"C'est l'homme qui paye, je n'ai pas de moyen de paiement sur moi" : Sarah Saldmann fait polémique !

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Transcript
00:00 - Non mais c'est une honte. Et ça n'a rien à voir avec la générosité. Moi, quand j'invite une femme, je paye.
00:06 - C'est toujours moi qui paye avec toi. De quoi tu parles ?
00:08 - Vous m'avez jamais invitée.
00:10 - Mais t'es pas choqué, alors ?
00:12 - La question, c'est "êtes-vous choqué ?"
00:14 - Êtes-vous d'accord ? Écoutez Cyril, au moins. Il a dit "êtes-vous d'accord". Non.
00:16 - Vous avez la raison d'écouter Cyril.
00:18 - "Êtes-vous choqué ?"
00:20 - Non, il n'est pas choqué.
00:22 - "Êtes-vous choqué ?"
00:24 - Bien sûr que je suis choqué.
00:26 - Mais c'est une honte.
00:28 - L'égalité...
00:30 - Vous avez du mal à comprendre une question.
00:32 - L'égalité... J'ai même pas pu en placer une. L'égalité, l'indépendance des femmes.
00:40 - Vous qui travaillez, vous les réduisez à quoi ?
00:42 - À être invité par des hommes ?
00:44 - L'homme est un portefeuille et la femme subit ce que l'homme veut bien lui offrir.
00:48 - Gilles, vous avez les cheveux gras.
00:50 - Folle alliée ! Folle alliée !
00:52 - Chut, calme-toi.
00:54 - Vous avez les cheveux gras. Vous tirez la chasse d'eau tous les 15 jours.
00:56 - Alors oui, vous n'avez pas les moyens de m'inviter.
00:58 - Et toi, tu prends 2 bains par jour et tu vas couler la planète toute seule avec tes trucs délirants pendant 1h !
01:06 - Le matin, le midi, le soir, elle se fout dans l'enchant !
01:08 - Et Ismaïl, t'es un crasseux !
01:10 - Mais vous êtes un crasseux !
01:12 - Aucune femme voudrait être invitée par vous. Vous êtes un crasseux.
01:16 - Allez vous laver les cheveux.
01:18 - C'est violent, à mon coup !
01:20 - Laissez-les.
01:22 - Vous m'attendez pas à ça !
01:24 - Ah oui, là, c'est plus même débat.
01:26 - Je croyais que ça allait être un débat sympa !
01:28 - Tu paies, tu paies pas.
01:30 - Et là, ça part en crasse.
01:32 - Ça part en crasse.
01:34 - Cyril, il commence son propos en me disant "vous êtes folle".
01:36 - Oui, c'est vrai.
01:38 - C'est ça, votre défense ?
01:40 - Ces propos-là sont discrets.
01:42 - Et parle pas comme ça à Polska, c'est une amie.
01:44 (Rires)
01:46 (Applaudissements)
01:48 - Ces propos-là sont d'un sexisme incroyable.
01:50 - Et Gilles, c'est de la galanterie.
01:52 - Mais la galanterie, c'est volontaire.
01:54 La galanterie, c'est assumer.
01:56 La galanterie, c'est du partage.
01:58 Vous, là, vous assénez ça comme si toutes les femmes
02:00 devaient subir le portefeuille d'un homme.
02:02 - Mais c'est pas subir, ça fait plaisir.
02:04 - Si vous êtes pas indépendante, soyez tout folles.
02:06 - Je suis avocate, donc je pense qu'il y aura indépendance.
02:08 - On dirait que vous voulez que du buzz, même comment vous parlez.
02:10 - C'est vous qui me dites ça.
02:12 - Oui, oui, moi, je suis indépendante.
02:14 Quand je sors, je paye pour moi-même.
02:16 - Si je suis avec un homme dans un registre de séduction,
02:18 je ne paye pas.
02:20 - Vous êtes galanterie.
02:22 - Je suis peut-être un peu conservatrice, c'est vrai.
02:24 Moi, j'arrive pas à laisser un aller et habiller en jupe courte.
02:26 J'enchaîne pas les partenaires, c'est vrai.
02:28 Je parle pas du tout pour vous.
02:30 - Et alors, les femmes qui le font, elles ont le droit ?
02:32 C'est quoi ce jugement ? Vous êtes avocate, vous ?
02:34 - Moi, je suis conservatrice et j'estime qu'on ne doit pas
02:36 donner son corps, c'est pas le débat, mais on ne doit pas
02:38 donner son corps à tout le monde.
02:40 - C'est quoi le rapport ?
02:42 - Je vous dis juste les choses.
02:44 - Vous êtes hors sujet.
02:46 - Mais Sarah, la formulation, elle était dans la formulation.
02:48 Je trouve que ta formulation...
02:50 - Vous avez mis oui.
02:52 - Oui, parce que je ne suis pas d'accord.
02:54 Après, on se choque très vite maintenant, ici,
02:56 au XXIe siècle, on se choque pour tout.
