Après l'attentat mortel au couteau samedi à Paris, le ministre de l'Intérieur français Gérald Darmanin s’est prononcé en faveur de l’ « injonction de soins psychiatriques que pourraient obtenir les préfets » pour « un certain nombre de « personnes qui sont dans l'islamisme radical et qui sont atteintes de maladies mentales ». « L'une des difficultés, c'est que si la mère de cet assaillant terroriste était venue évoquer le fait que son fils, qui avait une maladie mentale prononcée et qui était dans l'islam radical incontestablement, ne prenait plus ses médicaments, comme elle n'a pas voulu déposer et qu'elle a pas voulu demander son hospitalisation, le ministère de l'Intérieur est un peu limité dans son action », a précisé le ministre de l’Intérieur.
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00:00 l'une des difficultés c'est que si la mère de cet assaillant terroriste était
00:04 venue, évoquait le fait que son fils qui avait une maladie mentale prononcée et
00:08 qui était dans l'islam radical incontestablement ne prenait plus ses
00:11 médicaments, comme elle n'a pas voulu déposer et qu'elle n'a pas voulu
00:14 demander son hospitalisation, le ministère de l'Intérieur est un peu limité dans son
00:18 action et donc je redis mon souhait de travailler avec les parlementaires à
00:22 cette injonction de soins psychiatriques que pourraient obtenir les préfets dans
00:28 les conditions extrêmement difficiles que nous avons à gérer
00:33 un certain nombre de personnes qui sont dans l'islamisme radical et qui sont atteint
00:37 de maladies mentales et je crois qu'il serait temps que le parlement en effet
00:42 puisse donner les moyens au gouvernement d'agir sur ce point.