résumer ce film,
13:05 et si je devais lui donner un autre titre,
13:07 ce serait des gens qui font de leur mieux.
13:08 - T'as soif, t'as envie de faire caca, je sais pas.
13:10 - Je suis crevé, moi, en ce moment.
13:11 [Musique]
13:13 - Je suis pas prêt pour tout ça, de toute façon.
13:15 - Et je pense que c'est aussi comme ça qu'on pourrait résumer un peu
13:17 les parents de notre époque.
13:19 Je crois que c'est des gens qui font de leur mieux,
13:21 qui font comme ils peuvent, avec beaucoup d'amour,
13:23 beaucoup d'humour, et c'est...
13:25 On peut retrouver tout ça dans ce film.
13:27 - En tout cas, s'il choisit sur les critères physiques,
13:29 on a nos chances, parce qu'il est pas bien joli, celui-là.
13:32 [Bébé pleure]
13:34 - C'était occupé ?
13:36 - Oui.
13:37 - Non, je plaisantais !
13:39 Il est très mignon avec sa petite moustache.
13:41 [Bébé pleure]
13:42 - C'est une fille.
13:43 - Si on tend un peu les situations,
13:45 on voit des choses un peu graves, un peu dramatiques,
13:47 mais dès qu'il y a un rire, le rire est encore plus fort,
13:49 parce que le spectateur est content de s'accrocher
13:52 à cette bouée d'air pur et de liberté.
13:57 C'est à ça que...
13:59 C'est pour ça que le rire a été inventé.
14:01 Le rire n'existe que parce qu'il y a du drame et des larmes.
14:04 - Je suis pas à la hauteur.
14:06 Pas facile de se mettre à la hauteur d'une petite fille.
14:09 [Bébé pleure]
14:11 [Musique]
14:13 [Musique]
14:16 - "Hunger Games", la balade du serpent et de l'oiseau chanteur,
14:19 est le préquel de la saga portée par Jennifer Lawrence.
14:22 Mise en scène par Francis Lawrence,
14:24 qui était aux commandes de la première franchise,
14:26 le film se déroule 64 ans avant le premier volet
14:29 avec Katniss Everdeen
14:30 et raconte la jeunesse du terrible président Snow.
14:33 - Je vous ai tous invités
14:35 pour la cérémonie de la réparation annuelle du 10e.
14:37 Nous choisissons deux enfants de chaque district
14:40 pour se battre à la mort dans "Hunger Games".
14:42 - De la 12e, Lucy Gray Baird.
14:45 - Un monde dystopique vous donne la possibilité
14:48 d'explorer plusieurs thèmes et différentes histoires.
14:51 L'approche nouvelle de ce film vient du fait
14:53 qu'il s'agit d'une histoire qui traite des origines,
14:56 ce qui nous permet d'aborder des thématiques différentes
15:00 par rapport à la première saga "Hunger Games".
15:03 - Comme mentor, Mr. Snow,
15:05 votre rôle est de transformer ces enfants en spectacles,
15:09 pas en survivants.
15:11 - Qu'est-ce que mon mentor fait, en plus de me ramener des roses ?
15:14 - Je fais de mon mieux pour vous garder.
15:16 - Vous voulez vraiment me garder dans cet arène ?
15:19 - Commencez par penser que je peux gagner.
15:21 - Le ton de ce film diffère des autres films,
15:24 en partie parce qu'il s'agit d'une période plus rudimentaire.
15:28 Et de ce fait, l'arène est ancrée dans une réalité plus violente.
15:32 - Ce qui se passe là-dedans,
15:35 est accueilli par la peur de devenir des poissons.
15:38 - Voyez-vous comment rapidement nous devenons des poissons ?
15:42 Voyez-vous comment rapidement la civilisation disparaît ?
15:46 - Les corps des participants ne sont pas retirés de l'arène.
15:49 Dans les précédents films, les corps étaient récupérés,
15:52 donc les participants n'avaient pas conscience du nombre exact de victimes.
15:56 Même si le principe du jeu reste identique,
15:59 le traitement de ce film est plus brutal que les précédents films.
16:03 - C'est les choses que nous aimons le plus qui nous détruisent.
16:08 - Et tout de suite, le reste de l'actualité en bref et en images.
16:15 - C'est tout un territoire de rebelles.
16:20 Personne ne rentre. Ni l'armée, ni la police, ni nous.
16:23 - Qu'est-ce si c'était votre fille ?
16:26 - Dieu vous dit ce qu'il faut faire.
16:31 - Vous ne pouvez pas hésiter.
16:35 - Je me dis toujours qu'un tableau n'est pas fait pour faire joli,
16:39 mais c'est une question de vie ou de mort, tout simplement.
16:42 - Ah, ça c'est beau.
16:45 - Avec la peinture, j'ai cru qu'on pouvait saisir quelque chose
16:49 de cette beauté qui autrement nous échappe.
16:53 - C'est un peu comme un film.
17:00 - C'est un peu comme un film.
17:03 - C'est un peu comme un film.
17:06 - C'est un peu comme un film.
17:09 - C'est un peu comme un film.
17:12 - C'est un peu comme un film.
17:15 - C'est un peu comme un film.
17:18 - C'est un peu comme un film.
17:21 - C'est un peu comme un film.
17:24 - C'est un peu comme un film.
17:27 - C'est un peu comme un film.
17:31 - Par les créateurs de Wallace et Gromit et Chicken Run,
17:34 le plus célèbre des moutons revient au cinéma.
17:37 Ce Noël, partez pour une grande aventure enneigée.
17:49 L'incroyable Noël de Shaun le Mouton.
17:59 - Quand je pense à tout ce qu'on peut mettre dans le vin,
18:02 avant c'était un des produits qui avait le moins de cochonneries
18:05 dans le vin puisqu'il est protégé naturellement par sa fermentation.
18:09 - Et c'est peut-être ça qui est le plus généreux pour eux,
18:18 c'est que ces gens se soient levés en dehors de toute structure.
18:21 - Et tu te dis, finalement j'ai des droits.
18:25 J'ai pas uniquement le droit de payer et de me taire.
18:29 - Mais c'est pas ça le plus généreux.
18:32 - C'est pas ça le plus généreux.
18:35 - C'est pas ça le plus généreux.
18:38 - C'est pas ça le plus généreux.
18:41 - C'est pas ça le plus généreux.
18:44 - C'est pas ça le plus généreux.
18:47 - C'est pas ça le plus généreux.
18:50 - C'est pas ça le plus généreux.
18:53 - C'est pas ça le plus généreux.
18:56 - C'est pas ça le plus généreux.
18:59 - C'est pas ça le plus généreux.
19:03 - Voilà par ici les sorties, c'est fini.
19:06 Rendez-vous la semaine prochaine et en attendant, n'oubliez pas d'aller au cinéma.
19:09 et au cinéma.
19:10 !