02:58 Mais je ne suis pas d'accord avec tes propos.
03:00 Dans la mesure où ce que tu dis, c'est que je viens
03:02 carrément sans moyen de paiement.
03:04 Moi, je viens avec un moyen de paiement
03:06 et je suis flattée si l'homme me propose.
03:08 Après, s'il ne me le propose pas,
03:10 libre à moi ensuite de poursuivre ou non la relation avec l'homme.
03:12 Mais là, tu arrives en disant
03:14 c'est comme ça et pas autrement, sinon ce n'est pas un homme.
03:16 Et c'est ça qui est gênant.
03:18 - Moi, ça me gêne si l'homme ne paye pas.
03:20 Moi, je suis vraiment à l'ancienne, c'est-à-dire que l'homme
03:22 paye l'addition, ce qui n'empêche que tout ce que j'ai sur moi,
03:24 je l'ai payé, je ne demande pas à me faire entretenir,
03:26 il me porte ma valise, je m'ouvre la porte et il me sert mon verre d'eau.
03:28 C'est peut-être très conservateur, très vieux jeu,
03:30 mais je suis attachée à cette galantie.
03:32 - Il y a plein de gens qui disent que vous avez été méchante avec Gilles.
03:34 - Non, mais Gilles, je l'aime beaucoup en off.
03:36 Et vous le savez, Gilles.
03:38 - Quand on a des amis comme vous, on n'a pas besoin d'ennemis.
03:40 - Merci, ouais.
03:42 - Il me défonce, il me dit que je suis dégueulasse,
03:44 il me dit qu'il m'aime beaucoup.
03:46 - Il dit que je suis folle.
03:48 - Il dit que je suis folle.
03:50 - Non, mais c'est vrai, le pauvre, il n'est pas crasseux.
03:52 - Non, les cheveux sont propres.
03:54 - Valérie, je pense qu'en fait, il faut la prendre au millième degré.
03:56 Moi, personnellement, je te trouve drôle,
03:58 mais tout ce que tu dis,
04:00 à chaque fois, que ce soit sur ce sujet-là
04:02 ou plein d'autres sujets,
04:04 à chaque fois, je ne donne aucun crédit
04:06 parce que tout ce que tu dis, c'est uniquement, c'est vrai,
04:08 pour du buzz. Tu le sais, tu dois l'affirmer.
04:10 - Non, je ne paye pas l'addition.
04:12 - Oui, mais que tu dis que tu viens sans carte bleue,
04:14 à chaque fois, c'est pour de la provocation.
04:16 Et parfois, d'ailleurs, c'est sur des sujets qui sont très touchy.
04:18 Tu aimes provoquer parce que tu as envie qu'on parle de toi,
04:20 tu as envie de la lumière, et c'est ton seul moteur.
04:22 - Vous êtes tous un peu comme ça autour de ce plateau.
04:24 - Non, non, non, parce que souvent, on dit des choses
04:26 qu'on pense vraiment pour eux.
04:28 - On ne l'a jamais pris envers ensemble.
04:30 - Tu utilises toujours une façon de faire
04:32 que ça va choquer les gens parce que c'est ton style.
04:34 - Eh bien, je ne trouve ça pas choquant de vouloir,
04:36 quand j'arrive en date...
04:38 - Je parle de toi en règle générale.
04:40 - Eh bien, tous les sujets, je les ai pensés.
04:42 Je ne suis jamais arrivée ici sur ce plateau en disant non, je retire.
04:44 - Jean-Michel Maire.
04:46 - Moi, ça ne me choque pas du tout. Je suis désolé, Gilles,
04:48 mais on peut très bien respecter les femmes
04:50 et être pour l'égalité hommes-femmes,
04:52 tout en gardant un côté un peu vieux jeu,
04:54 ouvrir la porte de la voiture aux femmes,
04:56 leur offrir des fleurs, payer au restaurant
04:58 et ne pas être choqué quand elles se maquillent.
05:00 - Moi, c'est un truc qui me...
05:02 Je suis un peu de l'ancienne génération,
05:04 mais je suis comme ça.
05:06 - Allez, vous pleuz.
05:08 (applaudissements)
05:10 - C'est pas délicat.
05:12 - Et quand une femme veut participer,
05:14 j'insiste pour que non, elle garde...
05:16 - Raymond, t'es choqué, toi.
05:18 - Je suis choqué parce qu'il y a tout un côté...
05:20 Avec Sarah, il y a tout un côté princesse.
05:22 Il faut qu'il me tienne la porte, il faut qu'il porte ma valise,
05:24 il faut qu'il me ramène chez moi avec la voiture,
05:26 il faut qu'il paye le restaurant, il faut ceci, il faut cela.
05:28 Donc c'est très choquant.
05:30 - Elle me décrit.
05:32 - Oui, oui, mais peut-être que toi, tu peux le faire.
05:34 Mais il y en a d'autres qui peuvent pas le faire comme ça,
05:36 porter les valises, aller te chercher, aller te ramener.
05:38 - Porter les valises, tout le monde peut le faire.
05:40 - Non, mais il y en a qui peuvent pas tous le faire.
05:42 On n'a pas envie d'être assez gassé.
05:44 Et le pire, c'est qu'elle te dit "J'ai pas de moyens de paiement,
05:46 j'ai pas de carte bleue."
05:48 - Non, non, Cyril, Cyril...
05:50 - Carte bleue, on sort tous avec notre argent.
05:52 - Cyril, j'ai vraiment quelque chose à dire de façon officielle.
05:54 Raymond, t'aurais dû te taire.
05:56 - Attends, attends, attends.
05:58 - Vraiment, t'aurais dû te taire.
06:00 Ça fait 6 mois que tu me dis "Sara, c'est quand qu'on va dîner?"
06:02 - Hé, ho, hé, ho!
06:04 (rires)
06:06 (acclamations)
06:08 - J'en veux plus de cette carte!
06:10 J'en veux plus de cette carte!
06:12 J'en veux plus de cette carte!
06:14 - C'est Rido.
06:16 - Rido, c'est Rido.
06:18 - Vas-y, vas-y, mars toi!
06:20 Finis, viens après.
06:22 - Non, non, et quand tu donnes une date...
06:24 - Non, non, t'as pas les reins pour payer mon verre
06:26 à 12 euros au Ritz. C'est ça, la réalité.
06:28 - Je ne passe pas 12 euros, on ne passe pas.
06:30 - Non, non, mais ça fait 6 mois...
06:32 - J'aimerais que vous arrêtiez de petit-chose.
06:34 Vous avez dîné ensemble, vous avez pris un verre ou pas?
06:36 - Non, pire, il donne une date, la veille,
06:38 il trouve un mytho, mais pas un mytho, genre...
06:40 Le mensonge qui sent la défaite et la louse.
06:42 - De quoi?
06:44 - Attends, attendez, les gars, là, les gars, attendez,
06:46 parce que là, attends, attends...
06:48 (rires)
06:50 - Attends, parce que là...
06:52 - Attends, on va tout reprendre depuis le début.
06:54 On arrête tout, on casse le débat, s'il vous plaît.
06:56 Lise dans un 55, je vous l'écoute direct.
06:58 On reprend tout depuis le début.
07:00 (rires)
07:02 - Vas-y, raconte-moi. - 6 mois.
07:04 - Alors raconte-moi depuis le début.
07:06 - Déjà, c'est toujours Raymond qui m'écrit.
07:08 - Comment vous êtes écrite? - "Transpire Raymond".
07:10 - C'est Christian Lacryme. - Oui, oui, oui.
07:12 - Non, mais Cyril, tu veux t'asseoir près de moi, Géraldine?
07:14 - Non, non, je vais prendre des Kinex pour Raymond.
07:16 - Non, non, mais tais-toi, tais-toi, s'il te plaît.
07:18 - J'explique, on s'est... Un jour, on avait demandé
07:20 quel était son mec préféré, elle avait dit "c'est Raymond".
07:22 - Oui, mais il a bien compris.
07:24 - Alors raconte-moi. - Raconte-moi.
07:26 - J'étais chez Jordan Deluxe, on me demande mon chroniqueur préféré.
07:29 Je dis d'abord "soi", mais on me dit "il n'est pas chroniqueur".
07:31 Je dis "bon, alors Raymond".
07:33 Eh bien, Raymond m'envoie un texto.
07:35 - Oh! - Ah oui! - C'est pas vrai?
07:37 - S'il te plaît, laisse sa version.
07:39 Laisse sa version, laisse sa version.
07:41 - Vas-y, vas-y, vas-y. Alors oui.
07:43 - Il me dit "on se voit bientôt". - Mais moi, j'ai dit ça.
07:45 - Oui, t'as dit ça. - Tu veux que...
07:47 - Parce qu'il y a l'année? - Tu veux que je vous montre
07:49 mon téléphone? - Ecoute, on se voit bientôt.
07:51 - Non, non, mais on n'est pas là pour faire voir les choses.
07:53 (rires)
07:55 (applaudissements)
07:57 - On n'est pas là pour...
07:59 - Tout le monde commence à regarder le téléphone de tous les jours.
08:01 - Ça a même commencé dès juin. Donc ça, là, on est en juin.
08:03 - D'accord. - Juillet, pendant les vacances.
08:05 - On est dans 2023. - Tu veux que je sorte?
08:07 - C'est étonnant. Non, mais on se jette dans la confiance.
08:09 - T'as changé de voix. - Non, non, mais...
08:11 - En juillet, Ramon m'appelle.
08:13 Il me dit "ouais, je suis dans le sud,
08:15 si tu veux qu'on se voit". - Mais non.
08:17 (rires)
08:19 - Je t'ai pas appelée pour ça. - Chut.
08:21 - Ah oui, c'est vrai, il y avait un autre truc, mais à la fin...
08:23 - Non, non, je t'ai pas appelée pour un pote qui divorçait
08:25 et qui cherchait un avocat. - Ça, je dirais rien là-dessus.
08:27 C'est très professionnel. - Mais je t'ai quand même appelée
08:29 pour un truc. - Je te donne la phrase de conclusion.
08:31 "Si tu veux nous rejoindre..."
08:33 - C'est quoi, la phrase de conclusion?
08:35 (rires)
08:37 - Je veux pas me parler de ça. - On va s'arrêter là, je crois.
08:39 - Non, mais moi, je suis pas... - Non, il est pas...
08:41 - Non, il est pas. - Moi, je suis tranquille.
08:43 - Ensuite, septembre. Alors, septembre, là, tu brasses
08:45 de l'air en septembre. - Non, mais c'est...
08:47 - Non, mais là, c'est extraordinaire.
08:49 S'il vous plaît, calme-toi. Après, tu donneras ta réplique à toi.
08:51 - Je suis un homme courant, hein.
08:53 (rires)
08:55 Moi, je suis une main courante, de temps en temps.
08:57 - Le truc, c'est que j'ai des preuves, donc c'est même pas de la diffamation.
08:59 - Alors, vas-y. - Septembre,
09:01 est-ce qu'on peut se voir la semaine prochaine?
09:03 - Ça me manque? - Toi, oui. - Oui, oui. - C'est pas toi?
09:05 - Tu veux que... - Non, mais arrête avec ton téléphone, là.
09:07 (rires)
09:09 - Septembre, on a une date.
09:11 - Vous allez rire. - Un soir, une date,
09:13 pas de lieu. - T'es célibataire, toi?
09:15 - Au moment du truc, je le suis pas.
09:17 - Ah! - D'accord. - Ça veut dire que maintenant...
09:19 - Et ça l'empêche pas, ça le freine pas. - Plus vraiment.
09:21 - Mais lui non plus, il est pas célibataire et il me dit pas qu'il est...
09:23 Il me dit qu'il a quelqu'un. - C'est pas mal, hein.
09:25 - C'est pas mal, ouais. - Ah, ça va. - Amicalement, il est clean.
09:27 - Non, non, mais il a eu peur. - T'es connerie, toi, je suis clean.
09:29 - Il est clean et ensuite, la veille, il me trouve...
09:31 - Tu te défends, quoi?
09:33 - C'est pas toi, c'est à lui que je dirais que t'es connerie.
09:35 - Non, non, il a été très correct. Il m'a dit qu'il avait quelqu'un.
09:37 - Vous détaillez. - Et ensuite, il me laisse en remis,
09:39 peut-être, je sais pas, bien 8 heures,
09:41 et revient avec une excuse, mais bidon,
09:43 c'est-à-dire l'excuse, elle est... Là, tu...
09:45 Je vais rire. Tu veux vraiment que je le dise?
09:47 - Comme ça, je vais dire... - Tu veux vraiment que je le dise?
09:49 - Non, non, mais il me dit, dis-le.
09:51 - Non, non, dis-le pas. - Vas-y, va-t'en.
09:53 - C'est l'événement que t'avais.
09:55 - C'est quoi, l'excuse?
09:57 - Dans votre oreille, d'abord. - Non, non, dis-le.
09:59 - Non, non, on se dit tout ici. - Vas-y, dis-le, je m'en fous.
10:01 - Il me dit, avec un smiley, quand même,
10:03 je m'en souviens, je n'ai rien d'avant de venir.
10:05 - C'est quoi, l'histoire? - Un gala dans le 12e.
10:07 Est-ce que tu veux venir avec moi à un gala dans le 12e?
10:09 - Moi? Je fais pas de gala, moi.
10:11 (rires)
10:13 - Il est charmé, lui.
10:15 - Donc là, je me dis... - Il est d'adjou, lui, maintenant.
10:17 - Et c'est là où j'en viens aux propos terminologiques.
10:19 Peut-être que tu ne voulais pas payer.
10:21 - Laissez-la tranquille, si elle veut se faire inviter par un homme
10:23 qui se reprend belle, laissez-la tranquille.
10:25 - Et j'en viens aux propos terminologiques.
10:27 - Vous l'avez jamais vu? - Bah non, peut-être qu'il ne voulait pas payer,
10:29 d'où l'invitation au gala. - Mais après, il vous a relancé ou pas?
10:31 - Non. - Et il a conclu comment, le...
10:33 - Il m'a lâchée une vue.
10:35 - Ah ouais?
10:37 (rires)
10:39 - Mais il la ramène moins, là.
10:41 - Je ne suis pas tout seul, moi.
10:43 - C'est d'un côté une chape de plomb sur ce plateau.
10:45 - On t'écoute, Raymond.
10:47 - On t'écoute, Raymond.
10:49 - En vrai, alors...
10:51 - En vrai, en vrai.
10:53 - C'est vrai qu'on s'est parlé en texto,
10:55 c'est vrai qu'on a dit qu'on irait boire un verre, j'ai même dit, si tu veux,
10:57 on va dîner, en vrai. Le déclencheur,
10:59 c'est un ami qui divorce, ça, c'est pas des conneries.
11:01 - C'est Jordane Deluxe, le déclencheur, dans l'émission.
11:03 - Hein?
11:05 - Oui, c'est parce qu'elle a dit qu'elle t'aimait bien.
11:07 - Non, parce que c'est après mon amie qui a divorcé.
11:09 - Non, non, non.
11:11 - C'est la première fois qu'il prend contact avec elle.
11:13 - C'est Jordane Deluxe, admettons que c'est Jordane Deluxe.
11:15 - Deluxe!
11:17 (Rires)
11:19 - Deluxe!
11:21 (Rires)
11:23 - C'est la pisse!
11:25 - Il m'a dit l'autre jour, j'imagine.
11:27 - Non, non, mais, sérieux, je suis atterré.
11:29 - Ah oui.
11:31 - Vous ne saviez pas? Vous savez tout de votre amie.
11:33 - Alors, je vous jure que je ne savais pas. Non, il ne m'a pas dit ça.
11:35 - Vous tombez de haut, là.
11:37 - Non, mais ce n'est pas de haut, c'est incroyable.
11:39 - Et vous, Géraldine, vous le saviez?
11:41 - Personne ne le savait.
11:43 - On ne l'a dit à personne.
11:45 - Mais il n'aurait pas commencé à faire l'offusqué
11:47 comme son confrère Gilles Verdet, je n'aurais rien dit.
11:49 - D'accord. Vous avez d'autres dossiers sur d'autres personnages?
11:51 - Oui.
11:53 - Non.
11:55 - Quoi?
11:57 - Vous vous tremblez tous.
11:59 - Non.
12:01 - Non, Montiel, en soirée, très correct.
12:03 - Et Valérie, on s'est croisé.
12:05 - Et Balaingoria?
12:07 - Oui, rien de très correct.
12:09 - C'est moi qui animais la soirée.
12:11 - Et Balaingoria?
12:13 - Je vais faire un bilan des chroniqueurs.
12:15 - Il n'y a que Raymond.
12:17 - Valérie, j'adore.
12:19 - Mais je n'ai rien fait, les gars.
12:21 - Ne l'agrave pas ton corps.
12:23 - A la fin, il n'a rien fait.
12:25 - Il n'y a rien du tout.
12:27 - Et quand tu dis, oui, allez dîner,
12:29 ben, nous l'oublions pas, pendant six mois,
12:31 on va beaucoup brasser de l'air.
12:33 - Oui.
12:35 - Après, il travaille beaucoup.
12:37 - On devait se voir pour prendre un verre.
12:39 - Après, tu peux venir avec ton camion de livraison
12:41 quand tu es proche de Tour Eiffel,
12:43 et on mangera un kebab dans ton camion.
12:45 - Il y a une complicité, il y a quelque chose
12:47 qui se passe quand même.
12:49 - Tu es célibataire en plus, maintenant?
12:51 - C'est compliqué.
12:53 - En fin de course.
12:55 - À cause de Raymond?
12:57 - Non.
12:59 - Tu es célibataire?
13:01 - Oui.
13:03 - Même dîner, je lui ai même dit.
13:05 - Même un week-end?
13:07 - Non.
13:09 - C'est à quelle fin?
13:11 - Amicalement.
13:13 - Vraiment?
13:15 - Vraiment amicalement.
13:17 - Voir plus, il y a finité.
13:19 - Non.
13:21 - Je l'étais pas.
13:23 - Tu peux aller dîner et partir.
13:25 - J'offre les fleurs.
13:27 - Il n'y aurait rien eu?
13:29 - Non.
13:31 - On peut aller dîner avec quelqu'un
13:33 sans arrêt de pensée?
13:35 - Oui.
13:37 - Qu'est-ce que vous lui trouvez
13:39 comme charme?
13:41 - C'est parce que je ne vous ai pas désigné?
13:43 - Non, au contraire, ça m'intéresse.
13:45 - Ce que Jordan Lux m'avait demandé,
13:47 c'était quel chroniqueur vous préférez.
13:49 J'avais répondu Raymond Habou.
13:51 Il m'avait dit pourquoi
13:53 j'avais mis la virilité en premier.
13:55 - Voilà.
13:57 - Elle a lâché en deux.
13:59 - T'as arrêté les films dans ton émission?
14:01 - Complètement.
14:03 - Raymond, c'est parce que t'avais entendu ça
14:05 que tu l'as contacté?
14:07 - Tu es sur le banc des accusés.
14:09 - Je ne crois pas.
14:11 - Il y a une co-committance
14:13 qui est assez importante.
14:15 - Vous deviez dîner avec quelqu'un
14:17 qui serait Raymond?
14:19 - Maintenant, je vais peut-être changer d'avis.
14:21 - La virilité en trois,
14:23 c'est un peu compliqué.
14:25 - Je suis persuadé que si vous aviez été célibataire
14:27 tous les deux, j'aurais peur.
14:29 - Il y a une complicité.
14:31 - Je ne pense pas parce que je suis trop princesse.
14:33 - Pour moi, c'est trop princesse.
14:35 - Trop princesse.
14:37 - Ça va beaucoup trop vite.
14:39 - Je vous aurais bien vu ensemble.
14:41 - Les opposés parfois...
14:43 - Sur les films sur M6,
14:45 la princesse et le routier.
14:47 - Tu as vu "La princesse et le routier"?
14:49 - Sur M6, c'est toujours le cas.
14:51 - Je pense être un peu trop princesse.
14:53 - Le soda à 12 balles, je ne passe pas.
14:55 - Très bien.
14:57 - Le soda à 12 balles?
14:59 - Non, je ne passe pas.
15:01 - Ils cherchent.
15:03 - Je te propose un kebab
15:05 à la tour Eiffel.
15:07 - Il n'y a pas de kebab à la tour Eiffel.
15:09 - Une princesse n'aime pas les kebabs.
15:11 - Non, justement, je n'en ai jamais mangé.
15:13 - Prenez un verre tous les deux.
15:15 - Bravo.
15:17 - Il n'y a pas de verre de guerre.
15:19 - Tu sais ce que je vais faire?
15:21 Je pense que je vais inviter Gilles
15:23 et c'est moi qui vais payer.
15:25 - Ah non, non.
15:27 - Il est vexé.
15:29 - Je ne suis pas du tout vexé.
15:31 - Avec plaisir, mais c'est moi qui invite.
15:33 - Il est mignon.
15:35 - Bravo, Gilles.
15:37 - Vous allez vraiment le faire
15:39 ou vous faites comme Raymond?
15:41 - Je vais réfléchir.
15:43 - Excusez-moi.
15:45 - Sarah...
15:47 - Je vais me faire un petit déjeuner
15:49 avec tous les chroniqueurs.
15:51 - Il y a Hugo aussi.
15:53 - Alors?
15:55 - Non?
15:57 - J'ai des critères un peu...
15:59 - J'en ai peut-être.
16:01 - Il y en a un, je ne peux pas le dire à l'antenne.
16:03 - C'est quoi, la virilité?
16:05 - Non.
16:07 - Vas-y, tu as compris.
16:09 - De quoi?
16:11 - Après, il y a un critère d'âge.
16:13 Moi, c'est plutôt 50.
16:15 - C'est pas grave.
16:17 - Je suis plutôt plus âgée.
16:19 Même milieu social.
16:21 - Je viens avec Laurent, si tu veux.
16:23 On va te présenter Laurent Huguet.
16:25 - Et quelqu'un qui est un travail.
16:27 - Tu as bien quelqu'un qui est un travail?
16:29 - Oui.
16:31 - Jacques Cardose, un peu.
16:33 - Mais j'ai un travail.
16:35 - Jacques Cardose, on est sur du Jacques Cardose, les gars.
16:37 On est plus sur du Jacques Cardose
16:39 que du Raymond.
16:41 - Et pas marié, évidemment.
16:43 - Il est marié.
16:45 - Jacques Cardose, ça pourrait.
16:47 - Mais il est marié.
16:49 - Je ne suis pas marié.
16:51 - Et Jean-Mi, il n'est pas marié non plus.
16:53 - Si, je t'emmerde.
16:55 - Je t'emmerde.
16:57 - C'est quand, ces deux-là?
16:59 - Il n'est pas marié.
17:01 - Ma question, c'est pas la même.
17:03 - La fréquence est exceptionnelle.
17:05 - Je pensais que vous étiez tous au courant.
17:07 - De quoi?
17:09 - Visiblement, un homme que je ne connais pas.
17:11 - Raymond est un homme très secret.
17:13 - Les langues se délient.
17:15 - Si on était au courant de tous les SMS de Raymond,
17:17 le prochain complément d'enquête,
17:19 c'est que sur lui.
17:21 - Ce qui est étonnant, c'est que vous,
17:23 vous ne soyez pas au courant.
17:25 - Vous voulez que je vous dise la vérité?
17:27 Raymond, je ne passe pas beaucoup de temps avec lui.
17:29 Il est très secret. Je ne sais même pas où il en est.
17:31 Je vous le jure que c'est vrai.
17:33 Il ne me parle pas du tout de ça. Jamais.
17:35 - Par pudeur?
17:37 - Non, je ne sais pas. On ne parle pas de ça.
17:39 Je vous jure que c'est vrai.
17:41 Il ne me parle jamais de ces histoires.
17:43 - Il va falloir qu'il change de tenue.
17:45 - Je sens la chaleur.
17:47 - Je suis sûr que vous pouvez vivre
17:49 une belle histoire tous les deux.
17:51 Je serai là et je vous soutiendrai
17:53 tous les deux dans cette belle histoire.
17:55 (applaudissements)
17:57 - Bien sûr.
17:59 (applaudissements)
18:01 - Je n'ai pas voulu être désagréable avec vous.
18:03 - Vous n'allez pas remettre une pièce?
18:05 - Je vous présente mes excuses si j'étais désagréable.
18:07 - Merci, c'est mignon.
18:09 - Je les accepte.
18:11 (applaudissements)
18:13 - Tu sais que Gilles...
18:15 - Il est avec Fatou, non?
18:17 - Non, mais ça va se finir.
18:19 - Pour le divorce, je peux vous faire un prix?
18:21 - On ne s'est pas mariés.
18:23 - Ah, vous n'êtes pas mariés?
18:25 - Non.
18:27 - Gilles Verdaès, ça pourrait être ton style?
18:29 - Euh...
18:31 - Le travail?
18:33 - Tout ce que vous dites à l'antenne,
18:35 c'est quand même très compliqué.
18:37 - Il n'y a personne qui a grâce à vos yeux.
18:39 - C'est dur.
18:41 - D'un point de vue politique ou idéologique,
18:43 on est d'accord.
18:45 - Et Raymond?
18:47 (rires)
18:49 - Il n'y a plus du tout de pub dans cette émission.
18:51 (rires)
18:53 - Il dit qu'il n'y a plus de pub.
18:55 - Vous auriez pu faire une histoire avec lui?
18:57 - Oui, je crois.
18:59 - Le mode de vie, il aurait dit
19:01 qu'elle était trop princesse.
19:03 - C'est vrai ou c'est la vérité?
19:05 - Je ne sais pas.
19:07 - Je pense que le...
19:09 En tout cas, il y a un élan.
19:11 - Je m'adapte, moi. Je suis un caméléon.
19:13 (rires)
19:15 - Un caméléon!
19:17 - Ne croyez pas.
19:19 Je vais partout.
19:21 Pour mettre un costard, je vais mettre un costard.
19:23 - C'est extraordinaire ce qui se passe ce soir.
19:25 - Il va dire qu'elle est trop princesse.
19:27 Ce n'est pas possible.
19:29 Les week-ends à Monaco, c'est ingérable.
19:31 - Quand on aime quelqu'un, on s'en fout.
19:33 - Oui.
19:35 - Il a les clés des maisons de Cyril.
19:37 (rires)
19:39 - Et le yacht?
19:41 - Le yacht, c'est à 4.
19:43 - Arrêtez avec ça.
19:45 - Pas ça, le problème.
19:47 - En tout cas, vous avez été très d'arca.
19:49 - Très d'arca.
19:51 - On est là pour rigoler.
19:53 - Calmez-vous quand même.
19:55 (rires)
19:57 - Vous avez autre chose à rajouter?
19:59 - Si vous dites oui tout de suite.
20:01 - Oui, mais je ne vais rien dire à l'antenne.
20:03 - Vous le connaissez?
20:05 - Oui.
20:07 - Dis-le moi à l'oreille de Cyril.
20:09 - Non, ça va être encore pire.
20:11 Il va le répéter toujours.
20:13 - Je pense qu'on va s'arrêter là.
20:15 - Comédien, chanteur...
20:17 - Il est connu?
20:19 - Oui.
20:21 - On le connaît, nous?
20:23 - Dans quel domaine?
20:25 - Est-ce qu'il est déjà venu ici?
20:27 - Non.
20:29 - Comédien?
20:31 - Non.
20:33 - Chanteur?
20:35 - Avocat.
20:37 - C'est Jean Lassalle.
20:39 - Chanteur.
20:41 (rires)
20:43 (applaudissements)
20:45 - En réalité, il est vrai que j'ai
20:47 que 3 relations.
20:49 - Avec Raymond?
20:51 - Non, pas avec Raymond.
20:53 C'est vrai que c'était des personnalités publiques.
20:55 - Je ne peux pas officialiser tant que je ne suis pas sûre
20:57 d'avoir un mariage.
20:59 - Par contre, les gens connus ont un zizi avec une lunette de soleil.
21:01 - Qui?
21:03 - C'est que des mecs connus.
21:05 - En tout cas, forte notoriété.
21:07 - Il faut que la personne soit connue.
21:09 - Non, ce n'est pas obligatoire.
21:11 - Elle est incroyable, cette émission.
21:13 - C'est spécial.
21:15 - J'ai peur de rallumer mon téléphone en sortant.
21:17 Ma relation actuelle n'est pas totalement finie.
21:19 - Je peux vous confirmer qu'elle est finie.
21:21 - Oui.
21:23 - Tu es énervée par Sarah?
21:25 - Oui, je suis énervée par les propos.
21:27 - Tu t'es calmée?
21:29 - Elle n'est pas une princesse, c'est une mixto.
21:31 - Ouh là!
21:33 - On dirait une émission piège.
21:35 - Non, mais j'entends ce que vous dites.
21:37 Une mixto, c'est une femme qui va vers les hommes
21:39 pour demander quelque chose.
21:41 Ce sont les hommes qui viennent à moi.
21:43 S'ils ne viennent pas, je ne les démarche pas.
21:45 - Tu viens sans carte et tu as dit que si l'homme
21:47 ne vient pas, tu ne les demandes pas.
21:49 - Oui, mais je ne les demande pas.
21:51 - Tu viens sans carte et tu as dit que si l'homme
21:53 ne veille pas, tu vas démarcher d'autres hommes.
21:55 - Non, non, non.
21:57 Vous êtes dans la provoque et dans l'excès
21:59 pour avoir le dernier mot.
22:01 - Non, je m'exprime comme vous.
22:03 La liberté d'expression, vous-même, vous connaissez.
22:05 - Oui, j'ai fait des études.
22:07 - Ça, c'est petit, ça.
22:09 Le mépris de classe n'est jamais très classe.
22:11 - Laissez-les parler.
22:13 - Non, plus sérieusement, apaisons les choses.
22:15 Une mixto, ça veut dire que quand je vais au rendez-vous,
22:17 c'est que je suis intéressée.
22:19 Je ne suis pas intéressée.
22:21 Si le premier rendez-vous ne m'intéresse pas,
22:23 je mets un stop tout de suite.
22:25 Une mixto, ce serait enchaîner 15 restaurants
22:27 pour ensuite dire que je ne suis pas intéressée.
22:29 - Une mixto, c'est ne pas venir avec sa carte bleue.
22:31 - J'estime que si c'est dans une dynamique de séduction,
22:33 je ne parle pas professionnellement,
22:35 oui, je viens sans ma carte bleue
22:37 parce que c'est, pour moi, à l'homme de payer.
22:39 - Vous êtes avocate, vous gagnez de l'argent.
22:41 Pourquoi ? Il faut être indépendante.
22:43 - Meilleur SMS que je viens de recevoir.
22:45 Ma mère. "Baba, tu es vraiment en direct ?"
22:47 (Rires)
22:49 (Applaudissements)
22:51 - C'est tellement ça !
22:53 - C'est Paul Ska.
22:55 Déjà, depuis le début, je me suis aperçue
22:57 que je croyais que vous étiez une brune qui s'appelait Paul Ska.
22:59 Je vous ai confondue avec une autre.
23:01 - Il n'y a pas d'autre Paul Ska.
23:03 - Là, tu confonds avec toutes les autres.
23:05 - Oui, exactement.
23:07 - C'est comme Starsky et Hutch.
23:09 - Non, financièrement, je peux payer mon coca à 12 euros.
23:11 C'est pas que je ne peux pas.
23:13 C'est que par galanterie...
23:15 - Je serais toi.
23:17 - Effectivement, je suis peut-être conservatrice,
23:19 mais par galanterie, je trouve que c'est à l'homme de payer.
23:21 Non pas que je ne peux pas.
23:23 Moi, si je suis en couple et que c'est l'anniversaire
23:25 de mon fiancé, je vais mettre le maximum
23:27 pour lui faire plaisir.
23:29 - Je suis d'accord pour la galanterie,
23:31 mais il faut quand même prendre sa carte bleue.
23:33 - Oui, oui. Vous appellerez dans la semaine.
23:35 - Oui, c'est ça.
23:37 - Vous pensez que je suis une mixto
23:39 parce que c'est un coca à 12 euros.
23:41 - Il est où, ce coca à 12 euros ?
23:43 - Au Ritz.
23:45 - Arrêtez, c'est quoi, ça ?
23:47 - Je ne sais pas, au Plaza, au Ritz, il est partout.
23:49 - Sur le Formule 1, le Capotem.
23:51 - Non, non, mais pour moi, une mixto,
23:53 ça veut dire que vous écrivez des messages privés
23:55 à des hommes pour vous faire payer des choses.
23:57 Moi, tout ce que j'ai sur moi, je le paye moi-même.
23:59 - Vous êtes sortie avec 3 hommes dans votre vie.
24:01 - Oui.
24:03 - Vous avez connu.
24:05 - En tout cas, qu'il y avait une notoriété.
24:07 - Ça veut dire quoi, qu'il y avait une notoriété ?
24:09 - Ça veut dire que si vous êtes dans la rue,
24:11 vous avez un homme qui vous a fait payer.
24:13 - Bon, on peut peut-être...
24:15 Il y avait un monsieur qui attendait pour le sujet suivant.
24:17 - On va le revoir. En plus, je l'aime beaucoup,
24:19 Loïc Signor, très sympa.
24:21 Chanteur ? - Non.
24:23 - Acteur ? - Bon, Cyril...
24:25 - Acteur. - Sportif ?
24:27 - Non, jamais. - Jamais sportif.
24:29 - Moi, je chante.
24:31 - Mais après, il y en a qui ont été connus
24:33 et qui ont connu ensuite un déclin.
24:35 - Chauffeur. - Chauffeur, c'est-à-dire ?
24:37 - Chauffeur-livreur ? - Chauffeur.
24:39 (rires)
24:41 [Musique entraînante diminuant jusqu'au silence]

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